2024, le temps des saints

Chers amis,

L’année 2024 sera l’année du début des grandes souffrances. Les sectaires qui ont noyauté l’ensemble des milieux spirituels et politiques applaudissent à deux mains leurs grandes œuvres de destruction du Christianisme. Ces diablotins rigolent à gorge déployée pendant que les peuples souffrent davantage au fil du temps.

Le temps est à la guerre mondiale avec la livraison de missiles de longues portées par le président de certains Français ayant eu le bulletin moribond, la loi de programmation militaire française pouvant en témoigner.

L’éducation sexuelle fait son entrée en fanfare dans les écoles, à un niveau plus large, la traite des enfants ne choque plus l’opinion publique.

La nourriture imprimée en 3D, les insectes qui remplacent la farine de blé, la limitation à 10 g de protéines par jour, tout cela ne fait pas saliver.

La fabrication de véhicules électriques qui favorisent l’esclavage des enfants à l’autre bout du monde, l’émergence lente des villes du quart d’heure marquant l’ère nouvelle du crédit social à la chinoise où les populations sont confinées dans un rayon de 5 kilomètres, la dystopie semble se rapprocher davantage chaque jour.

La dictature des médias qui chante les louanges des personnages les plus corrompus de notre époque, la corruption des esprits par le mensonge et la corruption, l’abrutissement généralisé qui plonge la foule dans un esprit de torpeur avant leur asservissement par la technologie, etc.

Nous pouvons le dire, la technologie est entre les mains de personnes sans foi ni loi. Si la technologie est un outil, elle peut être utilisée à bon ou à mauvais escient. Une pelle et de la chaux placées entre de bonnes mains peuvent donner de formidables jardins potagers tandis qu’entre de mauvaises mains, ces objets peuvent être utilisés pour assassiner des personnes. Il en est de même pour la technologie : l’internet est utilisé pour asservir les peuples, dans l’hypothèse que la nouvelle ère tyrannique puisse réduire la population mondiale afin qu’une petite poignée de milliardaires pervers et physiquement faibles puissent pleinement jouir des richesses de la planète. Ces possédés sont persuadés de leur supériorité pour miser sur l’anéantissement du commun des mortels.

Nous sommes en train de vivre ce que le grand saint Augustin a connu et affronté dans son époque. Voici ce qu’en dit dans son prologue Louis Bertrand, l’auteur qui a rédigé la vie de saint Augustin :

« Combien d’âmes délicates eurent à souffrir de cette scission, qui les détachait de leurs origines et qui les obligeait, pensaient-elles, à trahir leurs morts avec la religion des ancêtres ! Tous les froissements que les sectaires d’aujourd’hui infligent aux âmes croyantes, beaucoup durent les éprouver alors. Les sceptiques souffraient de l’intransigeance des autres. Mais le pire, – comme aujourd’hui, – ce dut être d’assister au débordement de sottises qui, sous le couvert de la philosophie, de la religion ou de la thaumaturgie, prétendaient à la conquête des esprits et des volontés. Dans cette mêlée des doctrines et des hérésies les plus extravagantes, dans cette orgie d’intellectualisme creux, ils eurent la tête solide, ceux qui surent résister à l’ivresse publique. Au milieu de tous ces gens qui divaguent, Augustin nous apparaît admirable de bon sens.

Cet intellectuel, ce mystique n’était pas seulement un homme de prière et de méditation. La raison prudente de l’homme d’action et de l’administrateur corrigeait en lui les écarts d’une subtilité dialectique souvent excessive. Comme nous nous en flattons, il avait le sens des réalités, il avait la pratique de la vie et des passions. Comparée à l’expérience d’un Bossuet, combien celle d’un Augustin était plus étendue ! Avec cela, une sensibilité frémissante, qui est encore la nôtre, la sensibilité des époques d’extrême culture, où l’abus de la pensée a multiplié les causes de souffrance, en exaspérant le besoin de la volupté : « L’âme antique était rude et vaine. » Elle était bornée surtout. Celle d’Augustin est tendre et sérieuse, avide de certitudes et de jouissances qui ne trompent poi »nt. Elle est vaste et sonore ; les moindres ébranlements s’y propagent en vibrations profondes et y rendent le son de l’infini. Augustin, avant sa conversion, a les inquiétudes de nos romantiques, les mélancolies et les tristesses sans cause, les grands élans nostalgiques qui bouleversaient nos pères. Il est très près de nous.

Il a élargi nos âmes de Latins, en nous réconciliant avec le Barbare. Le Latin, comme le Grec, ne comprenait que lui-même. Le Barbare n’avait pas le droit de s’exprimer dans la langue de l’Empire. Le monde était divisé en deux parts qui voulaient s’ignorer l’une l’autre. Augustin a fait entrer dans notre conscience les régions innomées, les pays vagues de qui plongeaient autrefois dans les ténèbres de la barbarie. Par lui s’est consommée l’union du génie sémitique et du génie occidental. Il nous a servi de truchement avec la Bible. Les rauques paroles hébraïques se sont adoucies en passant par sa bouche élégante de rhéteur. Il nous a apprivoisés avec la parole de Dieu. C’est un Latin qui nous parle de l’Éternel. »

Les ennemis de Dieu sont en train de propager les hérésies dans le monde, notamment depuis l’ère covidique, pour terroriser et amoindrir l’humanité. Soyez certains que nos ennemis vont accélérer leurs mauvaises actions pour espérer nous réduire en esclavage. Combien ils aimeraient que les foules s’entre-tuent et disparaissent sans qu’ils n’aient rien à faire. Combien ils riraient de ce spectacle terrifiant et perfide. Soyons sûrs que leurs places sont déjà réservées en enfer pour les siècles et des siècles. Combien ces gens si odieux aujourd’hui seront la risée de la communion des saints au moment du Jugement Dernier. Ces âmes damnées qui sèment le trouble dans notre époque seront châtiées par Dieu : Jésus-Christ se retournera et leur dira : « vous les injustes, les iniques, votre place est avec votre maître, je me retourne pour qu’il vous emporte dans les méandres des abysses pour l’Éternité »

Ils seront alors arrachés de la terre pour disparaître dans d’effroyables hurlements de terreur, eux qui aujourd’hui rigolent en semant le chaos, en espérant anéantir les œuvres de Notre Seigneur.

Lors du Jugement Dernier, Jésus-Christ se retournera, lèvera les bras et dira : « mais vous, les justes qui ont combattu pour préserver la flamme de mes commandements, soyez bénis et suivez-moi au Paradis ».

Chers amis, je souhaite surtout vous annoncer que lorsque les temps sont infernaux, Dieu suscite des saints. Nous verrons alors, à partir de 2024, des élans de sainteté ralentir la progression du mal. Là ou les damnés proclament la haine et la terreur, les saints donnent de l’espoir et du courage, ils illuminent le monde de la Lumière du Christ, ils font fuir de terreur les démons par la proclamation de l’Amour de Dieu et du prochain. Nous devons nous attendre à voir surgir des hommes et des femmes brandir le crucifix pour ordonner au malin de s’éloigner.

C’est dans les ténèbres les plus profondes que les âmes les plus belles surgissent pour éclairer la nuit de leur phare resplendissant. Nous sommes le sel de la terre, Jésus-Christ est avec nous et avec notre esprit. Alléluia !

Restons confiants car Dieu sauve !

Stéphane

16 juillet 2023

Lien vers le fichier PDF : https://lafrancechretienne.files.wordpress.com/2023/07/2024_le_temps_des_saints.pdf

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