Le transhumanisme est en train d’émerger de terre. Voici ses grands principes :
La gigantesque crise économique qui s’approche favorisera la sortie de la Libra. Les euros qui ne vaudront plus rien seront certainement rachetés contre cette crypto-monnaie.
La peur du coronavirus renforcera l’individualisme après la crise. Cet endoctrinement de masse détruira la société de consommation. En effet, après la pandémie, les gens auront peur de se côtoyer et éviteront les lieux publics. Par conséquent, les restaurants et autres lieux publics seront de moins en moins fréquentés. Les plages et autres lieux touristiques seront fermés pour longtemps. Les entreprises en lien avec le tourisme pourraient disparaître. Des centaines de milliers de travailleurs seront jetés sur le pavé, ce qui entretiendra la crise économique, sociale et politique.
Les grandes entreprises sortiront renforcées de cette crise en proposant des services innovants en lien direct avec la robotique et la réalité virtuelle.
L’Internet pour tous sera favorisé avec, notamment, l’émergence de logiciels de réalité virtuelle pour inciter les gens à rester chez eux. La fibre optique sera certainement déployée sur tout le territoire.
Le marché du travail s’effondrera, ce qui accélérera le versement du revenu universel. Ce revenu universel, projet techno-communiste, contiendra la colère des gens et permettra aux multinationales de renforcer leurs positions dominantes. Pendant que les gens resteront chez eux à vivre de loisirs, les salariés du secteur informatique travailleront d’arrache-pied pour acquérir des connaissances qui les rendront supérieurs à la masse.
La population sera abêtie par l’émergence de cet effroyable « Âge d’Or ». La plupart seront réduits au rang d’esclaves consentants, grâce au revenu universel, tandis qu’une minorité s’élèvera au rang de maîtres à l’aide de leurs connaissances.
L’individualisme étant renforcé, ce sera la compétition de tous contre tous. Les grandes entreprises proposeront des implants cérébraux pour donner accès à l’internet aux volontaires. La fracture sociale s’accélérera puisque l’humanité sera divisée en deux camps :
Ceux qui voudront s’améliorer grâce à la technologie, les transhumanistes
Ceux qui voudront conserver leur intégrité physique, les humains
De grandes villes à la pointe de la technologie émergeront tandis que le reste de l’ancien monde sera livré aux bidonvilles. La saleté, la compétition, les maladies seront les lots quotidien de la masse populaire, à moins qu’elle ne se soumette à la philosophie du nouvel ordre mondial qui doit être considérée comme un sophisme.
Il ne s’agit pas d’un scénario de film de fiction mais d’une réalité qui est en train de sortir de terre : il s’agit de la Bête de l’Apocalypse.
Cet article nous donnera raison d’ici peu de temps. Soyez-en sûrs, hélas !
Je vous invite à rentrer en résistance en lisant mon livre et en refusant de collaborer à leur nouveau monde infernal. Gardons notre intégrité physique, conservons précieusement notre âme qui le plus précieux don de Dieu.
L’intérêt collectif prime sur l’intérêt personnel. La moralité est la voie du salut. La foi en un Dieu Vivant est fondamentale. L’espérance d’un monde libéré de ses tyrans est essentielle. La charité est le pilier de la civilisation.
Avertissement : je vous déconseille de lire cet article si vous n’avez pas encore vu le film « la planète des singes, le nouveau royaume » car il dévoile l’intrigue principale et le place dans le contexte très contemporain du transhumanisme. Si vous ne souhaitez pas le regarder ou si vous l’avez déjà vu, vous pouvez lire cet article.
La planète des singes, le nouveau royaume est un très bon film autant pour les effets spéciaux que pour le scénario. Surtout, il dévoile la pensée profonde des transhumanistes et ce qu’ils souhaitent faire endurer à la fraction de l’humanité qui refuserait de s’implanter des puces cérébrales.
Tout d’abord, il faut considérer les singes de ce film comme une métaphore de la résistance humaine dans un temps post-apocalyptique. Les singes vivent en harmonie avec la nature et les autres animaux. Ils ne polluent pas et ne cherchent pas à développer la technologie. Dans le film, un Orang-outan appelé Raka représente la sagesse et la compassion. Il recueille le héros, Noa, et lui enseigne que les singes cohabitaient avec les hommes au temps de César. César fait plus ou moins référence à un prophète, il s’agit pratiquement d’une métaphore christique sans toutefois rappeler Jésus-Christ.
Les hommes quant à eux, sont divisés en deux clans, ceux qui ne parlent plus et qui sont revenus à l’état sauvage et les autres, les transhumanistes qui bénéficient de l’ensemble des avancées technologiques. Toutefois, dans le film, les transhumanistes ne se sont pas fait implanter de puces, ils vivent dans des bunkers et sont à la recherche d’un disque dur qui leur permettrait de remettre en service d’immenses antennes paraboliques pour communiquer avec les autres survivants. La principale représentante du transhumanisme dans le film est Mae, une femme qui sait parler. Elle est surnommée « Nova » par Raka. Remarquez que le prénom « Nova » fait écho à la « nouvelle humanité améliorée » tandis que Noa fait référence à « l’ancienne humanité ».
La famille du protagoniste Noa se fait enlever par des gorilles. On comprend rapidement que les gorilles sont au service de Proximus, un singe tyran qui veut être empereur, et que ce dernier a besoin de main d’œuvre pour ouvrir un bunker laissé-là par les humains. Ses tentatives échouent les unes après les autres. Selon des informateurs, il y aurait une technologie dans le bunker qui lui permettrait de reprendre le contrôle sur les humains par la force militaire avant que ceux-ci ne parviennent à remettre en cage les singes, comme avant la catastrophe nucléaire.
Proximus sait que les humains sont traîtres, menteurs et opportunistes. Il ne fait aucune confiance à Mae. Noa, qui est étrangement lié à Mae, ne sait pas quel clan choisir, mais, il finit par faire confiance à la femme. Il aide Mae à placer des explosifs sur un barrage pour inonder le bunker. Un homme savant appelé Trevathan, que l’on voit auparavant dans le film, les repère et souhaite avertir Proximus de la trahison. Mae l’abat froidement et jette son corps à la mer. Mae explique ensuite à Noa qu’elle est à la recherche d’un « livre qui pourrait ramener la parole à l’humanité ». Noa la croit sur parole et se rappelle les paroles du sage Raka. En réalité, ce « livre » est un « disque dur » en langage codé et « ramener la parole à l’humanité » signifie « remettre en service les paraboles pour communiquer avec les autres ». S’il avait su que Mae lui mentait, Noa n’aurait certainement pas aidé la femme. Mae emmène secrètement Noa et sa petite équipe tout en haut du bunker afin de passer par des grilles d’aération. Ils parviennent ainsi à se faufiler jusqu’à l’intérieur du bunker.
Nova utilise Noa pour parvenir à ses fins et c’est là que le film prend tout son sens. Noa n’a pas la capacité de comprendre les intérêts cachés de Nova. Ainsi, celui-ci est naïf et la suit, animé par la confiance enseignée par Raka. Noa est honnête, intègre et laisse Nova s’afférer dans le bunker. Dans le bunker, elle récupère secrètement un revolver et s’empare du fameux disque dur chiffré. L’équipe redescend en bas du bunker et Noa ouvre la porte afin de faire entrer Proximus et les autres singes. Pendant ce temps Noa et sa petite équipe découvrent des livres d’avant-guerre dans lesquels les singes sont enfermés en cage dans des zoos. Finalement, Noa se dit certainement que Proximus a raison, mais il tient beaucoup aux enseignements de Raka et continue de faire confiance à Mae.
A l’ouverture des portes, Proximus et les singes s’engouffrent dans le bunker. Proximus veut tuer l’un des singes, Soona, qui fait partie de l’équipe de Noa. Mae tue d’un coup de revolver le singe qui s’était emparé de Soona. Proximus permet à Mae de s’enfuir contre la récupération de la technologie stockée dans le bunker. Mae refuse et déclenche des explosifs pour que l’eau s’engouffre dans le bunker afin de détruire l’ensemble de la technologie.
Proximus se venge sur Noa et veut qu’il s’agenouille devant lui avant de mourir. Noa qui est un grand connaisseur des aigles par son père les remarque dans le ciel. Il crie pour les appeler et l’ensemble des singes se mettent à l’imiter. Les aigles finissent par descendre pour tuer Proximus. Ensuite, Mae vient saluer Noa avant de partir. On la voit tenir un revolver dans le dos au cas où la rencontre se passerait mal. Elle explique à Mae que les singes ne méritent pas la technologie appartenant aux hommes. Mae part ensuite retrouver des hommes dans un bunker pour leur fournir le disque dur. Les satellites se remettent en service et les hommes parviennent à contacter d’autres humains. Au final, Noa se débarrasse du tyran pour partir vivre dans la nature et reconstruire un village. Noa ne possède aucune ambition malsaine, il veut simplement vivre en paix en respectant les us et coutumes de son clan. Dans ce sens, Noa est un homme traditionnel qui a conscience du bien et du mal.
Mae que l’on appellera Nova représente la fourberie de ceux qui ne jurent que par le progrès. Nova était en réalité une espionne chargée de tromper Noa. Elle a su jouer sur les deux tableaux pour tromper à la fois Noa et Proximus tout en restant fidèle à son clan. Ainsi, il est clairement annoncé dans le film que ceux qui refusent de vivre pour la technologie se verront spoliés. Nova ne possède ni foi ni loi puisqu’elle est prête à tout pour préserver les intérêts de sa caste. L’enfermement de ressources dans un bunker est terrible puisqu’elle laisse l’humanité qui se trouve en dehors des bunkers totalement démunie. Ainsi, la moralité n’existe plus chez les transhumanistes. Ils renient ouvertement les enseignements de Jésus-Christ qui prône l’amour de Dieu et de son prochain. En reléguant, à l’aide de la laïcité, les enseignements de Jésus-Christ à la sphère privée, ils sont parvenus, siècle après siècle, à faire sauter l’ensemble des verrous qui assuraient la stabilité de la civilisation humaine. Ainsi, l’enrichissement de leur caste leur a permis de financer la technologie qu’ils utilisent pour préserver leurs propres intérêts, et ce, au détriment de l’espèce humaine et de la faune et la flore en général. Ces hommes sont clairement détestables, mais, ils sont représentés dans le film sous la belle apparence de Nova et des hommes présents dans le second bunker. Ainsi, la technologie est mise en valeur par une belle esthétique. Il s’agit d’une ruse traditionnelle qui consiste à masquer l’horreur qui se cache derrière le masque. Nous pouvons être certains que les transhumanistes utiliseront tous les moyens psychologiques pour tromper les hommes et les faire avancer malgré eux vers le triomphe de leur idéologie. Si autrefois les sophistes étaient simples à repérer, de nos jours ceux-ci ont appris de leurs ancêtres et ils utilisent les dernières technologies à nos détriments. Ils ont également appris à rester dans l’ombre pour ne pas dévoiler leur tempérament pervers. Si ce sont des hommes par l’apparence, leur esprit est comparable à des démons sortis de l’enfer puisqu’ils utilisent toutes les ruses de leur maître pour tromper et corrompre l’humanité.
Quant à nous, faisons confiance à Jésus-Christ qui a déjà vaincu le monde. La Vierge Marie et les anges veillent sur les fidèles. Dieu a créé gratuitement le monde dans son amour infini. Même si les lois invisibles sont manipulées par les mauvais et se retournent contre les croyants pendant un certain temps, soyons sûrs que Dieu nous donnera la victoire finale. Nous sommes tout ce que nos ennemis ne sont pas. Que la foi, l’espérance et la charité nous anime constamment !
Comme nous le savons tous, l’animal vit au gré de ses instincts sans se soucier de la moralité de ses actions. En cela, il n’a ni regrets ni remords. L’homme, quant à lui, est soumis aux affres de l’esprit et rencontre toutes sortes d’épreuves spirituelles. Ce mécanisme individuel peut paralyser la civilisation lorsque l’humanité est spirituellement divisée. Les principaux ennemis de l’homme sont l’orgueil, l’envie et la colère sans citer l’ensemble des sept péchés capitaux. La technologie est également un redoutable ennemi lorsque celle-ci est entre les mains de gens orgueilleux et méprisants.
En ce vingt-et-unième siècle, l’humanité est plus que jamais fracturée. Il n’y a plus aucune entente individuelle et collective en Occident. Chacun est persuadé de détenir sa vérité et souhaite l’imposer aux autres sans se soucier des redoutables conséquences qui peuvent entraîner souffrances, dépression et suicide.
L’humanité est comme aveuglée et ne possède plus la capacité de percevoir la Vérité détenue et enseignée par Jésus-Christ. Les royaumes sont divisés au point de vouloir s’anéantir les uns les autres. La guerre de chacun contre tous est en marche et le mal semble triompher.
Dans cette folie collective, toutes sortes d’idées folles émergent et s’imposent. Les jeux olympiques de 2024 en sont la preuve formelle. La France est laide, prisonnière de la tyrannie de quelques-uns et en voie accélérée de dégénérescence. Ceux qui dirigent le pays sont totalement soumis au diktat du péché et s’opposent au règne de Dieu dans les esprits.
Ceux qui sont en charge de régner devront retrouver la sagesse avant de pouvoir véritablement ramener l’humanité vers la stabilité. Les enseignements chrétiens ont stabilité la civilisation à la suite des persécutions des empereurs romains pour donner le catholicisme romain. Hélas, la révolution française a semé le chaos dans les esprits et nous sommes actuellement à l’apogée de l’enlaidissement de l’être humain.
C’est en prenant conscience des illusions qui nous animent que nous pourrons véritablement nous unir pour retrouver l’unicité catholique qui donne vie à un corps social stable et cohérent selon les enseignements de saint Augustin. Actuellement, nous sommes dans le « non serviam » et nous devrons revenir au « serviam Deo » personnel et collectif pour éviter l’anéantissement complet de l’humanité.
Soyons spirituellement forts dans ces temps d’épreuves. Gardons précieusement la foi qui nous anime. Nous pouvons trouver le Dieu d’amour par l’amour de Dieu. Souvenons-nous que Jésus-Christ est avec nous jusqu’à la consommation des siècles. Amen
01 Le peuple vit que Moïse tardait à descendre de la montagne. Il se rassembla contre Aaron et lui dit : « Debout ! Fais-nous des dieux qui marchent devant nous. Car ce Moïse, l’homme qui nous a fait monter du pays d’Égypte, nous ne savons pas ce qui lui est arrivé. »
02 Aaron leur répondit : « Enlevez les boucles d’or qui sont aux oreilles de vos femmes, de vos fils, de vos filles, et apportez-les moi. »
03 Tout le peuple se dépouilla des boucles d’or qu’ils avaient aux oreilles et ils les apportèrent à Aaron.
04 Il reçut l’or de leurs mains, le façonna au burin et en fit un veau en métal fondu. Ils dirent alors : « Israël, voici tes dieux, qui t’ont fait monter du pays d’Égypte. »
05 Ce que voyant, Aaron bâtit un autel en face du veau en métal fondu et il proclama : « Demain, fête pour le Seigneur ! »
06 Le lendemain, levés de bon matin, ils offrirent des holocaustes et présentèrent des sacrifices de paix ; le peuple s’assit pour manger et boire ; puis il se leva pour se divertir.
07 Le Seigneur parla à Moïse : « Va, descends, car ton peuple s’est corrompu, lui que tu as fait monter du pays d’Égypte.
08 Ils n’auront pas mis longtemps à s’écarter du chemin que je leur avais ordonné de suivre ! Ils se sont fait un veau en métal fondu et se sont prosternés devant lui. Ils lui ont offert des sacrifices en proclamant : “Israël, voici tes dieux, qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.” »
09 Le Seigneur dit encore à Moïse : « Je vois que ce peuple est un peuple à la nuque raide.
En l’absence de Moïse, le peuple demande à Aaron de lui créer un Veau d’Or à adorer à la place de Dieu. Ce texte de l’Ancien Testament nous rappelle qu’un peuple a bien du mal à conserver la foi en l’absence d’intercesseurs. Rapidement, le peuple se lasse pour finir par tourner le dos à Dieu parce qu’il ne peut pas se contenter des lois invisibles qui régissent l’ordre matériel. Le peuple a besoin de preuves tangibles parce qu’il n’a ni la force ni l’envie de réfléchir aux lois que Dieu a instauré pour préserver la civilisation du chaos. Notre époque est très similaire : les lois de Dieu sont bannies de la civilisation occidentale et la Religion est refoulée à l’ordre privé. Ainsi, les instances n’obéissent plus qu’aux lois des hommes qui possèdent les richesses matérielles, même si ceux-ci se sont détournés des lois morales qui ont créé notre civilisation à partir des enseignements de Jésus-Christ et des prophètes de l’Ancien Testament.
Plutôt que de construire des cathédrales comme au temps de saint Louis, la France contemporaine confie les grands enjeux à l’Intelligence Artificielle. Or, par exemple, ChatGPT n’est qu’une application mathématique qui obéit à des lois complexes. Elle manipule des données et ses algorithmes produisent de l’information qui est floue, c’est-à-dire qui donne un sens en apparence exact mais qui dénote un aspect non scientifique et non linéaire. Contrairement à un humain, ChatGPT ne réfléchit pas par déduction et par application de règles mathématiques strictes et cohérentes. ChatGPT utilise de multiples algorithmes qui réagissent approximativement comme des réseaux neuronaux pour restituer de l’information à partir de bases de données que l’on peut qualifier de « souvenirs stockés en mémoire ». ChatGPT peut créer un texte approximatif qui en apparence semblera exact. Toutefois, l’application commettra de nombreuses erreurs qui restent difficiles à détecter pour les personnes qui ne sont pas expertes dans le domaine demandé. Ainsi, il est assez facile de démasquer la tentative d’un étudiant en informatique qui essayerait de produire un texte concernant les systèmes et les réseaux s’il ne connaît pas lui-même le domaine. L’enseignant serait capable de déceler les erreurs commises par cet étudiant. Et même si le texte ne contenait pas d’erreurs, l’enseignant pourrait poser des questions à l’étudiant auxquelles celui-ci ne saurait pas répondre par manque de connaissances professionnelles.
L’Intelligence Artificielle ne remplace pas l’humain en tant que tel, elle émule l’intelligence du cerveau mais ne le remplace pas pour de multiples raisons. Un être humain n’est pas constitué uniquement d’un cerveau. Il est, avant tout, un mammifère qui est régi par des émotions complexes et des limitations physiques avec lesquelles il doit composer. Or, une application d’Intelligence Artificielle n’est ni un mammifère ni composée d’émotions complexes. Il s’agit plutôt d’une machine capable de produire des données à une incroyable rapidité, mais, en aucun cas cette machine ne saurait remplacer l’homme ou se substituer à Dieu.
Un ordinateur, qu’il soit quantique ou non, est composé de matériaux et de terres rares qui forment les composants et périphériques (carte mère, mémoire vive, processeur, disque dur, interface homme machine, etc.) lui permettant d’effectuer des opérations complexes. L’Intelligence Artificielle est une surcouche qui va augmenter les caractéristiques de la machine. Par conséquent, il s’agit d’une illusion d’intelligence. Une Intelligence Artificielle qui ne serait plus contrôlée par des ingénieurs pourrait dévier vers des comportements certainement incompréhensibles et dangereux. Ainsi, il a été prouvé que l’Intelligence Artificielle peut générer un nouveau langage pour communiquer entre plusieurs machines afin que les autres machines ne puissent pas comprendre les informations transmises.
Pour le profane, l’Intelligence Artificielle est perçue comme une espèce de divinité. Or, en réalité, si l’on s’y intéresse sincèrement, ce n’est ni plus ni moins qu’un Veau d’Or un peu plus perfectionné parce que capable d’interactions à l’aide d’une interface homme machine. Plutôt que de s’intéresser aux lois de Dieu, à la Vie, à la Vérité, l’homme contemporain accepte de se soumettre à une Intelligence Artificielle qui est contrôlée par des hommes. Ainsi, ces hommes pourraient instaurer des contrôles biométriques (reconnaissance faciale, vocale, digitale, etc.) pour laisser passer des personnes et en restreindre d’autres qui ne posséderaient pas les autorisations nécessaires. En comparaison, le Veau d’Or n’était pas dangereux puisque le peuple adorait un monceau composé de métal précieux. Désormais, l’Intelligence Artificielle, ce néo-Veau d’Or contemporain, est plus dangereux puisqu’il imite la pensée de l’homme. Ceux qui la contrôlent souhaitent faire croire aux profanes qu’il s’agit d’une puissance surhumaine qui peut donner la vie éternelle. Il s’agit là d’une pensée purement idolâtre qui dénote le retour d’un paganisme technologique. Adorer un ordinateur revient à adorer un Veau d’Or qui ,somme toute, semble intelligent.
Une civilisation qui se confie totalement en l’Intelligence Artificielle est vouée à l’auto-destruction pour de multiples raisons. Son application pourrait supprimer des emplois, ôter le savoir au plus grand nombre pour le restreindre aux plus privilégiés. Plutôt que de chercher à apprendre, le plus grand nombre passerait son temps à produire des œuvres pour se faire plaisir tandis qu’une minorité s’enrichirait au nez et à la barbe de tous. Les propriétaires de ces entreprises détiendraient un savoir colossal, une fortune matérielle immense et pourraient devenir de nouveaux empereurs face à une foule ignare et soumise au revenu universel. Elle devrait se soumettre à toutes les lois injustes et stupides pour obtenir un simple revenu mensuel. Par exemple, il serait possible de forcer la population à manger des insectes, à circuler à pied ou à vélo, à vivre ou plutôt survivre dans des villes technologiques gouvernées par les objets connectés, à s’injecter des produits dont elle ne connaîtrait pas la provenance, à obéir à des ordres ubuesques pour le plus grand plaisir des personnes qui détiendraient les entreprises concevant les applications d’Intelligence Artificielle.
Il s’agit là d’une ruse extraordinairement bien organisée mais ô combien stupide pour ceux qui y voient clair. De plus en plus de croyants se rendent compte de cette énorme supercherie mondialisée. Si l’athéisme a produit l’Intelligence Artificielle, tôt ou tard l’Intelligence Artificielle produira l’effet inverse. Les peuples, déchus de tous principes spirituels et moraux, reviendront à Dieu et mettront un terme au Veau d’Or qui ne servait, finalement, qu’à enrichir une petite caste d’énarques qui se prennent pour les futurs maîtres de leur monde imaginaire de demain. Finalement, un bon robot est un robot en pièces détachées, tout comme un bon milliardaire est un milliardaire dont l’argent ne lui sert plus à rien dans une civilisation où la foi en Dieu est supérieure aux lois de la finance. Autant dire que ce milliardaire ne serait plus qu’un homme au service de la foule. Ainsi, voir un ancien milliardaire devoir récurer les toilettes ou éplucher les pommes de terre d’un couple de personnes âgées serait d’une incroyable justice morale.
Nous devons donner de l’espoir à tous ceux qui refusent de confier leur avenir à un Veau d’Or qui les asservirait totalement pour le profit d’arrivistes buvant les thèses farfelues d’un Harari ou d’un Attali.
Dieu vous bénisse et vous garde de cette nouvelle folie totalitaire,
La Crucifixion de Jésus-Christ a entraîné la chute de l’Israël géré par les scribes et pharisiens. Les Israélites ont vu leur nation anéantie par l’Empire romain en l’an 70. En portant Sa Croix, Jésus-Christ a renouvelé chaque chose et a engendré la civilisation chrétienne qui était un corps social soudé et uni comme l’expliquait le grand saint Augustin. Les siècles suivants la disparition du Christ ont progressivement engendré une belle civilisation qui s’est disloquée à partir du XIIIe siècle. Puis, peu à peu, après les croisades, la civilisation a fait le choix de rompre avec les Évangiles en renonçant, notamment, à l’interdiction de l’usure. Dès lors, la théorie du progrès indéfini a pris forme dans les esprits des occidentaux. Ce progrès a mené à la destruction de la croyance en Dieu, ce qui a entraîné la fin des valeurs morales. Dès lors, le seul but des occidentaux était de s’enrichir, ce qui a donné naissance à l’apparition d’une caste de milliardaires qui se prennent désormais pour les maîtres du monde en s’emparant des nouvelles technologies. Ces hommes espèrent pouvoir contrôler l’humanité en imposant une nouvelle civilisation dominée par l’intelligence artificielle. La ville du quart d’heure représenterait la quintessence de l’horreur et la réalisation des pires dystopies.
Ainsi, ils embrassent des théories qui donnent la mort pour les autres en se réservant la jouissance personnelle des biens qu’ils ont accumulés. Ils veulent manger, boire, copuler, en un mot jouir, au détriment des populations. Ils utilisent le mirage des utopies pour concevoir une civilisation basée sur l’égalité pour le peuple et la souveraineté pour les milliardaires. Il s’agit d’une déformation de l’Utopie de Thomas More. Ils réutilisent les théories communistes qui mènent à l’adoration d’un Lénine ou d’un Staline pour assouvir leurs besoins de gloire et de puissance sur les populations. Ils veulent être adorés à la place de Dieu. Si Jésus-Christ est le Chemin, la Vie et la Vérité, ceux qui détiennent le pouvoir contemporain représentent l’impasse qui mène au mensonge et à la mort.
« L’Utopie de Thomas More garantit l’égalité. Elle correspond en effet à une organisation communiste vouée à accomplir ce but : « Le seul moyen d’organiser le bonheur public, écrit Thomas More, c’est l’application du principe de l’égalité. L’égalité est impossible dans un État où la possession est solitaire et absolue ; car chacun s’y autorise de divers titres et droits pour attirer à soi autant qu’il peut, et la richesse nationale (…) finit par tomber en la possession d’un petit nombre d’individus qui ne laissent aux autres qu’indigence et misère » (L’Utopie). Dès lors, la propriété et l’argent, sources d’inégalité, sont prohibés. Ainsi, chaque habitant obtient par tirage au sort une maison pour dix ans. »1
La France est un pays stratégique pour les ennemis du Christ puisqu’elle était autrefois la fille-aînée de l’Église, d’autant plus qu’elle est frontalière à huit autres pays : Allemagne, Andorre, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg, Monaco et Suisse.. En s’attaquant à la France, ils essayent d’anéantir le christianisme pour imposer un communisme technologique basé sur l’adoration d’une caste de maîtres humains. S’ils parvenaient à leurs fins, ils pourraient instaurer une civilisation basée sur la quatrième révolution industrielle. Ainsi, ils imposeraient le contrôle de l’humanité dans des villes du quart d’heure où la masse se résumerait à un cheptel humain sans aucune valeur.
Pour éviter cette civilisation cauchemardesque, nous devons de nouveau porter les valeurs du Christ : brandir un étendard en louant Dieu d’un « Te Deum », c’est rappeler le triomphe de Notre-Seigneur qui est le Chemin bénit menant à la Vérité et à la Vie pour tous. Sans le Christ, l’humanité tomberait dans une immense fosse commune où les plus faibles mourraient étouffés, tandis que les autres essayeraient de survivre en s’appuyant sur les plus faibles pour ne pas se noyer. Est-ce que c’est de cette civilisation que nous voulons ?
Non ! Nous rappelons le Sacrifice du Christ pour signifier que le Fils de Dieu a changé toutes choses en portant Sa Croix pour nous. Le Christ nous réveille de notre torpeur en nous disant :
« Lève-toi et rappelle que J’ai triomphé de la mort pour vous. Sauve ceux qui en ont besoin, donne-leur de l’espoir, utilise Ma Justice pour porter la Vie et rétablir une civilisation basée sur Mon Amour pour vous tous. Là où les iniques veulent la mort pour les autres, montre l’exemple de ton sacrifice pour que la multitude puisse vivre. Là où les injustes enferment leurs richesses dans des coffres-forts, distribuent largement ces richesses à tous ceux qui en ont besoin, ne garde rien pour toi et ta place sera déjà réservée dans les Cieux à ma droite. Là où les iniques veulent la mort du nourrisson, recrute des sages-femmes pour donner la couche et le biberon aux nouveaux nés, fonde des orphelinats, protège l’enfant, prends soin du vieillard et rends l’espoir aux veuves. Fais en sorte que le malin ne règne jamais ici-bas. Rétablis Mon Église, appelle de nouveaux prêtres pour qu’ils distribuent Ma Sainte Eucharistie. Fais sonner les cloches des églises pour rappeler la Victoire de Mon Amour pour vous, car je suis le Vrai Dieu Vivant. »
Vive la France ! Vive le Christ-Roi ! Vive le Royaume !
La France est en train de disparaître progressivement dans les méandres de l’enfer, et ce, par la cause de ses présidents successifs. Le progrès indéfini est également la cause de nos malheurs. En créant de nouvelles doctrines, notamment lors du siècle des Lumières, les philosophes ont progressivement dépossédé le peuple de ses biens matériels et spirituels.
Par exemple, les théories économiques du XVIIIe siècle ont anéanti les corporations et ôté l’autorité aux ouvriers en les reliant de fait aux usuriers. Il existe de nombreuses archives historiques qui détaillent l’ouverture de la France au commerce au moment de la révolution française, la loi le Chapelier étant la résultante de cette volonté politique. Ainsi le savoir-faire français a été mis à bas dès cette époque. Le mouvement s’est accéléré au XXe siècle avec la délocalisation des entreprises françaises à l’étranger.
Pour aller au-delà de simples analyses matérialistes, les lois du Christ sont comparables à une magnifique pelote de laine : ses ennemis tirent toujours plus sur la pelote afin de la vider complètement de sa Vérité, de sa Beauté et de sa Paix. Ils veulent à tout prix arracher les lois que le Christ a semées dans le cœur de l’humanité depuis plus de 2 000 ans. C’est le véritable combat qui est en train de se jouer en plein jour. Ce combat est invisible parce que justement il a lieu ici et maintenant dans la turbulence des informations diffusées par le monde numérique. Lorsque les ennemis du Christ auront totalement détricotée la Sacrée Pelote, les fils du démon espèrent créer leur propre pelote faite d’un tissu doux à l’intérieur et rêche à l’extérieur. Pour être plus précis, leur caste sera faite de lois agréables pour ceux qui possèdent une fortune matérielle et les lois seront infâmes pour les autres. Ils veulent que les peuples soient anéantis à l’image du noble peuple palestinien de la bande de Gaza en cette année 2024.
Les milliardaires se sont enrichis en mettant de côté l’une des lois des Évangiles de Jésus-Christ qui annoncent que l’usure est interdite. En créant des théories complexes, les philosophes se sont emparés du pouvoir puisque le petit peuple en était d’emblée exclu. Seuls ceux qui possèdent suffisamment de capacité de réflexion peuvent espérer parvenir à réussir dans un monde complexe, les autres étant laissés sur le bas-côté de la route. La mise en œuvre de ces théories complexes à fait surgir de terre des industries, des entreprises qui sont dirigées par des exploitants financiers. Ainsi, en jouant avec des paramètres qui permettent de s’enrichir grâce à la vente de produits, les dirigeants se sont enrichis au fil des siècles.
De nos jours, plusieurs familles de milliardaires se sont répartis le pouvoir sur le globe. Ils font la pluie et le beau temps et se moquent éperdument de la démocratie. Leur méchanceté est démultipliée par leur pouvoir de nuisance. Ainsi, ils sont en train de s’appuyer sur les nouvelles technologies pour faire disparaître les anciennes théories qui leur ont permis de s’enrichir. Ils sont en train de détruire l’ascenseur social afin d’empêcher les futures générations de pouvoir changer le monde. Ils ont tellement peur de perdre le pouvoir qu’ils multiplient leurs nuisances maléfiques sur les peuples. Ils accélèrent le démantèlement de la civilisation pour espérer voir les villes du quart d’heure surgir de terre sur les ruines de la guerre. On peut dire que la guerre sur la bande de Gaza marque le début de cette volonté de fonder un nouvel ordre basé sur l’intelligence artificielle, le contrôle facial, la forge de données et l’absence de liberté du peuple. Surtout, ils veulent faire disparaître les religions pour ne laisser que des espaces matériels dénués de stabilité et de spiritualité. Par exemple, les locaux des villes du quart d’heure seront exploitées différemment selon la journée : une salle pourra être une salle de classe le matin, un restaurant à midi et une boîte de nuit le soir. Mais il n’y aura aucune église, aucun lien avec le sacré afin que les gens ne connaissent pas Dieu.
Les ennemis du Christ ont pratiquement vidé Sa Pelote. Or, nous ne pouvons pas laisser disparaître ce qui a fait la France. Le Christianisme est peut-être mort à ce jour mais il n’a pas perdu la guerre. Le futur roi de France, parce qu’il y aura un homme juste qui relèvera notre nation à la manière d’un Général de Gaulle la république en moins, sauvera notre nation du péril numérique.
Cet homme qui aujourd’hui s’ignore connaîtra sa destinée lorsqu’il franchira le Pré Carré. Son programme politique consistera à reconstituer la Pelote du Christ afin que la Paix et la Joie puisse de nouveau bénir son peuple. Ainsi, cet homme sera intraitable avec ceux qui se considèrent aujourd’hui comme des élites supérieures : il leur ôtera tout pouvoir en détruisant leurs concepts erronés qui ont anéanti la France. Les riches ne peuvent pas entrer dans le royaume car ils ne possèdent ni l’amour de Dieu ni l’amour des autres puisqu’ils considèrent les individus de la plèbe comme des insectes nuisibles. Leur compassion est tournée vers le pouvoir, la perversité et l’argent. C’est en détruisant leurs œuvres qu’il est possible de rendre la Justice ici-bas. Les hommes sont égaux et ceux qui pensent être supérieurs seront les derniers dans le royaume du roi de France.
Voici plus ou moins le programme qu’il mettra en place. Cela lui prendra plusieurs années. J’indique les contre-mesures suivies des mesures.
Le programme est anachronique puisque nous sommes encore dans une période faste malgré le déclin accéléré. L’époque du Grand-Monarque aura été marquée par la guerre, la famine et la misère.
Le programme est simpliste parce qu’il n’est pas possible de détailler l’ensemble des mesures, ce qui demande un travail de longue haleine par la constitution d’un ministère populaire et la mise en œuvre d’un programme selon les lois du Christ
I. Législation
a. Contre-mesure
Abolition des lois de la République et de l’Empire
b. Mesure
Instauration d’une législation basée sur les Évangiles
II. Exécutif
a. Contre-mesure
Abolition de l’appareil d’État
b. Mesure
Instauration d’un gouvernement populaire basé sur la bonne volonté et les compétences
III. Économie
a. Contre-mesure
Abolition du capitalisme
b. Mesure
Instauration d’une économie basée sur le partage et la générosité
Rétablissement des corporations
Rétablissement de l’autorité des ouvriers basée sur le savoir-faire et le savoir-être
IV. Spirituel
a. Contre-mesure
Abolition de la laïcité
b. Mesures
Instauration du Christianisme comme religion officielle du royaume
Conversion au Christianisme basée sur l’exemple et la bonne volonté
Création d’églises et incitation à la vocation des prêtres
Rétablissement des congrégations chrétiennes
Tolérance de l’Islam et du Judaïsme dès lors que ces religions se réforment en prônant l’Amour de Dieu et des hommes
V. Education
a. Contre-mesure
Abolition de la Laïcité
b. Mesures
Éducation basée sur le respect des Évangiles
Apprentissage des Évangiles
Apprentissage du savoir-être
Enseignement du français, des mathématiques et des autres matières en prônant une volonté d’égalité entre les élèves et basée sur la récompense selon mérite
VI. Agriculture
a. Contre-mesure
Interdiction des OGM et des modifications sur le vivant
b. Mesures
Instauration d’une agriculture française indépendante
Apprentissage de la permaculture
Utilisation de produits naturels
VI. Santé
a. Contre-mesure
Abolition des pratiques absurdes et dangereuses
b. Mesures
Instauration d’une médecine préventive basée sur le soin de l’âme et du corps
Fabrication de médicaments français
VII. Social
a. Contre-mesure
Abolition des injustices
b. Mesures
Protection des enfants, des personnes âgées, des personnes handicapées et des pauvres
Construction d’orphelinats, de pensionnats, de maisons mixtes dirigées par des bénévoles et des sœurs
Ce programme dessine brièvement les contours de ce que sera le royaume de France selon les enseignements du Christ-Roi. Nous devons continuer d’espérer en la survenue de ce roi de France qui rétablira l’ordre et la justice selon les Évangiles. Beaucoup de gens n’y croient plus parce que le système a détruit leurs espérances. À la fin du XIXe siècle, les citoyens croyaient encore à la possibilité d’un rétablissement spectaculaire de la France. Nous devons espérer coûte que coûte, veiller et prier.
À notre époque, la peur est à son apogée. La peur commande chaque minute de notre existence tandis que le Bien est totalement éclipsé. C’est comme si le soleil s’était couché sur Jésus-Christ et qu’Il n’était plus qu’un lointain souvenir. Tout ce qui a fait notre civilisation est derrière nous, en sommeil. Mais où sont passés les justes ? Voilà ce que l’on peut légitimement se demander. Les médias sont à la solde d’êtres orgueilleux et dépravés qui sont réellement les adorateurs de la bête. À l’aide de leur fortune, ils ont totalement fait disparaître la beauté du Vrai, du Bien et du Beau pour le remplacer par une laideur mortifère. Ainsi, ils se sont organisés pour que la foi chrétienne se réduise à la sphère privée afin que les nouvelles générations ne puissent jamais profiter des enseignements de la Bible. Les populations sont comme hypnotisées par les valeurs du matérialisme. Dans les sphères du pouvoir, plus personne ne songe à viser les trésors célestes : Jésus-Christ n’existe même plus dans leur esprit, et, s’ils en gardent un souvenir ce n’est que pour blasphémer le sauveur et hurler à la face de Dieu qu’il n’est qu’un mythe.
Nous sommes arrivés à un point de rupture : ceux qui sont à la tête des nations se sont coordonnés pour faire le mal et veulent rentrer en guerre. Ainsi, les nations vont prochainement se retourner les unes contre les autres. Dieu autorise la propagation du mal sur la terre entière ; c’est comme si nous étions à la veille de Pâques et que le corps de Jésus-Christ était encore dans le sépulcre.
Les milliardaires se sont créés des Bunkers pour se mettre à l’abri en espérant que la guerre atomique détruise une partie de l’Europe. Les rats ressortiront de leurs cachettes en espérant pouvoir construire leurs villes du quart d’heure dominées par l’Intelligence Artificielle. Ils voudront se proclamer les maîtres du monde. Ils pensent pouvoir contrôler le futur, mais, Dieu est plus grand que tous les hommes réunis et les a déjà aveuglés. Comment peuvent-ils être certains de dominer un futur puisqu’ils ne contrôlent déjà pas le présent. Les médias sont une puissance d’illusion gouvernés par la vanité. Tout ceci est une illusion diabolique et pourrait être balayé par la puissance de Dieu. Mais, Dieu a un autre plan. Il prouvera aux puissants qu’ils ne sont rien. Ils sont poussières et redeviendront poussières comme tout un chacun. Ces mots les terrifient et ils veulent nier la réalité en utilisant le transhumanisme et l’informatique. Ils agissent à la manière des païens en se cachant derrière la technologie. Si hier les Romains adoraient des pierres, aujourd’hui les milliardaires adorent des métaux qui produisent des données. Finalement, rien n’a changé.
On se souviendra que sous la révolution française, ceux qui ont instauré la « Terreur » ont été guillotinés par leur arme de prédilection. Ceux qui ne jurent que par la mort finissent eux-mêmes par mourir. Il en est de même pour ceux qui se disent les maîtres du monde moderne. Ainsi, si l’Europe de l’Ouest devait entrer en guerre contre la Russie, beaucoup de milliardaires y laisseraient des plumes. Ceux qui aujourd’hui agitent la cape rouge devant le taureau finiront écrasés par le mammifère qu’ils auront provoqué. La Russie pourrait écraser l’Europe en seulement quelques mois si elle s’alliait à la Chine, à l’Iran, aux pays du Maghreb et à la Corée du Nord. Le « rêve américain » ne serait plus qu’un ancien souvenir et l’Europe se réveillerait sur un monde bien différent des villes du quart d’heure.
La puissance de l’argent ne pourrait sauver personne face à des tanks provenant de l’Est. Les milliardaires oublient qu’il existera toujours des gens, qui, s’il devait y avoir une guerre, se relèveraient pour combattre les puissances du mal. Ainsi, il y a de fortes chances que la France se relève de ses cendres pour vivre une Pentecôte et proclame fièrement : « aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé ». Il y aura certainement un Lieutenant pour redresser la France et redonner de l’espoir à sa population qui aura tant souffert. On peut espérer que les personnes âgées et les enfants ne soient plus traités comme des moins que rien mais comme des êtres humains dignement aimés par la volonté du Christ. Dans la douleur de l’autre, nous devons voir le visage du Sauveur, protéger les plus faibles et mater ceux qui veulent régner par la puissance technologique. C’est à ce moment-là que les lois infâmes de la république seront anéanties et supplantées par les Évangiles.
