Le mensonge républicain envers la royauté

La république est née dans la violence, la fureur et le mensonge. Sous couvert de pouvoir populaire, chimère inexistante jusqu’à ce jour, les élus républicains se maintiennent au pouvoir grâce à des élections qui restent un vague simulacre de liberté. Ces prétendus élus n’œuvrent pas pour le peuple mais pour soutenir d’autres intérêts, notamment l’usure. La religion catholique interdit cette pratique pour une bonne raison : l’usure finirait par donner le pouvoir politique à une caste de marchands qui chercherait à développer ses propres intérêts. Ceci est devenu une réalité au moment de la révolution française. Hélas, l’illusion républicaine est parvenue à secouer la chimère de la démocratie : le communisme qui se voulait la dictature du peuple pour le peuple a donné naissance à Staline. En réalité, la démocratie ne peut jamais se maintenir puisqu’elle est toujours coiffée d’une caste tyrannique ou d’un dictateur.

Les lecteurs républicains qui ignorent malheureusement l’histoire de la France hurleraient au scandale, puisque pour eux la royauté serait le summum de l’horreur, une effroyable tyrannie ressemblant à la monarchie absolue d’un Louis XIV. Ne confondons pas tout : Louis XIV a vécu dans une époque particulièrement troublée. On peut dire, d’un point de vue historique, qu’il a été victime de ses proches conseillers qui l’ont maintenu dans l’illusion absolutiste. Vous trouverez ces faits dans tout bon livre d’histoire.

Pour revenir à nos propos, nous pouvons affirmer sans tromper qui que ce soit que la royauté a pu se maintenir grâce au consensus. Nous allons le prouver grâce aux écrits de Saint-Simon :

Extrait du livre : Mémoires sur le droit public de France de Louis de Saint-Simon, tome treizième

III Assemblée générale de la Nation, au champ de Mars

Cet Empire tout militaire se gouverna militairement aussi, par cette assemblée, qu’on appela champ de Mars, et puis de Mai. Tous les ans, en Mars, et puis en Mai, le roi convoquait une assemblée ; il en marquait le lieu et le jour : chaque prélat, et chaque grand seigneur s’y rendait avec ses vassaux et ses troupes.

Là, deux espèces de chambres, en plein champ, étaient disposées, l’une pour les prélats, l’autre pour les grands seigneurs, c’est-à-dire les Comtes, dès-lors connus sous ce nom. Tout proche, dans l’espace découvert, était la foule militaire, c’est-à-dire les troupes et les vassaux qui les commandaient.

IV Pouvoir législatif de l’Assemblée

Le roi sur un tribunal élevé attendait la réponse des deux chambres, à ce qu’il avait envoyé à proposer : et lorsque tout était d’accord, le roi déclarait tout haut les résolutions, qui étaient prises, soit civiles, soit militaires, et la foule militaire éclatait aussitôt en cris redoublés de Vivat, pour marquer son obéissance. (*)

Note du 30 septembre 1788 (*) : On voit ici, malgré tant d’écrivains modernes de mauvaise foi, Moreau, par exemple, que nos rois n’ont jamais ordonné la loi d’une manière absolue ; il fallait qu’elle fût consentie : cette coutume est aussi ancienne que la monarchie, il fut résolu dans une assemblée générale, que la loi ne pouvait être faite autrement : Lex fit consensu populi, çonstitutione regis disent les capitulaires. Ni Moreau, ni Linguet qui entassent pesamment dissertations sur dissertations pour expliquer cette loi si claire, si précise, si évidente et si juste, n’ont jamais pu parvenir à l’altérer, ni sur-tout à l’ôter du cœur des vrais Français.

V Vues sur Pépin

Pépin chef de la seconde race, porté sur le trône par les grands Vassaux à force de crédit, de puissance, d’autorité, qu’il avait su s’acquérir, continua la même forme de gouvernement en Mai, au lieu du mois de Mars, temps trop peu avancé vers le printemps pour tenir des placita : Charlemagne son fils les continua de-même, autant que ses voyages le lui permirent, mais, jamais sans ses grands Vassaux : il n’entreprit rien de considérable, ni de paix, ni de guerre, ni de partage entre ses enfants, ni d’administration publique en France, sans les champs de Mars, tandis qu’en Espagne il agissait tout seul. (*)

Cet usage ancien fut suivi par la postérité de Charlemagne : sous elle les grands Vassaux s’accrurent de puissance et d’autorité, tellement qu’ils ne furent guère moins que rois sous les derniers rois de cette race à quoi leur mollesse, la faiblesse et l’incapacité donnèrent lieu. Peu à peu les différents fiefs n’allèrent plus jusqu’aux rois. Les feudataires jugèrent les contestations que leurs Vassaux n’avaient pu terminer entre eux par le jugement de leurs pareils ; et pour les causes les plus considérables, elles se jugèrent par les grands feudataires assemblés par le roi.

La multiplication de ces différents fiefs, vint de celle des inféodations, de leurs conditions différentes, du désordre des guerres, qui fit contracter des dettes, et qui obligea à mettre dans le commerce les fiefs qui n’y avaient jamais été, et qui de là les fit passer par divers degrés de successions, souvent disputés, enfin aux femmes, sans plus d’égard sur ce point, à la fameuse loi salique, qui les excluait de toute terre salique ; loi qui n’ayant pour objet que cette terre, c’est-à-dire, celle qui avait été donnée pour tenir lieu de paye, qui était la distinction du Franc conquérant d’avec le Gaulois conquis, des fiefs d’avec la roture, de la noblesse d’avec le peuple, demeura uniquement restreinte au fief des fiefs, qui est la couronne.

Note du 30 septembre 1788 (*) : On voit que la nation était appelée, non-seulement pour consentir la loi ; mais que même les affaires de pure administration étaient agitées et résolues dans l’assemblée nationale. Il faut présenter ce grand exemple à ceux qui prétendent que la nation est essentiellement soumise à la volonté absolue du roi et d’un conseil ministériel… Dans notre siècle éclairé on est revenu en partie de cette erreur qui a duré des siècles, et les administrations provinciales, effet des spéculations patriotiques de M. Necker, démontrent l’utilité résultante d’un conseil public et national, même pour l’administration… On voit encore ici l’amour de la justice, et l’attention de Charlemagne ; il la portait jusqu’à distinguer dans ses peuples ceux qui avaient des droits que d’autres peuples n’avaient pas ; car le duc de Saint-Simon observe, avec raison, qu’en France l’administration étant partagée entre le roi et la nation, ils agissaient toujours de concert, et jamais le roi sans la nation, ni la nation sans le roi : en Espagne au contraire, où la nation n’était point appelée par le droit public, à agir d’une manière parallèle avec le monarque, Charlemagne usant de son droit dans toute sa plénitude agissait tout seul. Les bons rois, les bons ministres ont l’attention de conserver aux peuples leurs droits particuliers : c’est le propre du tyran de tout détruire pour ordonner l’égalité. En France nous venons d’être témoins de la justice de notre bon roi, pour conserver à chacune de ses provinces sa constitution : il a éloigné de lui deux ministres (Loménie et Lamoignon) qui avaient conçu l’idée étrange de la bouleverser, et pourquoi n’a-t-on pas puni aussi sévèrement ces hypocrites écrivains qui ont enseigné des erreurs aussi dangereuses que les actions de ces deux ministres, qui n’ont rien oublié pour ôter, s’il eût été possible au monarque, cette tendre commisération qu’il porte dans son cœur pour ses pauvres sujets, et aux Français, cet éternel dévouement au trône qui les ont toujours animés et les animeront à jamais.

