La folie de l’injection forcée

La propagande médiatique discrimine les personnes qui ne souhaitent pas se faire injecter un produit dont les effets indésirables ne sont ni connus, ni révélés au grand public. La République est censée garantir la liberté, l’égalité et la fraternité. Or, il s’avère que l’incitation à la haine envers ceux qui souhaitent conserver leur santé est à son apogée. La République parjure ses textes fondateurs. Par conséquent, on peut dire qu’elle n’existe plus sous sa forme originale. La République n’était finalement qu’une forme politique transitoire qui attendait la survenue d’une dictature s’appuyant sur le progrès technologique.

La Bête qui repose sur le « Progrès indéfini » souhaite transformer les hommes en objets de consommation. Est-il normal qu’un citoyen doive se voir attribuer un « QR Code » contenant des informations confidentielles ? L’évolution logique de cette situation indique que l’homme pourrait prochainement être porteur d’une puce informatique connectée en temps réel à l’internet des objets. L’homme du futur pourrait vivre dans des villes technologiques dites « Smart City » ou encore « ville du quart d’heure ». Ce type de ville s’appelle ainsi parce qu’il est possible d’accéder à toutes sortes de commerces et d’activités en quinze minutes, que ce soit à pied ou à vélo. La « ville du quart d’heure » est la prison dorée de l’hominidé pucé. Dans une telle civilisation, l’homme ne serait plus que l’ersatz du citoyen.

La Bête est en train de détruire le Temple, le corps de l’homme, pour le transformer en simple objet de consommation. Les rites funéraires ne seraient plus qu’un lointain souvenir, puisque l’homme terminerait sa chute infernale au compost. Selon les chantres de la Bête, les rites sacrés de la religion catholique devraient être abolis. Souvenons-nous que Jésus-Christ a transformé le corps de l’homme en un Temple sacré, un lieu de sainteté qui accueille Dieu en son sein. Les satanistes souhaitent anéantir l’œuvre divine car sa perfection leur est insupportable. Ils vouent une haine sans pitié au corps humain ainsi qu’à son âme. Enflés d’orgueil, ces hommes de l’ombre pourraient s’immoler eux-mêmes avec le feu de l’enfer à cause de leur folie qui leur procure une sensation d’invulnérabilité. Le démon est plus rusé que l’homme et finit par dévorer ses propres enfants. La haine est le vecteur de souffrances éternelles. Finalement, l’enfer ce sont ceux qui haïssent l’humanité et non pas « les autres » comme l’annonçait Sartre en son temps.

Le monde s’est métamorphosé en secte et l’hypocondrie s’y répand comme une traînée de poudre. L’occident est désormais submergé par une vague technologique répressive sous couvert de pandémie. La technologie n’est plus utilisée pour assurer l’intérêt général. Désormais, celle-ci est au service de l’avarice. L’avidité des sociétés pharmaceutiques est sans limite. C’est en culpabilisant et en terrorisant qu’ils font injecter aveuglément leur produit aux terribles effets secondaires. Le point faible de l’homme contemporain est son conformisme. Le citoyen lambda accepte placidement les ordres dès lors que ceux-ci proviennent d’une source d’autorité qu’il considère fiable. Il préfère abandonner son propre jugement pour faire confiance à autrui, au point de ne plus faire preuve d’esprit critique. Est-ce que l’on prend un remède pour se soigner ou pour se rendre dans un lieu de loisir ? Si l’on répond qu’un médicament fait partie du monde du divertissement, c’est que la médecine n’existe plus et que le serment d’Hippocrate est caduc. Si l’on prend une substance pour prendre soin des autres, au détriment de soi-même, c’est que l’on a perdu la conscience de son propre corps. Une injection qui est censée protéger autrui n’est pas un remède mais un outil de piratage, une technique de manipulation sectaire. Dans la médecine traditionnelle, on choisit d’injecter une substance fiable pour protéger le patient d’une maladie et lui éviter des effets dommageables.

Si un remède avait été produit pour vaincre une maladie dont la mortalité est quantifiable, la population aurait adhéré à l’injection de celui-ci. Les gouvernements n’auraient pas eu besoin d’utiliser la force de persuasion. Au contraire, ils auraient fait en sorte de vendre les médicaments à prix d’or. Certains citoyens auraient peut-être même acceptés d’emprunter pour se faire soigner. Dès lors que l’on manipule l’opinion publique, c’est qu’il y a un intérêt stratégique supérieur. Le produit génique qui circule dans les veines peut être un réactif, un indispensable maillon de la surveillance numérique de masse. S’il n’existait pas une intention maligne, ce produit n’aurait jamais été imposé à l’ensemble de la population occidentale. Les gouvernements menacent les citoyens qui ne se sont pas fait injecter ce produit parce que ceux-ci souhaitent rester maîtres de leur corps. L’expérience de Milgram ne peut pas être appliquée à l’ensemble d’une population car il existe toujours des personnes qui échappent au conditionnement. Les médias diabolisent les personnes libres afin de les rendre comparables aux terroristes. Toutefois la réalité n’est pas aussi simple, puisque les rebelles à l’injection peuvent refuser le produit pour différents motifs, telles que des raisons religieuses, philosophiques, morales ou médicales. Par conséquent, affirmer que ces personnes font partie d’un seul et même groupe est péremptoire. Dans un monde normal, les citoyens qui refuseraient de participer à une expérience folle seraient admirés. Au contraire, dans une civilisation malade, diaboliser un groupe de personnes engendre toujours la persécution et la haine. De nos jours, les antisémites objectifs sont ceux qui poussent leurs pairs à se faire injecter une substance inconnue. Les racistes sont et restent dans la sphère politique, à l’image de ce détestable Hitler.

L’illogisme atteint son comble puisque l’immoralité a succédé à la droiture morale. Les violents ont pris le pouvoir par la ruse en noyautant les États. Autrefois, les rois dirigeaient d’une main de fer leur royaume pour rendre hommage à Dieu, préserver l’ordre public et garantir l’intérêt général. De nos jours, les gouvernements souhaitent imposer la turpitude pour instaurer le chaos et rendre un culte à l’adversaire. Juda s’est pendu, ceux qui l’adorent finissent toujours mal. Satan essaye de pervertir l’humanité par tous les moyens.

Dieu nous éprouve : serons-nous capables de rester fidèles à Ses commandements ? Veillons et prions comme les vierges sages. Les vierges folles, quant à elles, s’endormiront et ne verront pas l’époux arriver. La porte de la salle des noces finira par se refermer et il sera trop tard.

Soyez bénis.

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