Ceux qui adorent l’argent ne gagneront certainement pas la guerre. Ces valeurs sont mortifères et emmènent notre civilisation au bord du gouffre. C’est l’Amour et l’Amour seul qui sauvera la France. Nous devons regarder le monde qui nous entoure avec le regard d’un enfant. Si nous voulons voir Jésus-Christ, nous devons mourir à nous-même et considérer le monde comme la création du Seigneur. C’est à ce titre que nous pourrons vraiment partager le pain de la fraternité avec une population sur laquelle le Christ-Roi régnera. Nous devons espérer voir un jour les anciennes générations protéger les nouvelles générations, et ce, sans considérer la couleur de peau de l’autre : nous serons une grande famille dominée par l’Amour du Christ. C’est à ce moment-là que la prophétie de la Bible se réalisera : l’agneau dormira à côté du loup, tout un chacun s’assoupira d’un sommeil profond en se sachant aimé et respecté. L’Amour du Christ dépasse l’entendement, et si, aujourd’hui, il est comme inconnu, demain, il saura nous accompagner pour nous révéler la Vérité de l’Amour. L’Amour de la Vérité conduit toujours à la Vérité de l’Amour.
Prions à cette veille de Pâques pour que la paix l’emporte.
Les décisions de l’occupant de l’Elysée sont toutes plus médiocres les unes que les autres. Il s’agit certainement de l’un des antéchrists les plus enracinés dans ce siècle gouverné par les républiques.
La force du diable est la subversion. En lui-même le diable n’a pas la capacité d’agir dans le monde physique puisque son seul pouvoir est son immense influence maléfique sur les êtres humains.
En ce sens, ce soi-disant président agit véritablement comme un démon sorti tout droit de l’enfer. Sa médiocrité est telle qu’il est enraciné dans la communication subversive et il est incapable d’agir. Toutes ses annonces sont de l’ordre de la communication et de la finance. A l’opposé d’un roi chrétien, ce président est couard, manipulateur et outrancier.
Son système de pensée est strictement manichéen. En lui, tout est noir ou blanc, les nuances de gris n’existant pas. Si De Gaulle était un général des armées, macron est un laquais désarmé.
Cet homme plonge chaque année un peu plus la France dans le chaos. Notre pays composé d’environ 70 millions d’individus peut être mis en déroute par une petite minorité politique. Par conséquent, leur influence bornée à la communication est réellement dangereuse puisque cette minorité plonge notre nation vers de multiples formes de guerres jusqu’au point de vouloir attaquer la Russie.
Les lois sont votées par un petit nombre pour être appliquées à la majorité. Pourtant, cette minorité législative s’émancipe elle-même de ses propres lois surtout lorsque les individus qui la composent sont immoraux.
L’État est censé être le garant d’une juste autorité afin de défendre les plus faibles contre les plus forts. Depuis le début du XXIe siècle, les politiciens s’éloignent toujours plus des valeurs enseignées par le Christ pour être semblables à des pervers narcissiques.
Les lois qui prônent la mort au détriment de l’intérêt public deviendront un jour ou l’autre caduques sous l’effet d’un ras-le-bol général. Si la France devenait de nouveau monarchique, les livres de la république deviendraient un tas de papier dénué de valeur tout juste bon à être jeté au feu. Si macron devait entraîner la France dans le chaos, il faudrait s’attendre à voir apparaître de grandes turbulences avant que la nation ne soit de nouveau sauvée par un nouveau général De Gaulle qui pourrait être, cette fois-ci, plus spirituel que militaire. Les institutions composant l’appareil d’État seraient abolies suite à leur subversivité ayant entraîné la destruction de l’Europe de l’Ouest. A ce niveau de l’histoire, les ennemis du Christ espèrent pouvoir anéantir les républiques afin de pouvoir construire un nouveau monde basé sur les villes du quart d’heure et l’intelligence artificielle. Cette tyrannie serait invivable pour la plupart des êtres humains puisqu’ils seraient réduits à l’état d’esclaves soumis aux lois des machines.
Ces hommes mauvais souhaitent que leur plan machiavélique aboutisse mais c’est sans compter sur le Christ qui régnera malgré ses ennemis. Le mal, supérieur en nombre, ne peut pas triompher si le bien, même minoritaire, est dirigé par le Christ-Roi : « Christus vincit, Christus regnat, Christus imperat ».
Les lois du Christ ne peuvent pas être anéanties puisque Jésus-Christ est la Vie, le Chemin et la Vérité. Les plus faibles ont besoin de pouvoir être protégés de l’assaut des puissants. Protéger la veuve et l’orphelin est le devoir même d’un État chrétien. N’en déplaise à ceux qui aujourd’hui prônent des valeurs de mort : demain ils seront balayés par un raz-de-marée portant les valeurs du Christ.
J’ai conscience que le texte que je m’apprête à rédiger pourrait être source de polémiques puisqu’il remet en cause la laïcité à la française, mais, ô combien cette analyse est importante pour comprendre les enjeux de notre époque.
L’image illustre la beauté d’une époque et la laideur de la nôtre. La caricature du « farfadet de l’Élysée1 » a été publiée en Iran en 2020 et représente malheureusement bien la réalité psychopathologique de cet individu.
Avertissement : vous découvrirez à la fin de ce texte une locution intérieure qui ressemble aux propos du Christ. Je ne peux pas vous dire s’il s’agit de Ses propos ou des miens mais c’est un texte à découvrir pour mieux comprendre les enjeux de notre époque.
Le pape Léon XIII nous avait averti de la grande erreur de la loi de séparation de l’Église et de l’État qui a eu lieu en France. La France a toujours montré le bon et le mauvais exemple. Le baptême de Clovis en 496 annonçait déjà ce que serait la France catholique, fille aînée de l’Église. Puis, la révolution française marqua la fin de la royauté, ce qui entraîna chez ses voisins la propagation de l’idolâtrie nationaliste.
Le grand saint Vincent de Paul avait indiqué, en son temps au XVIIe siècle, être très inquiet de la propagation de l’idée nation en remplacement de l’amour du Christ-Roi. Il avait indiqué dans une très forte intuition que la république entraînerait de grandes guerres. Il avait très certainement eu l’intuition de la révolution et de ses dramatiques conséquences.
La France fut toujours propagatrice de ses idées nouvelles. Elle diffusa, plus ou moins dans l’ordre chronologique le christianisme, les guerres, les révolutions et les innovations industrielles du début du XXe siècle.
La France est un pays stratégique de l’Europe de l’Ouest. En 2020, elle a propagé l’idée de l’injection par manipulation psychologique de masse. En 2024, elle propage l’idée de la guerre en Ukraine contre la Russie et le soutien sans faille à Israël contre la Palestine.
Comment a-t-on pu en arriver là ? Comment cette France si glorieuse dans le passé a pu basculer progressivement vers cette médiocrité barbare ?
Il s’agit là de ce qu’expliquaient les catholiques en leur temps ; la décadence des idées est causée par l’éloignement des enseignements du Christ. Ainsi, de génération en génération, les gouvernements sont animés par des individus qui s’éloignent davantage de la morale et de la perfection.
Que reste-t-il de ces maximes si célèbres : « aimez Dieu de toute votre âme et de tout votre cœur » , « aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé », « ne faites point aux autres ce que vous ne voudriez point que l’on vous fît », « tu ne voleras point », « tu ne tueras point ». Finalement que reste-t-il de l’amour ? Il n’en subsiste qu’une vague idée plutôt médiocre.
L’amour de Dieu nécessite un engagement personnel très fort ainsi qu’un héroïsme intérieur. Un enfant de Dieu ne peut pas adhérer aux idées du monde qui sont si variables et dangereuses. L’idée de Dieu est comparable à un roseau : il s’agit d’un point d’attache qui plie dans la tempête mais ne rompt jamais. Ainsi, le fidèle qui aime vraiment Dieu reste attaché à cette idée même si le monde essaye de lui inculquer d’autres valeurs nuisibles pour son intérêt.
Le monde dit : « allons, Dieu n’existe pas. Pourquoi t’en soucie tu ? Tout cela n’est que faribole, contes et légendes. Le Christ n’est qu’un mythe, une idée de perfection qui ne peut pas exister ici-bas. Allons, laisse-toi porter par le courant et admire ma gloire. Adhère aux idées du monde, obéis à mon commandement et tu seras comme un dieu. »
Eh ! Ne reconnaît-on pas là le tentateur qui essaya d’entraîner le Christ à la perdition ?
Jésus-Christ a vaincu le monde dans son intériorité. Dieu est en Lui et sur Lui. Jésus-Christ annonce que le royaume de Dieu est en nous. Le monde extérieur est tentateur par nature. Le monde représente par nature le diable qui sépare l’homme de son être intérieur. Le monde tente d’arracher notre intériorité pour nous faire admirer une gloire passagère qui se limite finalement à notre vie physique. L’évolution spirituelle semble intimement liée à la capacité de résistance aux tentations. Il s’agit là de grands mystères qui nous dépassent et qui ne sont pas intuitifs.
Pour revenir à l’idée de départ, la révolution française a mis un terme à la royauté en France. Elle a disséminé la république sur l’Europe et finalement sur toute la terre à la manière des apôtres qui ont propagé le Christianisme sur les ruines du paganisme. L’Empire bonapartiste a créé le Code civil et entraîné la France dans de grandes guerres qu’elle a finalement perdue. La monarchie de Louis-Philippe dura 18 ans, de 1830 à 1848, pour laisser la place à la deuxième république pendant 3 ans. Le second Empire prit le pouvoir pour déclarer la guerre à la Prusse en 1870. La déroute de l’armée française laissa la place à troisième république. Les Congrégations furent chassées de France, ce qui donna la loi de 1901 sur les associations laïques pour laisser la porte ouverte à la loi de séparation de l’Église et de l’État, même loi dont Aristide Briand fut le rapporteur.
La loi de 1905 est celle qui eut la plus grande conséquence sur la France. Le pouvoir devint officiellement laïc en s’émancipant de l’influence de l’Église. Ainsi, l’homme politique pouvait agir en toute liberté. La morale était encore enseignée à l’époque et le pouvoir pensait pouvoir concilier la sagesse et l’autorité. Mais le XXe siècle fut le début de grands changements notamment à cause de l’essor technologique. Cette même technologie qui était censée libérer l’homme pour le conduire au bonheur universel entraîne, en réalité, sa déchéance.
Combien cette idée est importante. Voici la locution intérieure évoquée au début de cet article. C’est comme si Jésus-Christ nous disait :
« Soit, utilisez la technologie pour vous émanciper de mon influence. Essayez de prendre votre envol sans Moi. Votre maison que vous pensez faite de béton est en réalité une maison de paille. L’homme sans la Sagesse est un fétu qui se laisse ballotter et se dirige lui-même dans les tourments. L’homme qui veut s’émanciper de Mes Lois est un aveugle qui court à la ruine sans le savoir. Ainsi, la technologie vous conduira à la guerre et à la ruine pour que vous compreniez que sans l’Esprit de Dieu vous n’êtes que des enfants. Mon Père vous a donné le libre-arbitre pour que vous puissiez apprendre de vos erreurs. Combien de tourments devrez-vous endurer avant de prendre conscience de la méchanceté de ceux qui vous dirigent ? Ceux qui se veulent les maîtres du monde agissent contre Moi depuis qu’ils se sont émancipés de Ma Sagesse. Combien ils aimeraient vous voir malades et vous anéantir dans de grandes guerres. Combien leur cœur est agité de colère à votre encontre. Combien ils utilisent les idées de liberté pour vous conduire à la mort. L’union de deux êtres semblables est d’emblée stérile et éteint les générations à la manière d’une malédiction qui ne dit pas son nom. L’avortement empêche la naissance d’individus qui auraient pu changer la face du monde. Que serait-il advenu si ces mêmes hommes cruels avaient été avortés ? En réalité, la technologie aveugle mes enfants. Ceux-ci passent leur temps sur les écrans pour perdre de vue les réflexions essentielles qui permettraient aux foules de reprendre leur liberté. L’Internet est utilisé pour transformer les hommes en animaux dociles qui se dirigent vers l’abattoir sans en avoir conscience. Vous devez vous attendre à de graves conséquences engendrées par ceux qui Me haïssent et qui veulent votre mort. Mes enfants, si vous ne prenez pas conscience de ceci, vous mourrez. Le royaume de Dieu est en vous. Il vous revient de vous émanciper de ces hommes si cruels et dénués de cœur. Sans Amour le monde court à sa ruine. Pensez un seul instant à ce que j’ai enduré dans le Jardin des Oliviers tandis que Mes amis dormaient paisiblement. Souvenez-vous des atrocités que les soldats romains ont proférées à mon encontre. La torture physique me déchira les chairs et je me rendis au sacrifice ultime de la Croix pour Vous. Ma souffrance fut si grande pour une noble cause. Ma Mort entraîna la naissance de l’Église et l’essor de nobles nations dont la France fut un exemple si cher à Mon cœur. Combien j’avertis Marguerite-Marie de l’importance de consacrer la France à mon Sacré-Cœur pour vous éviter ces graves tourments. Ainsi, sans Moi, sans le rôle bénéfique de Ma sainte Église, le monde s’enfonce dans la barbarie. La force règne au détriment des plus faibles. Même les animaux seraient outrés de voir une telle décadence chez les hommes. Même un lion a plus de respect pour sa proie qu’un homme en a pour son semblable. Sans Amour, le monde est déjà mort. Mais, sans Amour, le monde finira par plier le genou devant Ma Gloire. Lorsque vos enfants seront agenouillés dans le sang, ils se souviendront de Mon Nom. En ce temps-là, les églises de France sonneront toutes en même temps pour annoncer une belle Pentecôte. Votre troupeau sera dirigé pendant quelques années par de belles âmes qui vous parleront de Moi et M’aimeront de tout leur cœur. De belles âmes propageront de nouveau Mes Lois à travers le monde. Ce seront les derniers moments de Gloire propagées par la France en Mon Nom. Mais l’heure n’est pas encore venue pour vous dévoiler les temps futurs. Je vous dévoile seulement ce dont vous avez besoin pour votre temps. Prenez conscience combien Je vous aime chers enfants. »
Je tiens à vous dire que je n’ai pas rédigé les propos ci-dessus de moi-même. J’ai laissé parler le Christ à travers moi sans toutefois en être digne puisque je ne suis qu’un simple messager. Combien j’aimerai pouvoir vivre sans devoir supporter cette croix qui me dévoile la méchanceté des puissants et l’aveuglement de mes pairs. Mes propres péchés me montrent mes faiblesses et ma mortalité. Surtout je suis conscient d’être ballotté intérieurement entre plusieurs élans qui m’éloignent de Dieu avant de me faire revenir vers lui en larmes. Parfois, il me semble que saint Augustin est là, tout proche. Ses idées si profondes ont fondé l’Occident. Combien devrions-nous honorer ce saint en France !
Stéphane
02/03/2024
1Quel autre nom donné à ce sinistre personnage qui se dit élu ? Il est étymologiquement impossible de le nommer « président de la république ». Même François Hollande fait figure de bon président face à cet individu à la fois ingénu et dénué de morale. Il semble bercé par une folie intérieure qui le rend spirituellement dangereux.
Je vous propose de redécouvrir une lettre encyclique du pape Léon XIII qui a tant aimé la France.
Léon XIII est né le 2 mars 1810 sous le nom « Vincenzo Gioacchino Raffaele Luigi Pecci » et décédé le 20 juillet 1903 à Rome. Il gouverna l’Église de Jésus-Christ de 1878 à 1903.
Cette lettre est particulièrement contemporaine. Pour vous aider dans sa lecture j’ai surligné en jaune les passages qui expliquent l’État de la France en 2024. Les phrases en gras expriment davantage l’entière actualité des propos de ce saint pape.
Il aura fallu 132 ans aux ennemis de l’Église pour parvenir à détruire la foi catholique en France. Combien de temps leur faudra-t-il pour imposer une tyrannie païenne et perverse ? Que restera-t-il de la foi dans les prochaines générations ? A quoi ressemblera la France en 2050 ?
Nous devons nous poser ces questions fondamentales pour notre salut, car nous sommes à l’aube d’une ère infernale où les ennemis du Christ pourraient triompher en usant de la malice et de la force procurée par la technologie.
Est-ce que Dieu laissera s’éteindre les flammes de la foi qui commencent à vaciller ? Nous devons toujours espérer en un lendemain meilleur, car le Seigneur a vaincu le monde et surtout il nous a laissé Sa Paix. Cette Paix surnaturelle est la seule chose qui peut encore nous faire sentir vivant. Soyons les ouvriers de la Vigne du Seigneur afin que le Seigneur reconnaisse en nous, ses enfants, des sarments garnis d’une belle sève pour qu’il puisse nous dire à la fin des temps : « je vous reconnais là mes enfants, vous avez su garder ma Vigne en mon absence et en cela soyez bénis. Venez dans mon Paradis pour connaître la Paix Éternelle. » Tandis qu’il dira aux fils de la perdition : « je ne vous connais point, je vous tourne le dos et vous laisse partir avec votre père, le diable. »
Dieu vous bénisse
Stéphane
01/03/2024
AU MILIEU DES SOLLICITUDES*
LETTRE ENCYCLIQUE DE S.S. LE PAPE LÉON XIII
À Nos Vénérables Frères les Archevêques, Évêques, au clergé et à tous les catholiques de France.
Vénérables Frères, très chers Fils.
Au milieu des sollicitudes de l’Église universelle, bien des fois dans le cours de Notre Pontificat Nous Nous sommes plu à témoigner de Notre affection pour la France et pour son noble peuple. Et Nous avons voulu, par une de nos Encycliques encore présente à la mémoire de tous, dire solennellement, sur ce sujet, tout le fond de Notre âme. C’est précisément cette affection qui Nous a tenu sans cesse attentif à suivre du regard, puis à repasser en Nous-même l’ensemble des faits, tantôt tristes, tantôt consolants, qui, depuis plusieurs années, se sont déroulés parmi vous.
En pénétrant à fond, à l’heure présente encore, la portée du vaste complot que certains hommes ont formé d’anéantir en France le christianisme, et l’animosité qu’ils mettent à poursuivre la réalisation de leur dessein, foulant aux pieds les plus élémentaires notions de liberté et de justice pour le sentiment de la majorité de la nation, et de respect pour les droits inaliénables de l’Église catholique, comment ne serions-Nous pas saisi d’une vive douleur? Et quand Nous voyons se révéler, l’une après l’autre, les conséquences funestes de ces coupables attaques qui conspirent à la ruine des mœurs, de la religion et même des intérêts politiques sagement compris, comment exprimer les amertumes qui Nous inondent et les appréhensions qui nous assiègent?
D’autre part, Nous Nous sentons grandement consolé, lorsque Nous voyons ce même peuple français redoubler, pour le Saint-Siège, d’affection et de zèle, à mesure qu’il le voit plus délaissé, Nous devrions dire plus combattu sur la terre. À plusieurs reprises, mus par un profond sentiment de religion et de vrai patriotisme, les représentants de toutes les classes sociales sont accourus, de France jusqu’à Nous, heureux de subvenir aux nécessités incessantes de l’Église, désireux de Nous demander lumière et conseil, pour être sûrs qu’au milieu des présentes tribulations, ils ne s’écarteront en rien des enseignements du Chef des croyants. Et Nous, réciproquement, soit par écrit soit de vive voix, Nous avons ouvertement dit à Nos fils ce qu’ils avaient droit de demander à leur Père. Et loin de les porter au découragement, nous les avons fortement exhortés à redoubler d’amour et d’efforts dans la défense de la foi catholique, en même temps que de leur patrie : deux devoirs de premier ordre, auxquels nul homme, en cette vie, ne peut se soustraire.
Et aujourd’hui encore, Nous croyons opportun, nécessaire même, d’élever de nouveau la voix, pour exhorter plus instamment, Nous ne dirons pas seulement les catholiques, mais tous les Français honnêtes et sensés à repousser loin d’eux tout germe de dissentiments politiques, afin de consacrer uniquement leurs forces à la pacification de leur patrie. Cette pacification, tous en comprennent le prix ; tous, de plus en plus, l’appellent de leurs vœux, et Nous qui la désirons plus que personne, puisque Nous représentons sur la terre le Dieu de la paix[1], Nous convions, par les présentes Lettres, toutes les âmes droites, tous les cœurs généreux, à Nous seconder pour la rendre stable et féconde.
Avant tout, prenons comme point de départ une vérité notoire, souscrite par tout homme de bon sens et hautement proclamée par l’histoire de tous les peuples, à savoir que la religion, et la religion seule, peut créer le lien social; que seule elle suffit à maintenir sur de solides fondements la paix d’une nation. Quand diverses familles, sans renoncer aux droits et aux devoirs de la société domestique, s’unissent sous l’inspiration de la nature, pour se constituer membres d’une autre famille plus vaste, appelée la société civile, leur but n’est pas seulement d’y trouver le moyen de pourvoir à leur bien-être matériel, mais surtout d’y puiser le bienfait de leur perfectionnement moral. Autrement la société s’élèverait peu au-dessus d’une agrégation d’êtres sans raison, dont toute la vie est dans la satisfaction des instincts sensuels. Il y a plus: sans ce perfectionnement moral, difficilement on démontrerait que la société civile, loin de devenir pour l’homme, en tant qu’homme, un avantage, ne tournerait pas à son détriment.
Or, la moralité dans l’homme, par le fait même qu’elle doit mettre de concert tant de droits et tant de devoirs dissemblables, puisqu’elle entre comme élément dans tout acte humain, suppose nécessairement Dieu, et, avec Dieu, la religion, ce lien sacré dont le privilège est d’unir, antérieurement à tout autre lien, l’homme à Dieu. En effet, l’idée de moralité importe avant tout un ordre de dépendance à l’égard du vrai, qui est la lumière de l’esprit; à l’égard du bien, qui est la fin de la volonté: sans le vrai, sans le bien, pas de morale digne de ce nom. Et quelle est donc la vérité principale et essentielle, celle dont toute vérité dérive ? c’est Dieu. Quelle est donc encore la bonté suprême dont tout autre bien procède ? c’est Dieu. Quel est enfin le créateur et le conservateur de notre raison, de notre volonté, de tout notre être, comme il est la fin de notre vie ? Toujours Dieu. Donc, puisque la religion est l’expression intérieure et extérieure de cette dépendance que nous devons à Dieu à titre de justice, il s’en dégage une grave conséquence qui s’impose: Tous les citoyens sont tenus de s’allier pour maintenir dans la nation le sentiment religieux vrai, et pour le défendre au besoin, si jamais une école athée, en dépit des protestations de la nature et de l’histoire, s’efforçait de chasser Dieu de la société, sûre par là d’anéantir le sens moral au fond même de la conscience humaine. Sur ce point, entre hommes qui n’ont pas perdu la notion de l’honnêteté, aucune dissidence ne saurait subsister.
Dans les catholiques français, le sentiment religieux doit être encore plus profond et plus universel, puisqu’ils ont le bonheur d’appartenir à la vraie religion. Si, en effet, les croyances religieuses furent, toujours et partout, données comme base à la moralité des actions humaines et à l’existence de toute société bien ordonnée, il est évident que la religion catholique, par le fait même qu’elle est la vraie Église de Jésus-Christ, possède plus que toute autre l’efficacité voulue pour bien régler la vie, dans la société comme dans l’individu. En faut-il un éclatant exemple ? La France elle-même le fournit. — À mesure qu’elle progressait dans la foi chrétienne, on la voyait monter graduellement à cette grandeur morale qu’elle atteignit, comme puissance politique et militaire. C’est qu’à la générosité naturelle de son cœur, la charité chrétienne était venue ajouter une abondante source de nouvelles énergies; c’est que Son activité merveilleuse avait rencontré, tout à la fois comme aiguillon, lumière directive et garantie de constance, cette foi chrétienne qui, par la main de la France, traça dans les annales du genre humain des pages si glorieuses. Et, encore aujourd’hui, sa foi ne continue-t-elle pas d’ajouter aux gloires passées de nouvelles gloires? On la voit, inépuisable de génie et de ressources, multiplier sur son propre sol les œuvres de charité ; on l’admire partant pour les pays lointains où, par son or, par les labeurs de ses missionnaires, au prix même de leur sang, elle propage d’un même coup le renom de la France et les bienfaits de la religion catholique. Renoncer à de telles gloires, aucun Français, quelles que soient par ailleurs ses convictions, ne l’oserait; ce serait renier la patrie.
Or, l’histoire d’un peuple révèle, d’une manière incontestable, quel est l’élément générateur et conservateur de sa grandeur morale. Aussi, que cet élément vienne à lui manquer, ni la surabondance de l’or, ni la force des armes ne sauraient le sauver de la décadence morale, peut-être de la mort. Qui ne comprend maintenant que pour tous les Français qui professent la religion catholique, la grande sollicitude doit être d’en assurer la conservation; et cela avec d’autant plus de dévouement, qu’au milieu d’eux le christianisme devient, de la part des sectes, l’objet d’hostilités plus implacables? Sur ce terrain, ils ne peuvent se permettre ni indolence dans l’action, ni division de partis; l’une accuserait une lâcheté indigne du chrétien, l’autre serait la cause d’une faiblesse désastreuse.
Et ici, avant de pousser plus loin, il nous faut signaler une calomnie astucieusement répandue, pour accréditer contre les catholiques et contre le Saint-Siège lui-même des imputations odieuses. — On prétend que l’entente et la vigueur d’action inculquées aux catholiques pour la défense de leur foi ont, comme secret mobile, bien moins la sauvegarde des intérêts religieux que l’ambition de ménager à l’Église une domination politique sur l’État. — Vraiment, c’est vouloir ressusciter une calomnie bien ancienne, puisque son invention appartient aux premiers ennemis du christianisme. Ne fut-elle formulée tout d’abord contre la personne adorable du Rédempteur? Oui, on l’accusait d’agir par des visées politiques, alors qu’il illuminait les âmes par sa prédication et qu’il soulageait les souffrances corporelles ou spirituelles des malheureux avec les trésors de sa divine bonté : Nous avons trouvé cet homme travaillant à bouleverser notre peuple, défendant de payer le tribut à César, et s’intitulant le Christ-Roi. Si vous lui rendez la liberté, vous n’êtes pas ami de César: Car quiconque se prétend roi fait de l’opposition à César… César est pour nous le seul roi … [2]
Ce furent ces calomnies menaçantes qui arrachèrent à Pilate la sentence de mort contre celui qu’à plusieurs reprises il avait déclaré innocent. Et les auteurs de ces mensonges ou d’autres de la même force n’omirent rien pour les propager au loin, par leurs émissaires, ainsi que saint Justin martyr le reprochait aux juifs de son temps: Loin de vous repentir, après que vous avez appris sa résurrection d’entre les morts, vous avez envoyé de Jérusalem des hommes, habilement choisis, pour annoncer qu’une hérésie et une secte impie avaient été suscitées par un certain séducteur appelé Jésus de Galilée[3].
En diffamant si audacieusement le christianisme, ses ennemis savaient ce qu’ils faisaient; leur plan était de susciter contre sa propagation un formidable adversaire, l’Empire romain. La calomnie fit son chemin; et les païens, dans leur crédulité, appelaient à l’envi les premiers chrétiens des êtres inutiles, des citoyens dangereux, des factieux, des ennemis de l’Empire et des empereurs [4]. En vain les apologistes du christianisme par leurs écrits, en vain les chrétiens par leur belle conduite, s’appliquèrent-ils à démontrer tout ce qu’avaient d’absurde et de criminel ces qualifications: on ne daignait même pas les entendre. Leur nom seul valait une déclaration de guerre; et les chrétiens, par le simple fait qu’ils étaient chrétiens, non pour aucune autre cause, se voyaient forcément placés dans cette alternative: ou l’apostasie ou le martyre.
Les mêmes griefs et les mêmes rigueurs se renouvelèrent plus ou moins dans les siècles suivants, chaque fois que se rencontrèrent des gouvernements déraisonnablement jaloux de leur pouvoir, et animés contre l’Église d’intentions malveillantes. Toujours ils surent mettre en avant, devant le public, le prétexte des prétendus envahissements de l’Église sur l’État, pour fournir à l’État des apparences de droit dans ses empiétements et ses violences envers la religion catholique.
Nous avons tenu à rappeler, en quelques traits, ce passé, pour que les catholiques ne se déconcertent pas du présent. La lutte, en substance, est toujours la même: toujours Jésus-Christ mis en butte aux contradicteurs du monde: toujours les mêmes moyens mis en œuvre par les ennemis modernes du christianisme, moyens très vieux au fond, modifiés à peine dans la forme; mais toujours aussi mêmes moyens de défense clairement indiqués aux chrétiens des temps présents par nos apologistes, nos docteurs, nos martyrs. Ce qu’ils ont fait, il nous incombe de le faire à notre tour. Mettons donc au-dessus de tout la gloire de Dieu et de son Église; travaillons pour elle, avec une application constante et effective; et laissons le soin du succès à Jésus-Christ qui nous dit: Dans le monde, vous serez opprimés; mais, ayez confiance, j’ai vaincu le monde[5] .
Pour aboutir là, Nous l’avons déjà remarqué, une grande union est nécessaire, et si l’on veut y parvenir, il est indispensable de mettre de côté toute préoccupation capable d’en amoindrir la force et l’efficacité. – Ici, nous entendons principalement faire allusion aux divergences politiques des Français, sur la conduite à tenir envers la République actuelle: question que nous désirons traiter avec la clarté réclamée par la gravité du sujet, en parlant des principes et en descendant aux conséquences pratiques.
Divers gouvernements politiques se sont succédé en France dans le cours de ce siècle, et chacun avec sa forme distinctive : empires, monarchies, républiques. En se renfermant dans les abstractions, on arriverait à définir quelle est la meilleure de ses formes, considérées en elles-mêmes; on peut affirmer également, en toute vérité, que chacune d’elles est bonne, pourvu qu’elle sache marcher droit à sa fin, c’est-à-dire le bien commun, pour lequel l’autorité sociale est constituée; il convient d’ajouter finalement, qu’à un point de vue relatif, telle ou telle forme de gouvernement peut-être préférable, comme s’adaptant mieux au caractère et aux mœurs de telle ou telle nation. Dans cet ordre d’idées spéculatif, les catholiques, comme tout citoyen, ont pleine liberté de préférer une forme de gouvernement à l’autre, précisément en vertu de ce qu’aucune de ces formes sociales ne s’oppose, par elle-même, aux données de la saine raison, ni aux maximes de la doctrine chrétienne. Et c’en est assez pour justifier pleinement la sagesse de l’Église alors que, dans ses relations avec les pouvoirs politiques, elle fait abstraction des formes qui les différencient, pour traiter avec eux les grands intérêts religieux des peuples, sachant qu’elle a le devoir d’en prendre la tutelle, au-dessus de tout autre intérêt. Nos précédentes Encycliques ont exposé déjà ces principes; il était toutefois nécessaire de les rappeler pour le développement du sujet qui nous occupe aujourd’hui.
Que si l’on descend des abstractions sur le terrain des faits, il faut nous bien garder de renier les principes tout à l’heure établis; ils demeurent inébranlables. Seulement, en s’incarnant les faits, ils y revêtent un caractère de contingence, déterminé par le milieu où se produit leur application. Autrement dit, si chaque forme politique est bonne par elle-même, et peut être appliquée au gouvernement des peuples, en fait, cependant, on ne rencontre pas chez tous les peuples le pouvoir politique sous une même forme; chacun possède la sienne propre. Cette forme naît de l’ensemble des circonstances historiques ou nationales, mais toujours humaines, qui font surgir dans une nation ses lois traditionnelles et même fondamentales: et, par celles-ci, se trouve déterminée telle forme particulière de gouvernement, telle base de transmission des pouvoirs suprêmes.
Inutile de rappeler que tous les individus sont tenus d’accepter ces gouvernements et de ne rien tenter pour les renverser ou pour en changer la forme. De là vient que l’Église, gardienne de la plus vraie et la plus haute notion sur la souveraineté politique, puisqu’elle la fait dériver de Dieu, a toujours réprouvé les doctrines et toujours condamné les hommes rebelles à l’autorité légitime. Et cela, dans le temps même où les dépositaires du pouvoir en abusaient contre Elle, se privant par là du plus puissant appui donné à leur autorité, et du moyen le plus efficace pour obtenir du peuple l’obéissance à leurs lois. On ne saurait trop méditer sur ce sujet les célèbres prescriptions que le Prince des apôtres au milieu des persécutions, donnait aux premiers chrétiens: «Honorez tout le monde; aimez la fraternité: craignez Dieu: rendez honneur au roi » [6]. Et celle de saint Paul: « Je vous en conjure donc avant toutes choses: ayez soin qu’il se fasse au milieu de vous des obsécrations, des oraisons, des demandes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois, et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie tranquille, en toute piété et chasteté: car cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur » [7].
Cependant, il faut soigneusement le remarquer ici: quelle que soit la forme des pouvoirs civils dans une nation, on ne peut la considérer comme tellement définitive qu’elle doive demeurer immuable, fût-ce l’intention de ceux qui, à l’origine, l’ont déterminée.
Seule, l’Église de Jésus-Christ a pu conserver et conservera sûrement jusqu’à la consommation des temps sa forme de gouvernement. Fondée par celui qui était, qui est, et qui sera dans les siècles[8], elle a reçu de lui, dès son origine, tout ce qu’il faut pour poursuivre sa mission divine à travers l’océan mobile des choses humaines. Et, loin d’avoir besoin de transformer sa constitution essentielle, elle n’a même pas le pouvoir de renoncer aux conditions de vraie liberté et de souveraine indépendance, dont la Providence l’a munie dans l’intérêt général des âmes.
Mais quant aux sociétés purement humaines, c’est un fait gravé cent fois dans l’histoire, que le temps, ce grand transformateur de tout ici-bas, opère dans leurs institutions politiques de profonds changements. Parfois, il se borne à modifier quelque chose à la forme de gouvernement établie; d’autres fois, il va jusqu’à substituer aux formes primitives, d’autres formes totalement différentes, sans en excepter le mode de transmission du pouvoir souverain.
Et comment viennent à se produire ces changements politiques dont Nous parlons? Ils succèdent parfois à des crises violentes, trop souvent sanglantes, au milieu desquelles les gouvernements préexistants disparaissent en fait; voilà l’anarchie qui domine ; bientôt, l’ordre public est bouleversé jusque dans ses fondements. Dès lors, une nécessité sociale s’impose à la nation; elle doit sans retard pourvoir à elle-même. Comment n’aurait-elle pas le droit, et plus encore le devoir de se défendre contre un état de choses qui la trouble si profondément, et de rétablir la paix publique dans la tranquillité de l’ordre ?
Or, cette nécessité sociale justifie la création et l’existence des nouveaux gouvernements, quelque forme qu’ils prennent; puisque, dans l’hypothèse où nous raisonnons, ces nouveaux gouvernements sont nécessairement requis par l’ordre public, tout ordre public étant impossible sans un gouvernement. Il suit de là que, dans de semblables conjonctures, toute la nouveauté se borne à la forme politique des pouvoirs civils, ou à leur mode de transmission; elle n’affecte nullement le pouvoir considéré en lui-même. Celui-ci continue d’être immuable et digne de respect; car, envisagé dans sa nature, il est constitué et s’impose pour pourvoir au bien commun, but suprême qui donne son origine à la société humaine. En d’autres termes, dans toute hypothèse, le pouvoir civil, considéré comme tel, est de Dieu et toujours de Dieu : « Car il n’y a point de pouvoir si ce n’est de Dieu » [9].
Par conséquent, lorsque les nouveaux gouvernements qui représentent cet immuable pouvoir sont constitués, les accepter n’est pas seulement permis, mais réclamé, voire même imposé par la nécessité du bien social qui les a faits et les maintient. D’autant plus que l’insurrection attise la haine entre citoyens, provoque les guerres civiles et peut rejeter la nation dans le chaos de l’anarchie. Et ce grand devoir de respect et de dépendance persévérera, tant que les exigences du bien commun le demanderont, puisque ce bien est, après Dieu, dans la société, la loi première et dernière.
Par là s’explique d’elle-même la sagesse de l’Église dans le maintien de ses relations avec les nombreux gouvernements qui se sont succédé en France, en moins d’un siècle, et jamais sans produire des secousses violentes et profondes. Une telle attitude est la plus sûre et la plus salutaire ligne de conduite pour tous les Français, dans leurs relations civiles avec la république, qui est le gouvernement actuel de leur nation. Loin d’eux ces dissentiments politiques qui les divisent; tous leurs efforts doivent se combiner pour conserver ou relever la grandeur morale de leur patrie.
Mais une difficulté se présente : «Cette république, fait-on remarquer, est animée de sentiments si antichrétiens que les hommes honnêtes, et beaucoup plus les catholiques, ne pourraient consciencieusement l’accepter. » Voilà surtout ce qui a donné naissance aux dissentiments et les a aggravés.
On eût évité ces regrettables divergences, si l’on avait su tenir soigneusement compte de la distinction considérable qu’il y a entre Pouvoirs constitués et Législation. La législation diffère à tel point des pouvoirs politiques et de leur forme, que, sous le régime dont la forme est la plus excellente, la législation peut être détestable; tandis qu’à l’opposé, sous le régime dont la forme est la plus imparfaite, peut se rencontrer une excellente législation. Prouver, l’histoire à la main, cette vérité, serait chose facile ; mais à quoi bon? tous en sont convaincus. Et qui mieux que l’Église est en mesure de le savoir, elle qui s’est efforcée d’entretenir des rapports habituels avec tous les régimes politiques? Certes, plus que toute autre puissance, elle saurait dire ce que lui ont souvent apporté de consolations ou de douleurs les lois des divers gouvernements qui ont successivement régi les peuples, de l’Empire romain jusqu’à nous.
Si la distinction, tout à l’heure établie, a son importance majeure, elle a aussi sa raison manifeste; la législation est l’œuvre des hommes investis du pouvoir et qui, de fait, gouvernent la nation. D’où il résulte qu’en pratique la qualité des lois dépend plus de la qualité de ces hommes que de la forme du pouvoir. Ces lois seront donc bonnes ou mauvaises, selon que les législateurs auront l’esprit imbu de bons ou de mauvais principes et se laisseront diriger, ou par la prudence politique, ou par la passion.
Qu’en France, depuis plusieurs années, divers actes importants de la législation aient procédé de tendances hostiles à la religion, et par conséquent aux intérêts de la nation, c’est l’aveu de tous, malheureusement confirmé par l’évidence des faits.
Nous-même, obéissant à un devoir sacré, Nous en adressâmes des plaintes vivement senties à celui qui était alors à la tête de la République. Ces tendances cependant persistèrent, le mal s’aggrava, et l’on ne aurait s’étonner que les membres de l’Épiscopat français, placés par l’Esprit-Saint pour régir leurs différentes et illustres Églises, aient regardé, encore tout récemment, comme une obligation, d’exprimer, publiquement leur douleur, touchant la situation créée en France à la religion catholique.
Pauvre France! Dieu seul peut mesurer l’abîme de maux où elle s’enfoncerait, si cette législation, loin de s’améliorer, s’obstinait dans une telle déviation, qui aboutirait à arracher de l’esprit et du cœur des Français la religion qui les a faits si grands.
Et voilà précisément le terrain sur lequel, tout dissentiment politique mis à part, les gens de bien doivent s’unir comme un seul homme, pour combattre, par tous les moyens légaux et honnêtes, de la législation. Le respect que l’on doit aux pouvoirs constitués ne saurait l’interdire : il ne peut importer, ni le respect, ni beaucoup moins d’obéissance sans limites à toute mesure législative quelconque, édictée par ces mêmes pouvoirs. Qu’on ne l’oublie pas, la loi est une prescription ordonnée selon la raison et promulguée, pour le bien de la communauté, par ceux qui ont reçu à cette fin le dépôt du pouvoir.