Nous pouvons voir clairement que la royauté n’aurait pas pu tenir sans l’accord du peuple dans un siècle où il n’existait aucun médias pour diffuser des informations biaisées. Le rassemblement populaire sur le champ de Mars (puis au mois de mai finalement) assurait le contentement du peuple puisqu’il était inclus dans les prises de décisions royales. Les élus de la république ne sont pas utiles puisque l’on ne sait jamais qui ils sont et s’ils sont dignes de probité. Au contraire, sous un régime catholique, ceux qui avaient pu s’élever à des hauts rangs grâce à leur travail honnête étaient dignes de participer aux placita.

Un ministre dans un royaume catholique est un serviteur, selon les commandements de Jésus-Christ, et non pas un orgueilleux qui s’enrichit grassement sur le dos de la population. Si un roi de France devait s’asseoir de nouveau sur le trône, il faudrait renouer avec les anciennes traditions pour écarter définitivement du pouvoir les élus et les usuriers qui peuvent être jetés dans le même panier de crabes.

D’autre part, il serait préférable d’user de l’humiliation publique que de la peine de mort. Ensuite, il serait indispensable de soumettre les anciens élus républicains à la servitude populaire : ce serait une grande justice de voir un ancien ministre de l’intérieur devenir un nettoyeur de rues au service du peuple pour une longue durée, jusqu’à ce qu’il connaisse l’humilité au lieu de l’orgueil. L’humiliation populaire est bien pire que la peine de mort, car la souffrance morale des protagonistes est forte lorsque ceux-ci sont soumis à la volonté de ceux qu’ils ont trompé impunément pendant de nombreuses décennies. D’autant plus que cela permettrait d’obéir au décalogue : « tu ne tueras point ». Une nation catholique obéit de bon cœur à la Loi de Moïse et aux commandements de Jésus-Christ puisque Notre-Seigneur est formel : Il n’est pas venu abolir la Loi mais l’améliorer.

Sur ces bonnes paroles, nous vous souhaitons une heureuse nouvelle année 2019, qui, nous l’espérons annoncera le retour de la royauté en France. Dieu vous garde.

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Résistance catholique ! Avis aux personnes de bonne volonté. Constitution d’un groupe autour de saint Augustin

Chers amis,

Comme vous le savez, l’ennemi progresse dangereusement et en face de la Bête, il n’y a aucune résistance. Les lobbies financiers et leurs sbires possèdent tout le pouvoir et osent le montrer. L’ennemi est venu pour diviser tandis que Jésus-Christ est venu pour rassembler ses brebis. En ce siècle perverti, renouons avec la vraie foi, l’espérance et la charité.

D’un point de vue matériel, nous ne possédons rien mais nous avons cependant tout ce qu’il faut pour lutter contre Satan et ses démons : nous possédons la foi en Dieu, l’espérance en la sainte Église, et la charité des saints.

Nous vous proposons de constituer un groupe de réflexion catholique autour de saint Augustin pour préparer la France en vue de son renouveau spirituel. Ne laissons pas sous le boisseau les fabuleux écrits de ce saint berbère qui est le fondateur de la civilisation occidentale.

Notre rôle est de proposer aux hommes de bonne volonté un rassemblement spirituel autour de ce grand homme en vue de remettre ses écrits en valeur. Ces travaux sauront trouver leur place en temps venu : ils appartiennent à l’humanité et la sainte Église saura quoi en faire.

Armons-nous des livres de saint Augustin, étudions-le sérieusement et passionnément. Méditons sur ses travaux, proposons des réflexions supplémentaires, soyons source de proposition. Rédigeons des textes autour de l’amour de Dieu, autour de Notre Seigneur Jésus-Christ. Faisons pousser l’arbre de la foi chrétienne pour que celui de l’orgueilleuse Gnose diminue d’autant, jusqu’à disparaître. Nos armes sont notre foi face à un adversaire fourbe et cruel qui souhaite s’accaparer le pouvoir en vue d’anéantir les pauvres et l’humanité en général. Ne laissons pas mourir la foi catholique.

Pour que la sève catholique coule de nouveau dans notre nation, pour la conversion des méchants, pour la fin du racisme puisque chaque homme est un chrétien en devenir, pour la fin de la négation de la loi naturelle, pour que l’homme soit pleinement homme et la femme pleinement femme, pour que les enfants retrouvent leur joie et leur sécurité, pour le partage des richesses, pour une justice sociale, pour une fraternité catholique, pour une bataille vivante qui ne fera pas de morts, pour que notre armée triomphe par l’écriture, pour un rassemblement universel sans toutefois nier ni opposer nos différences culturelles. Ne luttons pas contre nos propres intérêts : œuvrons avec Dieu pour Son triomphe et celui de notre humanité en Jésus-Christ.

Vous pouvez nous contacter en cliquant sur le lien qui vous convient le mieux.

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Dieu vous bénisse et vous protège. Que 2019 soit le début du renouveau de notre France bien-aimée. Pour qu’une armée de personnes de bonne volonté redonne l’espoir à tous ceux qui l’ont perdu.

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Hommage au père Marcel Neusch

Le père Marcel Neusch, collaborateur du journal La Croix, fidèle catholique proche de la pensée Augustinienne, fin connaisseur du communisme, homme profondément bon et humble, est décédé le 30 décembre 2015 à 80 ans.

Je vous invite à découvrir un bel article qui lui rend hommage sur le site assomption.org : https://www.assomption.org/fr/communautes/in-memoriam/deces-du-pere-marcel-neush

Nous nous sommes procurés son ouvrage « aux sources de l’athéisme contemporain ». Nous nous appuierons sur ses écrits pour démonter l’athéisme et essayer de continuer son œuvre.

Finissez bien l’année 2018.

Dieu vous bénisse, chers amis.

Transhumanisme : la destruction préalable de l’ordre catholique

Le transhumanisme ne peut pas encore s’implanter dans notre civilisation car certaines conditions ne sont pas remplies. Une civilisation basée sur la technologie doit détruire la moralité pour que ses masses esclaves puissent accepter leur infâme condition de soumission à un pouvoir tyrannique.

