Chers frères et sœurs en Christ,
Dans la théologie chrétienne, la figure de Jésus-Christ et celle de l’Antéchrist représentent deux réalités diamétralement opposées, incarnant les forces du bien et du mal. Cette opposition est marquée par des contrastes profonds dans leurs actions, motivations et destinées, révélés à travers les Évangiles.
Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est Tout-Puissant au Ciel, assis à la droite du Père. Cependant, par un acte de miséricorde et d’humilité, Il s’est incarné sur terre, prenant la forme d’un serviteur. « Bien qu’il fût de condition divine, il n’a pas revendiqué son droit d’être traité à l’égal de Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même en prenant la condition d’esclave, en devenant semblable aux hommes » (Philippiens 2:6-7). Jésus a choisi de naître dans la pauvreté, de vivre dans l’humilité et de mourir sur la croix pour la rédemption de l’humanité. Son règne terrestre n’était pas marqué par la recherche de la gloire ou du pouvoir, mais par le service, l’amour et le sacrifice. Il enseigne : « Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup » (Matthieu 20:28).
En contraste, l’Antéchrist, tel que décrit dans les Écritures, cherche à usurper la place de Dieu sur terre. Il désire être adoré et exalté au-dessus de tout ce qui est divin. Paul avertit : « Que personne ne vous séduise d’aucune manière ; car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, et qu’on ait vu apparaître l’homme du péché, le fils de la perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu » (2 Thessaloniciens 2:3-4). Contrairement à Jésus, l’Antéchrist ne vient pas dans l’humilité mais dans l’orgueil, cherchant le pouvoir et l’adoration des hommes, exploitant leurs faiblesses et leurs désirs pour établir son règne de tromperie.
Jésus-Christ, dans son ministère, montre la voie de l’humilité et de l’amour. Il dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et apprenez de moi, car je suis doux et humble de cœur » (Matthieu 11:28-29). En revanche, l’Antéchrist imposera un joug de tyrannie et de peur, séduisant par des miracles trompeurs et des mensonges. Jean écrit dans l’Apocalypse : « Et il fait de grands prodiges, jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et il séduit les habitants de la terre, par les prodiges qu’il a été donné de faire » (Apocalypse 13:13-14).
En fin de compte, leur destin est aussi contrasté que leur nature. Jésus-Christ, après avoir accompli la rédemption, est exalté dans la gloire éternelle. « C’est pourquoi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom » (Philippiens 2:9). L’Antéchrist, en revanche, est déjà condamné dans les cieux. Son règne terrestre, bien que temporairement puissant, est destiné à la destruction. Jean prophétise : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Tous deux furent jetés vivants dans l’étang ardent de feu et de soufre » (Apocalypse 19:20).
Ainsi, à travers les Évangiles et les Épîtres, se dessine une symétrie spirituelle frappante entre Jésus-Christ et l’Antéchrist. Jésus, Tout-Puissant au Ciel, s’est fait petit par Miséricorde sur terre. L’Antéchrist, condamné dans les Cieux, cherche à se faire grand et tout puissant sur terre. Jésus-Christ représente la vérité, l’amour et la vie éternelle. L’Antéchrist incarne la tromperie, la haine et la damnation éternelle.
Benedicat vos Deus, etiam propinquos vestros, et custodiat vos in suo aeterno amore, Amen.
Stéphane
13 juin 2024
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La France Chrétienne et son histoire 
Bonsoir Stéphane, par contre Louis d’Alencourt voyait à travers les occupants récents du siège de saint Pierre les complices de l’écroulement de l’Église. Par l’ouverture au monde les fumées de satan s’y sont répandues depuis le Concile Vatican II. Les catholiques de tradition dont je suis l’on vécut dans leur jeunesse dans les milieux de combat incarné alors par Monseigneur Lefebvre et l’abbé Georges de Nantes qui ira jusqu’à Rome déposé un liber accusationis. La racine du mal vient de là, il convient de le rappeler aux jeunes générations, Louis ne faisait que valider l’analyse de ses prêtres et évêques non ralliés tels que ceux de la révolution française, les non-jureurs. C’est une continuité de cœur, d’âme et j’oserai dire bien souvent de sang. Si Antéchrist il y a, il faut le chercher là où ses intellectuels consacrés l’on repéré à la naissance, raison pour laquelle Louis parlait d’un système puisque comme une hydre ses têtes repousseront tant que le dernier pape accompagné du dernier roi qui lui assurera la protection ne l’auront pas décapité lui rendant la monnaie de sa pièce car il est né de la révolution française. C’est pourquoi Louis pour ma part oubliait cet élément qui est fondamental, mesdames et messieurs « la France ne peut mourir car le Christ aime encore les francs » tel que l’a rappelé le comte de Chambord qui détenait un secret et l’emportera dans la tombe en prince du sang. Un catholique de tradition n’a rien compris s’il n’intègre pas la fille aînée de l’Église dans cette équation, son lieu tenant légitime est le dernier roi de France que vous le vouliez ou pas et pour ma part je ne cesserais de le dire. C’est notre châtiment, celui du roi soleil qui ne répondra pas aux injonctions du Sacré Cœur faite par l’entremise de sainte Marguerite Marie le 17 juin 1689. En juillet 1789 la monarchie multi séculaire amorçait sa chute et Louis XVI versera son sang pour racheter la faute de son aïeul. C’est lui qui nous vaudra la résurrection de la France avant que les derniers temps n’arrivent sans que nous puissions en fixer une date. C’est tellement clair cent ans marque la chute, c’est un signe du Ciel pas une affabulation de plus, deux pouvoirs doivent régner sur terre par la volonté de Dieu, l’un est en suspens représenté par le roi de France et l’autre est décadent héritier de la fondation du Christ qui se chargera comme pour la monarchie française d’en rétablir sa justice. L’on comprendra dans cette optique que ce n’est pas un roi de pacotille qui montera sur le trône ni hélas un descendant de celui qui a voté la mort du roi. Où est la marque de la chevalerie française dans ces équations l’on se le demande, cet esprit de cour ne mènera à rien, j’en prends le pari. Pour terminer cette déclaration que vous voudrez bien me pardonner, la miséricorde du Christ n’est pas un vain mot, elle n’est pas transmise et représentée ce me semble dans toute sa grandeur. Et bien justement, s’il renverse la vapeur et daigne accomplir les prédictions de certaines âmes consacrées dignes de foi nous pendrons la mesure de celle-ci, vu le chaos dans lequel nous sommes, qui ne cessera non par les urnes, vulgaires boîtes de papier égotiques mais par la renaissance du dernier Lys de France. Alors a France tombera à genoux et se convertira, c’est une fin plus grande que la destruction finale qui va dans la droite ligne de ce que veulent les élites mondialisées…
Bien à vous ! Claude
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Cher Claude,
Dans l’article consacré à « l’Antechrist système », vous trouverez un long passage sur Vatican II qui est la cause du mal contemporain : ce concile a fait apostasier des milliers de catholiques.