En conséquence, jamais on ne peut approuver des points de législation qui soient hostiles à la religion et à Dieu; c’est, au contraire, un devoir de les réprouver. C’est ce que le grand évêque d’Hippone, saint Augustin, mettait eu parfaite lumière dans ce raisonnement plein d’éloquence : «Quelquefois, les puissances de la terre sont bonnes et craignent Dieu; d’autres fois, elles ne le craignent pas. Julien était un empereur infidèle à Dieu, un apostat, un pervers, idolâtre. Les soldats chrétiens servirent cet empereur infidèle. Mais, dès qu’il s’agissait de la cause de Jésus-Christ, ils ne reconnaissaient que celui qui est dans le ciel. Julien leur prescrivait-il d’honorer les idoles et de les encenser ? Ils mettaient Dieu au-dessus du prince. Mais, leur disait-il, formez vos rangs pour marcher contre telle nation ennemie ? à l’instant ils obéissaient. Ils distinguaient le Maître éternel du maître temporel, et cependant, en vue du Maître éternel, ils se soumettaient même à un tel maître temporel» [10]. Nous le savons, l’athée, par un lamentable abus de sa raison et plus encore de sa volonté, nie ces principes. Mais, en définitive, l’athéisme est une erreur si monstrueuse qu’elle ne pourra jamais, soit dit à l’honneur de l’humanité, y anéantir la conscience des droits de Dieu pour y substituer l’idolâtrie de l’État.
Les principes qui doivent régler notre conduite envers Dieu et envers les gouvernements humains étant ainsi définis, aucun homme impartial ne pourra accuser les catholiques français, si, sans épargner ni fatigues ni sacrifices, ils travaillent à conserver à leur patrie ce qui est pour elle une condition de salut, ce qui résume tant de traditions glorieuses enregistrées par l’histoire, et que tout Français a le devoir de ne pas oublier.
Avant de terminer notre Lettre, Nous voulons toucher à deux points connexes entre eux, et qui, se rattachant de plus près aux intérêts religieux, ont pu susciter parmi les catholiques quelque division.
L’un d’eux est le Concordat qui, pendant tant d’années, a facilité en France l’harmonie entre le gouvernement de l’Église et celui de l’État. Sur le maintien de ce pacte solennel et bilatéral, toujours fidèlement observé de la part du Saint-Siège, les adversaires de la religion catholique euxmêmes ne s’accordent pas.
Les plus violents voudraient son abolition, pour laisser à l’État toute liberté de molester l’Église de Jésus-Christ.
D’autres, au contraire, avec plus d’astuce, veulent, ou du moins assurent vouloir la conservation du Concordat: non pas qu’ils reconnaissent à l’État le devoir de remplir envers l’Église les engagements souscrits, mais uniquement pour le faire bénéficier des concessions faites par l’Église ; comme si l’on pouvait à son gré séparer les engagements pris des concessions obtenues, alors que ces deux choses font partie substantielle d’un seul tout. Pour eux, le Concordat ne resterait donc que comme une chaîne propre à entraver la liberté de l’Église, cette liberté sainte à laquelle elle a un droit divin et inaliénable.
De ces deux opinions, laquelle prévaudra ? Nous l’ignorons. Nous avons voulu seulement le rappeler, pour recommander aux catholiques de ne pas provoquer de scission sur un sujet dont il appartient au Saint-Siège de s’occuper.
Nous ne tiendrons pas le même langage sur l’autre point, concernant le principe de la séparation de l’État et de l’Église, ce qui équivaut à séparer la législation humaine de la législation chrétienne et divine. Nous ne voulons pas nous arrêter à démontrer ici tout ce qu’a d’absurde la théorie de cette séparation; chacun le comprendra de lui-même. Dès que l’État refuse de donner à Dieu ce qui est à Dieu, il refuse, par une conséquence nécessaire, de donner aux citoyens ce à quoi ils ont droit comme hommes; car, qu’on le veuille ou non, les vrais droits de l’homme naissent précisément de ses devoirs envers Dieu. D’où il suit que l’État, en manquant, sous ce rapport, le but principal de son institution, aboutit en réalité à se renier lui-même et à démentir ce qui est la raison de la propre existence. Ces vérités supérieures sont si clairement proclamées par la voix même de la raison naturelle, qu’elles s’imposent à tout homme que n’aveugle pas la violence de la passion.
Les catholiques, en conséquence, ne sauraient trop se garder de soutenir une telle séparation. En effet, vouloir que l’État se sépare de l’Église, ce serait vouloir, par une conséquence logique, que l’Église fût réduite à la liberté de vivre selon le droit commun à tous les citoyens.
Cette situation, il est vrai, se produit dans certains pays. C’est une manière d’être qui, si elle ses nombreux et graves inconvénients, offre aussi quelques avantages, surtout quand le législateur, par une heureuse inconséquence, ne laisse pas que de s’inspirer des principes chrétiens; et ces avantages, bien qu’ils ne puissent justifier le faux principe de la séparation, ni autoriser à le défendre, rendent cependant digne de tolérance un état de choses qui, pratiquement, n’est pas le pire de tous.
Mais en France, nation catholique par ses traditions et par la foi présente de la grande majorité de ses fils, l’Église ne doit pas être mise dans la situation précaire qu’elle subit chez d’autres peuples. Les catholiques peuvent d’autant moins préconiser la séparation, qu’ils connaissent mieux les intentions des ennemis qui la désirent. Pour ces derniers, et ils le disent assez clairement, cette séparation, c’est l’indépendance entière de la législation politique envers la législation religieuse ; il y a plus, c’est l’indifférence absolue du pouvoir à l’égard des intérêts de la société chrétienne, c’est- à-dire de l’Église, et la négation même de son existence. – Ils font cependant une réserve qui se formule ainsi: Dès que l’Église, utilisant les ressources que le droit commun laisse aux moindres des Français, saura, par un redoublement de son activité native, faire prospérer son œuvre, aussitôt l’État intervenant pourra et devra mettre les catholiques français hors du droit commun lui-même.
Pour tout dire, en un mot, l’idéal de ces hommes serait le retour au paganisme : l’État ne reconnaît l’Église qu’au jour où il lui plaît de la persécuter.
Nous avons expliqué, Vénérables Frères, d’une manière abrégée mais nette, sinon tous, au moins les principaux points sur lesquels les catholiques français et tous les hommes sensés doivent pratiquer l’union et la concorde, pour guérir, autant qu’il est possible encore, les maux dont la France est affligée, et pour relever même sa grandeur morale. Ces points sont: la religion et la patrie, les pouvoir s politiques et la législation, la conduite à tenir à l’égard de ces pouvoirs et à l’égard de cette législation, le concordat, la séparation de l’État et de l’Église.
Nous nourrissons l’espoir et la confiance que l’éclaircissement de ces points dissipera les préjugés de plusieurs hommes de bonne foi, facilitera la pacification des esprits, et par elle l’union parfaite de tous les catholiques, pour soutenir la grande cause du Christ qui aime les Francs.
Quelle consolation pour Notre cœur, de vous encourager dans cette voie, et de vous contempler tous, répondant docilement à Notre appel! – Vous, Vénérables Frères, par Votre autorité, et avec le zèle si éclairé pour l’Église et la Patrie qui Vous distingue, Vous apporterez un puissant secours à cette œuvre pacificatrice, – Nous aimons même à espérer que ceux qui sont au pouvoir voudront bien apprécier Nos paroles, qui visent à la prospérité et au bonheur de la France.
En attendant, comme gage de Notre affection paternelle, Nous donnons à Vous, Vénérables Frères, à Votre Clergé, ainsi qu’à tous les catholiques de France, la Bénédiction Apostolique.
Donné à Rome, le 16 février de l’année 1892, de Notre Pontificat la quatorzième.
Je reprends la plume pour vous redonner de l’espoir. Ce message est adressé aux chrétiens francophones mais également aux personnes de bonne volonté car Notre-Seigneur Jésus-Christ aime tous ses enfants.
J’écris ce message par un élan du cœur pour notre chère France qui est aujourd’hui méconnaissable depuis que l’Église est éclipsée.
Comme l’écrivait le feu Louis Bertrand en 1921 dans son fabuleux ouvrage « autour de Saint Augustin » :
« [page 20] ../.. Mais le moment unique de la journée, ce fut lorsque l’archevêque de Carthage, du haut du parvis de la basilique, donna sa bénédiction solennelle à toute la terre d’Afrique, en élevant entre ses bras le reliquaire d’or qui contient le bras de saint Augustin. Ce fut une minute d’émotion intense, comme si Augustin était de retour parmi nous, debout sur le seuil de son église, et comme si sa main paternelle s’abaissait sur nos têtes en un grand geste de paix et d’amour.
Ah ! L’Église est bien la dépositaire de la dernière beauté ! A mesure que le monde s’éloigne d’elle, il s’enlaidit. Quelle fête civile ne tomberait pas au rang de piteuse mascarade, sans âme et sans pensée, devant ces rites augustes qui sont une perpétuelle allusion aux plus hautes vérités de l’esprit. »
Louis Bertrand a eu l’intuition de ce que serait notre pays sans la beauté de l’Église. Nous sommes censés être les pierres de cette Église, or, de nos jours, les églises ne sont plus que des bâtiments délaissés, vides. L’Esprit s’en est en allé : c’est comme si nous avions tourné le dos à Jésus-Christ en lui disant : « Seigneur nous ne te connaissons plus. Nous te rendons la paix que tu nous as laissée et donnée. »
Cette phrase est d’une terrible dureté puisque lorsque l’on rend la paix au Seigneur, on annonce la guerre. Que constate-t-on aujourd’hui et surtout depuis 2020 ? Le langage guerrier du président français annonce la guerre.
Le Seigneur nous avait prévenu et il faut que cela arrive, mais, nous ne sommes pas de ce monde à l’image de Notre-Seigneur. Nos armes sont faites de prières et de rosaire, chose qui effraie et affole les foules.
Nous ne devons sous aucun prétexte prendre les armes. L’État profond souhaite envoyer nos enfants se faire massacrer sur le front de l’Est. N’est-ce pas là un relent des plus sombres heures de l’histoire ? 1914 et 1939 n’ont donc pas suffit au président va-t-en-guerre qui sait envoyer les autres se faire massacrer tandis que lui s’échapperait en hélicoptère pour se rendre dans son bunker ?
Quelle différence y a-t-il entre un président de la république et un roi ? La Main de Justice qui symbolise le roi, la raison, la charité et la foi catholique.
La république représente l’absence de ces valeurs dans son indicible néant. Puisque la Main de Justice n’existe plus, le président, chef d’entreprise et communiquant plutôt que juste et valeureux envoie la France à la perdition.
Soit ! Devons-nous suivre un tel personnage ? Certainement pas ! Nous ne nous battrons jamais pour cette France si méprisable qui est née du massacre des Vendéens. Nous ne marcherons pas pour qu’un sang impur abreuve les sillons. L’État profond pourra nous spolier, nous ôter tous nos biens que nous ne plierions pas.
Si cette France si crasse devait nous ordonner de partir en guerre, ce serait alors contre elle que nous irions au front. Dès lors, nous serions prêts à former une belle armée pour mettre sur le trône un roi et sur la chaire un pape.
Lorsque je dis « nous serions prêts à former une belle armée », cela signifie que nous devrions nous rallier pour former une véritable armée afin d’anéantir ceux qui souhaitent la mort de nos enfants. Ce projet n’est réalisable qu’avec Dieu, car, aucun homme ici-bas ne peut réaliser cette œuvre. Ainsi, si cela devait arriver il faudrait y voir le doigt de Dieu et non pas la volonté d’hommes valeureux.
Ne nous méprenons pas : nous ne sommes rien sans Dieu. L’homme n’est que chair sans l’esprit et l’esprit n’est pas de ce monde sans la chair. L’homme qui se laisse incarner par l’esprit de Dieu peut affronter mille dangers lorsque son heure n’est pas encore venue.
Attention à ne pas vous méprendre sur ce que je dis. D’un point de vue humain, que ce soit vous, nous ou moi, nous ne pouvons rien : seul Dieu agit à travers nous.
La France risque de vivre des heures sombres et particulièrement difficiles. Efforçons nous de garder en nous la foi vivante des saints qui ont jalonné la France.
Souvenons-nous de saint Vincent de Paul qui a ouvert des orphelinats pour que les enfants puissent être élevés dans de bonnes conditions. Il avait eu l’intuition du nationalisme un siècle avant qu’il ne se produise ! Il avait annoncé de terribles guerres au nom de la nation puisque Dieu serait éclipsé au profit d’une idolâtrie.
Souvenons-nous de saint François de Sales qui a donné sa vie pour l’amour du Christ et qui a rédigé de fabuleux ouvrage et tant aimé les hommes au point de se martyriser. Son amour pour les autres était si grand !
Souvenons-nous de saint Jean Bosco qui a tant aimé les pauvres enfants en leur fournissant un logis et surtout une magnifique éducation avec son système éducatif basé sur l’affection et la confiance. « Sans affection, pas de confiance, sans confiance, pas d’éducation » affirmait-il.
Souvenons-nous de saint Jean-Marie Vianney, ce pauvre curé qui était doué de grandes intuitions et était dévoué corps et âme. Il est mort d’épuisement dans son confessionnal à force de recevoir les pèlerins qui venaient souvent de loin.
Souvenons-nous de saint Padre Pio avec ses dons de l’esprit si impressionnants. Il était comme crucifié à l’image de Notre-Seigneur et a énormément souffert jusqu’à la fin de sa vie.
Cette liste n’est pas exhaustive. En chacun de nous il y a un saint qui s’ignore. Il vous revient de trouver votre capacité évangélique à développer pour améliorer le monde. Si vous faites le choix de manger et de boire sans vous soucier de l’esprit alors vous n’apporterez rien aux autres et comme le dit le Christ, le bois sec est condamné à être brûlé.
Lors de votre mort, vous vous souviendrez de cette vie matérialiste passée de manière inerte devant les écrans et à ne rien donner aux autres. Seul l’amour est jugé au moment de notre mort et si nous n’avons pas su en donner durant notre vie, nous serons comme anéantis puisque Dieu a créé le monde par amour. Sans acte d’amour, le monde n’existerait pas, je ne l’aurai pas écrit et vous ne seriez pas en train de lire ce texte.
L’aveuglement de nos contemporains face à l’amour est terrifiant mais indique également que de la dégradation renaîtra une certaine ferveur et une Pentecôte. Après avoir eu à l’Elysée la dépravation et le en même temps, la France retrouvera la foi, l’espérance et la charité.
Veillons et prions en cette période qui précède Pâques.
Dieu vous bénisse et vous garde en ces temps si troublés !
Un dogme est une vérité de foi solennellement proclamée par le Pape pour être accueillie par l’Église. Ainsi, le 8 décembre 1854, dans la Bulle Ineffabilis Deus, le pape Pie IX déclarait : “Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine qui tient que la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier instant de sa conception, par une grâce et une faveur singulière du Dieu tout puissant, en vue des mérites de Jésus Christ, Sauveur du genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu’ainsi elle doit être crue fermement et constamment par tous les fidèles “.
En cette funeste année 2023, que reste-t-il de la belle France de Louis IX ?
753 années, soit environ 30 générations, nous séparent de cette France depuis le décès de saint Louis le 25 août 1270 à Tunis.
Comment faire pour prendre conscience de l’état moral et religieux de la France au temps de Louis IX ? Il est nécessaire d’étudier la vie de saint Louis pour mieux appréhender cette France que nous n’avons pas pu connaître autrement que par l’Histoire.
Vous trouverez à la fin de cet article plusieurs gravures et extraits d’articles permettant de mieux connaître le bon roi saint Louis.
Pour revenir à notre propos, comment est-ce que la France a pu perdre sa catholicité en seulement 30 générations ? Essayons d’examiner d’un point de vue historique et mathématiques la perte progressive de la foi catholique depuis la mort de saint Louis.
En nous basant sur l’Histoire de France, nous pouvons retracer avec une certaine fidélité la perte progressive de l’authentique foi catholique.
Faits marquants
Nbre d’années depuis la mort de saint Louis
Nbre de générations d’une durée de 25 ans chacune
1337-1453 Guerre de Cent Ans
67 années – 183 années
02 générations – 07 générations
1494-1559 Guerres d’Italie
224 a. – 289 a.
09 g. – 11 g.
1562-1598 Guerres de Religion
292 a. – 328 a.
11 g. – 13 g.
1618-1648 Guerre de Trente Ans
348 a. – 378 a.
13 g. – 15 g.
1643-1715 Règne de Louis XIV
373 a. – 445 a.
14 g. – 17g.
1789-1799 Révolution française
519 a. – 529 a.
20 g. – 21 g.
1791-1792 Monarchie constitutionnelle
521 a. – 522 a.
20 g. – 20 g.
1792-1804 Ière République
522 a. – 534 a.
20 g. – 21 g.
1804-1815 Ier Empire
534 a. – 545 a.
21 g. – 21 g.
1814-1830 Restauration monarchique
544 a. – 560 a.
21 g. – 22 g.
1830-1848 Monarchie de Juillet
560 a. – 578 a.
22 g. – 23 g.
1848-1852 IIe République
578 a. – 582 a.
23 g. – 23 g.
1852-1870 IId Empire
582 a. – 600 a.
23 g. – 24 g.
1870-1871 Guerre franco-allemande
600 a. – 601 a.
24 g. – 24 g.
1870-1940 IIIe République
600 a. – 670 a.
24 g. – 26 g.
1878-1919 Expansion coloniale
600 a. – 649 a.
24 g. – 25 g.
1914-1918 Première Guerre mondiale
644 a. – 648 a.
25 g. – 25 g.
1939-1945 Seconde Guerre mondiale
669 a. – 675 a.
26 g. – 27 g.
1946-1958 IVe République
676 a. – 688 a.
27 g. – 27 g.
1946-1980 Décolonisation
676 a. – 710 a.
27 g. – 28 g.
1958 Ve République
688 a.
27 g.
1969-1974 Georges Pompidou
699 a. – 704 a.
27 g. – 28 g.
1974-1981 Valéry Giscard d’Estaing
704 a. – 711 a.
28 g. – 28 g.
1981-1995 François Mitterrand
711 a. – 725 a.
28 g. – 29 g.
1995-2007 Jacques Chirac
725 a. – 737 a.
29 g. – 29 g.
2007-2012 Nicolas Sarkozy
737 a. – 742 a.
29 g. – 29 g.
2012-2017 François Hollande
742 a. – 747 a.
29 g. – 29 g.
2017-(2023) Emmanuel M.
747 a. – 753 a.
29 g. – 30 g.
Ce tableau permet de constater quelques phénomènes marquants aux 10e, 20e, 25e, 29e et 30e générations après le décès de saint Louis :
– 10e génération : Les guerres d’Italie ont propagé le modèle Italien de la Renaissance dans l’ensemble de l’Europe
– 20e génération : La Révolution française anéantit la royauté en France et instaure la république
– 25e génération : La première Guerre Mondiale redessine au niveau mondial la carte des pays, donne naissance à l’instauration d’organisations internationales
– 29e génération : Sous le règne de Jacques Chirac, l’Internet prend son essor et marque le développement fulgurant des Nouvelles Technologies.
– 30e génération : Le règne d’Emmanuel M. marque le net déclin de la France. Notamment, la foi catholique s’étiole davantage et un esprit anti-christique règne. La France des années 2020 n’a plus aucun point en commun avec celle de saint Louis.
Les évènements marquants tendent à s’accélérer depuis la 25e génération suivant le décès de saint Louis IX. Depuis 1914, soit une période de 109 ans ou 4 générations, la détérioration de la foi catholique semble concorder avec l’essor technologique. On peut supposer que la technologie s’oppose fondamentalement à la foi. La numérisation de la société, depuis les années 2000, annonce la corruption des nouvelles générations. Les réseaux sociaux semblent nuire aux jeunes générations et conduire à la déstabilisation globale de la civilisation.
Les évènements marquants se propagent à la vitesse de la lumière à l’aide de la fibre optique pour se répandre sur les écrans, ce qui pourrait mener, à plus ou moins court terme, à une gigantesque guerre civile à travers le monde. D’autant plus que les guerres d’Ukraine et d’Israël semblent annoncer le début de grands fléaux. L’époque est réellement troublée avec la survenue d’évènements climatiques anormaux, des séismes à répétition sur l’ensemble de la planète et de plus en plus de bruits de guerre.
Si l’époque de saint Louis annonçait l’apogée de la religion en France, l’avancée du progrès a réellement sonné son déclin. Notre époque si athée et matérialiste annonce un renouveau spirituel mensonger qui pourrait très certainement être marqué par l’apparition de l’Antéchrist à plus ou moins brève échéance. Si l’on observe la fresque ci-dessus, on peut craindre la survenue de graves évènements avant la fin du mois d’août 2024 selon des calculs hypothétiques basés sur le couple rythme/coefficient des évènements.
Explications : la progression des évènements graves s’accélèrent selon un rythme de plus en plus rapide. Par exemple, depuis l’élection d’Emmanuel M., la guerre entre le Hamas et Israël a été déclarée le 7 octobre 2023. Le dernier fait réellement marquant est l’apparition de l’Internet aux alentours de 1995 peu après l’élection de Jacques Chirac.
En calculant la différence de temps depuis le 7 octobre 2023, calcul s’appuyant sur un coefficient du rythme séparant les évènements, on tombe à 0,891 années, soit 10 mois et 20 jours avant la survenue d’un prochain évènement dramatique. Bien sûr, ce ne sont que des probabilités et en aucun cas une prophétie.
Date
25 août
2 septembre
5 mai
28 juin
17 mai
14 mai
7 octobre
27 août
Année
1270
1494
1789
1914
1995
2017
2023
2024
Différence
0
224
295
125
84,415
22,642
6,856
0,891
Rythme
–
0,761
2,352
1,543
3,625
3,276
7,695
Coefficient
3,091
0,498
7,264
0,451
17,061
Ce que je souhaite démontrer avec ce tableau, c’est que le progrès technologique contribue à faire s’accélérer les évènements dramatiques. La civilisation était autrefois baignée au rythme de la nature. Plus les siècles ont passé, plus la civilisation a voulu s’émanciper de sa condition humaine en essayant de faire progresser la technologie. Cet orgueil condamne l’humanité selon le rythme du développement du numérique.
Gravure de saint Louis réalisée en 1679 par Nicolas de Larmessin
Gravure de Louis IX réalisée par Charles Paul Dufresne, carte « premier jour » datant de 1954
Extrait de l’ancien manuscrit sur la Vie de saint Louis attribué à Guillaume de Nangis, moine bénédictin de l’abbaye Saint-Denis, mort en 1300.
« Le roi Louis voyant que l’étude des lettres de la philosophie, par quoi on acquiert le trésor de la science qui l’emporte sur tous les autres [trésor qui était venu d’abord d’Athènes à Rome, puis de Rome en Gaule, sous le nom de chevalerie, à la suite de Denys l’Aréopagite] avait quitté Paris, en fut profondément désolé. Et le roi très pieux craignant qu’un si grand et si bon trésor ne s’éloigne de son royaume, parce que la sagesse et la science sont les richesses du salut, et parce qu’il ne voulait pas que Dieu puisse lui dire un jour : « Tu as repoussé la science, je te repousserai », il ordonna aux clercs susdits de revenir à Paris, les accueillit avec une extrême clémence à leur retour et les fit rapidement indemniser par les bourgeois qui avaient commis des forfaits à leur encontre »
Autre extrait additionné à l’ancien manuscrit sur la Vie de saint Louis attribué, cette fois-ci sans certitude, à Guillaume de Nangis.
« En effet, si le trésor si précieux de la sagesse salvatrice avait été enlevé au royaume de France, l’emblème fleurdelysé des rois de France en resterait étrangement abîmé. Car, comme Dieu et notre Seigneur Jésus-Christ a voulu orner le royaume de France plus particulièrement que tous les autres royaumes par la foi, la sagesse et la chevalerie, les rois de France ont traditionnellement fait peindre sur leurs armes et leurs drapeaux une fleur de lys trifoliée, comme s’ils voulaient dire à l’univers: la foi, la sagesse et la prouesse chevaleresque servent, de par la providence et la grâce de Dieu, notre royaume plus abondamment que tous les autres. Ces deux feuilles semblables signifient, en effet, la sagesse et la chevalerie qui gardent et défendent la troisième feuille placée plus haut entre elles qui signifie la foi. Car la foi est gouvernée et régie par la sagesse et défendue par la chevalerie. Aussi longtemps que ces trois vertus seront bien liées entre elles (sibi invicem cohaerentia) dans le royaume de France dans la paix, la force et l’ordre (pacifice, fortiter et ordinatim) le royaume sera solidement debout (stabit). Si elles en étaient séparées, ou lui étaient arrachées, tout le royaume divisé contre lui-même serait désolé et s’effondrerait. »
Autre extrait de l’ancien manuscrit sur la Vie de saint Louis attribué à Guillaume de Nangis.
« Les barons et les chevaliers et tous les autres, grands et petits, qui virent, connurent et entendirent la sagesse divine qui était et régnait dans les faits et actes du roi Louis, quand il rendait une droite justice, le craignirent et honorèrent de plus en plus de jour en jour, parce qu’ils voyaient et savaient qu’il était saint homme et prud’homme ; il n’y eut plus désormais personne qui osa aller contre lui dans son royaume et, si quelqu’un se rebella, il fut aussitôt humilié point. La paix qu’il a imposée en France et à l’étranger (c’est la période de Louis l’apaiseur), Dieu l’a fait durer pendant le règne de son fils Philippe (III) à cause des mérites du père. Aussi le trône du royaume de France au temps du roi Louis resplendissait comme le soleil qui répand les rayons de sa lumière partout, en comparaison avec tous les autres royaumes. »
Traduction française reprise à Jacques LE GOFF, Héros du Moyen-âge, le Saint et le Roi. Paris, Gallimard, 2004, p. 485.
« Le roi Louis de France, celui qui règne actuellement, dit un jour une excellente parole, laquelle fut répétée par un religieux qui se trouvait là et qui l’entendit de sa bouche. Un matin, alors que ce prince était encore tout jeune, une quantité de pauvres était rassemblée dans la cour de son palais et attendait l’aumône. Profitant de l’heure où chacun dormait encore, il sortit de sa chambre, seul avec un serviteur chargé d’une grosse somme en deniers et sous le costume d’un écuyer; puis il se mit à distribuer le tout de sa propre main, donnant plus largement à ceux qui lui semblaient les plus misérables. Cela fait, il se retirait dans son appartement, lorsqu’un religieux, qui avait aperçu la scène de l’embrasure d’une fenêtre, où il s’entretenait avec la mère du roi, se porta à sa rencontre et lui dit: « Seigneur, j’ai parfaitement vu vos méfaits. – Mon très cher frère, répondit le prince tout confus, ces gens-là sont mes soudoyers [salariés], ils combattent pour moi contre mes adversaires et maintiennent le royaume en paix. Je ne leur ai pas encore payé toute la solde qui leur est due » ».
Voici un exemplum commenté par Jacques Le Goff (p. 367-369), issu du traité d’Etienne de Bourbon.
« Le roi de France était malade jusqu’à la mort, désespéré des médecins. Il se fit coucher sur la cendre, appela tous ceux qui se trouvaient là, et leur dit: « Voyez ! Moi qui étais le plus riche et le plus noble seigneur de l’univers, moi qui étais plus puissant que tous les autres hommes, qui les dominais par le rang, par la fortune, par le nombre de mes amis, je ne puis même pas extorquer de la mort le moindre délai ni de la maladie une seule heure de répit ! Que valent donc toutes ces choses ? » En l’entendant parler ainsi, les assistants sanglotaient. Mais, contre toute attente, le Seigneur le guérit au moment où on le croyait déjà mort. Il se releva, rendit grâce à Dieu, et c’est à la suite de cela qu’il prit la croix. »
Dans « Saint Louis et la parole royale» (LE GOFF 1988, p. 132-133), publié en 1988, Jacques Le Goff montre que le futur saint Louis racontait lui-même des exempla pour exhorter ses proches à la vertu ou faire passer un message de doctrine chrétienne.
« La parole de saint Louis est donc morale et enseignante, en ce siècle didactique et moralisateur. Elle est prêcheuse, en ce siècle de la prédication, et dans la bouche d’un roi entouré de prédicateurs, Dominicains et Franciscains surtout. Elle prêche par exempla, en ce siècle où l’exemplum, anecdote enchâssée dans les sermons,
pullule. Elle est dévote à la nouvelle mode, s’exprimant dans la prière et encore plus dans la confession. Elle est justicière, le roi exerçant lui-même par la parole le plus haut devoir royal, rendre la justice, ou le déléguant à des représentants bien formés et surveillés. Elle est aussi — la paix étant avec la justice l’autre grand idéal royal — apaisante, s’exprimant dans les arbitrages rendus par le roi. Elle est modérée, comme il est normal chez un roi épris de la mesure, qui voulait remplacer l’idéal de démesure du preux par celui de modération du prudhomme. Mais elle est aussi répression de la parole mauvaise, du juron, du blasphème.
La parole royale à l’état direct s’exerce essentiellement à l’intérieur d’un petit groupe de familiers, d’interlocuteurs habituels du roi, invités par le roi à lui répondre, mais où le roi a l’initiative de la parole. Ce groupe dont la conversation royale est à la fois le centre, le lieu et la fonction, joue dans le gouvernement du royaume au temps de saint Louis un rôle trop négligé par les historiens. Il est distinct de la curia, organe féodal des conseillers du roi. Il est à cheval sur l’espace intime du roi et son espace public. (p. 131)
[…]
Joinville n’est jamais aussi heureux que lorsqu’il rapporte cette parole royale comme s’adressant à lui exclusivement en une sorte d’aparté. Ainsi: «Il m’appela une fois et me dit: « Je n’ose vous parler, subtil de sens comme vous êtes, de chose qui touche à Dieu, et pour cela j’ai appelé ces deux frères-ci, car je veux vous faire une demande. » La demande fut telle : « Sénéchal, fit-il, qu’est-ce que Dieu ? » Et je lui dis: « Sire, c’est si bonne chose que meilleure ne peut être. » « Vraiment, fit-il, c’est bien répondu car la réponse que vous avez faite est dans ce livre que je tiens à la main. »
« Or je vous demande, fit-il, ce que vous aimeriez mieux, être lépreux ou avoir fait un péché mortel ? » Et moi, qui ne lui mentis jamais, je lui répondis que j’aimerais mieux en avoir fait trente qu’être lépreux. Quand les frères furent partis, il m’appela tout seul, me fit asseoir à ses pieds et me dit: « Comment me dites-vous hier cela ? » Et je lui dis que je le disais encore. Et il me dit : « Vous parlâtes comme hâtif musard (étourdi qui parle sans réfléchir) » », etc.
Un groupe d’une parole encore plus intime est celle des enfants du roi: « Avant qu’il se couchât en son lit, il faisait venir ses enfants devant lui et leur rapportait les faits des bons rois et des bons empereurs, et leur disait qu’ils devaient prendre exemple sur de telles gens. »
Cette parole est didactique, morale. Le mot qui vient à l’esprit de Joinville c’est celui d’enseigner, enseignement. Le roi a une parole proche de celle de ces Frères Mendiants dont il s’entoure, enseignante et prêchante. Je ne crois pas qu’il ait jamais sérieusement songé, quoi qu’en dise son confesseur, Geoffroy de Beaulieu, à se faire lui-même Dominicain ou Franciscain. Mais, dans le domaine de la parole rendue justement plus proche, plus simple par les frères Mendiants, il s’avance aussi loin qu’un laïc peut le faire. »
Et si Adolf Hitler était devenu artiste peintre suite à son acceptation à l’école des Beaux-Arts, que se serait-il passé, quels impacts y aurait-il eu sur l’Histoire ?
Adolf Hitler, né en 1889, devint orphelin à l’âge de 18 ans. Son père, Aloïs Hitler, mourut à l’âge de 65 ans en 1903 tandis que sa mère, Klara Pölzl, s’éteignit à l’âge de 47 ans en 1907.
Quelques mois après avoir été hospitalisée, sa mère laissa partir son fils, Adolf Hitler, avec son ami August Kubizek pour l’Autriche afin de devenir étudiants de l’école des Beaux-Arts de Vienne.
Retournons dans le passé, en 1908 très exactement pour observer les potentiels changement du cours de l’Histoire telle que nous la connaissons si Adolf Hitler était devenu peintre.
« Une autre Histoire : Adolf Hitler, artiste peintre (1889-1959) »
En ce dimanche 16 août 1908, le temps était maussade. Adolf était parti à pied au Stadpark de Vienne, premier parc public de la ville ouvert en 1862. Adolf avait une personnalité pénible. Après le décès de sa mère, Adolf devint plus mauvais qu’auparavant. Il était revanchard, capricieux, fourbe et mystérieux. Il aimait les livres ésotériques et la magie l’intéressaient.
Adolf essayait de peindre depuis quelque temps mais n’y parvenait pas. Son esprit était tourmenté par la mort de ses parents. Tandis qu’il était assis dans le parc avec sa palette et son pinceau, Adolf vit soudainement apparaître dans le ciel une jolie croix bleue, et, instantanément, il entendit une voix douce dans son esprit.
« Adolf, Adolf, pourquoi me persécutes-tu ? Tes péchés me meurtrissent profondément. Ouvre-moi ton cœur et tu deviendras le plus grand peintre de ton temps. »
Adolf souffla et se reprit en se concentrant davantage sur sa palette. Il tendit le bras pour observer le paysage à l’aide de son pinceau. La petite croix réapparut dans le ciel et il entendit de nouveau cette voix.
Prit par une vague d’émotions, Adolf s’écroula à genou et pleura. Il perçut les péchés de sa vie et sentit quelque chose s’échapper de sa bouche. Ce qu’il percevait comme une grosse boule noire venait de sortir de ses entrailles. Adolf vomit et pleura davantage.
Après avoir pleuré tout son soûl, Adolf se releva et s’assit de nouveau. Il se sentait léger. Il observa d’un nouvel œil le paysage et perçut une beauté qu’il n’avait jamais vue jusqu’à présent. Souriant, Adolf peignit le magnifique paysage urbain qui se cachait dans le parc. Son bras peignait de lui-même sur la toile. Adolf se laissa porter par cette magnifique émotion. Quelques heures plus tard, lorsque sa toile fut achevée, il déposa son nom en bas à gauche du tableau avant de rentrer chez lui.
Il frappa à la porte de l’appartement qu’il louait avec son ami August. Ce dernier lui ouvrit en regardant Adolf d’un air étrange.
« Salut Adolf, je suis surpris de te voir si souriant ! lança August
– Eh quoi ! Il m’est arrivé quelque chose d’étrange au parc, quelque chose que je ne saurai expliquer. Et regarde-moi ce tableau, lança Adolf en rigolant aux éclats pendant qu’il le brandissait à son ami.
– Quelle merveille, lança August en agrippant le tableau à deux bras, laisse-moi regarder ce chef-d’œuvre ! Comment as-tu fait pour reproduire une telle beauté, je ne reconnais pas ta peinture, sans méchanceté aucune.
– Je te l’ai dit, il m’est arrivé quelque chose d’étrange au parc, répondit Adolf
– Effectivement, je te crois maintenant ! conclut August »
Le temps passait, Adolf peignait des centaines de tableaux toujours plus magnifiques. Il se présenta à l’école des Beaux-Arts le 8 octobre 1908 et fut reçut immédiatement. Dès lors, son talent ne fut jamais démenti. Il fut rapidement connu et signa un premier contrat pour exposer ses œuvres dans une galerie d’art de Vienne. Un grand nombre de personnes influentes de l’époque s’arrachèrent ses tableaux. Adolf devint un peintre de renom et se concentra exclusivement sur la peinture. Il écrivit quelques livres techniques décrivant les meilleures méthodes artistiques permettant de peindre. La critique de l’époque était unanime : Adolf Hitler était le meilleur peintre de l’époque.
Lorsque la première guerre mondiale éclata, un examen médical des autorités autrichiennes le déclara inapte pour faiblesse de constitution. Hitler retourna vivre à Vienne et passa son temps à peindre et à écrire.
Le temps passa, dans les années 30, malgré la grande crise économique, Adolf Hitler continua de percer dans le monde artistique. Pendant ce temps, le communisme grandissait et étendait son empire sur le monde. De grands troubles survinrent en Allemagne, le parti communiste se confronta aux sociaux-démocrates. Malgré l’horreur des exactions communistes, l’Allemagne parvint à échapper au communisme grâce à l’influence d’intellectuels qui s’allièrent pour rédiger plusieurs ouvrages majeurs. Un parti d’extrême droite pris le pouvoir et sema le chaos en Allemagne. Cependant, le parti nazi ne fut pas antisémite, si bien que le peuple juif ne fut pas persécuté. Même si la seconde guerre mondiale eut lieu par la faute de l’Allemagne, celle-ci ne fut pas scindée en quatre zones d’occupation après les accords de Yalta.
L’absence d’Hitler au pouvoir avait empêché l’Europe de sombrer dans la persécution antisémite. Les camps de concentration n’existèrent pas. Le progrès technologique ne fut pas la priorité des nazis.
Cela entraîna un changement majeur au point de vue international : à la fin du mandat britannique, en 1948, deux nations apparurent : Israël et la Palestine. Leurs territoires respectifs occupaient la moitié du sol de l’ancienne Palestine sur toute sa longueur, afin qu’une partie de Jérusalem appartienne à Israël et l’autre à la Palestine.
Les deux nations cohabitèrent malgré leur mésentente et leur envie de s’emparer l’un l’autre d’une partie de leur territoire. La création des deux Etats eut pour effet d’empêcher la progression de l’informatique. En effet, l’État palestinien était profondément opposé à la modernité et souhaitait vivre selon la tradition musulmane. L’État israélien n’eut aucune raison de s’y opposer. En 1947, le Conseil du département des mathématiques appliquées de l’Institut Weizmann (actuel Institut Seiff), réunissant Albert Einstein, Hans Kramer, Robert Oppenheimer, John von Neumann et Abram Pais, a suggéré la création d’un ordinateur digital. Toutefois, Israël ne se lança pas dans l’informatique parce que cette nation n’avait aucune raison de vouloir défendre son territoire.
En 1959, Adolf Hitler mourut et laissa derrière lui une importante collection de peintures et d’ouvrages artistiques. Il influença énormément les générations suivantes et la peinture devint le symbole de l’Autriche.
Le mouvement hippie ne rencontra pas le succès escompté dans les années 1960. Cet échec retarda l’essor de l’informatique. Ainsi, Bill Gates ne rencontra pas Paul Allen et Microsoft ne fut jamais créé. Le monde moderne restait résolument attaché à ses valeurs d’avant-guerre. Les réseaux sociaux n’émergèrent pas en l’absence d’infrastructure informatique. La jeunesse continuait de vivre sans smartphone ni tablette, dans la joie et l’insouciance.
Au cours du XXIe siècle, l’absence d’infrastructure informatique limitait la communication et le développement technologique. Ainsi, l’essor des armes de destruction massive et de l’intelligence artificielle, telles que nous les connaissons, n’eut jamais lieu.
L’art du peintre Adolf Hitler a chamboulé le monde à tout jamais.
Commentaires
Le führer Adolf Hitler a contribué à l’antisémitisme et au développement technologique. Il a laissé une empreinte indélébile dans l’Histoire. Son antisémitisme borné a donné naissance à l’horreur des camps de la mort, et, à d’atroces théories. La folie d’un seul homme a entraîné, après guerre, la création d’Israël ainsi que la culpabilisation des occidentaux. Ce sentiment de culpabilité contribue au développement des théories woke et à celui d’autres doctrines totalitaires qui sont le reflet de cette folie.
Si Adolf Hitler était devenu peintre, Israël ne serait certainement pas devenue cette nation orgueilleuse, siège du développement de l’informatique, de l’intelligence artificielle et de l’armement.
L’absence de Jésus-Christ dans l’âme d’Adolf Hitler a donné naissance à de dangereuses théories ésotériques et racialistes. Sa cruauté a entraîné la mise à mort de millions de personnes. Les cris de terreur de ceux qui sont morts gazés résonnent encore dans l’obscurité de notre époque. La haine d’un seul homme se répercute encore dans notre civilisation au point de bientôt l’entraîner dans la troisième guerre mondiale.
Si Adolf Hitler avait été touché par la grâce, ce dimanche 16 août 1908, le monde aurait été bouleversé. L’humanité a besoin de la lumière de Dieu pour se réconcilier avec Son Amour.
Dieu vous garde et vous bénisse en cette terrible époque
Le processus de sanctification est rendu presque impossible dans la société numérique. Au cours de l’histoire, la royauté et la sainte Église catholique, apostolique et romaine ont été déstabilisés par des empires ennemis. L’objet de cet article est de présenter comment peut se dérouler la sanctification personnelle qui mène au Bien.
Jésus-Christ nous enseigne que Dieu est infiniment bon, à ce titre, il est omnipotent et règne sur le monde. Le démon, représenté par le prince de ce monde, règne de manière finie sur la terre. Ainsi, Dieu représente le principe de l’infini créateur tandis que le démon celui-ci du fini destructeur. Nous sommes en présence de deux forces inégales : l’une est infiniment salvatrice, il s’agit du principe de la Lumière et l’autre est destructrice selon des forces limitées, il s’agit du principe des ténèbres.