La gouvernance mondialisée a pour ordre d’abêtir la jeunesse en réduisant la qualité de l’enseignement élémentaire et supérieur. Nous pouvons le constater depuis déjà plusieurs décennies. Le mouvement accélère la cadence en réduisant le nombre d’heures d’enseignement des mathématiques, au lycée notamment, et en éliminant la notion de chômage ainsi que les différents types de métiers (ouvriers, techniciens, techniciens supérieurs, ingénieurs, etc.) des cours d’économie.

Le système pousse également, depuis plusieurs années déjà, à la pornographie, à la violence, à la destruction du langage soutenu au profit d’une bouillie littéraire qui soutient une thèse égalitariste.

Ceux qui souhaitent atteindre le « grand œuvre universel », comme on atteindrait le « Graal », c’est-à-dire l’instauration d’une religion basée sur l’intelligence artificielle, tirent les ficelles en coulisses depuis de nombreux siècles. Les frères des loges rêvent du progrès scientifique et médical. S’ils se terraient dans des lieux secrets au temps des rois, depuis le siècle des Lumières ceux-ci se montrent de plus en plus ouvertement en cachant toutefois leurs véritables intentions par de subtils mensonges alambiqués. Ils ont besoin des chimères pour pouvoir imposer leur idéologie mortifère puisque le miroir aux alouettes permet de garder les masses sous un contrôle absolu.

Nous sommes leurs surnuméraires. L’euthanasie du cheptel humain leur est agréable. Le tabagisme, l’alcoolisme, les psychotropes et les drogues en général permettent de maintenir leurs victimes dans un invisible carcan spirituel tout en réduisant leur espérance de vie. La promotion d’une sexualité débridée œuvre en faveur de l’avortement et de la dénatalité. Les religions qui ne connaissent pas le Christ œuvrent, sans le savoir, pour l’avènement du « grand œuvre » puisqu’elles ne respectent pas Ses commandements de Charité. Au final, le progrès se cache sous les termes des droits de l’homme. Cette liberté factice tend vers le nihilisme et la destruction de la vie.

Nous devons y voir clair : tout ce qui peut favoriser le chaos est exploité par les ennemis de Jésus-Christ. Leur intelligence est machiavélique, savamment orchestrée dans de froides loges où règne une ambiance chirurgicale semblable à la mort. Les ennemis du Christ sont aussi détestables que les saints sont charitables.

C’est en plongeant dans l’histoire que l’on peut comprendre la vérité : l’authentique religion catholique est attaquée depuis son apparition par des plagiaires. Jésus-Christ nous a transmis un message théologal clair, plein d’espoir, charitable dans lequel on peut percevoir une paix surnaturelle. Jésus-Christ est porteur de la Vérité. Les plus dangereux de ses ennemis sont ceux qui rédigent des œuvres alambiquées constituées de vérités et de mensonges savamment orchestrés. On trouve toutes sortes d’inepties dans ces ouvrages dignes de la Kabbale : des âmes malveillantes seraient réincarnées dans les singes, des extra-terrestres démoniaques se nourriraient de nos mauvaises pensées, le Christ serait un « Logos » provenant de la planète Sirius, Isis se cacherait sous le nom de Marie, le Christ serait le symbole païen de Mithra, l’Antéchrist serait Néron. Autant dire que ces livres cherchent à éloigner les fidèles de la vérité catholique transmise depuis de nombreux siècles par la Sainte Église.

La foi catholique est très stricte dès l’origine : plutôt la mort que le péché. Ce message n’est toutefois pas à prendre au pied de la lettre puisque cette mort est un choix personnel : s’offrir soi-même en sacrifice pour sauver ses amis. Les martyrs de la foi sont morts dans d’atroces souffrances au temps des empereurs romains. Le sang de ces bienheureux et de ces saints a donné naissance à l’Église. Les chrétiens devinrent de plus en plus nombreux dans une Rome en pleine dégénérescence. La conversion de Constantin a pu être inscrite dans le livre d’Or de l’histoire de l’humanité. Finalement, le pouvoir de Jésus-Christ s’est révélé après Sa sainte mort sur la Croix. Si ce n’était pas le cas, l’Église ne serait jamais née. L’espérance en une vie meilleure n’aurait eu aucune crédibilité si Sa résurrection n’avait pas été un fait historique. Heureux ceux qui ont cru sans avoir vu. Ceux qui sont soumis à la force spirituelle des démons refusent de croire en Jésus-Christ : pour eux Sa mort ne serait qu’une fable et rien n’existerait après la mort. Tout se résumerait à des mathématiques aléatoires : la vie serait née bizarrement, la faune et la flore se seraient eux-mêmes générés, l’homme descendrait du singe. Au mieux, deux forces opposées, le bien et le mal, lutteraient l’une contre l’autre dans le monde matériel. Voilà la thèse manichéenne qui reste latente dans ce déni de la foi en Dieu.

L’homme contemporain est enlisé dans un illogisme abscons : la Terre proviendrait de nulle part pour aller au néant. L’homo-emptŏr (le consommateur) serait ici-bas pour jouir et mourir, sans aucun autre but intelligible. Le mal pourrait être le bien puisque tout est relatif. Finalement, la vie serait la mort, la paix serait la guerre, la liberté serait la tyrannie, la logique serait la folie. La méconnaissance de la sainte Bible nous mène au néant. Les catholiques d’antan disaient : « il faut manger pour vivre » tandis que le consommateur contemporain dit : « il faut vivre pour manger ». Eh bien ! Nous voilà enracinés dans un monde absurde où la vie à crédit est cautionnée pour enrichir la finance apatride internationale en vue d’imposer ses déchets idéologiques dont le Transhumanisme fait partie. Pourtant, saint Louis luttait de toute son âme contre l’usure, pour le bien de son peuple.

Nous ne le répéterons jamais assez : l’usure doit être interdite pour faire en sorte que les milliardaires redeviennent de simples quidams sans pouvoir. Leurs milliards seraient alors redistribués pour nourrir les plus pauvres du royaume tandis que ces anciens profiteurs seraient mandatés pour devenir les serviteurs de leurs maîtres, les pauvres. Hélas ! Les méchants hommes ne se rendent pas compte qu’ils risquent la destruction, l’anéantissement total à vouloir imposer, grâce à la ruse, leur volonté. N’est-il pas prophétisé qu’un homme doit se lever pour les anéantir ? Personne ne souhaiterait être cet individu-là. Pourtant le risque est grand qu’un jeune homme souriant devienne l’antéchrist (et non pas l’antichrist), le destructeur des perfides. Il y aurait alors des cris et des grincements de dents.