Je suis d’accord sur tout ce que vous dites. Le roi qui montera sur le trône n’aura pas un esprit de cour. Il consacrera la fin de sa vie au Christ en redressant la France aux côtés de fidèles catholiques qui l’aideront dans cette tâche incommensurable. Ce sera une croix très lourde, mais ce sera la Croix qui permettra de préparer l’humanité au retour du Christ. S’il y a un monarque, il ne sera pas « Grand » mais il sera « grand dans la foi et l’humilité », il sera plus proche d’un saint Augustin que d’un roi politique.
In Christo Rex ✝️🙏
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Pourquoi, pas une autre Jeanne D Arc, il en était question pendant un moment, non pas un Roi, mais une sorte de régence, avant l’arrivée du Christ » Le Roi «
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Bonjour Sophie,
Jeanne d’Arc est capitale, la triple donation de la France en est la preuve. Jeanne d’Arc a collaboré avec un roi et c’est là que prend le sens de l’histoire. Une régence est souvent le fait d’une femme qui remplace un roi. Dans l’histoire de France, ce sont les rois qui gouvernent, appuyées de leur reine. Le rôle des femmes est capital dans la sainteté mais nous ne pouvons pas inscrire une régence comme souhaitée par une sainte.
Dieu vous bénisse
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Jeanne D’Arc a fait en soi, un bel acte d’amour pour le Christ, mais aujourd’hui la France est aux mains de ses ennemis,
« nuit de 10 jours de la réforme grégorienne, au XX éme siècle il y a une différence de 13 jours, ( Fatima le 13 )
cette fameuse nuit de 10 jours, peut représenter 1 mois, 10 ans, ou 100, 1000, et pour moi , c’est 10 ans depuis l’élection du Pape François,
finalement, on se retrouve aussi dans l’ancien testament avec la Sophonie et Josias, tout se répète,
Et puis le prophète Joel a dit que l’éternel ramènera la boiteuse et celle qui a été exclue,
Si j’étais une Jeanne D’Arc, je nommerai un Saint Abbé François Marie, ( Pie X),,
J’ai une petite chose a dire que je ne comprend pas trop et que je cherche, je suis jumelle mon frère Joel nés tous deux un Deux mars 1972, c’est Claire Ferchaud, qui a dit a mon père de nous donné ces noms, elle est morte avant notre naissance, ? Sophie et Joel des doutes en dates, marié un 13 juillet sous V2 ou avec , dépassant le pontificat de jp 2 et benoit 16,, l’un représente Leon X13 et l’autre PIE X12, né un 2 mars, soit l’un au 19 éme siècle et l’autre au 20 siècle,
Bref je cherche…
La nuit de 10 jours a une très grande importance
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https://imgur.com/a/illustration-r-alis-e-par-claude-saint-f-lix-3AonoMY
Espoir et Salut de la France
« Dans l’iconographie religieuse et spécifiquement catholique qui développera le culte du Sacré Cœur à partir du 17ème siècle en particulier par l’entremise de la visitandine Marguerite Alacoque, le style figuratif évoluant au fil du temps ne sera pas véritablement conforme à l’organe précieux que nous possédons tous ».
« Si l’on sortait de la sphère religieuse loin de tout prosélytisme comme a su le faire l’Église dans son histoire, l’on constaterait que le cœur est au centre de plusieurs approches gravitant autour de l’idée de l’amour ».
« J’ai réalisé cette œuvre le 7 juin 2019 au petit matin, à une période de ma vie où l’inspiration était débordante, une sorte d’envie m’y poussait, je la réaliserai assez vite avec ses différents éléments. Petit clin d’œil du Ciel pour ceux qui s’attachent au chiffre, elle sera la quatre-vingt-neuvième illustration de cette période, nous renvoyant à l’année 1689 marquant la demande du Cœur Sacré à l’adresse du roi de France ».
« Cette illustration symbolique se veut ainsi l’expression de cette attente et de cette sollicitation auprès du Christ Roi, qu’il daigne sauver notre France dans ce chaos qui menace de l’effacer à terme et que redoutent bon nombre de nos compatriotes. Je vous souhaite des jours pleins d’espérance, remplis d’amour à l’image de ce cœur qui a tant aimé les hommes jusqu’à donner sa vie pour eux ».
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