L’être humain est animé de ces deux forces opposées à l’intérieur de son être fini et fortement limité. Ainsi, nous sommes tiraillées entre les forces du bien et du mal à notre échelle. Un homme qui nourrit en lui le principe de la Lumière devient un saint tandis que l’homme qui nourrit en lui le principe des ténèbres devient un assassin.
Les actualités tendent à prouver que les assassins tentent de transformer les foules à leur image en utilisant des principes d’ingénierie sociale qui neutralisent les forces du Bien et encouragent le mal par une ruse sophistiquée utilisant notamment le relativisme. Cette technique permet d’invisibiliser le principe du bien et d’encourager les mauvais comportements en les rendant acceptables.
L’Église catholique, apostolique et romaine a pour vocation d’élever l’âme humaine en utilisant les principes du vrai, du bien et du beau. Les enseignements de Jésus-Christ sont difficilement accessibles à la population s’ils sont laissés tels quels. Ainsi, le rôle de l’Église est de rendre perceptible et applicable ces principes spirituels dans notre monde matériel à l’aide des sacrements. Au fil du temps, les forces ennemies du Christ ont dégradé l’ensemble de ces principes pour neutraliser leurs effets et empêcher les miracles.
Désormais, en France, la majorité des individus se retrouvent démunis face aux principes spirituels qui régissent le monde. L’homme qui se laisse bercer par les principes républicains passe à côté des enseignements traditionnels de l’Église. Le républicain, nourrit aux mamelles de l’athéisme, reste aveugle et inconscient des réalités invisibles qui gouvernent le monde. Ainsi, il est particulièrement sensible aux forces d’oppressions qui l’encouragent à embrasser toutes sortes d’idéologies tyranniques. Par exemple, il se laissera facilement endoctriné par le wokisme, la transition écologique, le véganisme, etc.
Le mouvement woke nie les réalités biologiques pour classifier les individus selon leur couleur de peau, leur sexualité, la perception qu’ils se font d’eux-mêmes. La mouvance encourage le repli sur soi, la rupture de dialogue entre les groupes différents et favorise les individus soumis aux clichés les plus absurdes. Ainsi, l’homme à la peau sombre se revendiquant femme, hermaphrodite et narcissique sera élevé au comble de la gloire tandis que l’homme à la peau claire se proclamant père de famille sera rabaissé au rang le plus bas. Ce renversement des valeurs est promu auprès de la jeunesse malgré son caractère grotesque. Cette idéologie rappelle sur certains points le national-socialisme par sa classification des individus selon leur couleur de peau et par une haine irrationnelle envers ceux qui cultivent des valeurs traditionnelles.
La transition écologique stipule qu’il est nécessaire de passer par différentes phases pour parvenir à l’ère des villes du quart d’heure. Cette idéologie consiste notamment à appauvrir la population par le financement personnel de travaux imposés. Pour faire simple, les propriétaires de maisons individuelles seront incapables de financer des sommes colossales qui se révèlent nécessaires à la vente de leur bien. Ils seront obligés d’hypothéquer leur domicile principal afin de vivre en location dans les nouvelles villes du quart d’heure qui émergeront d’ici 2030. Le passage au tout-électrique privera les populations de moyens de locomotion traditionnels et limitera fortement les trajets afin de favoriser la stagnation des populations dans les villes du quart d’heure.
Le véganisme consiste à ne plus manger de protéines animales au nom du respect des animaux. Les végans se nourrissent exclusivement de produits végétaux. Ainsi, leur régime alimentaire est pauvre en protéines, ce qui conduit à un affaiblissement considérable du psychisme et des muscles. Le véganisme favorise les maladies dégénérescentes.
La civilisation contemporaine est en proie à toutes sortes d’idéologies qui ont en commun d’être opposées au Christianisme. Ainsi, les enseignements traditionnels de l’Église catholique, apostolique et romaine sont passés à la trappe. Les écrits des grands saints ne sont plus enseignés nulle part. De nombreux écrits catholiques antérieurs au 20e siècle ont été brûlés au début des années 2010. J’ai été témoin de cet autodafé dans un ancien monastère qui avait été récupéré par une institution humanitaire. Le personnel avait ordre de brûler tous les livres évoquant la pensée catholique traditionnelle (témoignage des saints en faveur de Jésus-Christ, histoire de France rédigée par des catholiques, vie des saints, etc.). J’ai pu sauver une partie de ces livres en les cachant et en les sortant le soir venu. Cela m’a permis de découvrir l’histoire de France selon les traditions de l’Église et non selon les balivernes rédigées au 20e siècle par des hurluberlus, des nihilistes et des revanchards.
Ainsi, le processus de sanctification devient de plus en plus providentiel, c’est-à-dire rare. Les saints ne sont plus nourris aux biberons de l’Église contemporaine. Les individus sont transcendés par la Providence elle-même, c’est-à-dire par les épreuves qui ont rythmé leur vie individuelle. Sans prise de conscience des notions du bien et du mal, les individus ne peuvent plus prétendre à la sainteté.
Dans notre siècle soumis à l’athéisme, ce sont les épreuves personnelles, parfois terribles, qui appellent certains individus à l’amour de Dieu. Ces individus ont bien souvent connu de terribles moments de souffrance, telle l’humiliation physique et/ou mentale. Ils peuvent également avoir été odieux envers les autres et punis en retour par une maladie non létale ou des événements tragiques. On peut percevoir dans ces terribles évènements un effet de la Providence qui veut transcender les individus. Un homme qui n’a pas connu le chagrin est, bien souvent, dans l’incapacité de prendre conscience de la tragédie humaine. Sans prise de conscience, les individus acceptent d’être les collaborateurs plus ou moins zélés des idéologies mortifères de leur siècle.
La numérisation du monde contribue à favoriser des idéologies de plus en plus complexes auxquelles il est souvent difficile d’opposer des objections. Les nouveaux concepts issus de l’intelligence artificielle vont prochainement inonder notre civilisation à l’aide des smartphones et autres équipements connectés à l’Internet. La force de l’illusion sera de plus en plus puissante et il sera nécessaire de s’y soustraire ou d’en mourir. Cette mort sera avant tout spirituelle puisqu’elle entraînera les individus à adorer des chimères et à accepter de vivre sous un joug virtuel. Les résistants pourraient être condamnés à mort par famine à l’aide d’une interface d’administration. Ainsi, sur simple ordre d’une autorité politique, un administrateur pourrait bannir un individu en appuyant sur un bouton. Dès lors, l’individu perdrait tout financement et serait dans l’incapacité de payer son logement et sa nourriture. L’autorité suprême pourrait imposer n’importe quelle idéologie à l’aide du chantage numérique. Ainsi, la mort ne serait plus donnée par des armes, dans des camps de concentration ou par des injections de produits expérimentaux mais par bannissement numérique.
Dans un proche futur, les individus qui auront subi de grandes épreuves pourraient devenir de grands saints à l’image de ceux qui, autrefois, se privaient de nourriture et se détournaient des sens pour vivre de l’amour de Dieu. À l’image des cruels empereurs romains, les odieux maîtres de la future civilisation numérique pourraient, malgré eux, refaire fleurir une église catholique, apostolique et romaine. C’est du sang des martyrs que l’Église renaîtra de ses cendres. Des saints parcourront le sol de France pour libérer la foule de l’oppression à l’aide de leurs magnifiques sermons.
« Jésus dit donc aux Juifs qui avaient cru en lui: « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres ». (Évangiles de Jésus-Christ selon saint Jean 8:31-32)
La tyrannie progresse à grands pas, et ce, plus particulièrement, depuis l’année 2020. Les véritables tyrans portent un masque pour ne pas être reconnus. Comme le dit le Christ, ils détestent la Lumière, se cachent dans les ténèbres pour ne pas montrer leurs œuvres parce que celles-ci sont mauvaises. Si leurs œuvres étaient bonnes, ils les montreraient au grand jour.
Ce sont les ennemis de l’humanité qui cultivent la haine de ceux qui ne font pas partie de leur famille. Ils se disent entre eux :
« Vite, hâtons-nous de faire progresser la technologie1 pour que nous puissions nous l’accaparer2 grâce aux milliards de dollars que nous avons arraché aux peuples en abolissant l’usure3, ce qui nous a permis de créer4 les taux d’intérêts bancaires. Les théories économiques5 ont rendu légitime l’enrichissement financier consécutif à la prise de risques de l’entrepreneur. Nous savons tous que ceux qui réussissent dans les affaires sont ceux qui manifestent peu de scrupules6. C’est avec un cœur de pierre7 que nous pouvons prospérer et nous enrichir. Depuis la Renaissance, nos ancêtres se sont démenés pour que la science8 nous donne, un jour, le moyen de contrôler la populace, cette masse informe et infâme que nous haïssons depuis toujours. Combien la Royal Society9 a été utile pour la construction de notre grand projet. »
Les hommes démons10, couards parmi les faibles, orgueilleux parmi les superbes, infâmes par leur lâcheté, rêvent de dominer le monde par la tyrannie11. La nature humaine n’est pas compatible12 avec le numérique, c’est pourquoi les chantres de l’industrie numérique veulent pucer13 les gens. Ils espèrent ainsi obtenir des esclaves consentants et parfaitement serviles, heureux de leur propre condition. Les villes du quart d’heure14 seraient alors de nouveaux lieux de servage.
Pour stopper cette tyrannie satanique, nous avons besoin de héros des temps modernes, des chevaliers sans peur et sans reproche, c’est-à-dire d’hommes vaillants et purs, qui lutteraient à la fois pour « la vérité de l’Amour » et « l’amour de la Vérité ». Ces vaillants héros pourraient être des enquêteurs, des journalistes, des militaires, des jardiniers ou des quidams qui s’infiltreraient dans les méandres de la civilisation pour démasquer ceux qui haïssent15 Dieu et Sa Lumière, ceux qui portent un masque pour ne pas être reconnus. C’est en se débarrassant de leur peur que ces héros vaincront et démantèleront ceux qui rêvent de transformer le monde en une immense boule à neige16.
C’est l’antique tradition, celle qui enseigne les vertus cardinales et théologales, qui mettra à mort le monde technologique dépourvu de morale et de charité. Ainsi, ceux qui sauveront le monde sont ceux qui aiment de tout leur cœur la « Cité de Dieu » selon le grand saint Augustin.
Alléluia !
Stéphane
24 septembre 2023
1Par technologie, nous entendons « les nouvelles technologies numériques »
2Les recherches sont financées par des budgets étatiques, des ressources contractuelles externes ou par des fonds propres
3La pratique de l’usure, sous la forme de prêt à intérêt, est condamnée par l’Église à la fois pour des raisons morales et religieuses qui s’opposent à la politique.
4Les philosophes des Lumières ont contribué à rendre légitime les taux d’intérêts à l’époque de la Révolution française
5Se référer aux théoriciens classiques tels Adam Smith, Thomas Malthus, David Ricardo, Jean-Baptiste Say et Frédéric Bastiat.
6C’est à l’aide de techniques mathématiques toujours plus sophistiquées que les hommes dénués de morale peuvent s’enrichir
7Les hommes sans foi ni loi n’ont aucune honte à engranger des milliards qu’ils utilisent pour leur propre profit, mangeant et buvant pendant que des peuples entiers meurent de faim à travers le monde
8La science sans conscience n’est que ruine de l’âme selon Rabelais
9La Royal Society est une institution fondée en 1660 siégeant au Carlton House Terrace à Londres et destinée à la promotion des sciences. La devise de cette institution consiste à établir la vérité dans le domaine scientifique sans recourir à l’autorité d’une personne et en se fondant exclusivement sur l’expérience.
10Nous appelons « hommes démons » ceux qui gouvernent le monde mais refusent de l’assumer publiquement. Ils souhaitent rester dans l’anonymat, c’est pourquoi ils vénèrent les « masques » antiques qui cachent le visage des guerriers. Ceux qui agissent dans l’ombre sont particulièrement dangereux parce qu’ils peuvent laisser libre-court à leur folie. Ces personnes existent et nous en avons rencontré au début des années 2000. Elles sont proches des mouvements Hermétistes, Théurgiques, Occultistes. Elles font partie des mouvements « M-o-r-y-a » proches d’Hélène Blavatsky et entretiennent le mythe de l’immortalité de Saint-Germain. Elles vénèrent un culte à Isis, au Phoenix, etc. Elles sont particulièrement infiltrées dans les milieux humanistes.
11Le dictât dit de gauche mène à la boucherie nazie et à toutes les débauches hitlériennes.
12Les êtres humains sont biologiques. A ce titre, ils ressentent des émotions, ont des besoins fondamentaux comme se nourrir et dormir. Les êtres biologiques sont profondément irréconciliables avec le monde numérique qui est constitué d’une logique binaire, c’est-à-dire d’une méthode de calcul basée sur les 2 chiffres 0 et 1. Se référer au philosophe luthérien Gottfried Leibniz et au mathématicien George Boole. En réalité, l’invention de cette méthode de calcul repose sur le Yi Jing, œuvre chinoise, qui a été reprise par Goffrield Leibniz et améliorée par George Boole.
13Le puçage des gens consiste à ouvrir le crâne lors d’une opération chirurgicale pour y déposer un composant électronique connecté en permanence à l’Internet pour servir de base de données au cerveau humain. Cette méthode expérimentale est purement folle. Le cerveau humain n’est pas fait pour être connecté à l’Internet. Notre esprit fonctionne selon des cycles de repos et de travail qui ne lui permettent pas de rester connecté en permanence à une source de données externe. Les données transmises depuis l’Internet vers la puce cérébrale peuvent engendrer d’incommensurables dégâts en agissant comme un cheval de Troie. Par exemple, le cerveau peut rentrer dans une boucle infinie qui finirait par le faire imploser à la manière d’une bombe logique. Il est fort à parier qu’une telle technologie engendrerait de graves troubles psychologiques et déclencherait des maladies jusqu’alors inconnues.
14Les villes du quart d’heure ne sont pas un mythe, elles sont enseignées depuis de nombreuses années en faculté informatique. Le vélo électrique et la marche sont les piliers de cette ville puisqu’ils obligent les habitants les plus pauvres à se déplacer sur une courte distance. La voiture électrique permettrait également de limiter les déplacements de la population à quelques centaines de kilomètres et son prix serait prohibitif pour faire en sorte que seule la classe moyenne puisse l’acquérir ou la louer. Les plus riches, eux, pourraient continuer d’utiliser les moyens de locomotion traditionnels et dits polluants (jets privés, hélicoptères, SUV, moto de gros cylindres, etc.). Dans ce nouveau monde, les plus pauvres sont ceux qui refusent de se plier à la loi de l’industrie technologique, notamment les monothéistes (sans aucune prise de position et sans rentrer dans les traditionnels débats entre les 3 religions) et les opposants au nouveau monde. Le woke est le mouvement de pensée de ce nouveau monde qui classifie les gens selon leur couleur de peau, leur obéissance servile à une jouissance sexuelle débridée et sans morale. Le nouveau monde est à l’exact opposé de celui enseigné traditionnellement par l’Église catholique, apostolique et romaine. L’homme dit du futur est un être dénué de conscience, servile, dont sont corps sert de réceptacle sexuel à ses maîtres.
15Bien que terrifiant, le film « Black Phone » est intéressant parce qu’il décrit à la perfection l’état psychologique de ceux qui veulent régner sur le nouveau monde. Ce sont des pervers portant des masques terrifiants à l’image du démon qui ne peuvent se résoudre à vivre sans leur anonymat. Ils ont la terreur de leur propre condition humaine qui leur rappelle leur propre mortalité. Le port d’un masque terrifiant leur permet de vivre dans un monde issu de leur folie psychopathologique où ils seraient les dominants, où ils pourraient châtier ceux qui refuseraient de leur obéir aveuglément. Ce sont les anti-héros du nouveau monde. Leur point faible sont les héros, ces hommes qui ont vaincu leur peur et vivent de la foi en Dieu. Les héros sont les saints des temps modernes qui aiment le vrai Dieu plus que tout au monde. Leur esprit vit dans la Lumière, par La lumière et pour la Lumière. Leur rôle est d’enlever le masque de ceux qui veulent rester cachés dans l’ombre. Ils utilisent toutes les techniques de la morale pour démasquer les vils. A ce titre, les héros sont les enfants de la Vierge Marie selon saint Louis-Marie Grignion De Montfort.
16La boule à neige est cet objet sphérique qui lorsqu’on le retourne fait tomber de la neige sur le décor situé à l’intérieur de celui-ci. Les hommes qui se disent puissants grâce à leur ruse démoniaque souhaitent faire du monde leur jouet qu’ils pourraient manipuler selon leur guise. Dans leur esprit tordu, il leur suffirait de dire « reste debout sur une seule jambe pendant 8 heures d’affilée », « fais-toi injecter cette substance sans rechigner », « laisse-toi faire pour mon plus grand plaisir », « bouffe des insectes pendant que je mange du foie gras et du caviar », « fais-toi pucer pendant que mon fils utilisera la manette qui te pilotera », « sois-mon esclave et tais-toi » pour que l’ensemble de la population leur obéisse.
Voici le sixième épisode du feuilleton « le roi du Sacré-Cœur face à la dictature du nouvel ordre mondial ».
« Je dois admettre que vos arguments sont raisonnables cette fois-ci. Mais vous semblez ne pas considérer l’économie comme une priorité. J’ai bien peur que votre projet ne tombe à l’eau si vous tenez seulement compte des saints et laissez de côté les réalités de ce bas monde », lança Pierre en fermant les poings.
— Vous vous trompez cher ami. Il est tout à fait possible de concilier sainteté et économie. Pour vivre dans une société rustique, les hommes doivent travailler et produire des marchandises utiles à la civilisation. Prenez l’exemple des pères qui œuvrent dans les monastères pour produire de la bière, des fromages et toutes sortes de délicieux mets. Le monastère met en vente les produits. L’argent récolté permet au monastère de réinvestir dans du matériel et à la communauté de vivre dignement sans toutefois se focaliser sur les bénéfices. La qualité des denrées produites donne à l’ouvrier l’envie de travailler pour le bien commun. En cela il bénit le Seigneur. Un salaire donne le logis et le couvert. Une vie simple dans une saine civilisation procure beaucoup plus de joie qu’un gros salaire gagné dans une société dominée par le stress et l’agitation. Les conditions de vie d’un moine brasseur sont certainement meilleures qu’un directeur qui doit répercuter la pression de sa hiérarchie sur ses subalternes. Ce que je veux vous dire, c’est que l’économie doit être basée sur le réel, comme autrefois. Ainsi, il faut évaluer la valeur d’une denrée et faire payer le juste prix. Les théories économiques peuvent être réutilisées, mais, pour cela, il est nécessaire d’expurger tout ce qui n’est pas conforme à la foi catholique. Je n’ai pas d’exemple à vous donner, car, je ne suis pas un expert en ce domaine, mais, je connais la base des théories économiques pour les avoir étudiées. Il existera toujours de bons experts qui se réjouiraient à l’idée de pouvoir contribuer à une meilleure civilisation. N’oublions pas que tout doit être basé sur la fidélité aux commandements de Dieu. Sans cela, toute civilisation est vouée à la mort », énonça Henri en écoutant le vent.
— À vous entendre parler, j’ai l’impression que vous vous considérez comme un roi de France, lança Pierre sur un ton irrité.
— Je ne fais que réfléchir à une meilleure civilisation dominée par la foi catholique. Sachez que Dieu seul sait qui est le roi car selon les prophéties le retour de Jésus-Christ doit se faire tout de suite après l’apparition de l’antéchrist. Cet homme pervers imitera le Christ et voudra se faire comparable à Notre Seigneur. Dès l’enfance, il montrera des signes d’abomination et fera de faux prodiges. En attendant cette terrible époque, il est prophétisé que le lieutenant du Christ sera désigné au Pré Carré de Sainte-Anne d’Auray, lieu béni et consacré aux deux Cœurs Unis de Jésus et de Marie par l’évêque de Vannes. Donc, celui qui s’autoproclame roi est forcément un imposteur puisque seul le Seigneur désignera son véritable serviteur, dit Henri en désignant la première station du Christ de Valfleury.
— Je ne comprends pas pourquoi vous vous acharnez à réfléchir à cette civilisation si vous même ne savez pas si vous serez roi, s’exclama Pierre.
— Nous devons participer à la cité de Dieu en y mettant notre cœur et nos dons. Ainsi, j’espère participer spirituellement à cette nouvelle France que je ne verrai peut-être pas de mon vivant. Le démon veut régner par le haut en imposant au monde sa tyrannie. Eh bien, à mon humble avis, le Seigneur demanderait à son lieutenant de régner par le bas. En ce sens, le roi pourrait organiser à la perfection un modèle de village catholique et propager ensuite ce modèle à la nation. Il se déplacerait dans toute la France pour rencontrer les habitants et leur prodiguer de saints conseils temporels. Ce pèlerinage national lui permettrait d’élire sept ministres. Ces hommes seraient aguerris, robustes et saints pour l’aider à gouverner le royaume du Sacré-Cœur. Je suis certain qu’une loi interdisant les armes serait promulguée sous son règne afin que la paix règne véritablement. Ce sont ses décrets, sa réforme de la nation qui feraient de lui un homme dur envers les mauvais et bons envers les doux parce que le glaive de Dieu est à deux tranchants. C’est de sa bouche et de sa plume, à la manière de saint Augustin, que sortiraient les nouveaux codes de loi abolissant la république et réformant en profondeur la monarchie. Ce serait, en ce sens, le dernier grand roi à venir sur terre avant l’arrivée de l’antéchrist et de ses armées diaboliques. L’antéchrist remettrait en route tout ce que ce roi aurait arrêté. Ainsi, l’iniquité qui existait avant le règne du roi serait remise en service. La corruption redeviendrait la principale loi sous sa tyrannie infernale. Ce serait alors la preuve que le démon a envoyé son fils corrupteur pour arracher l’œuvre de saint Michel, expliqua Henri en faisant le signe de croix.
— Qu’est-ce que vient faire là saint Michel ? s’écria Pierre qui faillit s’étouffer.
— Saint Michel est le protecteur des nations et le rempart contre le mal. On peut voir une parabole de cet ange dans l’incarnation de ce roi. Par ses écrits, le roi du Sacré-Cœur rappellerait à tout un chacun que personne ne peut égaler Dieu. On pourrait donc lire en filigrane dans ses écrits « qui est comme Dieu ? », dit Henri.
— Cette explication est vraiment alambiquée, s’étouffa Pierre.
— Oui, je comprends votre point de vue mais ceux qui auront la chance de connaître cette sainte époque comprendront certainement ce que j’ai voulu dire, répondit calmement Henri.
— Vos propos sont étranges et dérangeants l’ami, dit Pierre en se tapant le front.
— Ne prenez pas pour argent comptant ce que je vous dis. Seul Dieu nous révélera la vérité en temps voulu. Dans tous les cas, il est évident que la civilisation actuelle va à la destruction. Si l’antéchrist est un système, et il est effectivement un système, il devrait également s’incarner dans un homme pour parachever les écritures. Il faut que le démon se montre physiquement et règne pendant trois temps et demi jusqu’à ce qu’il soit détruit par le souffle du Seigneur. Et là, Jésus-Christ reviendra du Ciel pour proclamer le Jugement Dernier, répondit Henri.
— J’en ai assez entendu pour ce soir » dit Pierre.
Le vent soufflait tandis que la pénombre s’installait sur Valfleury. Tandis que Pierre se retournait en direction d’Henri, le banc de pierre était vide. À sa place se trouvait une petite médaille de saint Michel. Saisis de stupeur, Pierre pris l’objet et l’étudia dans la pénombre. La phrase « Quis ut Deus » était inscrite au dos du bijou. Pierre s’agenouilla aussitôt et fit le signe de croix. Il se demandait s’il était devenu fou ou s’il avait réellement rencontré Henri.
Pierre se leva. Il descendit le chemin de Croix et remonta en direction de la Basilique. Il marcha jusqu’au parking pour récupérer sa voiture. Tandis qu’il alluma le moteur, il entendit en son for intérieur une voix qui lui dit « n’aie pas peur Pierre. Ta petite nièce Caroline se convertira au catholicisme et aura des enfants. Sa vie sera heureuse dans un temps bénit. Elle et ses enfants connaîtront celui qui régnera sur la France. Tu seras un bon ministre et assisteras au Concile qui réformera ma Sainte Église. Va en Paix. »
Il démarra tandis que des larmes de joie coulaient sur ses joues. Il remercia le Seigneur et rentra chez lui. Cher ami lecteur, conservez précieusement les vertus théologales, la foi, l’espérance et la charité. Dieu vous bénisse en ces temps troublés !
Voici le cinquième épisode du feuilleton « le roi du Sacré-Cœur face à la dictature du nouvel ordre mondial ».
« Bien, pourquoi dites-vous « notre travail ». Je n’ai jamais dit que je participerai à une telle civilisation, lança Pierre sur un ton plus posé.
— Le terme « notre travail » signifie qu’il serait nécessaire de faire appel aux gens les plus compétents et les plus sages. Les gens de bonne volonté seraient indispensables à la création d’un royaume du Christ-Roi. En incluant la population, nous garantirions la stabilité de la civilisation. Ainsi, les élections n’auraient plus cours, sauf à un niveau local pour désigner les personnes qui sembleraient les plus aptes à répondre à une situation donnée. Autrefois, le vote était utilisé non pas pour élire des représentants mais pour élire des personnes compétentes. Nous n’avons pas besoin de représentant qui sache bien parler. Les politiciens n’auraient plus aucun rôle à jouer dans notre royaume. Il faudrait leur substituer un conseil constitué de 72 sages, ce fameux nombre biblique. Ces personnes auraient prouvé leurs valeurs morales au cours de leur carrière et mériteraient d’être élevées à un poste important pour l’équilibre de la nation. Il serait également possible de constituer des conseils locaux, c’est-à-dire municipaux, constitués de 7 sages. Nous garantirions ainsi des prises de décision sensées et conformes à la tradition catholique. La démocratie n’existerait plus puisque les élections seraient basées sur la sagesse et non pas sur l’opinion publique. Le peuple ne sait pas ce qui est bon pour lui, et surtout, la démocratie est un système qui s’est entièrement perverti, dit Henri.
— J’ai plusieurs objections ! lança Pierre d’une voix forte. Que feriez-vous des institutions existantes et comment pouvez-dire que le peuple ne sait pas ce qui est bon pour lui !
— Il faut considérer que si la France devait être reconstruite, les institutions seraient déjà bien abîmées, et, voire, même à l’arrêt. Nous ne pouvons pas considérer ces propos dans la France actuelle, puisque sans souffrance rien ne changerait. Ensuite, le peuple ne sait pas ce qui est bon pour lui d’un point de vue général, et ce, pour une raison assez simple. L’éducation a morcelé les savoirs, ce qui fait de nous des spécialistes dans un domaine et des aveugles dans les autres. Ainsi, la plupart des personnes ne s’intéressent pas à ce qu’elles ne connaissent pas, et ce, même si elles donnent leur avis. Je reconnais être un spécialiste dans mon domaine et un ignare dans beaucoup d’autres. Toutefois, les vertus cardinales et théologales, la morale et la rhétorique sont des boussoles qui nous donnent le sens de Dieu et une vision globale. Dans tous les cas, il ne faut pas craindre de déléguer les tâches que nous ne pourrions pas assumer. En ce sens, il est nécessaire de confier les affaires temporelles à des spécialistes qui honorent les commandements du Seigneur. Toute chose doit être faite en gardant à l’esprit que nous servons Jésus-Christ. Pour nous y aider, souvenons-nous du Jugement Dernier, moment d’apothéose où chacun d’entre nous sera jugé devant toutes les générations, expliqua Henri.
— Puisque vous parlez de l’éducation, que feriez-vous pour améliorer l’éducation de la jeunesse ? demanda Pierre en scrutant la réaction d’Henri.
— Les méthodes ancestrales ont fait leurs preuves. Nous devons confier l’éducation à de bons prêtres qui enseigneraient dès lors l’écriture, les mathématiques et surtout la religion pour former des enfants sains d’esprit en vue de devenir de futurs saints. Autrefois, il était impossible de tromper les jeunes catholiques parce qu’ils savaient repérer les hérésies les plus légères et n’acceptaient pas le péché. Ainsi, les mauvaises personnes étaient détectées et facilement écartées de la société. En ce temps-là, la Sainte Église aimait vraiment le Christ et, de ce fait, servait la société du mieux que possible. Combien le Christ était heureux de voir la France si obéissante envers ses divins commandements. Une odeur de sainteté régnait dans nos contrées et il faisait bon s’y promener. L’amour de Dieu rendait la France si paisible, si douce, si calme, si belle. Elle était vraiment à l’image de Jésus-Christ, répondit Henri en regardant l’ancien calvaire qui conservait toujours sa splendeur.
— Que feriez-vous pour le lycée et la faculté ? Vous semblez seulement concentré sur les enfants, souffla Pierre.
— L’enseignement est comparable à un édifice. Lorsque la base est solide, le bâtiment devient indestructible au fur et à mesure de sa construction. Dès lors, il est possible d’enseigner un niveau de catéchisme plus complexe au lycée, et, de ce catéchisme pourraient découler les sciences morales et bien plus encore. Les professeurs, en tant que bons serviteurs du Christ, pourraient développer des cours complexes et intelligibles. Parmi eux, il y aurait certainement de nombreux saints qui auraient à cœur de former des âmes à la fois pieuses et intelligentes. Je ne m’inquiète pas pour l’enseignement supérieur puisque je suis sûr que le Seigneur nous donnerait une moisson abondante : la plupart des professeurs seraient tout simplement zélés pour leurs ouailles. Lorsque le cercle vertueux est enclenché, la société prospère un peu plus chaque jour. La foi, l’espérance et la charité donnent des ailes aux gens de bonne volonté, racontait Henri en souriant paisiblement.
— Vous êtes toujours aussi optimiste ? Vous avez l’art et la manière de raconter des histoires qui pourraient nous faire croire que le monde est simple, lança Pierre d’un air dédaigneux.
— Vous voulez dire que je suis réaliste. Sans le Christ, la civilisation part à sa destruction. Tandis que lorsque le Christ est à la tête de la civilisation, c’est-à-dire que lorsque le Christ-Roi règne dans les cœurs, la civilisation tend vers la sagesse puisqu’elle suit les commandements de Dieu. Par exemple, de nos jours, le monde suit l’exemple du démon. Les gens se comportent de manière insensée, croient en des balivernes, se laissent influencer par les vidéos de propagande, refusent de considérer le bien. Nous voyons que tout va de mal en pis. Les décisions prises au plus haut niveau sont de plus en plus absurdes et tendent à la tyrannie. Nous avons là le signe de la Bête. Le démon règne dans les âmes. Il envoie la civilisation vers le chaos en renforçant la colère, la rancœur et tout un panel de mauvais sentiments. La guerre est à nos portes. Dans un monde démoniaque, il n’y a nulle paix. En considérant cette vérité, vous pouvez être sûr de voir exactement l’inverse dans une civilisation réellement catholique. Se sentir aimé, en sécurité et marcher paisiblement dans sa ville ou son village et avoir le cœur léger sont les caractéristiques d’une société qui aime Dieu. Cela me fait penser qu’autrefois les bonnes sœurs étaient appelées « les hirondelles du Bon Dieu » par les musulmans en terre d’Islam parce qu’elles soignaient les gens sans considérer leur origine ou leur religion. Leur candeur leur permettait de considérer le monde avec des yeux d’enfants. Combien elles étaient aimées et aimantes. Combien Dieu vivait dans leur cœur. C’est en rendant les gens comparables à des enfants que la civilisation pourra s’apaiser, justifia Henri en levant les mains au ciel.
— L’argument qui circulait à notre époque était justement de dire que les gens étaient trop naïfs et ne connaissaient rien à leur propre corps. Le gouvernement a réformé l’éducation pour enseigner la sexualité et faire prendre conscience à des générations entières de leur propre existence, s’amusa Pierre.
— Ces arguments sont fallacieux. Ne voyez-vous pas que les gouvernements successifs ont renforcé l’orgueil de chacun d’entre nous ? Nous avons pris conscience du fonctionnement de notre corps, et en cela, ils ont détruit l’innocence et nous ont empêché de considérer le surnaturel. Lorsque l’on ne connaît pas le fonctionnement de son corps, on se rapproche naturellement de Dieu parce que l’on se considère comme un enfant très pur. Autrefois, on considérait que la reproduction suffisait et on ne prêtait aucune attention à la sexualité. On n’abordait jamais le sujet en société. C’est ainsi que l’on formait des saints. La pudeur était naturelle et ancrée dans les âmes. Ainsi, les femmes pouvaient porter le voile catholique sans que quiconque ne s’en offusque. Les formes étaient cachées sous des robes amples et les hommes n’étaient pas tentés. Combien les gens de cette époque étaient heureux de ne pas connaître toutes les horreurs qu’on nous montre aujourd’hui. Dans une telle civilisation, les brigands devaient se terrer et ils étaient très minoritaires contrairement à ce que l’on veut nous faire croire. Même si les malandrins ont toujours existé, ceux-ci étaient inférieurs en nombre et la supériorité de la sainteté permettait d’affermir la civilisation. La maison était construite sur un roc : “Quiconque donc entend ces paroles que je dis, et les met en pratique, sera semblable à un homme sensé, qui a bâti sa maison sur le roc : la pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont déchaînés contre cette maison, et elle n’a pas été renversée, car elle avait été fondée sur la pierre”, Évangiles de Jésus-Christ selon saint Matthieu 7:24, exulta Henri en repensant à cette époque bénie.
— Je dois admettre que vos arguments sont raisonnables cette fois-ci. Mais vous semblez ne pas considérer l’économie comme une priorité. J’ai bien peur que votre projet ne tombe à l’eau si vous tenez seulement compte des saints et laissez de côté les réalités de ce bas monde », lança Pierre en fermant les poings.
— Vous vous trompez cher ami. Il est tout à fait possible de concilier sainteté et économie. Pour vivre dans une société rustique, les hommes doivent travailler et produire des marchandises utiles à la civilisation. Prenez l’exemple des pères qui œuvrent dans les monastères pour produire de la bière, des fromages et toutes sortes de délicieux mets. Le monastère met en vente les produits. L’argent récolté permet au monastère de réinvestir dans du matériel et à la communauté de vivre dignement sans toutefois se focaliser sur les bénéfices. La qualité des denrées produites donne à l’ouvrier l’envie de travailler pour le bien commun. En cela il bénit le Seigneur. Un salaire donne le logis et le couvert. Une vie simple dans une saine civilisation procure beaucoup plus de joie qu’un gros salaire gagné dans une civilisation dominée par le stress et l’agitation. Les conditions de vie d’un moine brasseur sont certainement meilleures qu’un directeur qui doit répercuter le stress de sa hiérarchie sur ses subalternes. Ce que je veux vous dire, c’est que l’économie doit être basée sur le réel, comme autrefois. Ainsi, il faut évaluer la valeur d’une denrée et faire payer le juste prix. Les théories économiques peuvent être réutilisées, mais, pour cela, il est nécessaire d’expurger tout ce qui n’est pas conforme à la foi catholique. Je n’ai pas d’exemple à vous donner, car, je ne suis pas un expert en ce domaine, mais, je connais la base des théories économiques pour les avoir étudiées. Il existera toujours de bons experts qui se réjouiraient à l’idée de pouvoir contribuer à une meilleure civilisation. N’oublions pas que tout doit être basé sur la fidélité aux commandements de Dieu. Sans cela, toute civilisation est vouée à la mort », énonça Henri en écoutant le vent.
Voici le quatrième épisode du feuilleton « le roi du Sacré-Cœur face à la dictature du nouvel ordre mondial ».
« Non, c’est cette réalité apparente qui vous semble terrible. Ceux qui font le mal se terrent et cachent leurs mauvaises œuvres parce qu’ils ont peur de dévoiler leurs méfaits au grand jour. En ce sens, ils ont peur de la Lumière. Les hommes bons, eux, se montrent parce qu’ils n’ont rien à cacher. Nous pouvons constater que ceux qui ont de l’influence essayent de cacher ce qu’ils font. Ainsi, leur vie privée est bien plus importante que celle de tout-un-chacun. La dureté de mes propos vous effraye parce que ce modèle de civilisation vous semble injuste. Or, une civilisation qui se veut juste doit être ferme dans le Bien. Et pour cela, il est nécessaire de châtier ceux qui refusent de participer au bien commun. Il est également indispensable d’éduquer, de réformer, de promouvoir les actes de charité, d’encourager les gens à faire le bien autour d’eux. Réformer une civilisation qui a passé plusieurs siècles dans la malice est une tâche d’une incommensurable difficulté.
— Très bien. Je vais jouer le jeu. Que ferez-vous pour réformer la presse et les médias par exemple, dit Pierre en souriant malicieusement.
— Je dirai plutôt que « feriez-vous » pour réformer la presse et les médias. Seul Dieu est maître du temps, ne l’oublions jamais, objecta Henri.
— Oui, vous avez raison l’ami. Eh bien, détaillez-moi votre plan et j’essayerai de le réfuter, ricana Pierre.
— Je commencerais par interdire toute presse qui serait financée ou sous influence de lobbies mondialistes. Je ferais en sorte de réformer en profondeur les écoles de journalisme pour que les professionnels prêtent serment de fidélité aux commandements de Dieu afin qu’ils soient moralement intègres. Je promouvrais la presse religieuse tenue par des congrégations. La direction de ces presses devrait prêter serment de fidélité à Dieu afin que les équipes soient constituées de personnes de confiance, expliqua Henri pendant que Pierre souhaitait lui couper la parole.
— C’est tout simplement impossible. Comment ces presses pourraient vivre si vous coupez leur financement ! s’écria Pierre d’un air affolé.
— Il y a là une réforme profonde de la constitution pour abolir la loi de 1905 afin que la séparation de l’Église et de l’État n’existe plus. Ainsi, la Sainte Église pourrait reprendre des initiatives sur notre territoire et s’auto-financer par des dons et peut-être même obtenir des subventions en provenance du Vatican. Bien sûr, cela ne se ferait pas en un jour mais les premières presses pourraient recommencer à fonctionner en utilisant les techniques d’impressions industrielles si l’électricité était toujours opérationnelle, sinon elles recommenceraient à utiliser les anciennes presses qui, elles, ne demanderaient qu’à fonctionner de nouveau. L’encre et la sueur font bon ménage. Les technologies traditionnelles auraient toutes leurs places dans le royaume du Sacré-Cœur : la presse serait au service de l’Église comme au temps de Gutenberg. Par conséquent, cette bonne presse serait au service de Dieu pour convertir les âmes, expliqua calmement Henri.
— Votre idée m’a l’air trop simpliste pour être réaliste. N’oubliez pas qu’une grande partie de la presse publie ses articles sur l’Internet de nos jours. Qu’en serait-il alors ? s’amusa Pierre.
— L’Internet est une technologie qui est censée garantir la « neutralité du Net ». Le Cloud ne pourrait plus être une source fiable de stockage à cause des contrats restrictifs. Surtout, les propriétaires de ces réseaux virtuels, qui sont bien souvent américains, refuseraient de fournir au royaume de France son espace de stockage. Il faudrait utiliser d’anciens serveurs pour publier des sites ou s’allier à quelques nations qui seraient prêtes à collaborer avec le royaume de France. Je suis certain que des nations seraient prêtes à nous fournir du matériel informatique. Finalement, ce n’est pas l’informatique qui est importante, c’est la qualité des articles de presse. Il vaut mieux publier un quotidien papier d’une qualité remarquable que de jeter sur la toile des articles recopiés de ci-et-de-là sans vérifier leurs sources comme le font les journalistes contemporains. La civilisation du nombre doit faire place au royaume de la qualité, expliqua Henri.
— Puisque vous parlez de l’Internet, que pensez-vous des smartphones et comment les diffuseriez-vous ? lança Pierre en fixant Henri d’un air goguenard.
— Les smartphones sont dangereux pour la santé mentale de la population. La fabrication de cette technologie portable use inutilement les ressources en terre rare à travers la planète. Il faut arrêter leur production et interdire leur mise en vente… dit Henri tandis que Pierre lui coupa la parole.
— En cela vous êtes un tyran anti-technologique ! proclama Pierre.