L’ordre moral découle des commandements de Jésus-Christ. Dieu nous a donné l’ordre de L’aimer et de nous aimer les uns les autres. Cette vérité éternelle ne plaît pas aux suppôts de Satan qui souhaitent voir en l’homme une bête orgueilleuse et enragée. Combien adorent Hitler, Staline, Le Ché Guévara, Marx, Trotsky, Mitterrand, Néron et tant d’autres au lieu d’aimer Jésus-Christ. Barabbas est toujours préféré à Notre Seigneur, mille fois hélas ! L’homme idolâtre la mauvaise personne en espérant obtenir un bonheur… chimérique qui n’existe pourtant que dans les contes de fées.

Le consommateur s’accroche aux films et aux séries comme s’il s’agissait d’une vérité tangible alors que des scénaristes sont payés pour rédiger ces fables audiovisuelles. Les acteurs jouent des rôles imaginaires pour enrichir les mêmes multinationales. Il ne s’agit, finalement, que d’une immense machine à rêve qui entretient l’illusion jusqu’au bout. La Vérité est douloureuse puisqu’elle est Crucifiée tandis que le mensonge est mortellement flatteur.

Le Transhumanisme veille dans l’ombre en espérant que le chaos et la guerre viennent tout emporter. Ses pompiers pyromanes pourraient alors sortir de l’ombre et se présenter comme les sauveurs grâce à la technologie. Ils vendraient du rêve à qui souhaite en acheter : marchandage légal du corps humain, création de cyborgs, implants de puce cérébrale, informatisation à outrance, orgie robotique, ingurgitation des théories de l’intelligence artificielle jusqu’à en vomir. Les promesses pour le cheptel humain sont terrifiantes puisque idéologiques : la loi naturelle est méprisée, l’homme n’aurait plus le droit de vivre avec son corps. Il devrait vivre « avec son temps » en acceptant de se prostituer légalement. N’y a-t-il personne pour se lever contre ces horreurs ?

Je vous garantis, hélas, que les lobbies vont bientôt déchanter. À trop jouer avec l’Éternel, ils risquent la destruction. L’année 2019 risque d’être le début des fléaux. Hélas pour eux ! Veillons et prions, car les temps sont proches. Dieu vous garde et vous bénisse en ces temps si durs.

Lien vers le fichier PDF : https://lafrancechretienne.files.wordpress.com/2018/12/transhumanisme_la_destruction_de_l_ordre_moral_catholique_v01.pdf

La guerre au profit du transhumanisme

La violence qui se profile à l’horizon est à la fois réprimandée et soutenue par le pouvoir. Elle est blâmée afin d’entretenir la chaleur des cendres, à la manière d’un feu de cheminée. Les conditions d’une crise économique sont réunies à la fin de cette année 2018. La France sera certainement marquée en 2019 par une amplification de l’austérité économique au nom de la crise des gilets jaunes.

Tout cela est soigneusement calculé et réfléchit au sein des centres de réflexion (appelés think tank) grâce au soutien des données du Big Data. Nous sommes des pions au service de ceux qui souhaitent imposer leur idéologie postérieure au nazisme et au communisme. L’homme nouveau du vingtième siècle n’ayant pas surgi de ces idéologies mortifères, le transhumanisme est la nouvelle coqueluche des financiers et autres frères des loges.

La violence leur est favorable puisqu’elle ouvre la voie de l’intelligence artificielle. En effet, ceux qui possèdent le pouvoir financier espèrent que le chaos engendrera une crise économique sans précédent ainsi qu’une guerre de grande ampleur. Par la suite, ceux-ci espèrent reconstruire un nouveau monde basé sur le transhumanisme, une idéologie asservissante qui stipule que l’homme amélioré est un être parfait, capable de maîtriser ses émotions et d’apprendre à une vitesse exponentielle. La loi naturelle serait dès lors balayée comme un dogme obsolète et vain.

Le chaos permet de mettre en valeur l’instabilité émotionnelle de l’être humain. L’homme est rebelle, colérique, égoïste. Ces défauts naturels élèvent sur un piédestal l’intelligence artificielle et la robotique. Après des maux causés par la barbarie, le progrès indéfini serait donc vu comme la source de tout bonheur à la suite de la renaissance et de l’humanisme.

L’intelligence artificielle est une arme redoutable qui peut asservir l’humanité sous le joug d’un contrôle absolu. Le nouveau monde souhaite l’abolition du travail en favorisant l’avènement du revenu universel. La vie ne serait alors plus qu’une succession de journées vides de sens pour la majorité d’une population abandonnée à elle-même. Le salaire universel versé à tout un chacun serait censé apporter le bonheur tandis que les milliardaires des sociétés technologiques pourraient développer des robots sophistiqués en écartant le peuple de toute décision politique, économique, philosophique, spirituelle et religieuse.

Le monde nouveau serait alors celui de la tyrannie mathématique. La froideur des machines s’appliquerait à l’humanité tout entière. L’obéissance absolue à l’internet serait le dogme des puissants : Dieu serait renversé au profit de la machine, digne héritière de Lucifer.

Il s’agit ici d’une hypothèse viable selon les plans de ceux qui font des calculs machiavéliques en s’appuyant sur des probabilités effectués à partir d’ordinateurs toujours plus rapides.

Cependant, ils oublient que Dieu veille. L’« homme nouveau » n’est pas viable parce qu’il ne serait plus équilibré. Or, le mieux est l’ennemi du bien. En effet, l’homme robot n’ayant aucune émotion, son corps risquerait d’être endommagé par ses décisions dangereuses. Il agirait froidement selon des hypothèses calculées. L’équilibre émotionnel n’existerait plus. Son cerveau serait certainement endommagé par toutes sortes de désordre chimique et d’expériences aléatoires. La Charité n’aurait aucune place dans un tel univers. Or, Dieu nous a créé par amour pour que l’homme devienne à Son image, un être Charitable qui suivrait les commandements de Jésus-Christ, de la Loi et des prophètes.

Nous sommes à la croisée de deux mondes : un monde tyrannique dominé par la technologie et celui de la loi naturelle épaulée des commandements de Jésus-Christ. Les prochaines années seront cruciales pour notre humanité. Nous allons devoir veiller et prier, et, si nécessaire agir pour anéantir définitivement ceux qui souhaitent s’accaparer le pouvoir à la place de Dieu. Pour l’instant, nous devons patienter. Notre heure viendra.

Dieu vous bénisse en cette période bénie de la sainte Nativité.

Lien vers le fichier PDF : https://lafrancechretienne.files.wordpress.com/2018/12/la_guerre_au_profit_du_transhumanisme_v01.pdf

Réflexions sur la fête de Noël : le consumérisme cache la tradition catholique

Chers amis,

Réfléchissons à la fête de Noël : est-ce que le consumérisme est compatible avec la pauvreté assumée de la tradition catholique ? Non. Revenons dans le contexte de la tradition catholique pour argumenter cette réponse.

Voici un petit texte extrait du magnifique livre « les principaux faits de l’histoire sainte » de l’abbé L. Bataille, 1884.

César-Auguste, empereur romain, voulut dénombrer les sujets de son immense empire. Il ordonna à tous les habitants de la Judée de se rendre sur les registres publics de leur ville natale. Joseph et Marie, étant originaires de Bethléem, furent obligés de quitter Nazareth pour se rendre là-bas. Après plusieurs journées de marche, les époux arrivèrent à Bethléem. À cause du recensement qui avait lieu dans la ville, la foule était grande. Ils furent forcés de se retirer en dehors de la cité pour trouver un refuge. Ils finirent dans une caverne servant d’abri aux animaux. Selon la tradition, un bœuf et un âne réchauffaient de leur haleine Jésus, l’Enfant-Dieu.

Aux environs de Bethléem, des bergers passaient la nuit dans les champs. Tout à coup, un ange leur apparut, provoquant chez eux une grande frayeur : « ne craignez rien, leur dit l’ange : car je viens vous annoncer une nouvelle qui sera pour vous et pour tout le peuple le sujet d’une grande joie. Un Sauveur, qui est le Christ, est né aujourd’hui dans la ville de David. Vous trouverez l’enfant enveloppé de langes et couché dans une crèche. Au même instant, une troupe d’esprit célestes se joignit à l’ange et célébra les louanges du Seigneur, disant : Gloire à Dieu, au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté ! ».

Les bergers se rendirent à Bethléem. Ils montèrent la colline et trouvèrent la grotte. Ils virent dans une mangeoire d’animaux un petit enfant enveloppé de langes et couché sur la paille ; à côté une femme et un homme recueillis, silencieux. À ce spectacle, ils reconnurent la vérité des paroles de l’ange. Éclairés intérieurement par la grâce, ils comprirent que cet enfant était réellement le Dieu-Sauveur qui leur avait été annoncé, et, se prosternant, ils l’adorèrent et annoncèrent au-dehors la bonne nouvelle : et tous ceux qui les entendaient, étaient dans l’admiration au sujet des merveilles qu’ils racontaient.

Revenons maintenant à notre réflexion. Il est bien évident que le consumérisme n’a strictement aucun lien avec la naissance de Jésus. La marchandisation de la terre est la conséquence de l’orgueil humain. L’achat de marchandises enrichit certaines familles qui sont situées à la tête de la pyramide consumériste. À l’occasion des fêtes de Noël, regardons un catalogue de marchandises alimentaires en provenance de l’une de ces grandes surfaces : les produits y sont mis en valeur par une mise en page soignée. On y trouve des produits de luxe tels le saumon, le caviar, le foie gras, etc. Cela nous donne envie de nous remplir d’une nourriture tangible qui n’est pas celle espérée lors de la fête de Noël.

Les familles achètent toujours plus de cadeaux et d’aliments caloriques lors de ces fêtes en pensant faire plaisir à leurs proches. Cependant, ces achats inconsidérés enrichissent le grand capital et réduisent la qualité de ces réunions familiales. Est-ce qu’un enfant qui est gavé de nourriture et de jouets est plus heureux qu’un enfant pauvre qui serait riche de foi, d’espérance et de charité ?

Les catholiques d’antan étaient pour la plupart très pauvres. Considérons, par exemple, saint Jean Bosco qui dormait au-dessus des fours de boulangers durant son enfance. Quotidiennement, il parcourait à pied, souvent sans chaussures, des dizaines de kilomètres pour rejoindre l’école. Sa maman, Mamma Margarita, lui a enseigné la sainte tradition catholique durant son enfance. Elle n’avait pas d’argent, sa maison était rudimentaire, mais son cœur était riche d’une grande bonté et d’une réelle confiance en Dieu. Elle a donc offert à ses trois enfants une saine éducation qui a conduit le petit dernier, Jean Bosco, à devenir un grand saint de l’Église catholique.

De nos jours, les enfants ne connaissent pratiquement rien de la tradition catholique. On se contente de leur acheter des dizaines jouets au nom d’un supposé père Noël qui n’est que la conséquence de la laïcisation de saint Nicolas. Tout cela enrichit davantage le grand patronat. On mange, en famille, des repas gargantuesques. On se gave telles des oies en se toisant silencieusement ou en partageant des ragots et de futiles discours. Pendant ce temps, les vrais pauvres, eux, sont mis au ban de la société et personne ne pense un seul instant à eux. Nous sommes tous centrés sur notre propre plaisir au lieu de penser aux autres.

Noël ce n’est pas cela. Noël c’est, tout d’abord, la sainte Nativité qui nous donne l’espérance en un Dieu d’amour. Noël est une fête religieuse qui symbolise la perfection spirituelle de Jésus-Christ. Nous sommes invités à élever notre esprit vers une Charité sans limite au nom de Son Sacré-Cœur.

Le jour de Noël, plus particulièrement, nous devrions remercier Dieu de nous avoir révélé Son existence à travers Son Fils Jésus-Christ. Nous devrions alors réserver une ou plusieurs assiettes pour accueillir quelques pauvres en partageant avec eux un repas spirituel puisque l’on fête le retour des brebis dans leur vert pâturage : la parabole du Bon Berger prend alors tout son sens.

Nous l’aurons compris, faire la fête ne signifie pas s’abreuver comme des païens mais plutôt célébrer notre retour à la vraie foi grâce aux enseignements de Jésus-Christ et de Son Église.

Durant les grandes tribulations, nous allons apprendre à nous séparer du matérialisme pour revenir aux saintes traditions catholiques. La mort du matérialisme symbolise également la disparition de cette secte infernale qui se nourrit de nos péchés et réfléchit à notre place dans d’affreuses loges. La fraternité humaine est une imposture dès lors que Notre-Seigneur Jésus-Christ n’y est pas présent : se glorifier soi-même est la preuve d’un orgueil démesuré et d’un incroyable aveuglement. La foi en l’homme, autrement appelée humanisme, est une hérésie, car, depuis Adam, le péché est la cause de toutes les erreurs qui se répandent sur la terre à cause de notre imperfection naturelle.

Le seul Salut ne peut se faire qu’au sein d’une Église catholique traditionnelle, celle qui est de nos jours éclipsée. Gardons espoir puisque le soleil viendra bientôt pour redonner la vue à un monde d’aveugles. Dieu vous bénisse en ce temps de l’Avent, chers amis.