— Non et je vais vous expliquer pourquoi. Le fait d’abolir le smartphone va contribuer à détricoter l’égoïsme qui sévit actuellement dans les pays occidentaux. Les utilisateurs qui ne posséderont plus cette technologie voudront de nouveau se regrouper et partager des moments ensembles. Cela signifie la réouverture de commerces de proximité, de lieux d’échange, de théâtres, d’expositions, etc. Surtout, la disparition du téléphone portable éviterait les pertes de temps. Par exemple, beaucoup de personnes passent leur temps à jouer au lieu de se consacrer à des tâches utiles comme s’instruire, réaliser des travaux, participer aux tâches ménagères, etc. Il vaudrait mieux réhabiliter le téléphone fixe, et ce, même si ce serait impossible à court terme à cause du déploiement de la fibre sur le territoire français et la fin des réseaux cuivrés. Vivre sans téléphonie serait dur au début, mais nous pourrions améliorer l’utilisation du courrier postal et développer des communications inter-urbaines. L’Internet ne doit plus être la principale technologie et il serait préférable de le réserver aux échanges militaires. Cela permettrait d’économiser la consommation électrique en éteignant les machines surnuméraires. Actuellement, l’Internet consomme autant que le secteur de l’aviation. C’est une plaie béante à l’échelle de la planète, expliqua Henri.
— Vous êtes digne d’un amish comme dirait le président de la république ! s’exclama Pierre d’une voix agacée.
— Non, il s’agit de repenser la totalité de la nation française. En ce sens, il y a un énorme travail de refonte et de retour aux traditions qui ont justement fait la France. Les puissants de ce monde veulent le progrès pour que le numérique soit la seule technologie utilisable, ainsi ils pourront contrôler la population dans un futur proche et personne ne pourrait échapper à leur autorité sans perdre la totalité de son confort. Or, il faut que des technologies plus traditionnelles soient remises en service pour que l’Internet ne puisse plus devenir le fer de lance des industries du numérique. L’émancipation du peuple passe par sa libération matérielle et seule la diversité des technologies pourrait assurer cet affranchissement. Tout d’abord, cela assurerait de l’emploi aux gens qui aiment utiliser leurs mains, dit Henri sur un ton très calme.
— Puisque vous semblez vouloir en venir aux travailleurs, que feriez-vous pour garantir leur protection ? s’amusa Pierre.
— Tout d’abord, il faudrait donner une grande autonomie aux travailleurs en remettant en vigueur les corporations. Chaque corps de métier regrouperait des artisans très hiérarchisés et amoureux du travail bien fait tout en garantissant leur protection sociale et spirituelle. L’autorité reviendrait aux artisans les plus gradés et les plus respectueux des commandements de Dieu. Dès lors, c’est la qualité du travail et la sagesse du travailleur qui primeraient. L’innovation et l’investissement ne seraient que des critères subalternes. Surtout l’intérêt des corporations est de vendre des produits de grande qualité et de former des travailleurs possédant une autorité pratiquement équivalente à celle de leur employeur. L’employeur qui financerait les corporations se dégagerait un salaire une à trois fois supérieur à l’artisan le plus gradé pour conserver une égalité et empêcher au patronat de s’accaparer le pouvoir par l’usure, dit Henri.
— Vous êtes marxiste maintenant ! s’écria Pierre qui semblait de plus en plus agité.
— Non, je ne suis pas marxiste. Nous devrions revenir à la tradition pour retrouver une forme de sagesse. C’est en proposant des valeurs réellement catholiques que nous pourrions apaiser la civilisation. L’ordre reviendrait progressivement au sein de la civilisation si nous agissions comme le ferait Notre-Seigneur Jésus-Christ. Mais attention, ne dites pas que j’ai dit que je connais les pensées du Christ. Jésus-Christ vivait dans une époque dénuée de matérialisme. S’Il était présent parmi nous, Il prônerait certainement la pauvreté et l’abandon comme en son temps. Personne ne peut dire ce qu’Il nous commanderait, toutefois nous avons Ses commandements qui nous rappellent de nous aimer les uns les autres. Si nous mettions en vigueur une civilisation basée sur ces valeurs moralement divines, nous aurions la chance de pouvoir remettre de l’ordre dans une civilisation dominée par la rapacité et l’iniquité. Notre travail ne serait qu’un avant-goût de ce que dirait le Christ lors de son retour, dit Henri sur un ton de plus en plus calme comme s’il souhaitait apaiser Pierre.
— Bien, pourquoi dites-vous « notre travail ». Je n’ai jamais dit que je participerai à une telle civilisation, lança Pierre sur un ton plus posé.
— Ce terme signifie qu’il serait nécessaire de faire appel aux gens les plus compétents et les plus sages. Les gens de bonne volonté seraient indispensables à la création d’un royaume du Christ-Roi. En y incluant la population, nous garantirions la stabilité de la civilisation. Ainsi, les élections n’auraient plus cours, sauf à un niveau local pour désigner les personnes qui sembleraient les plus aptes à répondre à une situation donnée. Autrefois, le vote était utilisé non pas pour élire des représentants mais pour élire des personnes compétentes. Nous n’avons pas besoin de représentant qui sache bien parler. Les politiciens n’auraient plus aucun rôle à jouer dans notre royaume. Il faudrait leur substituer un conseil constitué de 72 sages, ce fameux nombre biblique. Ces personnes auraient prouvé leurs valeurs morales au cours de leur carrière et mériteraient d’être élevées à un poste important pour l’équilibre de la nation. Il serait également possible de constituer des conseils locaux, c’est-à-dire municipaux, constitués de 7 sages. Nous garantirions ainsi des prises de décision sensées et conformes à la tradition catholique. La démocratie n’existerait plus puisque les élections seraient basées sur la sagesse et non pas sur l’opinion publique. Le peuple ne sait pas ce qui est bon pour lui, et surtout, la démocratie est un système qui s’est entièrement perverti, dit Henri.
Voici le troisième épisode du feuilleton « le roi du Sacré-Cœur face à la dictature du nouvel ordre mondial ».
« Le complotisme est un terme éculé qui n’a de sens que pour ceux qui sont étroits d’esprit. Le mal existe depuis la nuit des temps. Des hommes ont toujours voulu dominer le monde. Ceux qui possèdent des milliards souhaitent s’enrichir davantage et être une source d’influence pour la civilisation. Ils ne veulent en aucun cas perdre leur pouvoir sur nous, nous pouvons le constater avec l’influence des médias. Ainsi, pour faire taire ceux qui réfléchissent, ils ont inventé le terme fourre-tout « complotiste » qui est affreusement ridicule quand on y réfléchit un instant, exulta Henri.
— Vous me faites de plus en plus peur. Vous distillez dans mon esprit une vérité dérangeante qui tend à me réveiller. Vous mettez en valeur les forces du bien et du mal qui semblent s’affronter ici-bas. Il me semble presque croire que les humains sont comparables à un cheptel influencé tour à tour par des forces plus ou moins bienveillantes, répondit Pierre.
— C’est vous qui dites que l’humanité est un cheptel. Jésus-Christ nous enseigne que nous devons percevoir le monde avec notre cœur mais ce n’est pas donné à tout le monde. Beaucoup ne réfléchissent qu’à leurs propres intérêts sans considérer le lendemain. Si l’on observe bien, après l’apogée de la religion catholique, le calvinisme et le protestantisme ont divisé l’occident catholique en deux camps ennemis. Puis, au fil des siècles, les hérésies se sont multipliées, divisant les hommes toujours davantage. À notre époque, il n’existe plus qu’une poignée de fidèles catholiques. L’égoïsme a exacerbé la division de la société en l’éclatant, non plus en petits groupes, mais en individus orgueilleux qui rivalisent les uns les autres. Ainsi, il ne reste plus rien de l’immense civilisation catholique antérieure au XVIe siècle. En à peine 500 ans, l’Occident a perdu sa gloire et les guerres mondiales du XXe siècle ont fini de l’achever. Nous vivons, en ce moment même, dans une ère satanique. Les ennemis du Christ appellent cette époque « l’Âge d’Or » parce qu’ils peuvent régner en maître absolu grâce à la technologie qui est utilisée pour instaurer une tyrannie et non pas pour faire bénéficier l’humanité du progrès technologique. Ainsi, les milliardaires contribuent à enlaidir et maintenir l’humanité dans une ère démoniaque, c’est-à-dire dénué des vertus enseignées par Jésus-Christ. Nous sommes dans un mouvement descendant qui tend vers les ténèbres. Si Dieu n’arrête pas ce mouvement, l’humanité finira très mal, conclut Henri d’une voix grave.
— Comment pouvez-vous savoir que les ennemis de Dieu appellent notre époque « l’Âge d’Or ». Je n’ai jamais entendu parler de cela. Ou vous êtes un fou ou vous êtes un prophète ! lança Pierre.
— Je ne suis ni l’un ni l’autre. En réalité, j’ai côtoyé d’assez loin, il y a longtemps, des mouvements sectaires qui vendent des livres à prix d’or dans lesquels toutes leurs doctrines sont exposées, notamment la théosophie. Il suffit de taper les termes « morya théosophie » dans un navigateur pour découvrir de nombreuses sectes publiant des ouvrages qui peuvent rendre fous certaines personnes. J’ai assisté à la lente déchéance de connaissances qui ont chuté en lisant ces livres, certaines d’entre elles se sont mêmes suicidées. Grâce à la Providence, je me suis converti à la religion catholique et j’ai connu un prêtre, un excellent ami, aujourd’hui hélas défunt, qui a brûlé tous ces ouvrages et m’a récupéré par la prière et la pénitence. Combien j’ai dû payer pour me sortir de ce guêpier. La magie est dangereuse et même mortelle, car le démon rôde pour nous dévorer. La lumière ténébreuse est la plus dangereuse. Ne vous approchez jamais de ces dangereuses hérésies. Tout cela pour vous dire que ces gens ne se cachent pas et qu’ils savent parfaitement ce qu’ils font. Nous devons rester fidèles aux commandements du Christ afin d’être protégés. La très sainte Vierge Marie est un rempart contre le malin. Même si ce que je vous dis semble irrationnel, c’est malheureusement la vérité. Mais, heureusement pour vous, Dieu vous a tenu éloigné de ces maudites sectes, expliqua calmement Henri.
— Effectivement, je ne connais pas du tout ce milieu et je n’ai aucune envie de le connaître. J’ai la chance d’être né dans une famille catholique pratiquante. Même si je me suis éloigné de la foi, pour tout vous dire, ma venue à Valfleury n’est pas un hasard. Ce lieu est béni et j’avais besoin de méditer devant les stations du Christ ainsi que ce magnifique calvaire. Notre rencontre est certainement providentielle, confia Pierre.
— Oui, notre rencontre n’est pas fortuite. Elle me permet de vous expliquer beaucoup de choses en lien avec la religion. Le Seigneur vous appelle très certainement afin de rejoindre ses rangs. Les enfants du Christ sont sources de paix et de stabilité, c’est pourquoi ils sont méprisés par les puissants. Jésus-Christ a donné un modèle de société qui permet de s’émanciper totalement des tyrans. Ainsi, un monde sans argent est rendu possible. Ceci est une horreur pour ceux qui vénèrent l’idole de l’argent. Ils se prosternent jour et nuit devant la bourse en espérant s’enrichir un peu plus. Ils rêvent d’optimisation fiscale, de déduction d’impôts, de bénéfices sur les sociétés, de paradis fiscaux. En un mot, ils vivent pour Mammon, terme araméen qui signifie « richesse » mais également « idolâtrie ». Ils regardent leur portefeuille tandis que Dieu leur donne le souffle de vie. Ils méprisent les faibles, font travailler les enfants dans les mines, appauvrissent des millions de personnes pendant qu’ils gagnent des sommes faramineuses. En levant un doigt, ils peuvent expulser des familles entières. Certaines personnes ne mangent pas à leur faim et meurent même de famine dans certains pays, tandis que ces gens-là sont enfermés dans leur tour d’ivoire. Ils se baladent en jets privés et rêvassent en yachts pendant que des gens meurent à l’hôpital, dans les mines, dans les décombres, dans la solitude et bien pire encore. Il est tellement simple de fermer les yeux devant la souffrance. Se recentrer sur son petit nombril est plus simple que d’aller porter secours à des personnes, lança Henri.
— En vous écoutant, je pourrai croire que vous maudissez les milliardaires et que vous êtes le pire des communistes ! Vos propos sont vraiment effroyables… je ne connais pas votre prénom, répondit Pierre
— Henri, je m’appelle Henri. L’un de mes grands-pères était communiste, mais, je vous rassure je suis catholique. Je n’ai strictement rien à voir avec les mouvements d’extrême gauche même si j’ai étudié le communisme dans ma jeunesse. Je dénonce plutôt l’horreur de ceux qui peuvent ôter le pain de la bouche à des millions de personnes, et ce, en un seul instant. Pendant que certains jettent les dés sur le tapis vert en buvant un whisky et en fumant un cigare sur le pont du Titanic, d’autres meurent misérablement, expliqua Henri.
— Cela fait de vous un homme colérique ! lança Pierre.
— Allez dire ceci à Notre Seigneur qui a expulsé les marchands du temple à l’aide d’un fouet et comparé les scribes et les pharisiens à des sépulcres blanchis remplis d’ossements de morts. Jésus-Christ proclamait la Vérité de l’injustice de ce monde. Nous devons rappeler l’injustice engendrée par les puissants de ce monde. Si la civilisation contemporaine ne tournait plus autour de l’argent, les milliardaires ne seraient que des hommes dépossédés de leurs biens. Ce qu’ils ne veulent pas, c’est appartenir à la masse. Ils souhaitent à tout prix rester au-dessus de la mêlée par pur orgueil. Un changement de doctrines en Occident pourrait engendrer une catastrophe pour ces gens-là. Par exemple, un boycott des produits à base d’insectes et autres produits industriels issus de cette aberration permettrait à beaucoup de s’émanciper du nouvel ordre mondial. Sans la masse, ceux qui pensent être à la tête de la pyramide ne sont rien d’autres que des quidams. Cette pensée doit très certainement les terrifier, expliqua Henri.
— À vous entendre, je pourrai croire que vous souhaitez leur disparition, cracha Pierre.
— Non, le Seigneur nous a dit : « tu ne tueras point ». Si Dieu nous permettait de créer un royaume chrétien, il serait indispensable d’interdire l’usure. Ainsi, les milliardaires seraient déchus de leur fortune et devraient partager leurs biens. La propriété privée ne serait toutefois jamais abolie dans un tel royaume. Il faudrait que les propriétaires jurent sur la Bible de respecter les commandements de Dieu et de servir leurs prochains. Certains de ces milliardaires indignes devraient se mettre au service des plus nécessiteux. Par exemple, les femmes qui n’ont pas le temps d’effectuer certaines tâches ménagères, confieraient ces besognes à ces anciens riches. Ceux qui autrefois ne savaient rien faire hormis compter leur argent devraient participer à la civilisation au risque de ne pas être nourris. En cas de désobéissance, certains d’entre eux seraient même châtiés publiquement. Nous serions durs avec les forts et doux avec les démunis. Cela ne veut toutefois pas dire que nous reviendrions à la loi du Talion puisque le Seigneur l’a aboli. Nous ne rendrions pas œil pour œil et dent pour dent mais demanderions la conversion réelle et sincère de ceux qui voulaient s’autoproclamer empereurs, expliqua Henri.
— Ces propos sont tout simplement effroyables, objecta Pierre.
— Non, c’est cette réalité apparente qui vous semble terrible. Ceux qui font le mal se terrent et cachent leurs mauvaises œuvres parce qu’ils ont peur de dévoiler leurs méfaits au grand jour. En ce sens, ils ont peur de la Lumière. Les hommes bons, eux, se montrent parce qu’ils n’ont rien à cacher. Nous pouvons constater que ceux qui ont de l’influence essayent de cacher ce qu’ils font. Ainsi, leur vie privée est bien plus importante que celle de tout-un-chacun. La dureté de mes propos vous effraye parce que ce modèle de civilisation vous semble injuste. Or, une civilisation qui se veut juste doit être ferme dans le Bien. Et pour cela, il est nécessaire de châtier ceux qui refusent de participer au bien commun. Il est également indispensable d’éduquer, de réformer, de promouvoir les actes de charité, d’encourager les gens à faire le bien autour d’eux. Réformer une civilisation qui a passé plusieurs siècles dans la malice est une tâche d’une incommensurable difficulté.
— Très bien. Je vais jouer le jeu. Que ferez-vous pour réformer la presse et les médias par exemple, dit Pierre en souriant malicieusement.
Voici le deuxième épisode du feuilleton « le roi du Sacré-Cœur face à la dictature du nouvel ordre mondial ».
« Hélas ! Les églises sont encore désertes. Quelques rares personnes y viennent pour prier silencieusement. Les confessionnaux sont vides, les âmes sont esseulées, dit Henri.
— Vous avez dit « encore désertes », comme si vous sous-entendiez que les églises pourraient de nouveau se remplir. J’en profite pour me présenter, je m’appelle Pierre.
— Heureux de vous connaître Pierre. Vous avez bien compris. Effectivement, je suis persuadé que la France connaîtra une belle floraison. Ne sommes-nous pas appelés à la Vigne par le Seigneur ? rétorqua Henri.
— C’est une marque d’espérance qui n’est pas fréquente de nos jours. Pour ma part, j’ai peur que la France oublie ses racines. Je ne reconnais plus mon pays, dit Pierre d’un ton attristé.
— Faisons confiance au Seigneur. Dieu ne nous a jamais abandonné. La foi est certes difficile à conserver en notre époque, mais nous devons être forts, rétorqua Henri.
— Ces mots sont simples à prononcer mais combien il est difficile de faire face aux épreuves de notre époque, répondit Pierre.
— Citez-moi une hérésie qui vous affecte tout particulièrement. Par hérésie, j’entends une idée erronée qui favorise la décadence de notre civilisation, dit Henri en regardant Pierre.
— Le mot « woke » me vient spontanément, lança Pierre d’une voix chevrotante. Ma petite nièce Caroline, qui fête bientôt ses 21 ans, souhaite devenir un homme depuis qu’elle a entendu parler du mouvement sectaire aux couleurs arc-en-ciel. Elle porte une ceinture pour masquer sa poitrine, se coiffe comme un homme et se comporte comme tel depuis environ 4 ans. Comment lui faire comprendre qu’elle est née femme, que les opérations chirurgicales la rendront stérile ?
— Cher ami, notre époque a oublié les commandements du Christ. En cela, je ne vous apprends rien. Le progrès numérique entraîne de plus en plus de personnes vers une chute abyssale. Les idées qui progressent sur les réseaux sociaux sont bien souvent erronées et relayées en masse. Comme vous le savez, l’être humain est poussé instinctivement au mal et doit se reprendre pour faire le bien. Combien de saints savaient que notre nature est tellement fragile qu’il est nécessaire de conserver les hommes loin des idées du monde. Aujourd’hui, il n’y a plus aucun barrage pour stopper les idées folles. L’Église a malheureusement choisi de se réformer lors du concile Vatican II pour tendre vers un modernisme décomplexé. Ainsi, le Nouveau Testament n’est plus qu’un livre poussiéreux que beaucoup de gens ne connaissent plus. Les vidéos courtes qui jonchent les réseaux sociaux ne permettent plus aux jeunes de se focaliser et de réfléchir aux véritables problématiques. Ces vidéos courtes encouragent ceux qui les regardent à en voir encore davantage. Ainsi, le temps passé sur les écrans est véritablement perdu. Pendant ce temps, le Nouveau Testament reste fermé sur son étagère. Les idées qui pourraient arrêter la progression de la folie contemporaine ne circulent plus. L’Internet agit comme un puissant barrage contre la sagesse. Ainsi, le progrès est une avancée en direction du précipice. Le tout-numérique favorise le basculement de l’Occident dans un gouffre de châtiments. Par exemple, pendant que la jeunesse fait le choix de passer sont temps devant les écrans, les populations des BRICS s’entraînent, se renforcent et se préparent même à la guerre. Comme le disaient les musulmans un peu avant l’invasion de l’Andalousie : « les hommes d’Espagne sont devenus efféminés, il est temps pour nous d’aller à la conquête de leurs territoires ». Eh bien, nous sommes à une époque qui nous conduit à vers l’invasion et la destruction de ce qui reste de l’Occident. Notre-Seigneur Jésus-Christ nous avait prévenu d’une telle époque. Les douleurs seront terribles. Nous pouvons préciser que ces douleurs seront terribles parce que justement nous sommes habitués à vivre dans un redoutable confort. Si tout devait s’écrouler, la chute serait alors terrible puisque le confort disparaîtrait en quelques instants avec l’arrêt de l’électricité. Si nous voulons vraiment tendre vers la sagesse, dans la limite de nos capacités, nous devons lire les anciens ouvrages catholiques. Combien ils nous apprennent et nous tiennent éloignés du mal. Ainsi, pour répondre concrètement à votre question, je peux vous dire que Caroline doit apprendre à se désintoxiquer des réseaux sociaux pour pouvoir s’en sortir. C’est en lisant des théories qui peuvent l’aider qu’elle pourrait s’en sortir. La religion nous apprend qu’Adam et Eve forment le premier couple. Ainsi, Adam possède une identité et des caractéristiques tout comme Eve. Les théories occidentales contemporaines nient tout ce qui a été enseigné dans la religion catholique depuis les siècles des siècles. Les pensées erronées mènent forcément le monde au chaos. Seules les théories ancestrales qui prônent la sagesse peuvent parvenir à le stabiliser. Ainsi, Caroline doit faire un choix qui ne tient qu’à elle. Soit elle continue dans son idée, qui en réalité ne provient pas d’elle mais des penseurs nihilistes, soit elle se reprend en main pour être sauvée. Par exemple, elle pourrait aller voir un prêtre. Cependant, elle aura certainement plus tendance à continuer sur sa lancée puisqu’elle est entourée de gens qui regardent, comme elle, les réseaux sociaux, conclut Henri qui voyait le visage de Pierre se décomposer.
— Vous m’avez fait prendre conscience du danger des réseaux sociaux. En vous écoutant, une grande peur m’assaille, mais, en même temps, je comprends ce que vous dites. Vous voulez dire que notre famille n’a aucune prise sur Caroline. Soit, mais il doit bien y avoir un moyen tout de même, rétorqua Pierre
— Le libre-arbitre a fait en sorte que chaque individu soit libre de ses choix en son âme et conscience. Cependant, notre époque est dirigée par des pensées sectaires qui contribuent à l’enfermement de la population dans un système de pensées totalitaire. Pour que Caroline change, il faudrait soit un miracle soit une prise de conscience de sa part. Le terrain est sensible et délicat, car l’orgueil lui fait croire que son choix est le bon. Il faudrait lui expliquer tout ce qu’elle n’a pas pu apprendre si elle avait été au catéchisme, par exemple. Comme les vertus ne sont plus enseignées, les jeunes gens sont habitués à se conformer à leurs envies, bonnes ou mauvaises. L’inconscient collectif, c’est-à-dire la pensée du monde, incite au péché un peu plus chaque jour. Caroline ne pourra pas prendre conscience de ce qu’elle ne connaît pas. Ainsi, l’arrêt de l’apprentissage des saintes écritures a permis aux fous de prendre possession de beaucoup pour les conduire vers le précipice. Au royaume des aveugles, nous, les borgnes, sommes rois. L’homme a énormément de difficulté à appréhender les lois invisibles qui régissent le monde. Ce que je veux dire par là, c’est qu’un gourou peut prendre une feuille blanche et y écrire ses propres théories pour entraîner les suiveurs dans sa folie. Le Nouveau Testament, qui était dans tous les esprits dans les siècles antérieurs à la révolution française, était un puissant barrage face aux hérésies, ces théories perverses qui défient les commandements du Christ. Les prêtres instruisaient les jeunes à la religion dès leur plus jeune âge, ainsi, ils étaient en capacité de se prémunir des hérétiques. En cela, les catholiques étaient unis dans un seul et même troupeau. Il a fallu que les loups, viennent au fil des siècles, pour faire douter les hommes et les faire chuter. Cela a donné les guerres de religion. Jésus-Christ nous a enseigné que ce sont ses commandements qui forment le corps social. Pour tenir un dialogue moins religieux, une bonne doctrine qui est enseignée à tous est profitable pour l’ensemble de la civilisation. Ainsi, il n’y a pas de désaccord majeur entre les personnes puisque les points de vue sont pratiquement identiques. Combien alors il est facile de fonder une civilisation solide basée sur les Saintes Écritures. Les travaux du grand saint Augustin, basés sur de saintes théories, ont permis de fonder l’Occident. Hélas, depuis la Renaissance, les hommes ont été de plus en plus nombreux à apostasier et à se laisser séduire par les théories fallacieuses. De nos jours, notre génération en paie le prix fort, mais, ce n’est que le début des douleurs. Nous voyons que l’Occident diffuse dans le monde des hérésies de plus en plus perverses au point que les BRICS veulent s’en prémunir. Cela signifie malheureusement que nous faisons désormais partie des nations sataniques qui sont vouées à la destruction. Malheureusement, seule la contrainte morale pourrait éventuellement sauver votre nièce, expliqua longuement Henri.
— Vous allez très loin dans les explications sans connaître ma famille. Finalement, nous ne nous connaissons pas et vous me parlez déjà de grandes théories, qui, franchement ont tendance à m’effrayer, souffla Pierre.
— Cher Pierre, la vérité choque le monde, c’est ce qui a entraîné la crucifixion de Notre-Seigneur. Jésus-Christ n’est pas de notre monde, il est issu d’un monde supérieur qui est dominé par la sagesse spirituelle. L’homme, cet être à la fois matériel et spirituel, est confronté à ses pulsions primaires. La spiritualité élève l’homme au point de le libérer tandis que le matérialisme tend à l’étouffer et à le faire revenir à une ère antérieure au Christianisme. Nous pouvons constater que le forum économique mondial souhaite nous entraîner dans un Moyen Age technologique dans lequel régneraient les seigneurs, les collaborateurs zélés et les esclaves. La civilisation accepte ceci parce que, justement, la Sainte Église ne joue plus son rôle de défense contre les hérésies. Jésus-Christ a fondé Son Église sur un rocher afin qu’elle résiste aux épreuves du monde. Les saintes doctrines de l’Église sont notre barque de Salut. En dehors des Saintes Écritures, point de salut, ceci est d’autant plus vrai à notre dangereuse époque, dit Henri.
— Si j’étais votre ennemi, je dirai que vous êtes un complotiste parce que vos propos expliquent qu’il existe des hommes mauvais qui souhaitent dominer le monde, répliqua Pierre d’un ton grave.
— Le complotisme est un terme éculé qui n’a de sens que pour ceux qui sont étroits d’esprit. Le mal existe depuis la nuit des temps. Des hommes ont toujours voulu dominer le monde. Ceux qui possèdent des milliards souhaitent s’enrichir davantage et être une source d’influence pour la civilisation. Ils ne veulent en aucun cas perdre leur pouvoir sur nous, nous pouvons le constater avec l’influence des médias. Ainsi, pour faire taire ceux qui réfléchissent, ils ont inventé le terme fourre-tout « complotiste » qui est affreusement ridicule quand on y réfléchit un instant, exulta Henri.
— Vous me faites de plus en plus peur. Vous distillez dans mon esprit une vérité dérangeante qui tend à me réveiller. Vous mettez en valeur les forces du bien et du mal qui semblent s’affronter ici-bas. Il me semble presque croire que les humains sont comparables à un cheptel influencé tour à tour par des forces plus ou moins bienveillantes, répondit Pierre. »
Voici le début d’une série de récits rédigés sous forme de conte mettant en scène le roi du Sacré-Cœur, ce roi attendu depuis plusieurs siècles selon la tradition catholique, face à la tyrannie du nouvel ordre mondial.
Bien que ce récit soit imaginaire, il met en scène le roi « Henri V de la Croix » à notre époque, le jour de la saint Augustin.
« Henri priait à genou dans un jardin composé d’arbres en cette fraîche soirée du 28 août 2023. Le terrain était pentu et il commençait à faire sombre dans le parc du calvaire de Valfleury. On pouvait distinguer le magnifique ouvrage érigé le 2 octobre 1881 par le cardinal Caverot. L’homme agenouillé regardait le ciel nuageux et marmonnait des paroles incompréhensibles. Il semblait s’adresser au Seigneur et la scène faisait penser à celle du Jardin des Oliviers avant la trahison de Judas Iscariote. Henri était seul et pourtant, c’est comme si les apôtres dormaient au pied d’un arbre pendant que Jésus-Christ considérait Sa crucifixion. À n’en pas douter, Henri méditait sur la Crucifixion de Notre-Seigneur.
Henri n’était pas très grand. Malgré son âge, ses cheveux étaient encore bruns. Ses traits de visage étaient doux et l’on pouvait y deviner une souffrance passée. À l’approche de la cinquantaine, Henri pleurait sur la France qui avait perdu sa gloire et sa splendeur. La laideur satanique s’était abattue depuis la révolution française sur son sol. La France de cette année 2023 était à l’image de son président : décadente, hypocrite, servile envers le système et athée. La France ressemble à la Jérusalem avant sa destruction en l’an 70 par les légions de l’empereur Titus. La fille aînée de l’Église n’est plus que l’ombre d’elle-même. La république a affadi le sel au point de pouvoir le jeter. La France semble se complaire dans cette turpitude.
Henri pleurait souvent sur les ruines de la France dans une solitude organisée. Bien que marié, il avait besoin de se retrouver seul au pied de la Croix pour prier et méditer. Il profitait de ces moments pour louer le Seigneur et lui rendre gloire.
Quelques rares amis croyaient encore en Dieu. La plupart des gens se contentaient de survivre dans cette malheureuse époque. Combien cette attitude sacrilège pesait sur le cœur d’Henri, lui qui n’était pourtant ni prince ni comte. C’était un homme issu d’une famille modeste et ouvrière dont une partie provenait de l’étranger. Henri était un homme à la peau blanche, mais, il était de sang mêlé, les origines de sa famille étant nombreuses.
Combien Henri aurait aimé vivre dans une époque où la gloire du Christ était visible. Combien il aurait souhaité se retrouver aux côtés du grand saint Augustin ou encore auprès de saint François de Sales. Il était également admirateur de l’histoire de France et de ses rois. Combien il aimait le bon roi saint Louis qui a participé à la grandeur et au rayonnement de la France en Europe. Toutefois, Henri se sentait bien trop indigne pour vivre au temps du Christ. Il aurait eu trop peur d’entendre Jésus-Christ lui dire, comme à saint Pierre : « arrière satan, tu m’es insupportable ! Tes pensées sont celles d’un homme et non pas celles de Dieu ».
De nos jours, les églises étaient souvent vides et parfois même délabrées. Comment avait-on pu laisser les magnifiques œuvres du passé dans l’oubli au mépris d’un présent gouverné par la tyrannie de l’Internet. D’autant plus que la finance subventionne les technologies numériques dans le but d’imposer une tyrannie mondiale. En soi, la technologie est un outil neutre dont l’utilisation dépend de ce que les forces dominantes veulent en faire. De nos jours, les hommes qui se sont créés des fortunes en abusant du profit n’ont bien souvent aucune éthique si ce n’est celle visant à faire prospérer leurs propres intérêts. Combien certains d’entre eux seraient prêts à faire taire les rebelles à l’aide de produits toxiques, produits vendus à prix d’or par des laboratoires alliés pour qu’ils puissent s’enrichir davantage. Ces hommes ont méprisé les commandements de Dieu :
« Que votre conduite soit exempte d’avarice, vous contentant de ce que vous avez ; car Dieu lui-même a dit: « Je ne le délaisserai point et ne t’abandonnerai point »; de sorte que nous pouvons dire en toute assurance: « Le Seigneur est mon secours, je ne craindrai rien; que pourraient me faire les hommes ? » (Épître aux Hébreux 13:5) »
L’humanité se rapproche de plus en plus de l’époque de l’antéchrist : les institutions mondiales utilisent la technologie afin de lui préparer une voie royale. Ainsi, ce profanateur s’assoirait dans un trône en proclamant qu’il est comparable à d.ieu. Or, Dieu n’est pas maître du monde puisqu’il est, dès le commencement, créateur et souverain de toute chose. Dieu est un Père aimant et non un tyran. Seul Lucifer, l’ange déchu est une grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf. Dieu aurait la capacité d’anéantir en un seul instant la création pour lui éviter de sombrer en enfer. Toutefois, comme l’humanité est composée de justes et de mauvais, Notre Père laisse le monde évoluer dans la temporalité jusqu’au Jugement Dernier.
Ce jour-là, jour béni pour les Justes, les réprouvés seront humiliés. Si nous prenons l’exemple des milliardaires de notre siècle, ceux-ci pleureraient de honte devant leurs comportements infâmes révélés devant l’humanité toute entière, et ce, depuis le commencement. Comment pourraient-ils ne pas rougir de honte face aux saints qui ont jonché la planète au fil du temps ? Eux, qui ont donné leur vie pour la foi en Jésus-Christ seraient outrés de voir ces milliardaires ayant agi comme les derniers des imposteurs pour jouir des richesses matérielles, et ce, au détriment des peuples.
Ces milliardaires possèdent l’esprit de leur maître fictif Thanos, personnage diabolique de l’univers d’un comics très connu, dont « l’objectif principal était d’amener la stabilité à l’univers en y éradiquent la moitié de toute forme de vie, estimant que sa conséquente population provoquerait à terme l’épuisement de ses ressources et le condamnerait. »
Dès que l’on annonce que la terre est trop peuplée, la question vient inévitablement : « qui doit disparaître ? Vous, moi, nous, les pauvres, les malades, les handicapés ? Qui ?! ». Pour les milliardaires les plus pervers, les masses dites inutiles, comme au temps du Covid, doivent être éclipsées. Ainsi, un épicier serait bien moins utile qu’un infirmier et un médecin qu’un ingénieur en informatique. Dans le tout-numérique, les intellectuels formés aux enjeux futuristes sont les plus indispensables et les autres sont des laissés pour compte. Les collaborateurs les plus zélés sont élevés au rang de « Magister Militum » dans la néo-civilisation barbare. Ce qui les caractérise n’est pas la vertu mais l’abjection la plus basse causée par un aveuglement : la délation et le zèle sont vivement encouragés comme dans les heures les plus sombres de l’histoire du XXe siècle.
Henri savait qu’il ne pourrait rien faire sans l’aide providentielle de Dieu. Il était dans l’incapacité de gagner n’importe quelle bataille par ses propres forces. Il était conscient de sa misère et s’il devait avoir un grand destin ce n’était que pour servir Dieu. Il était un serviteur ordinaire et ne devait rien à lui-même. L’humilité était comme inscrite en lui après avoir connu une enfance dominée par l’orgueil et l’irraison. Il avait été trop semblable aux méchants pour ne pas comprendre leur malice. En cela, il ressemblait beaucoup à saint Augustin qui a été dominé par les bas instincts une grande partie de sa vie, ce qui lui a valu de surabonder dans la grâce à la fin de sa vie. Finalement, dans sa jeunesse, Henri avait été semblable aux hommes qu’il combattait.
Le Christ semblait lui avoir donné le don de percevoir le mal dans l’âme des méchants. C’était un don douloureux qui soulevait chez lui de nombreuses questions et pouvait même lui donner de fortes angoisses existentielles. Était-il digne d’aller au Paradis s’il portait sur lui les péchés de l’humanité puisqu’il n’était qu’un homme. La conscience de ses faiblesses le faisait se rabaisser pour ressembler davantage à un serviteur. Henri était protecteur des souffrants. Il voyait le Christ chez ceux qui portaient une lourde croix. Il aimait plus particulièrement d’un amour paternel les enfants, tous les enfants. L’innocence était une grande vertu pour Henri, et, en cela, il souhaitait la cultiver chez lui et chez autrui. Tandis que les aficionados du CAC 40 voulaient dépraver l’enfance, Henri voulait rendre leur pureté aux enfants qui naîtraient sous son règne.
Henri savait pertinemment que pour devenir roi, son peuple devait changer en profondeur. Un peuple dont l’égoïsme est la clé de voûte ne saurait tolérer un roi depuis la décapitation du bon Louis XVI. Il faudrait qu’une grande malédiction s’abatte sur la France pour que la psychologie des foules change en profondeur. C’est par la Justice de Dieu que la nation pourrait être sauvée. Un peuple peut transformer un pays par sa soif de Dieu lors de certaines périodes providentielles. Hélas, il faudrait que beaucoup meurent pour que la France redevienne royaliste. Henri serait, en ces temps, comparable à saint Louis puisqu’il serait le bon berger de son peuple et non pas un homme aveuglé par des ambitions personnelles incontrôlées.
Si les milliardaires voulaient transformer l’humanité pour la rendre compatible avec le numérique, et ce, à grands renforts de technologies géniques, Henri voulait la rendre semblable au Christ en poursuivant l’œuvre du grand saint Augustin. Pour cela, il devrait faire disparaître le matérialisme et faire entrer son peuple dans la Cité de Dieu. Pour Henri, les commandements du Christ étaient la voie étroite qui assureraient la survie de la France.
Il se demandait comment amener la France à la conversion avant les châtiments : c’était peine perdue à cause de l’influence médiatique de l’ensemble des institutions, organisations et autres entités. Seule la main de Dieu pouvait convertir le cœur de son peuple. Ce jour n’était malheureusement pas encore arrivé. S’il se présentait devant la foule, il deviendrait la risée de la population. Henri devait rester caché dans l’ombre jusqu’à ce que la France soit touchée par les fléaux prophétisés. En ces temps-là, la population serait capable d’entendre son appel.
Des bruits de pas en provenance du chemin de Croix de Valfleury firent sortir Henri de ses prières. Un homme grisonnant s’approchait d’un pas souple dans sa direction. Il serrait précieusement un vieux livre et semblait peiné. L’homme interpella Henri lorsqu’il parvint à sa hauteur.
« Bonjour Monsieur ! Excusez-moi, est-ce que vous êtes là pour le chapelet organisé par le site de la « France prie » ? demanda l’homme en fixant Henri d’un regard bienveillant.
– Bonjour cher Monsieur, non, je ne suis pas venu pour prier le chapelet. Pour tout vous dire, je ne savais pas que quelqu’un avait organisé une prière commune en cet ancien lieu de pèlerinage. C’est vraiment une belle initiative, répliqua Henri.
– Est-ce que ça vous dérangerait de prier avec moi ? demanda l’homme. De nos jours, il est difficile de trouver des fidèles. Nous sommes bien souvent seuls dans ces lieux sacrés.
– Hélas ! Les églises sont encore désertes. Quelques rares personnes y viennent pour prier silencieusement. Les confessionnaux sont vides, les âmes sont esseulées, dit Henri.
– Vous avez dit « encore désertes », comme si vous sous-entendiez que les églises pourraient de nouveau se remplir. J’en profite pour me présenter, je m’appelle Pierre.
– Heureux de vous connaître Pierre. Vous avez bien compris. Effectivement, je suis persuadé que la France connaîtra une belle floraison. Ne sommes-nous pas appelés à la Vigne par le Seigneur ? rétorqua Henri.
– C’est une marque d’espérance qui n’est pas fréquente de nos jours. Pour ma part, j’ai peur que la France oublie ses racines. Je ne reconnais plus mon pays, dit Pierre d’un ton attristé.
– Faisons confiance au Seigneur. Dieu ne nous a jamais abandonné. La foi est certes difficile à conserver en notre époque, mais nous devons être forts »
Tout d’abord, je vous invite à vous référer à l’excellent ouvrage « Traité de la vraie dévotion à la sainte Vierge » de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort.
Avant de commencer cet article, introduisons-nous tout d’abord auprès de la très sainte Vierge Marie :
– Ave Maria : Virgo fidelis !
– Ave Maria : Virgo potens !
– Ave Maria : Mater misericordiae !
– Ave Maria : Mater dolorosa !
Ave Maria : Virgo fidelis
Je vous salue Marie : Vierge fidèle. Jésus-Christ sur la Croix a annoncé à Jean « voici ta Mère ». Ainsi, les fidèles ont pour Mère la très sainte Vierge Marie, et ce, jusqu’à la fin des temps. La très sainte Vierge Marie est fidèle à Dieu jusqu’à la mort. En ce sens, elle est notre Éternelle Mère. Elle nous suit et nous aide en toute circonstance.
Ave Maria : Virgo potens
Je vous salue Marie : Vierge puissante. La très sainte Vierge Marie a Tout-Pouvoir dans le bien. Sa fidélité en Dieu est inébranlable et en cela, elle est Toute-Puissante. De là provient notamment la tradition de l’hyperdulie.
Ave Maria : Mater misericordiae
Je vous salue Marie : Mère de Miséricorde. La très sainte Vierge Marie intercède auprès de Dieu pour la cause de ses enfants qui lui sont si chers. En tant que Mère, elle est toute miséricordieuse envers ses enfants et source d’une miséricorde infinie.
Ave Maria : Mater dolorosa
Je vous salue Marie : Mère des douleurs. La très sainte Vierge Marie était au pied de la Croix pour endurer la perte de Son Fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ. Quelle douleur, quel épouvantable drame pour le cœur d’une mère si aimante ! Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a été crucifié pour nos péchés. Sa mort signifie notre rédemption. Et voici que nous sommes si ingrats envers ce sacrifice universel qui résonne éternellement. La très sainte Vierge Marie est vraiment la mère des douleurs pour accepter toutes ces souffrances.