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Message aux chrétiens de France avant les grandes tribulations

Chers amis,

Le Ciel s’obscurcit au-dessus de la France. Les grandes tribulations approchent. Cette divine punition doit nous faire lever les yeux vers le Ciel. Nos cœurs doivent se tourner vers Notre-Seigneur Jésus-Christ. Nous vous demandons, chers frères et sœurs en Christ, de ne pas participer aux manœuvres de l’ennemi. Vous savez parfaitement que l’obéissance est une divine vertu céleste : Jésus-Christ a patiemment conservé le silence pendant son procès. Notre Maître a patiemment supporté toutes les injustices, tous les cris de colères, tous les coups, toute la haine de l’homme révolté contre Dieu.

Nous vous demandons d’imiter Notre-Maître pour que votre salut éternel soit parfait. Lorsque la guerre civile tombera, tel un déluge, sur notre nation, souvenons-nous de ces paroles. Fuyons les armes, fuyons les cris, réfugions-nous dans la paix du Saint-Esprit, arrachons au Ciel nos prières grâce à notre grande foi. Répandons la charité autour de nous en relevant ceux qui souffrent. Pansons les plaies des blessés, préparons des repas pour ceux qui ont faim, veillons auprès des malades et des vieillards, prenons soin des enfants abandonnés, soyons forts dans la Charité catholique. Anecdote enrichissante, saviez-vous qu’autrefois les bonnes sœurs étaient appelées les « hirondelles du Seigneur » en terres musulmanes ? Elles étaient énormément appréciées des musulmans grâce à leur grand dévouement à la cause de Dieu et des hommes.

Vous savez que seule la Charité viendra à bout de notre orgueil et de nos passions héritées de la révolte d’Adam et d’Ève. Ceux qui ne font pas partie de nos rangs savent parfaitement que l’homme a une grande tendance à se révolter contre les tyrans. Ils font tout pour attiser la colère populaire afin que la France se transforme en un grand champ de batailles. La dépopulation leur est particulièrement agréable puisqu’elle leur permettrait de vivre tranquillement sur une terre où tout serait à reconstruire selon leurs infernales idéologies. La technologie leur permettrait d’assouvir leurs insatiables passions charnelles sans que quiconque ne vienne contrecarrer leurs volontés. Nous sommes leurs « surnuméraires ».

Nous vous promettons qu’un temps prochain viendra pendant lequel la France catholique renaîtra de ses cendres : ce sera le temps de la grande Pentecôte avant les dernières et ultimes tribulations du maître des enfers. Pendant ce temps de paix, la foi renaîtra et l’Église retrouvera de bons prêtres qui remonteront dans les chaires pour enseigner la Vérité aux fidèles brebis. La Messe sera de nouveau célébrée selon les anciens rites, dans l’éternelle langue latine. La gravité des prêtres élèvera le cœur de ceux qui participeront à ces saintes Messes. Jésus-Christ régnera de nouveau dans les cœurs.

Mais avant cela, chers frères et sœurs en Christ, il nous faudra beaucoup souffrir en silence et supporter le poids de nos péchés. Notre seul roseau, digne de Salut, qui plie mais ne se brise jamais, est le souvenir du Fis de Dieu, Jésus-Christ. C’est dans son imitation que nous pourrons nous reposer puisqu’il n’y a nulle autre voie : Il est le Chemin, la Vie et la Vérité.

Beaucoup vont chercher d’autres chemins que celui-ci, or les routes de la perdition sont très larges : tel Caïn, ils s’égareront dans la violence, la colère, la rancœur, l’infidélité, la traîtrise et l’homicide. Ne reconnaissons-nous pas là la marque du malin ? Satan espère attirer les âmes en enfer. Ne tombons pas dans son piège. Ses filets sont tendus de toutes parts. Les flagorneurs du transhumanisme vont bientôt venir se présenter en sauveurs de la France grâce à leurs sermons technologiques. Ne les écoutons pas. Détournons les yeux et restons ancrés dans le souvenir de Dieu : la mort plutôt que le péché selon nos dignes martyrs des premiers siècles.

Soyons fidèles à l’Église de toujours, c’est-à-dire celle qui est née des premiers martyrs chrétiens. La nouveauté dans la religion est comme le progrès : c’est la marque de la progression vers le péché qui tend à l’avènement de l’antéchrist. Soyons dignes du Bon Berger. Jésus-Christ est venu pour rassembler son troupeau tandis que l’ennemi est venu pour le disperser. Souvenons-nous qu’il fut un temps où les hommes étaient tous frères, ils partageaient équitablement la nourriture et les vêtements entre eux. Les villages étaient plongés dans la joie de la foi en Dieu. La Charité était la marque des plus sages. À cette honorable époque, un ancien qui portait une longue barbe signifiait son âge avancé dans la divine sagesse. La barbe n’est donc ni une obscure mode, ni un signe de rébellion mais le symbole de la vertu. Soyons convaincus que notre temps est celui du démon puisque tout y est renversé.

Dieu nous demande de lever les yeux et le cœur vers Lui : aimons-Le de toute notre âme, de tout notre cœur, de tout notre esprit afin de pouvoir ensuite aimer notre frère comme nous-même. Louange à vous Seigneur Jésus-Christ.

Chers frères et sœurs en Christ, soyons fidèles à Jésus-Christ. Agrippons-nous de toutes nos forces au divin roseau et nous pourrons franchir la tempête, comme les Hébreux ont pu traverser la mer rouge. Pendant les grandes tribulations, ceux qui se dévoueront pleinement aux côtés de Jésus-Christ seront relevés tandis que les orgueilleux seront rabaissés dans leur amour-propre. Gardons constamment en mémoire que lors du Jugement Dernier nous verrons notre vie entière se dérouler devant Dieu et l’humanité tout entière. Quel bonheur pour ceux que Jésus-Christ accueillera dans son royaume. Quelle horreur pour les réprouvés : le Maître leur tournera le dos et les enverra en enfer sous la coupe tyrannique de leur terrible chef rebelle et orgueilleux.

Nous devons nous accrocher, dès aujourd’hui, au divin roseau et ne plus jamais nous en détacher. La Charité sera la marque de ceux qui portent en eux l’esprit de Dieu. Soyons certains que nous ne seront jamais abandonnés, il s’agit d’une promesse céleste. Ainsi, lorsque la France tombera sous les coups de la colère et du sang, nous devrons nous retirer, comme les Hébreux l’ont déjà fait sous l’autorité de Moïse, car notre peuple ne peut pas se nourrir de la haine. Ainsi, le monde sera découpé en deux clans : ceux qui sont avec Dieu et les autres. Demandons la grâce du discernement, ne nous laissons pas charmer, ni vaincre par les innombrables tentations.

Nous nous retrouverons après la tempête pour reconstruire, dans la Charité et le dévouement, notre éternelle nation. Nous nous reconnaîtrons les uns les autres. Notre promesse est celle de la charité la plus complète envers nos frères et sœurs, le reste n’étant que des passions humaines : le monde disparaîtra mais les Paroles de Jésus-Christ restent les éternelles lois de Dieu. Heureux ceux qui ont cru sans avoir vu. Heureux les simples d’esprit, car le royaume des Cieux sera à eux. Que les affligés sourient, car ils seront bientôt consolés. Que la paix soit avec vous, et avec votre esprit.