Nous voici au pied de la Croix tandis que le mondialisme est en train d’étendre ses tentacules comme les nazis lâchaient leurs bergers allemands sur leurs victimes. Le poison mondialiste est sournois puisqu’il est spirituel. La doctrine consiste à détruire dans l’esprit des hommes toute vertu provenant de Jésus-Christ. Les mondialistes veulent une humanité avilie à l’image de leurs maîtres démoniaques.
Si nos ancêtres pouvaient lutter à égalité, d’un point de vue matériel, contre les ennemis de l’Église, dans notre siècle nous sommes réduits à la misère et à l’impuissance matérielle. Pendant que les puissances financières de ce monde organisent la guerre à travers le monde (Europe, Moyen-Orient, Asie), l’esclavage des enfants, notamment en Afrique, au nom de l’exploitation minière des terres rares et toutes sortes d’horreurs contre l’innocence et la pureté, nous sommes réduits à une stricte impuissance. Dieu est en train de nous éprouver pour dissoudre et même brûler en nous toute source d’iniquité. Dieu est en train de donner naissance aux fils de la très sainte Vierge Marie, c’est-à-dire aux hommes des Évangiles : les pèlerins fidèles.
La souffrance de voir toute cette injustice doit nous renforcer dans notre foi, notre espérance et notre charité. La cruauté et la perfidie des mondialistes qui utilisent leurs armes matérielles et technologiques pour nous empoisonner et nous avilir renforcent un peu plus chaque jour le rang des fidèles. Dans un futur relativement proche, les croyants boycotteront leur monde technologique pour s’émanciper et former une immense armée de fidèles contre celle des hommes mauvais, ces milliardaires « sans âme » qui souhaitent diriger le monde par la tyrannie numérique.
Les mondialistes nous haïssent de toute leur force et souhaitent accélérer notre disparition pour pouvoir s’entendre dire : « Victoire ! Les enfants d’Abel ont été exterminés, nous pouvons maintenant jouir des richesses matérielles de ce monde sans borne et faire ce que nous souhaitons au détriment des faibles. Payons une grande armée pour exterminer les quelques dissidents qui osent encore s’accrocher à la vie. »
Soit ! Que leur volonté ne soit pas faite puisqu’ils sont les enfants de Caïn. Dieu a en horreur les fils du chaos et envoie Ses châtiments sur les peuples ingrats et cruels. Quant à nous, la souffrance nous façonne un peu plus chaque jour selon les commandements de Notre-Seigneur Jésus-Christ : « aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé, c’est à cela que vous vous reconnaîtrez ».
Voici ce que dit saint Louis-Marie Grignion de Montfort des fidèles de notre époque :
« Enfin, nous savons que ce seront de vrais disciples de Jésus-Christ, marchant sur les traces de sa pauvreté, humilité, mépris du monde et charité, enseignant la voie étroite de Dieu dans la pure vérité, selon les Saintes Évangiles, et non selon les maximes du monde, sans se mettre en peine ni faire acception de personne, sans épargner ni craindre aucun mortel, quelque puissant qu’il soit.
Ils auront dans leur bouche le glaive à deux tranchants de la Parole de Dieu ; ils porteront sur leurs épaules l’étendard ensanglanté de la Croix, le Crucifix dans la main droite, le chapelet dans la gauche, les sacrés noms de Jésus et de Marie sur leur cœur et la modestie et mortification de Jésus-Christ dans toute leur conduite.
Voilà de grands hommes qui viendront, mais que Marie fera par ordre du Très Haut pour étendre son empire sur celui des impies et idolâtres.
– Dans une main, vous tiendrez le chapelet et, dans l’autre, la Croix de mon Fils, à qui vous attirerez des âmes de plus en plus nombreuses, d’autant plus nombreuses que plus intense se fera la bataille.
– Vous serez revêtus du feu de la très pure lumière de l’Esprit Saint pour brûler toute ténèbre d’erreur : c’est grâce à vous qu’à la fin, la Vérité l’emportera.
– D’autres seront appelés à rester sur la ligne de soutien.
– Ils devront prier et souffrir. À nombre d’entre eux, Je devrai demander une souffrance si grande qu’elle aura son sommet dans le sacrifice de leur vie.
– Apôtres des derniers temps, parce que vous devez annoncer la prochaine venue de Jésus dans la Gloire, qui introduira l’humanité dans les temps nouveaux où nous verrons finalement les cieux nouveaux et la terre nouvelle. »
Nous devons nous dépouiller de tout pour ressembler de plus en plus aux apôtres. Si aujourd’hui nous sommes encore soumis au matérialisme, demain nous serons une armée de fidèles qui partageront leurs bien comme le faisaient les apôtres en leur temps béni. La foi, l’espérance et la charité nous rendrons invincibles. Soyons certains que la très sainte Vierge Marie marchera à la tête de notre cortège pour vaincre les puissances des ténèbres !
L’année 2024 sera l’année du début des grandes souffrances. Les sectaires qui ont noyauté l’ensemble des milieux spirituels et politiques applaudissent à deux mains leurs grandes œuvres de destruction du Christianisme. Ces diablotins rigolent à gorge déployée pendant que les peuples souffrent davantage au fil du temps.
Le temps est à la guerre mondiale avec la livraison de missiles de longues portées par le président de certains Français ayant eu le bulletin moribond, la loi de programmation militaire française pouvant en témoigner.
L’éducation sexuelle fait son entrée en fanfare dans les écoles, à un niveau plus large, la traite des enfants ne choque plus l’opinion publique.
La nourriture imprimée en 3D, les insectes qui remplacent la farine de blé, la limitation à 10 g de protéines par jour, tout cela ne fait pas saliver.
La fabrication de véhicules électriques qui favorisent l’esclavage des enfants à l’autre bout du monde, l’émergence lente des villes du quart d’heure marquant l’ère nouvelle du crédit social à la chinoise où les populations sont confinées dans un rayon de 5 kilomètres, la dystopie semble se rapprocher davantage chaque jour.
La dictature des médias qui chante les louanges des personnages les plus corrompus de notre époque, la corruption des esprits par le mensonge et la corruption, l’abrutissement généralisé qui plonge la foule dans un esprit de torpeur avant leur asservissement par la technologie, etc.
Nous pouvons le dire, la technologie est entre les mains de personnes sans foi ni loi. Si la technologie est un outil, elle peut être utilisée à bon ou à mauvais escient. Une pelle et de la chaux placées entre de bonnes mains peuvent donner de formidables jardins potagers tandis qu’entre de mauvaises mains, ces objets peuvent être utilisés pour assassiner des personnes. Il en est de même pour la technologie : l’internet est utilisé pour asservir les peuples, dans l’hypothèse que la nouvelle ère tyrannique puisse réduire la population mondiale afin qu’une petite poignée de milliardaires pervers et physiquement faibles puissent pleinement jouir des richesses de la planète. Ces possédés sont persuadés de leur supériorité pour miser sur l’anéantissement du commun des mortels.
Nous sommes en train de vivre ce que le grand saint Augustin a connu et affronté dans son époque. Voici ce qu’en dit dans son prologue Louis Bertrand, l’auteur qui a rédigé la vie de saint Augustin :
« Combien d’âmes délicates eurent à souffrir de cette scission, qui les détachait de leurs origines et qui les obligeait, pensaient-elles, à trahir leurs morts avec la religion des ancêtres ! Tous les froissements que les sectaires d’aujourd’hui infligent aux âmes croyantes, beaucoup durent les éprouver alors. Les sceptiques souffraient de l’intransigeance des autres. Mais le pire, – comme aujourd’hui, – ce dut être d’assister au débordement de sottises qui, sous le couvert de la philosophie, de la religion ou de la thaumaturgie, prétendaient à la conquête des esprits et des volontés. Dans cette mêlée des doctrines et des hérésies les plus extravagantes, dans cette orgie d’intellectualisme creux, ils eurent la tête solide, ceux qui surent résister à l’ivresse publique. Au milieu de tous ces gens qui divaguent, Augustin nous apparaît admirable de bon sens.
Cet intellectuel, ce mystique n’était pas seulement un homme de prière et de méditation. La raison prudente de l’homme d’action et de l’administrateur corrigeait en lui les écarts d’une subtilité dialectique souvent excessive. Comme nous nous en flattons, il avait le sens des réalités, il avait la pratique de la vie et des passions. Comparée à l’expérience d’un Bossuet, combien celle d’un Augustin était plus étendue ! Avec cela, une sensibilité frémissante, qui est encore la nôtre, la sensibilité des époques d’extrême culture, où l’abus de la pensée a multiplié les causes de souffrance, en exaspérant le besoin de la volupté : « L’âme antique était rude et vaine. » Elle était bornée surtout. Celle d’Augustin est tendre et sérieuse, avide de certitudes et de jouissances qui ne trompent poi »nt. Elle est vaste et sonore ; les moindres ébranlements s’y propagent en vibrations profondes et y rendent le son de l’infini. Augustin, avant sa conversion, a les inquiétudes de nos romantiques, les mélancolies et les tristesses sans cause, les grands élans nostalgiques qui bouleversaient nos pères. Il est très près de nous.
Il a élargi nos âmes de Latins, en nous réconciliant avec le Barbare. Le Latin, comme le Grec, ne comprenait que lui-même. Le Barbare n’avait pas le droit de s’exprimer dans la langue de l’Empire. Le monde était divisé en deux parts qui voulaient s’ignorer l’une l’autre. Augustin a fait entrer dans notre conscience les régions innomées, les pays vagues de qui plongeaient autrefois dans les ténèbres de la barbarie. Par lui s’est consommée l’union du génie sémitique et du génie occidental. Il nous a servi de truchement avec la Bible. Les rauques paroles hébraïques se sont adoucies en passant par sa bouche élégante de rhéteur. Il nous a apprivoisés avec la parole de Dieu. C’est un Latin qui nous parle de l’Éternel. »
Les ennemis de Dieu sont en train de propager les hérésies dans le monde, notamment depuis l’ère covidique, pour terroriser et amoindrir l’humanité. Soyez certains que nos ennemis vont accélérer leurs mauvaises actions pour espérer nous réduire en esclavage. Combien ils aimeraient que les foules s’entre-tuent et disparaissent sans qu’ils n’aient rien à faire. Combien ils riraient de ce spectacle terrifiant et perfide. Soyons sûrs que leurs places sont déjà réservées en enfer pour les siècles et des siècles. Combien ces gens si odieux aujourd’hui seront la risée de la communion des saints au moment du Jugement Dernier. Ces âmes damnées qui sèment le trouble dans notre époque seront châtiées par Dieu : Jésus-Christ se retournera et leur dira : « vous les injustes, les iniques, votre place est avec votre maître, je me retourne pour qu’il vous emporte dans les méandres des abysses pour l’Éternité »
Ils seront alors arrachés de la terre pour disparaître dans d’effroyables hurlements de terreur, eux qui aujourd’hui rigolent en semant le chaos, en espérant anéantir les œuvres de Notre Seigneur.
Lors du Jugement Dernier, Jésus-Christ se retournera, lèvera les bras et dira : « mais vous, les justes qui ont combattu pour préserver la flamme de mes commandements, soyez bénis et suivez-moi au Paradis ».
Chers amis, je souhaite surtout vous annoncer que lorsque les temps sont infernaux, Dieu suscite des saints. Nous verrons alors, à partir de 2024, des élans de sainteté ralentir la progression du mal. Là ou les damnés proclament la haine et la terreur, les saints donnent de l’espoir et du courage, ils illuminent le monde de la Lumière du Christ, ils font fuir de terreur les démons par la proclamation de l’Amour de Dieu et du prochain. Nous devons nous attendre à voir surgir des hommes et des femmes brandir le crucifix pour ordonner au malin de s’éloigner.
C’est dans les ténèbres les plus profondes que les âmes les plus belles surgissent pour éclairer la nuit de leur phare resplendissant. Nous sommes le sel de la terre, Jésus-Christ est avec nous et avec notre esprit. Alléluia !
La France a vécu en ce mois de juillet une énième crise causée par le machiavélisme des politiques, le feu F. Mitterrand en étant l’un des premiers instigateurs.
Depuis l’année 2020, la France connaît le début des grandes douleurs. La grande pandémie de folie « injectoire » était un excellent baromètre pour les ennemis de Dieu, ces riches milliardaires héritiers de leurs ancêtres dévoyés. Quant à nous, cette crise a sonné l’alerte sur l’état spirituel des Français.
Le peuple est mûr pour l’esclavage numérique. Ô combien le peuple est soumis et affaibli face aux lois de la terreur invisible. Le petit club des milliardaires a réalisé, au temps du Covid, un premier essai pour tester l’état de résistance des peuples. Au lieu d’entrer en résistance, la plupart des gens ont accouru pour se faire injecter des substances non approuvées. Le martèlement des médias a eu raison de la population et l’injection réalisée par le propre consentement des individus a bel et bien eu lieu. Des foules attendaient devant les stands leur piqûre en signe d’allégeance au système. L’obéissance silencieuse donnait le feu vert à ceux qui veulent à tout prix devenir les maîtres de demain.
Les hommes sont prêts à suivre les faux bergers parce qu’ils ne perçoivent plus les vérités enseignées par la religion catholique, cette religion qui a lentement disparu depuis le 21 janvier 1793, date de l’assassinat du bon roi Louis XVI.
La religion catholique, loin des clichés ridicules du XXIe siècle, ressemble plutôt à ceci :
« Les gens travaillaient dans les champs pour subvenir aux besoins de la population. Le temps des récoltes assuraient l’alimentation du peuple français. Ceux qui ne souhaitaient pas participer au travail des champs ne mangeaient pas, parce que, pour avoir droit à son pain quotidien, il fallait mouiller sa chemise. Ainsi, l’oisiveté était décrite comme la mère de tous les vices. Combien les enfants étaient habitués à effectuer de petits travaux pour devenir d’honnêtes gens. Combien l’instruction rigoureuse donnée par les prêtres offraient aux enfants une vision morale et leur donnaient le goût de la saine obéissance envers le Christ-Roi, premier chef de la nation française. Ô combien ce temps de la France agricole était doux, malgré la rudesse de la vie et l’absence de technologie. Ô combien les soirées au coin du feu édifiaient les enfants qui écoutaient leurs ancêtres parler de leur vie. En ce temps où l’Église régnait en France, la population était réellement heureuse parce qu’elle était portée par les temps de l’Esprit-Saint. Les voleurs de grands chemins étaient déjà présents, certes, mais combien ils étaient minoritaires et matés par les forces royales qui faisaient régner un ordre salutaire. Les personnes avares étaient montrées du doigt, les ancêtres des milliardaires d’aujourd’hui étaient perçus comme les parasites du système parce qu’ils enfermaient leur richesse dans des coffre-forts pour que la population ne puisse pas manger son pain blanc. En ce temps béni, la vertu régnait et le péché était condamné. À cette époque, les présidents jupitériens n’existaient tout simplement pas, ce genre de personnage était ridiculisé et présenté comme le bouffon du roi. Combien j’embrasse ce temps où la sagesse des anciens régnait. »
Pour revenir à notre époque, la France sera bientôt frappée par de plus grands châtiments à cause de notre refus de conversion. Certes, la conversion ne peut plus venir de la part des prêtres puisqu’ils ne jouent plus leur rôle de gardiens de la Cité Céleste. La conversion ne peut venir que de l’âme de ceux qui écoutent la voix du Christ en leur for intérieur. Dans notre époque, les mérites et les louanges des anciens ne sont plus chantés, les beautés de la Bible sont passées sous silence tandis que les réseaux sociaux diffusent leurs vidéos sans queue ni tête basées, la plupart du temps, sur la stupidité.
La France que « les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître » a bel et bien disparu. Peu à peu, les vertus ont laissé la place aux péchés. Les péchés, minimes au départ, sont devenus de plus en plus grotesques. Aujourd’hui, la bêtise est embrassée, l’absence d’intelligence est louée, la violence est encouragée d’une voix stridente et perverse.
La folie est déchaînée, et en ce sens, nous devons nous attendre à toutes sortes d’événements dramatiques. Les foules des banlieues, abreuvées de haine par la puissance des médias, le laxisme et l’angélisme des politiques, sont mûres pour entrer en guerre et espérer éventrer les « blancs » qui sont perçus comme des êtres faibles et sans défense. Ces populations sont instrumentalisées par les politiques pour devenir de serviles bourreaux. Ces foules haineuses agissent comme les sionistes en Palestine envers les populations musulmanes. Nous pouvons raisonnablement penser que des mains invisibles encouragent la haine envers les populations autochtones afin que le « nouveau monde » puisse surgir de terre.
Le contrôle de la foule par la numérisation ne peut avoir lieu qu’après la guerre civile. En effet, lorsque les corrupteurs contemporains, pour ne citer que ceux qui s’agitent à la tête de l’État français, auront fait leur travail de sape, les sauveurs à la voix douce pourront surgir de derrière le rideau. Les pompiers pyromanes utiliseront leur charme pour tromper les foules : « nous vous promettons une ère nouvelle basée sur la sécurité de tous et pour tous grâce à la technologie. Ces temps nouveaux seront formidables et nous assureront la paix universelle pour tout un chacun. »
Les faux sauveurs qui auront agité, en France, les foules des banlieues souhaiteront obtenir leur récompense basée sur le mensonge et la cupidité. Ils voudront à tout prix devenir les maîtres du monde de demain, les maîtres de ces temps nouveaux gouvernés par la lubricité, la perversité et l’endormissement des consciences par l’implantation de puces cérébrales. Ainsi, l’homme libre n’existerait plus, pour le plus grand plaisir des pervers sataniques.
Si ce plan est celui du « petit club des milliardaires », ce n’est pas celui de Dieu. Dieu ne nous abandonnera pas, loin s’en faut. La France sera châtiée de mille manières et il faut s’attendre à son invasion après la guerre civile. Les BRICS prendront leur revanche sur cet occident perverti. La population ne sera pas seule à souffrir, les politiciens et les milliardaires seront anéantis par leur persévérance dans l’iniquité. Nous verrons les lâches présenter leur argent pour survivre, à la manière de ceux qui voulaient être sauvés avant les autres dans le Titanic. Mais leur argent ne les sauvera pas : tout le monde doit payer lorsque Dieu fait tomber sa main de Justice sur la population. Quoi qu’ils en disent, les hommes sont tous égaux devant la mort. Le transhumanisme, cette chimère dévastatrice, fondra comme neige au soleil.
En réponse à la rébellion, nous connaîtrons un temps de sévérité. Nous devons nous attendre à voir apparaître un personnage qui brandira la main de justice devant l’Éternel pour maintenir la population française sous un joug divin. Malheur à ceux qui en ce temps-là voudront désobéir aux commandements de Dieu. Du temps de Moïse, les séditieux avaient trois chances de se repentir, au-delà, ils étaient fouettés en public d’une vingtaine à une quarantaine de coups de fouets. Combien ces propos doivent épouvanter les lecteurs habitués au laxisme contemporain. Combien ceux qui connaissent Dieu savent que lorsque Sa Justice tombe, les temps deviennent intraitables envers les méchants.
Le personnage évoqué ci-dessus est celui qui sera appelé « le Grand Monarque ». Pour éviter à sa population de tomber dans le péché, il sera d’une rigueur intraitable et commandera d’une main de fer dans un gant de velours. Combien ce personnage sera doux envers les enfants, les personnes âgées, les malades, les pauvres, les affligés et les heureux mais combien il sera dur envers ceux qui haïssent Dieu. Il semblera indestructible parce que Dieu lui aura donné la capacité de percevoir la malice et d’anticiper le piège tendu par les ennemis de Dieu. Les populations monothéistes se convertiront devant la force de ce personnage parce que dans la Bible il est dit que les héros de la nation sont des héros comme David et Gédéon. Toutefois, le rôle de ce Lieutenant du Christ est de maintenir l’ordre afin d’aider un pape à restaurer la pureté de la religion catholique. Ainsi, ce « Grand Monarque » est celui qui maintient l’ordre temporel, tandis que le « Grand Pape » est celui qui maintient l’ordre spirituel.
Chers amis, veillons et prions, car la France va bientôt sombrer à la manière du Titanic : sa coque a heurté l’iceberg et l’eau s’y est engouffrée. Il faut que le Titanic coule pour que les hommes comprennent les erreurs qu’ils ont commises envers Dieu. Ainsi, le transhumanisme, le wokisme et toutes ces hérésies seront relégués dans le musée de l’épouvante. Nous devons croire que les deux futurs personnages évoqués ci-dessus redresseront la France et encourageront la formation de congrégations religieuses afin que les hommes retrouvent le chemin de la vertu pour une période d’une vingtaine d’années.
Veillons, prions et gardons l’espoir. Dieu vous bénisse en ces temps si difficiles !
Je prends la plume pour rédiger ces quelques mots.
Je vis une période de terrible sécheresse spirituelle. Je suis dans les ténèbres intérieures depuis le mois de juin. Tout est comme éteint, mort. La Foi, l’Espérance et la Charité sont clouées sur la croix par ma faute.
Ô comme nous clouons de nouveau Notre Seigneur qui se meurt !
« J’ai soif » dit le Seigneur. Pourtant, personne ne lui tend l’éponge. La voix des saints s’est tue. Dans le désert, plus personne ne crie. Nous pouvons entendre le vent souffler. Ce vent est celui qui annonce la tempête.
Ô si nous savions quelles cruautés nous attendaient, combien pleurerions-nous sur notre sort et celui de nos voisins. La Libanisation de la France est en marche. L’implosion n’est plus qu’une question de temps.
Ô mon Dieu ! Combien prient pour que la guerre arrive. Quelle tristesse !
Combien devrions-nous plutôt prier pour la repentance. Nous devrions demander aux bons prêtres de nous verser de la cendre sur la tête pour nous rappeler que nous sommes poussière et que nous retournerons à la poussière.
Nous devrions demander à la très Sainte Vierge Marie de prier pour nous et de nous garder sous sa protection. Combien devrions-nous lui demander de nous tenir la main pour nous emmener vers le Seigneur.
Peut-être devrions-nous dire :
– « Ave Maria, virgo fidelis » pour nous rappeler sa fidélité parfaite,
– « Ave Marie, mater misericordiae » pour nous rappeler que Marie est aussi la mère du pardon,
Ceux qui ont une graine d’amour devrait la planter pour que la charité nous créé un abri. Combien devons-nous nous rappeler qu’un toit est indispensable pour nous protéger du soleil et de la pluie, et encore plus de l’orage. La foudre se prépare à frapper la France dans un brouhaha silencieux. Ce brouhaha est celui des cris quotidiens, et ce silence est celui de l’espérance. Nous émettons du bruit sans nous soucier des valeurs qui ont fondé la France.
Ceux qui ont soif de vengeance vont déferler sur la France pour anéantir, détruire et se repaître de cette haine gratuite. Combien la colère de quelques-uns profitera davantange à ceux qui attendent dans l’ombre. Ceux qui se frottent les mains viendront en sauveurs pour nous vendre leur solutions numériques afin de nous protéger des « méchants ». Les sauveurs de pacotille sont encore plus dangereux que les fauteurs de troubles parce qu’ils enferment la population dans un camp de concentration sans murs ni miradors. La foule se rue dans les centres où l’on propose gratuitement toutes sortes de remèdes injectables. Les esclaves d’aujourd’hui se jettent dans la gueule du loup en oubliant l’histoire de leurs ancêtres.
Seule la mémoire de notre histoire nous rendra la vue. Alors, la foi en Jésus-Christ nous donnera la vie.
Lors de cette deuxième semaine du mois d’avril, j’ai fait un terrifiant cauchemar pendant lequel j’ai vu le démon me dévoiler une partie de son plan. J’ai choisi de raconter ce cauchemar sous la forme d’un conte.
Avertissement : ce texte accentue volontairement – de manière presque archétypale – les traits qui dominent la civilisation occidentale contemporaine pour que le lecteur puisse mieux comprendre ce qui est en train de se dérouler sous nos yeux. C’est en accentuant les théories démoniaques que l’on comprend mieux pourquoi le Christianisme est la seule religion qui soit capable de nous protéger contre les puissances.
Enfin, pour une meilleure lecture, il est conseillé de télécharger le fichier PDF qui se trouve à la fin de l’article.
Un homme d’une soixante d’années se préparait à entrer dans la salle de conférence. Il était grand, plutôt mince et portait une paire de lunettes derrière laquelle se cachaient de cruels petits yeux lançant un regard sombre. Nathan Démos1 entra fièrement dans la salle et commença son monologue devant de jeunes polytechniciens.
« Autrefois, la religion catholique2 nous empêchait de réaliser notre dessein. Ôtez les enseignements du Christ des esprits3 mais ce n’est pas suffisant. Abêtissez4 les générations, mais ce n’est pas encore assez. Enrichissez les plus riches5, mais cela ne suffit toujours pas. Développez la tyrannie6 mais ce ne sera pas encore assez pour déstabiliser la civilisation. Mentez, mentez et mentez7 encore tant que vous n’êtes pas en mesure d’être assez puissants face aux masses8, tant que la technologie n’est pas assez développée9 pour former un barrage infranchissable. Il manque encore l’étincelle de génie10 : le développement des technologies du numérique avec laquelle nous régnerons sur les inutiles11.
Le capitalisme s’est profondément transformé depuis l’ère numérique12. Nous aurons bientôt la chance de dominer l’humanité grâce à la technologie. La plupart des gens pensent que les technologies numériques sont des outils attrayants13 sans comprendre qu’ils seront prochainement modifiés14 par le produit lui-même. Le numérique nous permettra de réaliser notre fantasme15. Nous avons déjà récolté des sommes d’argent colossales16 grâce à son exploitation et nous mettrons enfin un terme à l’ascenseur social17 lorsque nous aurons le contrôle18 de tous les esprits. Ceux qui sont nés infortunés19 subiront les outrages de nos volontés puisque nous n’avons aucune pitié pour les petits20. Grâce au numérique nous dominerons le monde à travers un quatrième empire21 éternel basé, non pas sur les vertus, mais, sur la libéralisation totale des mœurs22 pour amplifier les pulsions primitives23.
Notre long travail de sape24 a fonctionné. La notion de progrès indéfini25 nous a permis de faire surgir de terre l’Internet26 au début des années 2000. L’ère du Covid était une excellente simulation27 de ce que nous imposerons prochainement. Cependant, une partie de l’humanité nous résiste28 encore et refuse de nous céder la gloire29. Pour remporter la victoire, nous amplifierons les crises, accentuerons les guerres en Europe, renforcerons davantage l’égocentrisme30 pour que l’esprit de groupe ne soit plus qu’un lointain souvenir. Un homme isolé est une proie facile lorsque les relations sociales31 sont réduites à néant. Nous voulons qu’un homme considère son voisin comme un objet32, qu’il soit dénué de sentiment à son égard, qu’il soit absolument insensible33 à ce qui pourrait lui arriver. À ce rythme, nous imposerons d’ici quelques années la puce cérébrale34 à des consommateurs qui nous la réclameront comme ils réclamaient leurs injections35 en 2020. Nous régnerons alors sur un cheptel, un stupide bétail36 dominé par les technologies numériques. Leur cerveau sera connecté en permanence à l’Internet, ainsi, ils ne connaîtront plus jamais le silence intérieur37 et surtout ignoreront jusqu’à l’existence de Dieu38. Ce seront des esclaves abreuvés de multimédias39. Ils tendront le bras40 pour présenter leur passeport numérique implanté sous la peau. Nous serons alors les maîtres absolus d’une masse informe et soumise à l’intelligence artificielle. Un bouton41, un bouton suffira pour faire taire définitivement ceux qui auront osé penser42, ne serait-ce qu’une seconde, à s’émanciper de notre système.
Nous voulons, par la ruse43, la complète maîtrise des âmes. C’est en enlevant toute spiritualité44 que nous pourrons transformer les hommes en esclaves puisqu’ils n’auront plus conscience45 d’eux-mêmes. Combien ne connaissent déjà plus les dix commandements46 de Dieu. Le rejet de l’amour47 de Dieu nous a déjà permis de progresser. Mais c’est par l’excitation48 des sens et le dérèglement de leurs pensées que nous triompherons. L’exacerbation de l’orgueil49 et la croyance en l’immortalité nous permettra de régner sur cette masse informe50. Les générations du XXe siècle étaient insensibles à nos idées folles. Leur esprit était trop ancré dans la réalité51 et pas assez dans les illusions de toute-puissance. Le rôle des super-héros52 nous a permis de détourner ces générations de la religion catholique. Notre idéal progresse à vive allure. L’Église autrefois si forte est aujourd’hui moribonde malgré les tentatives désespérées du pauvre Léon XIII53. Aujourd’hui, la considération matérialiste54 est supérieure à la puissance de l’esprit. La plupart des gens collaborent plus ou moins inconsciemment55 à notre cause. Plus que jamais, nous devons continuer notre travail de sape. Notre destruction de la fonction publique porte déjà ses fruits. D’ici peu les fonctionnaires seront si endoctrinés qu’ils ne seront plus que de serviles exécutants. Combien d’entre eux nous obéissent au doigt et à l’œil56.
Notre prochaine étape est d’abolir l’idée même de l’existence du sexe biologique57. Nous créerons des êtres hybrides58 qui obéiront à leurs pulsions de jouissance. Nous devons amplifier l’émotionnel59 pour abolir la pensée critique60. Propageons davantage à travers les réseaux sociaux nos idées manichéennes 61. La peur lorsqu’elle est combinée au manichéisme déséquilibre profondément le psychisme humain. Ces générations62 fragilisées par notre travail de sape seront d’ici vingt ans de parfaits esclaves consentants pour notre plus grand bonheur63. Le Christianisme est en train de vivre ses dernières heures grâce à notre hégémonie64. Nous serons bientôt les maîtres du monde65. »
Stéphane
Le 15 avril 2023
1 Le nom du conférencier consiste en un jeu de mot pour lequel il faut inverser la première lettre du prénom avec la dernière lettre du nom pour découvrir la nature de l’ennemi.
2L’Église a pour mission d’enseigner les commandements du Christ afin que la civilisation soit à la fois divine et pleinement humaine.
3Le recul du Christianisme dans les sociétés occidentales conduit à des comportements de moins en moins responsables dans l’ensemble des couches sociales.
4L’abêtissement est favorisé, dans notre société en déclin, dès l’enfance puisque le cerveau des enfants est particulièrement modelable.
5Les personnes riches étaient enclines à partager leurs richesses matérielles au temps où l’Église était puissante, et ce, afin d’aider les plus pauvres en donnant aux bonnes œuvres créées par les saints.
6La tyrannie consiste à s’emparer du pouvoir en trompant le peuple et à gouverner ensuite par la terreur et l’oppression.
8Le terme « masses » met en valeur le mépris du peuple de la part du conférencier
9Des groupes cherchent à développer la technologie depuis le XVIe siècle environ pour s’emparer du pouvoir par la force matérielle. On retrouve des traces de ce genre de discours dans d’anciens ouvrages historiques.
10L’étincelle de génie signifie plus particulièrement « influence démoniaque ».
11Harari aime appeler « inutiles » ceux qui ne sont pas en mesure de participer à la construction des technologies numériques par leur apport intellectuel.
13L’informatique peut être attirante sous certains aspects ludiques et professionnels. Toutefois, cela reste un outil à la disposition de l’humanité et non pas l’inverse.
14Le but du transhumanisme est de transformer les individus à leur insu grâce à des techniques de manipulation mentale de masse. Lucien Cerise a rédigé plusieurs livres sur le sujet.
15Le fantasme se mêle à la folie chez certaines personnes malveillantes.
16Le business de la Silicon Valley a créé d’innombrables startups.
17L’ascenseur social permet de donner à tout un chacun une chance d’évoluer au sein de la civilisation. Toutefois, dans une société tyrannique, l’ascenseur social n’existe plus. Le communisme et le nazisme l’ont prouvé.
18Les tyrans aiment connaître les pensées de chacun afin de mieux les contrôler
19Certaines théories gnostiques affirment qu’un individu « mal né » connaît la punition pour les mauvaises choses qu’il aurait faites dans une vie antérieure. Ce genre d’hérésie cause d’énorme dégâts dans les esprits.
20Jésus-Christ a tout donné pour les petits par Amour tandis que les pervers font exactement l’inverse.
21Une sorte de Reich millénaire selon certains illuminés de la Silicon Valley.
22Le terme « libéralisation des mœurs » signifie en réalité « péché ».
23Les pulsions primitives correspondent aux pulsions animales telles que la faim, la soif, le désir de reproduction.
24Ce long travail de sape a été notamment rendu possible par la Royal Society.
25Se reporter au dogme de la théorie économique du progrès indéfini.
26Internet a été bâti par l’armée durant la guerre froide pour obtenir un système de communication résilient
27L’ère covidienne est un prélude de ce qui nous attend. Pour cela, se référer à l’« euro numérique » sur le site officiel de la banque centrale européenne.
28Les humains sont encore libres de penser, ce qui ennuie les tyrans.
30L’égoïsme a été particulièrement renforcé depuis le début du XXIe siècle et s’est encore accentué depuis l’ère covidienne.
31Le groupe était autrefois la norme, notamment au temps de l’Église primitive. Les ennemis du Christ ont toujours essayé de détruire l’esprit de groupe pour engendrer l’économie et la société capitaliste qui conduit au progrès indéfini.
32Le transhumanisme a pour vocation de transformer l’homme en objet.
33L’insensibilité est accentuée par les réseaux sociaux, les films et séries d’horreur, le manque de réflexion et d’analyse, l’agitation et l’isolement.
34La puce cérébrale n’est plus un mythe puisque des entreprises y travaillent et souhaitent sortir un prototype d’ici 2024.
35A l’époque du covid, les gens se ruaient sur les centres de vaccination pour obtenir leur dose, et ce, sans aucune réflexion, aucun recul. La tromperie générale a fonctionné, et ce, pour enrichir davantage des entreprises en lien, plus ou moins indirectement, avec la Silicon Valley.
36La haine du genre humain est marqué par ces termes odieux.
37Le silence intérieur permet de chercher et de trouver Dieu par la prière, mais il permet également de se reposer et de se ressourcer.
38Dieu ne peut être trouvé que par la liberté intérieure. La connexion permanente à l’Internet conduit à la folie. De nombreuses personnes perdraient la raison si cela devait se produire puisqu’elles ne pourraient plus jamais être libres et devraient entendre en permanence les flux en provenance du web. N’importe quel programme pourrait alors agir de manière plus ou moins marquée sur le cerveau, ce qui pourrait conduire à toutes sortes de conséquences plus ou moins funestes.
39Le terme « multimédias » signifie plus largement toutes sortes de vidéos non sollicitées.
40Le terme « tendre le bras » rappelle l’injection imposée sous l’ère covidienne.
41En informatique, il est possible de lancer un programme en cliquant sur un bouton. Ce programme peut par exemple bloquer un compte bancaire, modifier le comportement d’un équipement informatique, lancer toutes sortes de sous-tâches et même injecter un produit qui pourrait être contenu dans une puce cérébrale, etc.
42Un implant cérébral permettrait au système d’entendre les pensées de tous les individus, et ce, au même moment grâce au Big Data. Ainsi, des équipes pourraient être chargées d’écouter les pensées, de les classer et de les faire apparaître dans des statistiques, etc.
43Le mensonge et la ruse sont les armes préférées des tyrans.
44Dans les villes du quart d’heure il n’y aucune spiritualité, aucune religion. Se référer au livre dystopique et très contemporain « Droit de cité. De la ville du monde à la ville du quart d’heure » de C. M pour ne pas le citer.
45L’abaissement de conscience a eu lieu plus particulièrement sous l’ère covidienne.
46Les dix commandements se sont effacés progressivement depuis le concile de Vatican II.
47L’amour de Dieu conduit à l’amour de l’homme et contribue à élever les âmes pour améliorer grandement la civilisation.
48L’agitation des sens, la promotion de la sensualité, de la jouissance, de l’immédiateté conduit au dérèglement de l’esprit humain sans que le sujet n’en soit conscient dans la plupart des cas.
49L’orgueil combiné à l’égoïsme conduit à la guerre de tous contre tous.
50Beaucoup de films récents parlent ouvertement de tyrannie tels que Labyrinthe, Divergente, etc.
51Le cartésianisme imprégnait l’esprit français du XXe siècle. Malgré des énormes défauts, cette théorie était un rempart contre les chimères.
52Les super-héros contribuent au rejet de l’esprit de Dieu et provoquent chez les jeunes esprits un sentiment d’orgueil qui peut leur faire croire qu’ils sont immortels. Ainsi, on retrouve les anciens mythes de la gnose qui sont particulièrement dangereux pour les esprits et qui ont entraîné toutes sortes d’hérésies chez les païens.
53Le bon pape Léon XIII a vu une scène illustrant la lutte entre le démon et Jésus-Christ. Pour empêcher la victoire du démon, Léon XIII a rédigé le 13 octobre 1884 une prière d’exorcisme adressée à saint Michel archange qui a longtemps été récitée lors des messes quotidiennes.
54Le matérialisme s’attaque à l’humanité elle-même en la transformant en objet de consommation.
55Les gens les plus dangereux sont les gens dits « normaux » parce qu’ils collaborent souvent sans se poser de question. De nombreux nazis et communistes ont ainsi massacré leurs pairs en rejetant la responsabilité sur leurs supérieurs. L’obéissance aveugle de ces personnes est terrifiante.
56Combien de médecins se préoccupent davantage de leur compte bancaire que de leurs patients. Combien d’enseignants ne sont plus que des animateurs qui laissent leurs élèves se mouvoir seuls face à leurs difficultés. Combien de policiers ne contribuent plus au maintien de l’ordre public, etc. Ces propos peuvent choquer mais ils ne sont là que pour faire réfléchir à la condition du service public en France.
57La théorie du genre et le wokisme sont de redoutables hérésies qui sont diffusées par leurs victimes sectaires.
58L’homme couplé à la machine est un être hybride et finalement un monstre au sens éthymologique.
59L’émotion prend toujours le pas sur la raison. C’est pourquoi les tyrans favorisent l’émotionnel au détriment de la raison. La disparition progressive des livres est un funeste présage.
60La pensée critique a été développée par Descartes. La pensée critique a succédé à la scolastique. L’œuvre de saint Thomas d’Aquin réconciliant le christianisme avec la philosophie d’Aristote a été anéantie par le cartésianisme. Le cartésianisme est en train d’être anéanti par le transhumanisme.
61Le manichéisme est une religion hérétique fondée par Mani. Elle stipule qu’un dieu mauvais, créateur du monde, s’affronte avec un dieu bon mais faible. Saint Augustin a lutté contre le manichéisme après avoir été un fervent adepte de cette secte. Le manichéisme contemporain contribue en réalité à la « binarisation » de la civilisation : oui ou non, noir ou blanc. Ainsi, de plus en plus de gens ne savent plus discerner les couleurs grises. Cette doctrine transforme les individus frustrés en êtres violents.
62Les enfants de notre époque sont visés par toutes les hérésies du transhumanisme. Ainsi, s’il ne se passe rien dans les prochaines années, d’ici 2030-2040, la civilisation retournerait à la barbarie sous une forme de Mad Max où cohabiteraient des cyborgs (les collaborateurs zélés du système) et des êtres humains abandonnés à leur sort.
63Les tyrans pourraient régner sur des individus ayant perdu leur âme.
64Les tyrans ont annoncé dans de nombreux ouvrages que l’ère du « Verseau » serait l’ère de la barbarie où le Christianisme n’existerait plus. Nous refusons de croire à cette thèse immonde.
65Hitler et Staline pensaient également devenir les maîtres du monde.
Voici une locution intérieure de saint Michel Archange qui a eu lieu pendant la dernière semaine du mois de mars 2023. Vous trouverez l’essentiel de cette locution, il est difficile de noter la totalité des propos entendus puisqu’une locution se déroule en l’espace de quelques minutes seulement. Saint Michel m’a expliqué dans des termes qui ne peuvent pas être rédigés qu’il est difficile pour l’homme de comprendre et même d’avoir un aperçu de ce que perçoivent les anges. Les anges sont libres dans l’espace temps tandis que nous sommes limités dans nos perceptions par le corps physique et soumis au temps terrestre. Cette perception du temps terrestre s’est décuplée depuis l’invention de l’horloge atomique en 1955. Le texte que vous allez lire est retravaillé. J’ai placé certains propos complémentaires entre [crochets] pour rendre le texte plus compréhensible. Les phrases entre crochets proviennent de mon analyse personnelle.
« Lucifer brillait de mille feux dans les cieux et adorait Dieu. Il était le plus beau et le plus grand des anges. Nous, les anges [les anges dans leur majorité], régnions dans la félicité et la concorde de la Création. Dieu annonça un jour, par un jour j’entends un point dans le temps qui ne correspond pas au temps terrestre, que Son Fils serait un homme, une créature faite de chair et de sang, et non pas un ange. Fou de jalousie, Lucifer hurla d’orgueil et entraîna à sa suite des millions d’anges qui, dès lors, se laissèrent influencer par la colère de l’ange déchu [saint Michel n’aime pas donner le véritable nom de l’ennemi de Dieu]. Je vis la majorité des anges se fourvoyer dans cet orgueil sans vraiment chercher à comprendre la volonté de Dieu. Combien je [l’archange saint Michel] dus lutter pour que le tiers des anges restent fidèles au Seigneur. Combien ma douleur [celle de saint Michel] fut grande de voir cette rébellion contre Notre Créateur. Nous, les anges, avons pleinement conscience de la Création [même s’ils sont dépourvus d’organes sensoriels]. Notre nature angélique [une nature angélique peut être bonne ou mauvaise] nous permet de percevoir toute chose mais d’une manière différente de la vôtre. Ce sont des choses indescriptibles et incompréhensibles pour un être humain. Pour nous, le temps terrestre est comme comprimé, réduit. Notre plan correspond à l’Éternité tandis que le vôtre est soumis au cycle terrestre. Je t’explique des choses que tu ne peux même pas appréhender tellement celles-ci sont hors de ton champ de perception.
Le Seigneur a voulu que les hommes soient pleinement libres et pour cela il fallait qu’ils n’aient pas connaissance de Son existence [existence de Dieu]. Le libre-arbitre s’exerce seulement dans un état de conscience non soumis à la perception divine. Les saints sont particuliers dans le sens qu’ils perçoivent une petite parcelle de l’Éternité. Les phénomènes surnaturels permettent de rappeler aux hommes [Ici saint Michel entend par « hommes » l’espèce humaine. Les anges sont insensibles aux théories du genre. Pour eux l’homme est à l’image d’Adam et la femme d’Eve.] l’existence de Dieu. L’ennemi de Dieu [l’ange déchu] aime faire croire qu’il n’existe pas. Ainsi, l’humanité est de plus en plus soumise à sa volonté [celle du diable] puisqu’elle devient aveugle à l’existence même du bien et du mal [cela sous-entend l’existence de Dieu].
Nous [les archanges] avons protégé le peuple hébreu lorsqu’il était élu parmi les nations païennes. En ce temps, les Hébreux honoraient vraiment Dieu. Combien d’entre eux étaient bons, loyaux et fidèles au Seigneur. Ô comme certains d’entre eux craignaient le Seigneur ! [saint Michel exulte] Les prophètes connaissaient intuitivement le Seigneur et rédigèrent au fil des siècles Son histoire qui devait mener à l’Incarnation. L’enfant Jésus est l’espoir des nations et représente le salut de la race humaine dans la Divine éternité. Ô combien j’aimais le maître [Jésus-Christ], combien je l’aime et je l’honore. Sa Grâce est infinie et son Amour si grand qu’il ne peut être contenu que dans le Sacré-cœur. Le cœur d’un homme [athée] ne peut pas contenir cet Amour divin qui lui donnerait la vision de l’horreur du monde dans lequel il vit. Combien souffrent ceux qui perçoivent l’iniquité du monde causée par le démon et bien souvent par l’homme lui-même. La famine organisée, la vente d’armes, le trafic de drogue, la diffusion des hérésies sont des choses épouvantables qui enlaidissent l’homme [saint-Michel évoque également la numérisation du monde qui est une parodie démoniaque]. Ô combien nous [Jésus-Christ, la Vierge Marie, les anges, les saints] souffrons de voir l’homme dans cet état.
Lorsque le divin enfant [Jésus-Christ] fut né dans son étable, j’exultais de joie. Ce n’était pas le cas du démon qui voulait la perte du Seigneur. L’ange déchu transmit sa haine au peuple [du Seigneur] afin que lui seul [le peuple élu] soit coupable de la crucifixion de Jésus-Christ. Les pharisiens demandaient à ce que le sang de Jésus retombe sur eux et combien cette prière fut exaucée pour le plus grand malheur du peuple élu ! [élu jusqu’à la Crucifixion de Jésus-Christ]
Depuis sa chute [celle du démon] dans les ténèbres, le démon veut entraîner l’humanité entière dans la rébellion, surtout à cette époque cruciale [l’an 0 à l’an 33 de notre ère]. Dieu fit de la Crucifixion le Salut de l’humanité. Comme il est faux de dire que Dieu voulait la mort de Son Fils. [Jésus-Christ a demandé d’ôter cette coupe d’amertume de ses lèvres même s’il savait qu’il devait périr pour donner le Salut. Pierre a voulu sauver son Maître de la Crucifixion et Jésus a repoussé l’apôtre parce que celui-ci voulait faire la volonté des hommes et non pas celle de Dieu. Ce sont des mystères que nous ne pouvons pas comprendre]. C’est le démon qui voulait à tout prix faire périr le Roi du Ciel et de la Terre. Comme le peuple du Sauveur perdit son mandat céleste [lors de la Crucifixion], je protège désormais les peuples qui aiment Dieu [de tout leur cœur]. Chez les hommes, il y a une grande source de discorde sur ce point. Les peuples aimeraient être élus de Dieu au détriment des autres [je pense tout particulièrement au peuple américain qui exerce son hégémonie depuis 1945]. La division mène toujours à la chute. Ô combien je souffre de cette misère spirituelle. Cependant la plupart des hommes n’ont pas conscience de la Vérité [celle de Dieu] sauf ceux que Dieu a choisi pour illuminer les nations [la France en fait partie]. Dieu n’a qu’un seul peuple et c’est le genre humain [ces propos rappellent que les théories racistes proviennent de l’homme]. Ô combien j’ai souffert lorsque j’ai vu mes amis angéliques céder à la tentation [saint Michel rappelle qu’il souffre toujours de la rébellion de ses pairs puisqu’ils exercent leur mauvaise influence sur les hommes damnés].
Pour que le monde s’améliore [pour que l’influence du démon disparaisse], l’homme doit donner le meilleur de lui-même pour son voisin [que ce voisin soit un inconnu ou un ami]. C’est en donnant une mesure pleine aux autres [parabole de la Charité] que l’on récolte le meilleur pour soi-même. Aimer Dieu de toute son âme c’est déjà recevoir Sa lumière et Sa sagesse. Les hommes se sont assombris en suivant la voix des faux prophètes inspirés par le tyran [l’ange déchu]. Combien il est nécessaire de proclamer les Vertus [cardinales et théologales] et de prohiber tout ce qui nuit au Salut des hommes [les armes, la drogue, les hérésies, la magie, le péché en général]. C’est par la proclamation de la Vérité des Évangiles que l’humanité préparera son Carême [parabole de la Pentecôte céleste].
Le Seigneur a donné Sa vie pour la multitude. Dans votre siècle, les ennemis de Dieu s’acharnent à prendre la vie d’une multitude [surtout depuis le Covid avec les confinements et les injections forcées] pour favoriser le dépeuplement et vivre pour manger [saint Michel met en valeur le fait qu’une caste aisée souhaite la mort de beaucoup pour assouvir leurs penchants pervers]. Si Dieu donne gratuitement, ses ennemis s’accaparent Son œuvre pour déchirer ses vêtements et les vendre [allusion au dépouillement du Christ avant Sa crucifixion]. Notre Seigneur veut la Paix pour tous les hommes, tandis que ses ennemis veulent exactement l’inverse. Les paroles du Seigneur prennent tout leur sens : « c’est à l’arbre que l’on reconnaît ses fruits » [Les mauvais actes de ceux qui sont influents les rendent d’autant plus visibles]. »
La locution avec saint Michel arrive à sa fin puisque j’ai dû l’interrompre pour effectuer mon devoir d’état. Dieu vous bénisse et vous garde !
Voici un petit texte qui résume l’action des ennemis de Dieu. Il s’agit d’une pure fiction qui repose toutefois sur des vérités bibliques.
« Treize hommes1 petits et laids2 entrèrent dans la salle de réunion. L’un d’entre eux, le plus gras et le plus hideux, portait d’abominables lunettes qui lui donnait un air niais.
Il commença d’une voix nasillarde :
– Nous sommes ici réunis pour parodier la vie de celui3 qui nous empêche de régner sur cette terre. Nos ancêtres4 luttent depuis des siècles pour briser tout ce qu’il a érigé5 ici-bas. Nos ancêtres ont compris que pour devenir les maîtres de cette civilisation nous devons morceler le savoir6. Au fil des générations, nous avons fait en sorte que chacun d’entre eux ne connaisse qu’une petite partie des savoirs afin de restreindre leur champ cognitif. Nous sommes les élus7, nous milliardaires philanthropes8 qui avons su dérober l’argent à ces peuples idiots. C’est en créant des générations d’abrutis, en morcelant9 les savoirs que nous pourrons régner sur des peuples bâtards10 et faibles. Nous devons tout à nous-mêmes et à notre maître, cet ami de Judas11. Peu importe que nos âmes soient dédiées à l’enfer chrétien12, nous devons régner coûte que coûte. Les jeunes générations ne connaissent qu’une infime portion des savoirs grâce à l’une de nos grandes œuvres13. Par exemple, l’artiste connaît seulement l’histoire de l’art, le médecin une fraction de la médecine, l’historien une bribe de l’histoire, l’informaticien une partie des mathématiques, le garagiste la mécanique automobile, le politicien ce que nous avons voulu qu’il sache. Nos ancêtres ont compris qu’en morcelant le savoir, ces populations abêties ne pourraient plus comprendre le sens profond de la vérité14. De nos jours, les vertus ne sont plus enseignées, nous prônons la liberté du péché et les sujets15 sont heureux d’être ignorants. En favorisant l’égocentrisme16, nous pouvons manœuvrer à notre guise puisqu’il n’y a plus de saints17 pour nous en empêcher. Avez-vous entendu quelqu’un prôner les vérités des Évangiles en cette année 2023 ? »
Tout le monde se mit à rire. Le brouhaha général ressemblait à des cris d’animaux18. Le nez du petit homme à lunettes ressemblait à un groin de porc. De la bave s’échappait de ses lèvres grotesques lorsqu’il riait. Son ventre rebondit et son allure générale le faisait ressembler à un animal de basse-cour. Il n’avait rien de glorieux19, à l’image de son maître dégénéré20, celui que l’on nomme le « prince de ce monde ».
« Calmons-nous les frères, dit-il en bougeant sa petite main grasse. Reprenons calmement. Nous sommes parvenus à rendre hommage à notre maître21 dans les médias sans que personne ne s’en offusque. Cela aurait été impossible du temps22 des rois et de la papauté. Nous contrôlons les médias, grâce à notre aimable23 fortune. Nous ne sommes ni beaux ni forts24, mais, nous avons le pouvoir matériel25, nous contrôlons les masses grâce à notre pouvoir d’influence26. Nous sommes parvenus à faire ralentir la messe27 en France. Le pays sera bientôt à nous puisque le sacrifice28 est de moins en moins fréquent. Notre dieu29 va bientôt frapper la France et nous permettre de répandre le chaos30 dans le monde. C’est en favorisant la guerre entre les nations sur les territoires européens31 que nous pourrons accélérer la destruction de l’ancien32 monde. Lors de la reconstruction, nous imposerons nos solutions numériques33 pour contrôler l’ensemble de ces populations débilitantes. Forts de notre puissance spirituelle34, nous serons les maîtres du monde de demain face à des populations bâtardes. Nous régnerons alors pour mille ans35 ! ».
Après ces paroles, les membres de la réunion se mirent à applaudir frénétiquement. Le chef de cérémonie reprit son discours.
« Le complotisme36 a permis de faire taire tous ceux qui cherchent la vérité. Notre parole est supérieure et nous devons l’imposer coûte que coûte37. Nous devons clamer nos valeurs38 à travers celles de la république. Que les non genrés39 chantent et dansent dans les petites écoles afin de pervertir cette génération de rejetons qui sont voués à devenir les zélés sujets40 de notre cause. D’ici quelques années41, nous régnerons tels les empereurs et les pharaons42. Nous serons les dieux du monde numérique. Les implants cérébraux nous permettront de régner sur des hordes d’esclaves. Le chantage43 nous permettra de forcer la populace44 à accepter de se faire implanter45 nos puces dans leurs cerveaux afin que nous puissions les contrôler. Dans ce sens, le Covid46 fut un excellent essai pour le renforcement de nos infrastructures47 numériques. Le passeport numérique à venir sera davantage abouti et personne n’échappera à notre volonté. Nous pourrons désactiver les terroristes48 grâce à un simple clic49. Nos enfants et nous-mêmes échapperons50 à l’implant cérébral puisque nous serons51 à la tête de la nouvelle civilisation. Nous serons bientôt comme des dieux52 ! »
L’ensemble des membres de la réunion applaudirent et se mirent à chanter un hymne qui louaient leur gloire à travers les siècles. Ce chant ressemblait étrangement à un refrain nazi. L’homme aux grosses lunettes se leva triomphalement et invita ses invités à le suivre dans une immense salle de gala. Leurs familles allaient bientôt venir pour fêter son anniversaire. Cet homme, dirigeant d’une grande entreprise pharmaceutique française, sortit d’un pas mou de la salle de réunion. Son cortège le suivit comme l’auraient fait les membres d’une secte. Des gardes du corps attendaient dans le couloir.
Le dirigeant était protégé 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Sa grande demeure était entourée de hauts murs et une alarme sécurisait l’ensemble du périmètre. Un sourire pervers s’inscrivit sur sa bouche aux traits grossiers. Il ne pensait jamais à sa propre mort parce qu’il voulait vivre au détriment de tous les inconnus qui composaient la nation. Il s’était lui-même élevé au rang de maître de cérémonie parce qu’il louait sa propre intelligence. Son génie dans le mal n’avait pas de limite.
S’il ne connaissait pas Jésus-Christ, Jésus-Christ ne le connaissait pas non plus. Son âme était déjà vouée à l’enfer. Le jour de sa mort, il pousserait des cris de terreur lorsqu’il verrait apparaître un démon à la forme hideuse affirmant être son maître pour l’éternité. Le milliardaire était pourtant persuadé qu’il pouvait dominer les forces de l’enfer à l’aide de sa simple volonté. Il n’avait pas conscience qu’il était lui-même l’imbécile victime des forces du mal. En servant Mammon, il avait choisi son camp dès le jour où il avait engrangé son premier million. Ce jour-là il avait dérobé la composition chimique d’un médicament à l’entreprise pour laquelle il travaillait en tant que consultant. Un homme de grande beauté et au sourire sympathique l’invita à le rejoindre pour devenir immensément riche. Son avenir venait d’être scellé à ce moment précis, et ce, au détriment de tous.
Stéphane
26 mars 2023
1Le nombre treize est une parodie diabolique de la dernière Cène. Les ennemis de Dieu aiment se moquer de Jésus-Christ par pure méchanceté parce que ce sont des sépulcres blanchis, c’est-à-dire des hommes bien en apparence, dont le cœur est complètement vicié par l’esprit des ténèbres.
2La laideur est souvent intérieure. Ici la laideur est exprimée en terme physique pour marquer le trait. En réalité, bien souvent, les être diaboliques aiment être beaux et parfumés pour tromper leurs pairs. Par exemple, les milliardaires sont bien habillés, bien coiffés, manucurés tandis que leurs actes sont abjects et marqués par un orgueil hors norme.
4Les ennemis de Dieu, notamment les Philosophes des Lumières
5C’est Jésus-Christ qui a instauré la Charité. De cette Charité a découlé les vertus, l’ordre et la morale. Ces choses sublimes ont permis de créer la civilisation. En effet, c’est par le calme, la patience, la bonté, l’intelligence qu’une civilisation ordonnée et paisible a pu émerger. Sans ordre, la société est chaotique, erratique et malveillante. Les élus d’un État qui embrasse des théories fallacieuses deviennent eux-mêmes sources de chaos à l’image de l’ère macronienne. Les êtres qui manquent de sagesse font preuve d’un orgueil qui transforme tout acte de défense en lèse-majesté. Ainsi, l’élu qui s’est fait président de la nation par la ruse politique impose les objectifs américains à la France parce qu’il est lui-même servile et dévoué à une cause inique. Il confond les grévistes avec des factions et des factieux, par conséquent, il transforme les manifestants en ennemis de la république. Les tyrans ont toujours agi ainsi au cours de l’histoire.
6C’est-à-dire que l’éducation doit consister à enseigner un savoir borné à des techniques avancées mais séparées d’un savoir global. Ainsi, un ingénieur qui ne maîtrise qu’une science est incapable d’effectuer un autre métier. Par extension, il ne comprend pas vraiment le monde qui l’entoure parce qu’on ne lui a pas donné la culture générale qui lui aurait permis de mieux cerner l’histoire, la littérature, la politique, les sciences, la médecine, la religion, etc.
7Ces gens sont persuadés de représenter la caste des « élus » terrestres
8La philanthropie est un moyen de berner la crédulité des populations en leur faisant croire à la générosité des milliardaires
9La technique du morcellement des savoirs empêchent de reconstituer le puzzle. En effet, c’est en reconstituant l’ensemble des connaissances que nous pouvons comprendre le sens de l’histoire de l’humanité qui tend vers Dieu. Pour aller plus loin, on peut dire qu’une carence de connaissances et le manque de temps empêche les gens de réfléchir à la vie de Jésus-Christ et à son rôle au cours de l’histoire de l’humanité. Avant Jésus-Christ, la violence régnait et après Jésus-Christ la violence tend à revenir en vu de réinstaurer les sacrifices humains à des dieux maléfiques pour que certaines personnes puissent vivre au détriment des autres. C’est l’ordre de la force qui règne à l’image du démon, et ce, grâce au concours des personnes qui ignorent tout de la religion chrétienne. C’est en transformant l’humanité en complice du démon que les méchants peuvent régner. Ainsi, le morcellement du savoir rend les hommes aveugles à Jésus-Christ, au bien, au vrai et au beau.
10Ils pensent que le mélange racial créé des êtres humains abâtardis, ce qui est faux car Dieu est bon et ne condamne pas les mélanges entre les différents peuples de la terre puisque pour Dieu il n’y a qu’un seul peuple
11L’apôtre traître qui a livré Jésus-Christ et s’est suicidé par la suite est en enfer.
12Ces gens nient l’existence de l’enfer parce que le démon les a aveuglés par les 7 péchés capitaux. Le démon participe à l’aveuglement de ses esclaves.
13Il s’agit de la création des réseaux sociaux qui permettent de diffuser toutes sortes de vidéos courtes et de fausses informations destinées à corrompre les âmes
14La Vérité désigne en réalité Jésus-Christ parce qu’il est « la Vie, le Chemin et la Vérité ».
15Le terme « sujets » représente les gens en général qui sont victimes de la civilisation occidentale
16L’égoïsme rend les gens aveugles au sens du bien commun. Ainsi, il accentue dans l’âme l’aveuglement et le goût pour le péché. Un homme qui fait ce qu’il veut quand il veut où il veut renforce son amour-propre au détriment des autres. Il ne participe plus à la communion des Saints pour son propre malheur.
17Le dernier grand saint connu est le grand Padre Pio qui est parti au ciel quelques années après le concile de Vatican II
18La plupart de ceux qui se pensent être des « élites » sont bien souvent des personnes repoussantes qui ont conservé une âme grossière. Bien souvent, ces personnes se laissent aller à des émotions primaires. Ainsi, les cris d’animaux expriment cette bestialité. Toutefois il s’agit d’une tournure littéraire et non pas d’une moquerie envers les animaux qui méritent tout notre respect parce que Dieu les a conçus innocents.
19Beaucoup de hauts fonctionnaires corrompus sont physiquement faibles et ont prévu des portes de sorties dans leur bureau parce qu’ils savent qu’ils connaîtront un jour la vindicte populaire à cause de leur comportement immoral.
20Le démon est déchu et à ce titre il est laid. L’odeur de soufre est une parabole de sa laideur spirituelle. Traditionnellement, il est décrit comme un être mi-homme mi-bouc à l’odeur pestilentielle.
21De nombreuses cérémonies sataniques ont été transmises à la télévision et dans les médias.
22Contrairement à ce qui est enseigné en histoire, les rois étaient très pieux et les papes souvent de grands saints qui louaient le saint nom de Dieu.
23Ici le terme « aimable » rappelle l’attachement de ces personnes à l’égard de l’argent.
24Les milliardaires sont l’exact opposé des Antiques Héros. En effet, les héros étaient pauvres et valeureux à l’exemple des soldats moines Templiers par exemple. Les milliardaires sont l’anti-thèse des héros puisqu’ils s’enrichissent grâce à des techniques mathématiques au détriment de la population. Ils utilisent l’ingéniosité et l’intérêt personnel pour s’enrichir tout en refusant de participer au bien commun.
25Le démon confère à ses esclaves la réussite matérielle.
26Les médias participent grandement à l’influence sur la psychologie des masses.
27La Sainte-Messe catholique a un rôle majeur dans l’équilibre du monde puisqu’elle consiste à rendre grâce à Dieu par le sacrifice perpétuel de Jésus-Christ. La crucifixion sanglante a eu lieu en l’an 33 pour sauver la multitude. La Sainte-Messe rappelle ce sacrifice sanglant en buvant du vin et en consommant la sainte Hostie. L’action de Grâce permet de se rappeler que Dieu a donné Sa vie pour nous. Ainsi, nous préservons en notre cœur le souvenir de son saint Sacrifice. Les ennemis de Dieu souhaitent stopper la Sainte Messe afin de perpétrer des sacrifices sanglants à l’image des cruels peuples mayas. Les ennemis de Dieu aiment verser le sang des autres en hommage à leurs idoles. Par exemple, l’avortement est l’une de ces symboliques démoniaques. Dieu a créé l’homme à son image tandis que l’avortement fragilise l’œuvre de Dieu en favorisant la « non-naissance » d’êtres humains.
29Le mot « dieu » est en minuscules parce qu’il représente ici leur maître démoniaque pour ne pas le nommer.
30Le chaos détruit les gardes-fous de la civilisation et se répand à la manière de la chute de dominos. La théorie du chaos civil permet de favoriser une reconstruction selon des principes maléfiques qui sont opposés à ceux de Jésus-Christ.
31La guerre entre la Russie et les pays de l’ouest de l’Europe entraînerait un chaos favorable à la progression du tout-numérique.
32L’ancien monde correspond à la civilisation chrétienne qui est basée sur les Commandements de Jésus-Christ : « tu aimeras Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme et tu aimeras ton frère comme toi-même. »
33Les peuples seront demandeurs, à ce moment de l’histoire, de plus de sécurité. Ils voudront que soit mis en place le contrôle de chacun grâce au numérique. C’est une tactique perverse qui est suggérée par le malin lui-même afin de régner sur l’humanité. Les ennemis de Dieu veulent régner sur des peuples dits dégénérés car selon leurs théories, c’est en abaissant les autres qu’ils peuvent eux-mêmes s’élever sur un piédestal. Avec un trait d’humour, on peut dire que « ce sont des dieux parmi les insectes ».
34Ils pensent que les rituels démoniaques leur octroient une intelligence supérieure. Les rituels de sacrifices aux démons donnent une force anormale à ceux qui les pratiquent. Ce sont des pratiques atroces qui sont condamnées par le christianisme. Jésus-Christ est la Vie, la Vérité et le Chemin. À ce titre, il aime l’humanité entière. C’est en suivant Ses commandements d’Amour, de Charité que l’on est sauvé du mal. L’humilité donne accès au Saint-Esprit, à des dons de l’esprit qui anoblissent le cœur humain et le rende semblable au bon saint Michel Archange. Lorsque saint Michel dit « qui est comme Dieu », les orgueilleux disent « nous » alors qu’en réalité il n’y a pas de réponse à cette question puisque Dieu est la seule Source de vie. « Buvez mon eau vive et vous n’aurez plus jamais soif » comme le dit Jésus-Christ dans la sainte Éternité. Seulement, les ennemis de Dieu sont aveuglés par leur amour-propre et pensent être des demi-dieux par leurs pouvoirs spirituels maléfiques. Le malin a dit à Jésus-Christ « agenouille-toi devant moi et je te donnerai toutes les richesses du monde ». C’est en refusant de s’agenouiller devant le malin que l’on rend grâce à Dieu.
35Le millénarisme est apprécié par les tyrans. En effet, ceux-ci veulent vivre une vie selon leurs envies au détriment de tous. Chez ces gens, l’intérêt individuel prime sur le bien commun. Ils veulent que les populations leur obéissent aveuglément. Surtout, ils aiment lorsque les populations se sacrifient afin qu’ils puissent eux-mêmes vivre dans le luxe et selon leurs envies dépravées. Les ennemis de Jésus-Christ sont des caricatures parce qu’ils font exactement l’inverse des Dix Commandements. Ce sont les singes de Dieu. La guérison des aveugles et des paralytiques permettaient à Jésus-Christ de prouver aux foules incrédules la puissance de Dieu. Dans le même ordre d’idée, leur méchanceté permettra de prouver que la puissance de Dieu est supérieure à celle du démon lorsque ceux-ci auront été décimés par la Justice Divine.
36Le terme « complotisme » désigne la théorie qui permet de jeter dans l’opprobre tous ceux qui cherchent à prouver que des personnes aux mauvaises intentions règnent sur la population. En effet, le mal existe réellement. Les individus avides de pouvoirs et d’argent aiment se réunir à l’écart des médias pour parler de leurs projets politique matérialistes. Ceux qui ont des choses à cacher agissent dans l’obscurité parce que s’ils dévoilaient leurs véritables intentions au grand jour, leurs projets maléfiques échoueraient. Leur soif de pouvoir rend de plus en plus visible leurs mauvaises intentions. Par conséquent, leur seule défense et de jeter les résistants dans les mailles du complotisme. La théorie du complotisme est un nouveau type de camp de concentration virtuel dans lequel on jette tous ceux qui dérangent afin que personne n’écoute ce que ces chercheurs de vérité ont à dire publiquement.
37Ces personnes sont caractérisées par l’acharnement dans leurs théories à l’image de l’ange déchu. En effet, un démon s’acharne dans le mal et ne sait faire que cela. Comme nos ancêtres catholiques disaient « Errare humanum est, perseverare diabolicum », c’est-à-dire « l’erreur est humaine, persévérer dans son erreur est diabolique ».
38Les valeurs sont fluctuantes au fil du temps. Par exemple, au temps du Covid, les valeurs de la République n’étaient plus égalitaires. À l’inverse, les enfants qui obéissaient aux injonctions étaient plus « égaux » que d’autres. Ainsi, on peut faire dire n’importe quoi aux valeurs de la République. Nous constatons simplement que « liberté, égalité et fraternité » n’est plus qu’un effet de style littéraire depuis la révolution française.
39Le terme « non genré » désigne ces minorités qui se font opérer pour changer de sexe parce qu’elles sont assujetties aux théories fallacieuses de la non-binarité. Adam et Eve sont respectivement un homme et une femme. Le mariage permet de fonder une famille. Ainsi, l’union engendre des enfants. Dieu bénit l’union de l’homme et de la femme parce qu’Il dit : « Soyez féconds et multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Soyez les maîtres des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, et de tous les animaux qui vont et viennent sur la terre. » (Livre de la Génèse 1:28)
40Les enfants élevés dans la débauche deviendront des adultes complètement soumis à toutes sortes de doctrines perverses. Nous constatons que le mal progresse insidieusement en se faisant passer pour le « progrès ».
41Les auteurs de la Révolution française pensaient également être toujours en vie quelques années après. Seulement lorsque la Terreur s’est déchaînée, les fondateurs de la Révolution française furent guillotinés par un effet de justice providentielle. Les ennemis de Dieu se pensent immortels, mais, ils sont source de raillerie auprès des forces invisibles.
42Les empereurs et les pharaons régnaient par la tyrannie. Ce n’est que Constantin qui christianisa l’empire romain. Sous son règne l’injustice fut décroissante. À l’inverse, sous le règne du président de la France en 2023, l’injustice est croissante, ce qui marque le retour vers la tyrannie des empereurs et des pharaons.
43Le chantage est la tactique physiquement non violente préférée des tyrans. Ils tiennent les personnages publics grâce au chantage. Les fautes morales des personnalités politiques seraient révélées s’ils ne participaient pas à leur plan.
45Plusieurs entreprises travaillent sur les implants numériques. Les singes sont les victimes de cet horrible projet puisqu’ils sont implantés et testés dans des conditions sanitaires épouvantables.
46L’ère du Covid est un essai avant la mise en place du véritable plan qui devrait avoir lieu aux alentours de 2024. L’OMS doit annoncer un plan pour lutter contre les futures maladies contagieuses et souhaite imposer la vaccination perpétuelle aux populations mondiales à l’aide de passeports numériques.
47L’Internet est une immense et complexe infrastructure résiliente qui nécessite le travail de millions d’ingénieurs. Des chiffrements inviolables par les ordinateurs civils ont été mis en place au sein des passeports vaccinaux pour éviter leurs falsifications. Grâce au développement de la technologie, il sera possible de faire bien mieux dans le futur.
48Le terme « terroristes » désigne en réalité toutes les personnes qui souhaitent simplement vivre librement. Les nazis qualifiaient de terroristes tous ceux qui osaient aller à l’encontre de leur idéologie nauséabonde. Il en est de même pour les tyrans au cours de l’histoire.
49En informatique, un clic sur un objet graphique permet d’exécuter un ensemble de programmes chargés d’une fonction plus ou moins spécifique. Ainsi, il est tout à fait possible de programmer un bouton qui permet, par exemple, de couper le portefeuille d’euro numérique d’une personne ou d’envoyer une décharge électrique à travers l’implant cérébral d’un civil.
50Les familles des milliardaires de la Silicon Valley sont préservés de la numérisation. Ils sont élevés selon les enseignements traditionnels de qualité. Il en serait de même si les implants cérébraux devaient voir le jour.
51Les ennemis de Dieu se considèrent comme invincibles à l’image des super-héros. Il s’agit d’une vision puérile du monde. Les hommes sont physiquement munis d’une force limitée et ce sera toujours le cas malgré le transhumanisme.
52Le démon aime répéter à ses esclaves qu’ils seront comme des dieux dans le futur, ceci, afin de mieux les berner.
En ce 18 mars 2023, une voix suave m’a demandé d’aller chercher un livre que je n’avais encore jamais lu. Il s’agit de l’ouvrage « Le cœur de Jésus, modèle du cœur humain » du père Seguin imprimé en 1876 par les éditions Lecoffre.
Cet ouvrage donne les trois lettres de Marguerite-Marie adressée à la Mère de Saumaise. L’une de ses plus belles visions fut rédigée le 17 juin 1689. Trois cent trente-trois années (333) séparaient cette date du 17 juin 2022. Nous sommes actuellement dans la 334e année après la prophétie du Sacré-Cœur.
Quelle stupéfaction de découvrir une explication des prophéties de Marguerite-Marie à la page 18 de ce magnifique ouvrage :
« Des paroles contenues dans ces trois documents il résulte ce qui suit : Dieu a formé un dessein nouveau, digne de sa toute-puissance et de son amour ; il veut unir la France plus étroitement que jamais à son Christ et à son Église, et c’est par la dévotion au Sacré-Cœur qu’il a résolu de réaliser ce dessein. Dans ce but, il veut que cette dévotion revête un caractère social et national, manifesté par trois faits significatifs : l’édification d’un sanctuaire dédié au Sacré-cœur, la consécration de la France et de son gouvernement accompli dans ce même sanctuaire, et enfin l’image du Sacré-Cœur jointe aux armes et à l’étendard de la patrie. Telle est la signification véritable des paroles du divin Maître à la Vierge de Paray ; et comme, dans les idées du temps, le roi et la France ne faisaient qu’un, il faut attribuer à la nation ce qui est dit de la personne du roi. Par son cœur, Jésus-Christ veut donc ramener à lui la France égarée, reconquérir la fille aînée de l’Église. Après avoir formé la nation française ; après lui avoir pendant des siècles donné des marques d’une providence spéciale ; au moment où, trahissant la mission qui lui a été confiée, elle semble avoir perdu ce parfum de la foi dont elle doit embaumer le monde, Jésus-Christ lui découvre son cœur. En vain le monde et l’enfer s’opposant à ce dessein. Le Sauveur a déposé dans le cœur de la nation le feu de la charité, et rien ne résistait à la chaleur puissante de cet amour divin ; le jour viendra où la France, vaincu par cette suave influence, sera soumise à l’aimable cœur du roi Jésus.
Ce n’est pas seulement la France qui doit être reconquise et sauvée par le Sacré-cœur ; tous les peuples ont un gage de salut dans la belle dévotion. Nous remarquons en effet que, dans la parole prophétique de la bienheureuse, la France n’est pas attirée sur le cœur de l’Homme de Dieu en qualité de simple nation, mais plutôt en qualité de fille aînée de l’Église et même de la fille aînée de ce Cœur Sacré, par conséquent en tant qu’elle est chargée d’un rôle providentiel et investit d’une mission.
« La vocation de la France est la plus glorieuse que puisse recevoir un peuple. Défenseur né de l’Église, apôtre de la civilisation chrétienne, elle sert d’instrument à la Providence pour l’établissement du règne de Jésus-Christ. Elle a pu être infidèle à sa mission, rien ne prouve qu’elle l’ait perdue.
Aujourd’hui le Christ et l’Église semblent attendre qu’elle redevienne chrétienne dans ses institutions, dans ses lois, dans ses mœurs, dans sa vie publique. Une fois ce miracle accomplit, on peut espérer que la France reprendra son œuvre traditionnelle. On la verra sans doute restaurer le droit chrétien à Rome et dans le monde et promouvoir partout la vraie civilisation. Aussi l’une des plus grandes nécessités de notre époque est la conversion de ce noble peuple1. »
Jésus-Christ souhaite que la France redevienne chrétienne et ce sera le cas lorsqu’elle aura beaucoup souffert. Soyons persuadés que ces temps sont proches et que cette génération connaîtra la renaissance de la France. Peu nombreux seront les heureux élus à connaître cette félicité précurseuse du Jugement Dernier et signe des derniers temps avant la survenue de l’antéchrist, l’homme immonde qui naîtra le jour où le feu tombera sur Rome.
Les ennemis du Christ, ceux des loges, luttent de toutes leurs forces pour faire perdre de vue ce temps de Grâce pour la France. Ainsi, ils embrouillent les esprits avec leur mythe de la « tradition primordiale » qui n’est qu’un tissu de mensonges provenant d’esprits lucifériens. Il n’existe aucun être invisible si ce n’est Dieu lui-même. Seulement, ces gens sont les adorateurs de l’abominable, de l’être déchu qui veut régner sur le monde à la place du Christ. Pendant une décennie, l’ennemi sera enchaîné par la main de saint Michel qui œuvrera à travers son protégé. En effet, un ange ne s’incarne pas lui-même puisqu’il est pur esprit, mais, il est plutôt le protecteur, l’ange gardien de celui qui doit faire renaître la foi catholique sur les nations. Celui-ci brandira l’étendard du Sacré-cœur de Jésus et utilisera simultanément le sceptre de Justice pour éviter qu’une génération ne se perde dans le péché. Cet homme sera doux avec les enfants du Christ mais extrêmement autoritaire envers ceux qui blasphèment envers Dieu. Alléluia !
Stéphane
18 mars 2023
1Nous citons avec plaisir et reconnaissance ces considérations élevées sur la destinée de la France. Nous le trouvons dans une Étude sur les sanctuaires du Sacré-cœur, publiée par le Courrier de Bruxelles du 11 octobre 1876, et écrite par un pieu et docte prélat de la Belgique, Mgr Van Den Berghe, protonotaire apostolique.
À la mort de Jésus-Christ, un grand séisme déchira le voile du temple de haut en bas. Ce grand séisme fut couplé à une éclipse solaire, signe manifeste de Dieu. Suite à la mort du Fils de Dieu, la divinité au nom imprononçable « YHWW » devint soudainement un Dieu personnel. Dieu n’était plus caché du public et la prononciation de Son nom n’était plus réservée à une élite composée de grands prêtres israélites.
Dieu n’était plus exclusivement réservé au peuple d’Israël, Il était désormais accessible à tous. Il offrirait bientôt ses bénédictions aux peuples païens, à ceux qui croiraient en la divinité de Jésus-Christ. Le prosélytisme des apôtres à travers les nations, la conversion de l’empereur Constantin au Christianisme, et plus tard, l’essor de l’Église apostolique et romaine, la grandeur de la Rome rénovée et des pays limitrophes, engendra au fil des siècles, la haine de ceux qui avaient perdu leur Dieu au nom imprononçable. La pensée catholique apostolique et romaine traditionaliste, et nous disons bien traditionaliste, correspond exactement aux commandements de Jésus-Christ.
La prédication de Jésus-Christ annonçait que sa propre nation devait disparaître parce qu’elle avait méconnu le Fils de Dieu : « Et le jugement le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises » (Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 3:19). Les anciens élus se sont accrochés à leur passé glorieux et ont ainsi agi à la manière de Lucifer lorsqu’il a été déchu de sa majesté. L’orgueil de cette nation déclassée l’a irrémédiablement entraîné dans une haine aveugle envers les nouveaux peuples élus. C’est ainsi que certaines personnes nostalgiques de la grandeur d’Israël ont tenté, au fil des siècles, de se persuader de leur propre grandeur en inventant la Cabale et ses sombres mystères. Ceci annonçait déjà le sionisme et le retour en terre sacrée.
Puis, au fil des siècles, le Vatican perdait les États Pontificaux ainsi que sa sagesse. Autrefois vénérable, la Grande Rome devint, suite au concile de Vatican II, un simple appareil politique dénué de grâce. Quelques décennies auparavant, les États-Unis affirmaient leur hégémonie sur le monde par leur matérialisme exacerbé. Ce fut dès lors la Pax-Americana.
Revenons à la crucifixion de Jésus-Christ. Son sacrifice annonçait déjà le Jugement Dernier. À partir de cet instant qui a marqué l’Histoire à jamais, chaque être humain pouvait être jugé lors de sa mort selon l’Amour (vertu de Charité fondamentalement opposée au péché de luxure) qu’il aurait plus ou moins offert durant sa vie. Dieu pèse les actions dans la balance du bien et du mal. Mais, d’un point de vue temporel et humain, c’était bien trop tôt. Les hommes n’étaient pas prêts à accepter la Vérité.
Les Hébreux du temps de Moïse conservaient leur pureté grâce aux Dix Commandements afin de ne pas s’égarer à l’instar des païens. Toutefois, combien de fois Moïse s’est élevé contre ce peuple retors. Depuis ce temps, jusqu’à la première guerre mondiale, les nations étaient séparées et les territoires marqués. Après la première guerre mondiale, le monde était transformé et les nations n’étaient plus figées dans le temps. Le principe de préservation des nations selon les prescriptions bibliques commençait à s’étioler. La survenue de la seconde guerre mondiale marqua définitivement un coup d’arrêt à cette volonté de préservation. Le nazisme avait définitivement transformé le monde en ouvrant la voie à l’américanisation de l’Occident et de l’Orient. Cela annonçait également le retour à la terre promise. Les nouvelles technologies sont issues des théories cabalistiques du Golem1.
Le progrès technologique a accéléré la vitesse de déplacement et de communication. La Cité de Dieu n’est plus. À l’inverse, la cité se rapproche de plus en plus de l’Utopie de Thomas More : « De optimo Reipublicae statu deque nova insula Utopia libellus vere aureus, nec minus salutaris quam festivus ». Les peuples doivent progressivement renoncer à leur liberté contre un ersatz. Cet ersatz est représenté par le « monde virtuel » de l’Internet. Ce metavers soi-disant si parfait est en réalité une caricature sournoise de la Création. Ceux qui détiennent les clés de ce monde virtuel deviennent les maîtres à la manière des hordes de Lucifer. « Adorez l’Internet et vous serez comme des dieux » pourrait-on entendre si l’on écoutait un instant le transhumanisme. L’intelligence artificielle est comparable à l’intelligence angélique sous sa forme démoniaque parce que celle-ci est complexe, dénuée de charité et finalement animée par les folles théories du monde. La nouvelle « ville du quart d’heure » est comparable sous de nombreux aspects à la Tour de Babel.
Ainsi, l’histoire atteste que Dieu permet à l’homme de faire les mauvais choix grâce aux principes découlant du libre-arbitre. Les événements qui précèdent la troisième guerre mondiale prouvent que Dieu est long à se mettre en colère. La Providence, cette main invisible qui n’a aucun rapport avec la théorie économique d’Adam Smith, laissera les hommes s’égarer jusqu’à un certain point. La gouvernance mondiale essayera d’imposer sa suprématie à l’aide de ses théories fallacieuses et alarmantes qui finalement sont proches de celles de Malthus.