Nous nous reconnaîtrons dans les grandes tribulations. Nous marcherons ensemble sous le drapeau du Sacré-cœur et partagerons nos repas et nos laborieuses journées. Nous relèverons ensemble la France. Pour l’instant, nous devons veiller et prier.

Selon l’enseignement de Jésus-Christ, lorsque la guerre frappera notre pays, nous, chrétiens de France, secoueront le sable qui est sur nos sandales pour partir vers une nation de l’Est qui saura nous accueillir charitablement. Souvenons-nous que pour reconstruire une France catholique, nous devrons survivre aux épreuves.

Signé : un ami catholique de sang mêlé, boiteux, quarantenaire, au physique méditerranéen, pécheur et tourmenté pendant l’adolescence et la vingtaine, désormais serviteur du Christ dans le secret de son cœur.

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Le retour du roi de France

Chers amis,

Les ennemis du Christ-Roi espèrent arracher à la France la paix qu’Il lui a donné en tant que Fille aînée de l’Église. La violence qui va bientôt déferler sur notre nation espère servir une cause tyrannique en vue de l’instauration du transhumanisme. Cette nouvelle civilisation serait divisée en deux clans binaires : les ultra-riches et les pauvres. Ceux-ci seraient abandonnés à leur triste sort dans des bidonvilles situés aux pourtours de mégapoles technologiques. Ces villes « high-tech » créées de toutes pièces se verraient dominées par la robotique et la luxure en vue de fournir le plaisir des sens à ceux qui posséderaient les richesses matérielles. Les ultra-riches estimeraient que les pauvres auraient choisi leur propre sort en refusant de participer à cette nouvelle civilisation pagano-luciférienne.

Pour que puisse sortir de terre cette nouvelle civilisation, les ennemis de Dieu espèrent donner en sacrifice le peuple de France : le sang et la douleur leur permettraient d’imposer cet effroyable nouveau monde, bien pire que la Rome antique. Des combats sanglants seraient financés par les ultra-riches en quête de domination et de sensations violentes. La dépravation des mœurs régnerait en maîtresse absolue dans cet abominable univers sans paix.

La transition écologique est un prétexte pour mettre en place les voitures autonomes, qui permettraient d’instaurer progressivement la nouvelle civilisation. Ce terme trompeur cache en réalité une abomination. Les terres rares de Chine sont dévastées pour la création de produits technologiques : batteries, ordinateurs, tablettes, téléphones portables, etc. L’apparition des robots serait couplée à la mise en place du revenu universel en vue d’acheter le silence du peuple. Des slogans proclameraient alors que le revenu universel permettrait à tout un chacun de vivre selon ses désirs, en dessinant, écrivant, jouant, etc. Il s’agit d’une effroyable flatterie maléfique qui éteindrait définitivement, dans le cœur de l’homme, l’envie de servir le bien-commun à travers le dévouement. Les individus seraient séparés les uns des autres par la vision égoïste de leur propre désir. Le démon se pare toujours de ses plus beaux habits pour flatter ceux qui sont susceptibles de plonger dans le piège de l’orgueil.

Chers amis, il se peut que cette vision funeste du monde ne vous interpelle pas. Vous refusez certainement d’y croire, pour l’instant. Hélas, vous verrez bientôt paraître l’horreur de cette civilisation dans les prochains mois. La guerre va se répandre en vue de préparer le règne du démon. Mais, ne vous y trompez pas, son royaume est en enfer et seulement en enfer.

Maintenant, parlons de notre sujet : le retour du roi de France. Dieu ne nous abandonnera pas et anéantira le projet de l’adversaire par Sa Parole. Ainsi, chers amis, nous pouvons vous livrer aujourd’hui quelques-uns des vœux du futur roi de France.

Cet homme de sang mêlé, inconnu pour l’instant, restera dans la solitude jusqu’à ce que l’heure de Dieu soit venue. Il a conscience de sa faiblesse et de son impuissance puisque nous ne pouvons rien sans l’aide de Dieu. Soyez certain qu’il aime de tout son cœur les petits, les sans-grades, les pauvres, les malades, les enfants, les hommes de toutes origines et de toutes conditions, lui-même ayant pour ancêtres des hommes européens et berbères. Sa grande sensibilité l’oblige à cacher sa nature sous un masque anodin pour ne troubler quiconque. Il n’oserait jamais avancer d’un pas sans que Dieu ne le lui demande. Vous ne le verrez donc pas avant le temps choisi par la Divine Providence. Sa plus grande peur étant de faire preuve d’orgueil, il préférerait de loin s’en aller que de s’imposer. Ce que nous savons de lui, c’est qu’il est informaticien, né dans une famille pauvre, qu’il lui manque un morceau de barbe sur une joue et qu’il boite suite à des douleurs à la jambe.

Nous nous permettons de publier un courrier qu’il nous a fait parvenir ce jour. Il s’agit d’une lettre qui annonce ce que sera la France après la guerre lorsque Dieu aura choisi un lieutenant pour son royaume.

Nous proclamons, ce jour, le 4 décembre 2018, que le Christ-Roi règne pleinement sur le royaume de France. Nous jurons fidélité au Sacré-cœur et aux dix commandements de Dieu. Que cette Parole devienne vérité : « Tu aimerais Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

Nous reconnaissons que nous sommes tous frères et qu’il n’y a qu’un seul Dieu. Nous promettons fidélité au Christ-Roi en vue de servir ses intérêts : la brebis égarée doit pouvoir être remise dans le droit chemin et pardonnée. Cette promesse solennelle doit transformer le royaume de France en un havre de paix en prévision de l’avènement du Jugement Dernier qui aura lieu, dans le futur, à une date inconnue de l’homme.

Nous reconnaissons la pleine intégrité physique et morale des hommes et des femmes selon leur sexe respectif et garantissons leur liberté en vue de leur participation dévouée à l’intérêt général.

Nous reconnaissons que la famille est le socle de toute civilisation, de tout royaume, de toute nation en vue d’empêcher la tyrannie de s’enrichir sur l’exploitation des êtres humains.

L’épouse, la femme, donne généreusement la vie aux enfants provenant de l’union du couple. Elle est chargée, dès lors, en tant que mère, d’élever du mieux que possible sa progéniture dans le respect des bonnes mœurs et de la charité. Elle doit viser au salut de sa filiation en lui inculquant de nobles valeurs grâce à son dévouement dans le respect de sa propre personne et dans la limite de ses forces.

L’époux, l’homme, participe pleinement, en tant que père et chef de famille, à l’éducation des enfants du couple. D’un point de vue plus général, il se dévoue en vue de participer, du mieux que possible, au bien commun pour garantir la stabilité de la civilisation. Il doit fournir des efforts nécessaires pour la pérennisation du royaume.

Les enfants du royaume de France doivent être formés à la vertu catholique en vue de devenir des sujets loyaux et dévoués au règne du Christ-Roi. Les professeurs chargés de l’enseignement de ces jeunes sujets doivent faire preuve de charité et de dévouement envers leurs élèves.

Les sujets du royaume, quel que soit leur sexe, doivent participer dans la limite de leurs capacités à l’intérêt général en tirant de leur personne des qualités nécessaires au bien commun telles que la foi, l’espérance, la charité, la prudence, la tempérance, la justice et la force morale.

Nous promettons d’imiter du mieux que possible Notre-Seigneur Jésus-Christ en développant les vertus tout en luttant de toutes nos forces contre la tyrannie, la ruse, la force brute, l’avilissement et la corruption.

Nous nous entourons de douze ministres, serviteurs fidèles du Christ, dévoués au service du royaume de France en vue de servir du mieux que possible les intérêts de notre noble nation.

Nous faisons appel à tous ceux qui sont capables de faire preuve de vertus en vue de servir le royaume de France dans la limite de leurs capacités et dans le respect de leur personne.

Nous proclamons illicite l’usure qui a tant enrichi des individus peu dignes de confiance. Toute vente à crédit est prohibée. Le prix des biens doit être loyal et transparent. Les commerçants doivent vendre leurs marchandises au meilleur prix tout au long de l’année. Les soldes sont interdits pour éviter la concurrence déloyale entre les marchands.

Nous proclamons illicite toute monnaie électronique, pour favoriser le retour aux pièces et aux billets. Le royaume de France est détenteur du pouvoir bancaire. Toute monnaie doit être frappée sur notre territoire dans des établissements dédiés. Les banquiers, soumis à la digne autorité du ministre des finances, doivent prêter serment de loyauté envers le Christ-Roi en vue de servir les intérêts de Dieu et de son peuple.

Nous proclamons illicites les psychotropes chimiques qui abîment tant l’esprit humain. Les stupéfiants détruisent notre humanité en nous faisons miroiter un monde chimérique. Le bonheur artificiel est une illusion qui repousse notre engagement volontaire en vue de servir le bien commun. Nous devons apprendre à supporter le poids de nos souffrances morales afin de devenir spirituellement fort, tout comme Jésus-Christ a pleinement accepté de porter la croix dans les rues de Jérusalem. À la seule différence que le joug qu’Il nous impose est doux.

Il est nécessaire de repenser la liberté selon la charité catholique : « toutes les choses que vous voulez que les hommes vous fassent, faites-les-leur, vous aussi, de même ; car c’est là la loi et les prophètes ».

Tout fauteur de trouble sera jugé et condamné par le ministre de la Justice selon des peines plus ou moins sévères selon l’acte. Nous favorisons la réparation du mal causé à autrui afin de faire régner la Justice selon les commandements divins. La peine de mort n’est pas acceptable puisque tous les êtres humains sont égaux devant Dieu : personne d’entre nous n’est digne de donner la mort à un frère. Toutefois, les peines encourues seront connues du public pour que la honte retombe sur le fauteur de trouble. Le pardon est possible en cas de repentir sincère et véritable. Dans ce cas, la punition pourrait éventuellement être transformée en travail d’intérêt général. Les délits financiers, en lien avec l’avarice, seront sévèrement sanctionnés. L’individu qui aura favorisé son propre intérêt au détriment de ses frères devra rendre les sommes honteusement volées avant d’être mis à la disposition du public en vue de devenir le serviteur des pauvres pendant une période plus ou moins longue.

La technologie doit être maîtrisée et repensée selon l’écologie. Restreindre la production d’appareils technologiques est un impératif à cause de la surexploitation des richesses de la terre. Les serveurs qui forment l’internet doivent répondre à des normes sévères. La restriction des flux inutiles qui encombrent l’internet est un impératif en vue de réduire la pollution. Le contenu de l’internet doit être épuré de tout ce qui avilit l’homme.

Il est indispensable de redonner une place centrale aux lettres et aux arts qui permettent d’anoblir l’âme humaine. L’art est un don de Dieu. À ce titre, la beauté doit être élevée à un haut rang de dignité. Toute œuvre admirable par sa beauté, qui favorise l’amour pour Dieu, doit être encouragée et récompensée. À l’inverse, toute laideur doit être sanctionnée et prohibée afin que le mauvais exemple ne soit pas visible des hommes.

Tout acte de charité doit être encouragé par le développement des vertus au sein du royaume de France. Le vrai, le bien et le beau doivent être au cœur de notre nation. Chacun d’entre nous doit faire son possible pour améliorer le monde en participant au bien commun. Nous devons refuser absolument de servir les intérêts individuels puisque nous sommes tous frères et égaux devant Dieu. Nous devons faire cause commune en vue de l’élévation de l’humanité vers le bien qui découle de Dieu.

Chacun d’entre nous doit fournir un travail quotidien en vue de nourrir sa famille. Nous devons apprendre à partager notre nourriture et à penser aux plus pauvres en laissant à notre table une assiette vide pour celui qui aurait faim. Nous devons de nouveau faire preuve de charité en servant les pauvres comme nos maîtres puisqu’ils sont à l’image de Jésus-Christ qui a tant souffert sur terre. Nous devons nous dévouer, selon nos capacités, auprès de ceux qui en ont besoin. Nous devons également protéger nos parents dans leurs vieux jours et si possible les recueillir chez nous en vue de leur rendre la charité.

Notre travail sera certainement long et éprouvant à cause du désordre actuel qui règne dans les cœurs. Remettre de l’ordre selon la Loi et les prophètes, comme l’a dit Jésus-Christ, nous demandera une grande constance. La charité catholique est aujourd’hui totalement méconnue. L’ennemi de Dieu est parvenu à semer le doute, l’individualisme, la soif matérielle, le culte de l’ego, l’auto-flatterie et la dérision. Ce qui est sérieux et grave est méprisé au profit de l’amusement et de l’inconscience. Cette légèreté et cette raillerie perpétuelle avilit notre humanité. C’est pourquoi nous devons travailler pour que le Christ-Roi soit de nouveau à la tête du royaume de France. Un saint pape devra régner sur l’Église, Notre Mère, afin que la paix de Dieu puisse régner dans les cœurs. Nous espérons de toute notre âme donner naissance à un temps de paix après les périodes de trouble qui ont brisé notre nation.

Que Dieu veille sur vous et votre famille, restez solides dans la foi en Dieu, l’espérance en un monde meilleur et la charité catholique. Soyez bénis et protégés par le vrai Dieu.

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