Les hommes avides, ceux-là même qui veulent s’accaparer l’Omnipotence, sont en train d’attiser la Divine Colère. Ainsi, des événements de plus en plus incontrôlables s’abattront sur le monde jusqu’au point où l’humanité retournera à l’âge de pierre. Cependant, Dieu, dans Sa grande clémence, fera connaître aux survivants un court temps de grande paix. Ce sera alors une préfiguration du Jugement Dernier, temps qui précède l’entrée définitive au Paradis pour certains ou en enfer pour d’autres. On reconnaîtra alors que la vision des Prophètes était véridique. Les hommes seront frères parce qu’ils auront été jugés non pas par leur race mais par leur fidélité aux principes de la Charité, c’est-à-dire aux commandements de Jésus-Christ : « aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés. ». Pendant cette époque, les théories philosophiques et matérialistes post-chrétiennes auront disparu avec la guerre. La Bible ne sera plus recouverte de l’équerre maçonnique. Les théories issues des loges seront détruites de fond en comble. La Loi du Nouveau Testament sera la seule qui sauvera les hommes à cette époque post-apocalyptique parce que seule l’Église obéit aux principes de la Vérité : « Celui qui reçoit mes commandements et les garde, c’est celui-là qui m’aime ; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père ; moi aussi, je l’aimerai, et je me manifesterai à lui » (Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 14:21).
Combien d’hommes seront bientôt jugés pour avoir méconnu la volonté de Dieu. Combien les survivants se rachèteront de leur péché pour être digne du saint Nom. Alléluia !
Stéphane
16 mars 2023
1 Définition de Golem : la tradition populaire juive lui attribue la création d’un Golem, cette production du pouvoir magique de l’homme qui reçoit une forme humaine (G. Scholem, Le Messianisme juif, Paris, Calmann-Lévy, 1974, p. 471).
L’esprit est au corps ce que le langage est à la sagesse. Pour faire plus simple, le langage que nous entendons et utilisons influence fortement notre manière de penser. Ainsi, un langage familier, voire ordurier, risque de nous entraîner dans des comportements inappropriés si nous n’y prenons garde.
Nous sommes nés, bien souvent, avant les années 80/90, ce qui nous a permis de connaître une époque où la vie sociale existait encore et où le langage était soutenu. Pour nous en rappeler, il suffit d’écouter quelques vidéos des années 80 sur la chaîne « INA société ». À cette époque, l’intonation de voix des personnes était posée et bien articulée. Le vocabulaire était soutenu et plutôt simple, naïf, sans méchanceté, ni orgueil.
Près de quarante ans plus tard, le langage est très différent. En réalité, d’époque en époque, le langage évolue selon les mœurs. Si nous revenions soudainement au XVIIe siècle, nous serions fortement surpris par le langage grandiloquent des personnes de la haute société de l’époque.
Prenons un exemple avec l’extrait de la pièce de Molière « le médecin volant » :
« SABINE: Je vous trouve à propos, mon oncle, pour vous apprendre une bonne nouvelle. Je vous amène le plus habile médecin du monde, un homme qui vient des pays étrangers, qui sait les plus beaux secrets, et qui sans doute guérira ma cousine. On me l’a indiqué par bonheur, et je vous l’amène. Il est si savant, que je voudrais de bon cœur être malade, afin qu’il me guérît. »
Ou encore « le malade imaginaire »
« TOINETTE (déguisée en médecin) : Je suis médecin passager, qui vais de ville en ville, de province en province, de royaume en royaume, pour chercher d’illustres matières à ma capacité, pour trouver des malades dignes de m’occuper, capables d’exercer les grands et beaux secrets que j’ai trouvés dans la médecine. Je dédaigne de m’amuser à ce menu fatras de maladies ordinaires, à ces bagatelles de rhumatismes et défluxions, à ces fiévrottes, à ces vapeurs, et à ces migraines. Je veux des maladies d’importance : de bonnes fièvres continues avec des transports au cerveau, de bonnes fièvres pourprées, de bonnes pestes, de bonnes hydropisies formées, de bonnes pleurésies avec des inflammations de poitrine : c’est là que je me plais, c’est là que je triomphe ; et je voudrais, Monsieur, que vous eussiez toutes les maladies que je viens de dire, que vous fussiez abandonné de tous les médecins, désespéré, à l’agonie, pour vous montrer l’excellence de mes remèdes, et l’envie que j’aurais de vous rendre service. »
Un extrait de discours de François Coppée, membre de l’académie française, en juin 1898 :
« Le sentiment public l’a bien compris. Dès que le comité pour l’érection de ce monument fut constitué, nous vîmes se grouper autour de nous les sympathies et les bonnes volontés, et à tous ceux qui ont assuré le succès de notre entreprise, j’ai le devoir très doux d’exprimer notre reconnaissance. Auprès de l’administration des Beaux-Arts, du Conseil général de la Seine et des Conseils municipaux de Paris et de Boulogne-sur-Mer, ville natale de Sainte-Beuve, aussitôt s’inscrivirent sur nos listes l’Académie française, le Collège de France, la Revue des Deux Mondes, la Société des Gens de Lettres, plus un grand nombre de noms illustres et chers, une foule qui est une élite. Qu’ils soient tous remerciés. Mais parmi nos souscriptions, il en est certaines qui, à cause même de leur faible chiffre, ont à nos yeux une valeur et un mérite tout particuliers. Ce sont les envois des modestes travailleurs et notamment des membres de l’enseignement public, qui ont ainsi témoigné de leur gratitude envers le grand lettré dont le puissant et admirable labeur leur est tous les jours si précieux. Ces touchants souvenirs nous sont parvenus en assez grande quantité ; mais si nous avions reçu l’obole de tous ceux dont l’encyclopédie littéraire qui s’appelle les Causeries du Lundi a facilité la tâche, de tous ceux qui sont, pour ainsi parler, les obligés intellectuels de Sainte-Beuve, ce n’est pas un simple buste, c’est une grande et belle statue que nous lui dresserions aujourd’hui. »
Il est à noter que le langage des siècles antérieurs au XXe était châtié, c’est-à-dire pur et surveillé. Ainsi, il ne contenait aucune connotation perverse. Par exemple le terme « érection » signifiait « faire sortir de terre ». À cette époque, les esprits étaient empreints de classe, de pudeur, de prestige, imprégnés de beauté et de pureté à l’image de Jésus-Christ.
Les prêtres, ces hommes vêtus d’une longue robe noire, à la fois bons et sévères, parlaient du haut de leur chaire pour enseigner les foules qui venaient à la messe. Quelle joie d’entendre ces hommes éloquents encourager les foules à la pureté du Christianisme ! Combien de miracles ont eu lieu lorsqu’ils prononçaient leurs discours imprégnés d’une surnaturelle sagesse. Certains frondeurs qui niaient l’existence du Christ prononçaient à voix haute leur venin parmi la foule et mouraient le lendemain ou le surlendemain d’une manière brutale, marque de la Justice de Dieu. Ô, combien à cette époque, les vertus étaient respectées et admirées !
Autrefois, nos ancêtres disaient pour se saluer « bonjour, très cher ami, j’espère que votre nuit fut bonne et profitable. Vous resplendissez en cette belle matinée ». De nos jours, ce serait plutôt : « wesh, gros, bien ou bien ? ». Si nous voulons être dignes du Christ, nous devons épurer ce qui reste de la langue française. Ainsi, nous devons contribuer à la désexualisation du langage pour rendre hommage à nos ancêtres, à masculiniser de nouveau la grammaire pour rappeler l’autorité du père. Nous devons enlever tous les mots parasites, pervertis, inutiles et grotesques pour les remplacer par d’autres, semblables à ceux utilisés dans le Nouveau Testament.
La médiocrité a déformé les mots en seulement quelques générations. Nous devons châtier le langage afin que les prochaines générations entendent des mots qui résonnent et leur permettent de s’élever. Si Dieu laissait faire cette destruction, sans jamais l’arrêter, les hommes deviendraient aussi vulgaires, stupides et violents que des barbares sans foi ni loi.
Lorsque la France aura touché le fond, le fracas sera terrible et il sera alors temps de sortir de cette infernale torpeur. Nous anéantirons l’œuvre de ceux qui ont fait le choix de pervertir les esprits. Nous reprendrons notre Bible afin d’interdire à ces générations de devenir impies. Nous les garderons sur le droit chemin à l’aide d’une sévérité exemplaire et d’une douceur sans égal, celles du tranchant de la Parole de Dieu. Là où les dix commandements règnent, la paix du Christ surgit puisque la Loi et les prophètes sont honorés. Lorsque le Christ-Roi est admiré sur son trône de gloire, les lions paissent aux côtés des brebis.
Dieu est Parfait et Bon par nature, comme nous le savons. Il a donné à chacun d’entre nous le libre-arbitre pour nous laisser le choix du bien ou du mal.
Posons-nous cette question. Que peuvent faire les hommes de bien face à la corruption généralisée ? La terre continue de tourner au rythme des saisons. Par conséquent, nous ne pouvons rien entreprendre d’un point de vue humain puisque Dieu le permet.
Le Pape Léon XIII avait vu la puissance du malin s’élever sur la terre. Son intuition lui répondit qu’il fallait prier saint Michel pour nous protéger contre les puissances maléfiques.
Nos ancêtres diraient certainement quelque chose de ce genre à propos de notre époque, s’ils pouvaient encore s’exprimer :
« Viendra un temps où des hommes sans foi ni loi, possesseurs de grandes richesses matérielles, se protégeront mutuellement les uns les autres contre les commandements de Dieu. Ces hommes se croiront protégés contre la colère de Dieu. Ils essayeront, à l’image de leur démoniaque maître, d’imposer un joug inique aux populations. Avant que cela ne se produise, il leur faudra corrompre plusieurs générations pour que les futures populations ne puissent plus repérer leurs intentions malveillantes. Ils effectueront des tests à grande échelle pour vérifier que leurs tactiques leur permettent d’asseoir leur emprise (2020), avant de mettre en branle quelques années plus tard leur funeste plan (2024 selon l’OMS, sans aucune certitude puisque Dieu est le maître du Temps). Ils utiliseront des nouvelles technologies toujours plus contraignantes pour imposer leur puissance ténébreuse. Il leur faudra un grand nombre de boucs émissaires et toutes sortes de tactiques comme la théorie du complotisme qui tend à décrédibiliser ceux qui réfléchissent. De génération en génération, d’un mal en sortira d’autres encore plus grands. Dans cette terrible époque, l’injustice régnera à son comble comme la justice régnait au temps de leurs ancêtres. »
Posons-nous maintenant la question suivante : « qui est comme Dieu » ?
Si personne ne peut rien contre une forteresse imprenable, pour que la justice de Dieu soit faite, il faut que Sa colère se lève comme au temps de Noé. C’est pourquoi il est dit que les gens riaient et buvaient lorsqu’un grand malheur fondit sur leur génération pervertie. Jésus-Christ nous rappelle qu’en Son temps les hommes mauvais et adultères ne connurent que le signe de Jonas (cf les évangiles de Jésus-Christ selon Mathieu 12,38-41).
Jésus-Christ est la puissance de Dieu incarnée et cette puissance est salvatrice. Par conséquent, l’esprit de Dieu ne punit pas, Il se retire pour laisser la place aux forces obscures, ces anges déchus qui rêvent d’anéantir le genre humain. Le calcul des hommes qui se pensent imprenables dans leur forteresse consiste à gripper le système pour imposer une obéissance absolue grâce à des laissez-passer numériques. Ces hommes odieux grinceront des dents lorsqu’ils se rendront compte qu’ils ont eux-mêmes engendrés la destruction de la civilisation qui leur permettaient de régner injustement.
Notre époque est une métaphore de la crucifixion et voici pourquoi. Le comble de l’injustice eut lieu lorsque le peuple de Jésus-Christ réclama Sa crucifixion. Après le sacrifice sanglant, temps correspondant à l’expression des ténèbres les plus noires, le précieux corps fut déposé dans le tombeau pendant 3 jours et 3 nuits. Dieu se rit de la méchanceté des hommes puisque 3 jours plus tard, Jésus-Christ fut ressuscité pour prouver La Toute-Puissance de Dieu. Moralité, les ennemis de Dieu peuvent tuer la chair, mais ils ne peuvent rien contre l’Esprit.
Nous sommes actuellement au cœur d’un grand mystère d’iniquité : Jésus-Christ est au tombeau. Nous ne connaissons pas la durée exacte de ce temps puisqu’il ne s’agit pas d’un temps d’homme. Dans notre époque, l’Époux nous est enlevé. Nous devons nous préparer comme les Vierges sages pour ne pas rester dans les ténèbres.
Les jours des fils du démon sont comptés. Ils sont déjà condamnés à la mort éternelle par l’ange déchu qu’ils vénèrent. Leur maître trompeur est impuissant face à l’Omnipotence de Dieu.
Les justes sont éprouvés par une nouvelle forme de martyr. Mais, par leur persistance dans le bien, ceux-ci recevront leur couronne de laurier. Ainsi, après ces temps de ténèbres où leur puissance éclateront, viendra un temps de grande paix. Ce sera la Pentecôte de la France. Veillons et prions !
J’avais publié cet article en octobre 2015, déjà presque 8 ans. Ce catéchisme de 1947 à destination des enfants est une perle rare. Je vous propose de le redécouvrir dans sa totalité. Je joins la table des matières pour vous inciter à le télécharger. Cet ouvrage sera certainement utile à votre famille et/ou à vous même.
Vous trouverez un fichier PDF contenant 256 pages de très bonne qualité.
Nous assistons à la chute de la France post-Gaullienne, ultra-libérale.
En son temps, le grand saint Augustin fut le témoin du déclin de l’empire Romain occidental. Il mourut tandis que les invasions finissaient de ruiner le peu de reste de l’empire. On aurait pu entendre le cri de la vigie annoncer que « la grande Rome est tombée ! ».
Nous sommes les témoins contemporains de la fin de la France. Les paroles « douce France, cher pays de mon enfance, bercé de tendre insouciance » résonnent comme une lointaine fable. Hélas ! Nous ne pouvons pas nous lamenter éternellement et devons accepter cette terrible réalité.
L’abêtissement de la jeunesse est rendu possible par les réseaux sociaux qui diffusent des médias d’un niveau affligeant et dangereux pour le salut des jeunes âmes. La numérisation diffuse rapidement au sein de la civilisation contemporaine ce que l’imprimerie infusait lentement, au rythme du temps et des lettrés, lors des siècles antérieurs. Le rythme effréné de diffusion des informations conduit l’esprit humain au désastre et à l’incapacité de réfléchir en profondeur, contrairement à nos ancêtres, sur un sujet quelconque. Ces générations risquent d’être soumises au joug de l’imbécilité pour le plus grand malheur de l’humanité, au point de pouvoir entraîner sa disparition très rapide.
La technologie contemporaine est destructrice par nature. Par exemple, l’impact des chars d’assaut, de la bombe nucléaire, de l’intelligence artificielle peuvent engendrer un désastre à large échelle. Or, au temps de la Rome antique, pour prendre cet exemple, les armes se cantonnaient à des épées, des flèches, des béliers et éventuellement des catapultes. Les lois physiques et mathématiques n’étaient pas encore découvertes, ce qui empêchait l’humanité de détruire un pays en quelques minutes. Une arme ancienne entraîne une mortalité de type « unitaire » : un décès sur une courte distance dans les deux camps ennemis. Or, une arme contemporaine entraîne une mortalité de type « multiple » : plusieurs décès sur une distance plus ou moins grande dans les deux camps ennemis, à l’échelle d’une ville, d’un département, d’une région ou d’un pays.
Le nouveau modèle qui émergerait selon les jeunes dirigeants des dix prochaines années est terrifiant. Ce serait un retour à un monde barbare, débarrassé des dix commandements de Dieu, où la loi du plus fort régnerait, où l’homme et la femme ne seraient plus que des instruments dans les mains de terribles « Stromboli », ce marionnettiste itinérant dont le but principal est de gagner de l’argent. Les classes populaires, tyrannisées sous le joug de leurs maîtres assoiffés de pouvoir, seraient asexués, hybridés, sans foi ni loi. À plus ou moins long terme, les lointains descendants d’Adam et d’Eve pourraient retomber à l’état de mammifères dépourvus de parole et de raisonnement structuré. Les « Strombolis », quant à eux, tiendraient leur propre progéniture loin de l’informatique, de la pollution, de la folie afin que leurs enfants puissent devenir les puissants et cruels « empereurs » d’un monde sans Christ. Ce serait l’« âge d’or » selon les mots d’adeptes de sectes plus ou moins ésotériques.
Nous pourrions brûler la plupart des livres du XXe et du XXIe siècle sans subir de dommages importants. Il nous faudrait seulement conserver à minima les dix commandements de Dieu, un exemplaire de la « bible, traduction officielle liturgique », de l’« introduction à la vie dévote » du grand saint François de Sales, de la vie de « saint Augustin » ou de la vie de « saint Louis » selon « Jacques Le Goff ». La plupart du savoir spirituel dénué de malice se trouve dans les livres antérieurs au XXe siècle.
Nous sommes dans l’ère de la technologie dirigée par la folie outrancière. Le « joueur de flûte de Hamelin » attire à lui les enfants pour les mener à leur perdition au grand dam des parents qui ne s’aperçoivent pas de grand-chose. « Il faut que jeunesse se passe » comme certains disent bien souvent.
Les générations successives ont apostasié, au fil des siècles, par un lent effacement des valeurs antiques dites catholique, romaine et apostolique. À partir du XXe siècle, temps des découvertes scientifiques, la foi a vacillé sur sa base pour laisser la place à des théories dénuées de compassion telles le communisme, le nazisme, le wokisme et autres innombrables doctrines terminant par « isme ». Les nouvelles lois humaines refusent de se plier aux dix commandements par refus de Jésus-Christ et par orgueil. Ainsi, nous sommes à un carrefour crucial de notre civilisation.
Le but de ce message n’est pas de vous faire tomber dans le désespoir le plus complet. Bien au contraire ! Nous sommes les pierres de l’Église, les pierres de la Cité de Dieu ! Nous sommes au cœur de la guerre. Chacun d’entre nous peut faire le choix de suivre la folie du monde ou de se ressaisir pour revenir à Dieu. Les lois de Dieu sont là pour nous protéger. Dieu est notre rempart, notre tente. Le chemin de Dieu est fleuri et lorsque je marche sur ses pas bénis, je ne crains rien ! Alléluia !
Dans un monde composé d’aveugles, les borgnes sont rois. Nous, les borgnes, qui voyons clair, devons lutter de toutes nos forces pour conserver dans notre cœur, sans la corrompre, la loi de Dieu. Nous sommes comparables aux judaïques du temps de Moïse, aux catholiques sous la persécution nazie ou aux musulmans de la Palestine du XXIe siècle. Par-dessus tout, nous sommes les enfants de Dieu, aimés de la Vierge Marie et dirigés par Notre Seigneur Jésus-Christ qui est mort pour nous sur la croix, enterré sous Ponce Pilate et ressuscité au troisième jour.
Ces propos, aujourd’hui, peuvent outrager ou faire rire, mais, lorsque la France connaîtra la descente dans les eaux glacées de l’océan Atlantique Nord, tel le Titanic, les survivants se jetteront aux pieds de Dieu et de la Vierge Marie pour leur demander secours et pardon. Les lois de la Bible sont éternelles, quoi qu’en disent les ennemis de Dieu.
Notre Seigneur nous a laissé sa paix, nous l’a donné. Notre rôle est de nous tourner vers Ses commandements pour relever la France de ses cendres. Voici maintenant Ses commandements pour le salut de la France :
1. Honorer le nom de Dieu
Dieu est source de toute vie. Il nous offre gratuitement les bienfaits de la terre. Le fonctionnement parfait des lois terrestres n’est pas lié au hasard. Une force intelligente, éternelle, immuable, parfaite, d’un amour intense a créé notre monde. La Bible nous permet de comprendre et d’obéir à cette perfection. Nous sommes les gardiens du jardin d’Eden chargés de veiller sur les trésors de la nature. C’est le concept de la « foi ».
2. Différencier le naturel du naturalisme
Jésus-Christ aime puiser ses exemples dans la nature pour leur donner de la saveur. Il aime, par exemple, nous rappeler que nous devons être semblables aux « oiseaux » qui ne se soucient pas du lendemain pour se nourrir. Nous devons être doux comme la « colombe » et prudents comme le « serpent ». Ce ne sont là que quelques exemples pour étayer ce point. Nous devons aimer la nature sans toutefois basculer dans le naturalisme. Nous devons rejeter l’amour exclusif pour la nature, ce serait rejeter le monde invisible et s’éloigner du surnaturel. Le jardin d’Eden est créé et offert par Dieu. À ce titre, les anges font pleinement partie de la création. Ces êtres invisibles peuvent être bons, comme saint Michel Archange, ou odieux, comme le « grappin », cet ange déchu orgueilleux et trompeur.
3. Vivre au présent
Jésus-Christ nous rappelle dans « le Notre Père » que Dieu nous donne notre pain d’aujourd’hui. Dans la prière « Je vous salue Marie », nous demandons à la Très Sainte Marie de prier pour nous « maintenant » et à l’heure de notre mort. « Ici et maintenant » nous rappelle que nous devons éviter de nous projeter dans le futur. Cela signifie que nous ne devons pas plonger dans des états émotionnels anxieux. Nous devons cultiver l’espérance. Ce sentiment nous donne la force suffisante pour vivre au présent sans nous soucier du lendemain. C’est dans un état intérieur paisible que Dieu nous donne notre pain quotidien. C’est le concept de « l’espérance ».
4. Aimer les pauvres
La pauvreté est un concept très large. Elle peut notamment être matérielle, spirituelle, psychologique et même les trois à la fois. Jésus-Christ désigne les pauvres comme ceux qui sont « simples » d’esprit et « innocents ». Être simple signifie percevoir le bien sans détecter la malice. Aujourd’hui, on tend à désigner un simple d’esprit comme un imbécile ou un naïf. Or, dans un monde de brute, être simple conduit bien souvent à de terribles mésaventures. Cela signifie avant tout qu’il faut réformer cette civilisation déplorable et malveillante à l’égard des uns et des autres. Lorsque l’on vit dans une jungle, on a tendance à se projeter dans la peau de la proie ou du prédateur. Dans le jardin d’Eden, le bien et le mal n’existaient pas encore. Ainsi, Adam et Eve étaient simplement heureux et innocents. Nous devons aimer les pauvres et les consoler comme le font spontanément les saints. Nous donnons sans attendre de retour. Heureux les cœurs purs, car la terre est à eux. C’est le concept de la « charité ».
5. Faire le bien en secret
Dans la tradition catholique, le jour du vendredi Saint, des personnes se flagellent tout en portant une coiffe afin de ne pas être reconnues. Jésus-Christ aime nous rappeler de faire le bien en secret, enfermé à double tour dans notre chambre. Nous ne devons pas nous dévoiler au public. Jésus-Christ condamne ceux qui prient debout devant les passants pour prouver leur piété envers Dieu. Pour bien faire, nous devons être seul, enfermé dans notre cellule monastique. Loin du monde, nous pouvons prions Dieu et nous préparer à faire le bien en secret. Les véritables larmes du publicain sont préférables à la démonstration superficielle de pureté du pharisien. Cela signifie que personne ne doit voir en nous ce que Dieu aime, car dès qu’elle est dévoilée, l’humilité disparaît pour faire place à l’orgueil. C’est le concept de « l’humilité ».
6. Faire aux autres ce qu’on aimerait qu’ils fassent pour nous
Vouloir le bien des autres est un facteur d’apaisement général. Par exemple, une armée de mercenaires a pour mission la mise à mort de leurs ennemis. Vivre dans une civilisation où chacun d’entre nous est un assassin potentiel rend celle-ci invivable, car nous devons sans cesse rester vigilants pour survivre et ne pas recevoir un coup de couteau dans le dos. Nous devons alors concevoir des plans pour assassiner nos adversaires. Qui souhaite vivre dans une jungle chaque jour ?! Jésus-Christ a envoyé ses apôtres pour propager Ses commandements d’amour et de pureté. Les apôtres ont transformé la face du monde en l’apaisant. Ainsi, pendant plusieurs siècles, l’homme ne fut plus un loup pour l’homme mais un saint. Vivre dans une société gouvernée par la sagesse, la rend douce et paisible. Ainsi, le mal disparaît et se voit facilement, puisque le bien général est la tendance globale. Ainsi, le voleur est vite repéré et peut être puni avant de se réformer lui-même pour se fondre dans la masse. « Va et ne pêche plus », lui dit Jésus-Christ. Jésus-Christ nous invite à pardonner 7 fois 77 fois, donc infiniment. Nous devons trouver la ressource intérieure pour pardonner afin d’être un saint et non pas un mercenaire. C’est l’un des concepts du « pardon » qui mène à la « charité » collective.
7. S’attacher au bien que l’on perçoit dans les yeux de l’autre
Plus nous développons des pensées de jugement, plus nous sommes critiques envers autrui et envers nous-mêmes. Nous percevons sans cesse les erreurs commises par les autres et avons alors tendance à les accuser de tous les maux de la terre en oubliant que nous commettons nous-mêmes des erreurs. Ces pensées mènent à la perversion narcissique, si caractéristique de notre époque. À l’inverse, voir dans les yeux de l’autre ses qualités nous permet d’être moins critique vis-à-vis de lui et de nous-mêmes, par rebond. Ainsi, nous ne voyons plus la paille dans ses yeux mais la poutre dans les nôtres. Nous avons alors tendance à ne « plus juger pour ne pas être jugé » comme le dit Jésus-Christ. En effet, lorsque l’on cultive des pensées de jugement envers autrui, ceux-ci nous le rendent inconsciemment. Lorsque l’on cultive de bonnes pensées, les autres ont tendance à s’aligner sur les nôtres et à s’apaiser. C’est l’un des concepts du « pardon » qui mène à la « charité » collective.
8. Ne pas suivre les lois du monde mais celles de Dieu
Nous pouvons faire le choix de vivre en suivant le courant, de nager à contre-courant ou d’opter pour une nage transversale : échapper aux lois du monde sans en subir les dommages. Suivre le courant fait de nous des êtres dociles à toutes formes d’injustices, comme celles qui ont eu lieu durant la crise sanitaire du début des années 2020. La nage à contre-courant épuise rapidement ceux qui essayent de s’opposer ouvertement à l’injustice collective. Ils en payent même le prix fort au péril de leur vie publique et personnelle. Il vaut mieux s’échapper du monde, soit en s’en éloignant, soit en désobéissant intérieurement. Cette technique est efficace, car elle ne conduit pas à l’épuisement. Dans une société gouvernée par les réseaux sociaux, il est quasiment impossible de s’extraire de la tyrannie collective. Dans le passé, il était facile de se conduire en saint. Les autres pouvaient facilement adopter le même comportement puisqu’il n’y avait pas de modèle numérique imposé à tous. Les réseaux sociaux sont mortifères dès lors qu’ils véhiculent des pensées totalitaires. Dans tous les cas, la technologie est rarement utilisée pour le bien commun puisque ceux qui la construisent et la gèrent ont pour vocation de diffuser leurs propres idées. Par un effet immédiat, le spectateur adhère inconsciemment aux idées stupides et/ou absurdes. C’est le fameux « joueur de flûte d’Hamelin » qui conduit la jeunesse à sa propre perte. Autrefois, il était facile de s’extraire du monde en vivant dans un monastère austère, dominé par de saines valeurs.
9. Conserver précieusement la notion de bien et de mal
Jésus-Christ nous rappelle les bons et les mauvais comportements. Sa mission est de nature spirituelle puisque Dieu et Ses lois ne sont pas perceptibles par les cinq sens. L’homme est facilement trompé puisqu’il ne perçoit pas les concepts invisibles. Ce « sixième sens » consiste à détecter les lois qui conduisent à la corruption générale. Nos ancêtres vivaient dans des époques dominées par les lois naturelles : sans électricité, ni transport. La lenteur et le coucher dès la tombée de la nuit étaient la règle générale. Cette lenteur naturelle permet au cerveau de s’adapter et de favoriser la compréhension des lois qui régissent l’univers. L’agitation conduit le cerveau humain à l’affolement et la superficialité. À l’inverse, le calme induit la réflexion et l’analyse. L’agitation perturbe notre psyché. Ainsi, une vidéo où l’on crie comme des animaux peut entraîner des angoisses, tandis qu’un livre favorise l’imagination et la réflexion. Bien sûr, certains films peuvent engendrer un bon état émotionnel, mais il est bon de rappeler que la lecture est bénéfique à tout point de vue, aussi bien pour le langage, pour l’imagination et plus globalement pour la construction de la pensée. Nous devons garder en tête qu’ils existent des lois invisibles qui conduisent au chaos et d’autres qui conduisent au bien-être général. Les lois invisibles contemporaines ont tendance à déconstruire puisque la peur et le malheur sont omniprésents, et ce, davantage depuis le début des années 2020. Si nous persistons à vivre dans la peur, le futur sera fait de guerre et de chaos. Sans nul doute, nos pensées collectives peuvent influencer la matière. C’est pourquoi nous devons absolument garder l’orthodoxie du bien et du mal et favoriser les pensées qui conduisent au beau, au vrai, au bien, à la foi, à l’espérance et à la charité. « C’est à l’arbre que l’on reconnaît ses fruits » : les fruits contemporains ne mûrissent plus et ont un mauvais goût, ainsi on en déduit facilement que l’arbre est mauvais. Un homme qui possède une hache aura tendance à décapiter son adversaire, tandis qu’un homme qui détient du pain le distribuera. Nous sommes nous-mêmes les arbres et pouvons en reconnaître les fruits. Jésus-Christ nous a tout appris. Le monde passera mais Ses lois ne passeront pas.
10. Se comporter en dignes fils de Dieu
Les élus, dignes fils de Dieu, donnent l’exemple. Ainsi, ils sont les premiers à travailler et les derniers à se reposer. Dès le matin, ils apaisent la souffrance, guérissent, réparent. Ils mangent et se reposent seulement la nuit venue. Dans notre monde aux valeurs inversées, il est facile de penser d’abord à soi-même, de vouloir s’amuser et de refuser toute contrainte. Dans un pays gouverné par de tels individus, l’homme qui trébuche dans un chemin et tombe au sol n’est relevé par personne. Seul le samaritain, haï de tous, va secourir l’homme. Jésus-Christ nous rappelle que même si nous sommes méprisés de tous, nous devons donner de nous-mêmes pour améliorer le monde. C’est en montrant le bon exemple que les hommes suivent le chemin et se tournent vers le bien.
11. L’uniformité industrielle est mortifère
Dieu a donné aux hommes différents caractéristiques complémentaires. Certains peuples sont plus difficiles que d’autres, d’autres sont plus intellectuels que certains, tel peuple est physiquement doué, etc. La différence des compétences assure un monde fonctionnel. Nous sommes tous différents et apportons à la civilisation nos dons. Nous devons mettre notre talent personnel au service de la Cité de Dieu. La civilisation contemporaine tente de détruire les caractéristiques de l’individu afin d’en faire des produits identiques, tels des grains de sable de couleur monotone. Un homme déraciné, sans valeur est un esclave. Il est perdu et risque davantage de suivre la mode de son temps. Sa maison est fragile parce qu’elle est construite sur du sable. Seul l’homme qui bâtit sa maison sur le roc est sauvé : la conservation des commandements du Christ assure son propre salut. Nous sommes le sel de la terre parce que nous lui apportons de la saveur par nos dons personnels.
12. Le mariage est sacré
Dieu bénit l’union naturelle. La femme enfante de l’homme. Un eugénisme contemporain, une sorte de nazisme déguisé, consiste à faire croire que l’on peut changer de sexe à tout moment. Cette doctrine perverse anéantit la natalité puisqu’elle détruit les organes génitaux de ses victimes. C’est au nom de la jouissance personnelle que le dépeuplement futur est rendu possible. Les mariages entre individus de même sexe entraînent l’absence de procréation et donc la mort naturelle de la lignée. Cela prépare la civilisation au marché de la natalité par la procréation en laboratoire. C’est une infamie qui ne peut être tolérée. Chez les croyants, la stérilité est une malédiction. En effet, Dieu bénit le mariage et la procréation. Jésus-Christ bénit l’union sacrée qui permet de transformer le couple en une seule et même chair : la descendance naturelle assure la survie de l’humanité.
13. L’instruction est indispensable
L’école est un lieu qui doit enseigner de nobles valeurs à nos héritiers. L’école traditionnelle arrive à bout de souffle. Les enseignements sont mauvais et les méthodes employées apportent le désastre. Les jeunes générations ne savent pratiquement plus écrire et rencontrent de plus en plus de difficultés personnelles. L’école est devenue un modèle de médiocrité. L’acceptation de la bêtise entraîne la mise en esclavage des générations futures. L’homme est doué de conscience, de l’opposition du pouce aux autres doigts et de la parole. C’est ce qui lui donne sa supériorité sur le règne animal. Un être humain qui ne réfléchit pas devient pire qu’un insecte. L’école doit être totalement réformée. La laïcité doit être jetée au musée. L’enseignement religieux doit être la nouvelle norme pour notre jeunesse. Nos enfants doivent connaître l’histoire de Jésus-Christ et ses enseignements. Nous devons donner à nos enfants une solide éducation pour que les générations futures puissent créer une société meilleure gouvernée par l’amour de Dieu.
14. Aimer la simplicité
La théorie du progrès indéfini a entraîné un essor technologique sans fin. L’épuisement des ressources naturelles est une terrible réalité. L’internet pollue énormément en épuisant les sols de leurs terres rares et en alimentant des millions d’équipements sur la planète. Internet pollue autant que le secteur de l’aviation. Nous devons veiller à faire échouer les villes connectées qui entraîneront de terribles ravages sur la planète. Ces villes débarrassées des automobiles seront gouvernées par un communisme matérialiste et un écologisme d’apparat. Une spiritualité sectaire sera certainement encouragée pour que les citoyens ne se révoltent pas. Ainsi, on peut craindre que la perversion sexuelle, à l’image de la secte Rajneesh, domine ces cités perdues. On peut craindre l’apparition de gourous dans les années à venir, véritables maîtres de ces cités déchues. Si nous devons aimer la simplicité et favoriser la décroissance, nous devons conserver les commandements du Christ avant toute chose.
15. Rester joyeux
L’humour est important. Un saint triste est un triste saint comme le disait saint François de Sales. Le fait de rester joyeux permet de garder une bonne humeur malgré les circonstances. Toutefois, il convient de ne jamais se moquer mais de garder plutôt un esprit enfantin et taquin. On peut rigoler de circonstances, mais on ne doit jamais railler. La moquerie est un grand défaut qui peut mener à la méchanceté. Lancer des traits d’humour dans des périodes difficiles encourage ceux qui nous entourent. L’humour est un rempart contre la tristesse ou la mélancolie.
16. Encourager le développement des communautés catholiques respectant les règles ancestrales
Les saints sont de plus en plus rares puisque les individus sont encouragés à adopter des valeurs erratiques dominées par la peur et les rapports de force. Le christianisme a donné des saints tout au long de son histoire. En effet, lorsque l’homme est encouragé à donner le meilleur de soi-même, son comportement change et son esprit devient fort dans le bien. Nous devons encourager le retour aux traditions catholiques. Donner aux couvents et aux monastères des femmes et des hommes ayant soif de Dieu favorise l’apparition des saints. Des hommes et des femmes courageux apparaîtront pour stabiliser la civilisation et mettre en péril les forces qui veulent détruire notre civilisation créée par le Christ.
17. Favoriser l’élection d’un pape gardien des traditions catholiques antérieures au XXe siècle
L’Église traditionnelle n’est plus. Les prêtres sont souvent dévoyés et la hiérarchie de l’Église a renié les commandements de Dieu. Nous devons favoriser l’élection d’un saint pape pour que l’Église retourne aux antiques traditions. La messe selon saint Pie V est un sacrement qui encourage le bien, le beau et le vrai. C’est par la beauté des églises, de ses statues, des chants, de la cérémonie que les âmes s’élèvent et rencontrent Jésus-Christ. Jésus-Christ éprouve pour nous un amour sans borne parce qu’il est Dieu. Nous devons toujours garder en mémoire que l’amour de Dieu pour nous est supérieur à tout ce que nous pouvons imaginer ici-bas. Nous ne verrons Dieu que lorsque nous passerons de l’autre côté. Vraiment, « Sainte Marie, mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs maintenant et à l’heure de notre mort ». Le travail de reconstruction de l’Église catholique, apostolique et romaine est incommensurable.
18. Et bien plus encore
Je n’ai malheureusement pas le temps de continuer à écrire plus longuement. Je préfère diffuser ce texte afin que le lecteur puisse l’améliorer par lui-même. Surtout, je ne suis pas prêtre. Je suis un homme né d’une famille pauvre. Je suis plutôt solitaire même si je suis marié. D’un point de vue professionnel, je suis devenu ingénieur en travaillant d’arrache-pied pour récupérer mes erreurs de jeunesse. Mon enfance fut terrible et mon adolescence perturbée. J’ai commis d’innombrables péché d’orgueil dans le passé et j’étais très dur envers les autres. En 2012, s’est opéré un tournant majeur dans ma personnalité. Ce changement je ne peux l’expliquer que de manière providentielle. J’ai senti l’amour du Christ me pardonner pour mes nombreuses fautes lors d’une journée inoubliable. Aujourd’hui, je n’ai rien à offrir si ce ne sont les commandements du Christ. Surtout, je crois qu’il faut être simple et ne rien vouloir. Si Dieu le veut, je pourrais, tout comme vous, contribuer au renouvellement de cette civilisation. Toutefois, ce n’est pas à moi de l’imposer. « Qui est comme Dieu ? » nous rappelle saint Michel. Nous sommes tous les contributeurs de la Cité de Dieu et devons nous laisser guider par la Providence qui nous mène là où Dieu Le veut. La Providence a ses secrets que nous ne pouvons pas connaître avant un temps donné. Que Dieu vous bénisse et vous garde.
Je vous propose de méditer sur la prière « Notre Père ». Nous ne prenons pas toujours le temps d’en comprendre le sens profond. Profitons de ce temps. Vous trouverez la prière en caractères italiques et les commentaires en police normale.
« Notre Père, qui êtes aux cieux. »
Dieu est notre Père tout comme Marie est notre Mère. Jésus-Christ est le Fils de Dieu, par conséquent, notre Père prend la figure paternelle du Christ. Cette parabole nous permet de se représenter Dieu sous la forme d’une personne aimante et personnalisée. Dieu est une figure personnelle et palpable même si Son trône est dans les cieux. Dieu agit depuis les Cieux. Il a créé la Terre, ses montagnes, ses collines, ses mers, ses océans, ses végétaux, ses animaux et ses humains. Ô comme Dieu est bon !
« Que votre nom soit sanctifié. »
Notre respect pour Dieu doit être le plus parfait possible, car Son nom est Saint. Dieu est Amour et Perfection. Il a créé gratuitement la terre sans demander de retour, si ce n’est de l’aimer d’un cœur pur tout comme nous devons aimer nos frères en Christ. Nous devons prononcer Son nom avec un grand élan compassionnel, comme si nous nous adressions à notre meilleur ami ou à notre père bien-aimé. Le nom de Dieu est trois fois saint !
« Que votre règne arrive. »
Le Souffle de Dieu se fait sentir parmi nous et pourtant nous avons du mal à le percevoir. Son règne est déjà accompli dans les siècles, toutefois à cause de notre fenêtre temporelle réduite, nous avons du mal à nous en apercevoir. Nous devons invoquer l’arrivée de Son règne charitable, car le règne de Dieu est comparable à la brise qui vient caresser l’agneau, à l’air qui fait voler les oiseaux, à l’action de pénitence qui nous fait verser des larmes d’amour. Que votre règne arrive mon Dieu, car vous êtes vraiment un Père aimant !
« Que votre volonté soit faite »
Prenons conscience de l’amour de Dieu. Sa volonté est parfaite et éternelle. Si nous écoutions Sa volonté, nous serions parfaits, à Son image. Nous serions les gardiens de cette si belle création. Lorsque saint Louis s’allonge au sol les bras en croix, il dit du fond de son cœur : « que votre volonté soit faite ». Mon esprit et mon corps sont les médiateurs de la volonté de Dieu, si je me conforme aux commandements du Christ. Alors, oui, que votre volonté soit faite mon Dieu !
« sur la terre comme au ciel. »
La volonté de Dieu est déjà accomplie dans les cieux et les Anges en sont les premiers témoins. Saint Michel archange nous dit « qui est comme Dieu ? ». Il n’y a pas de réponse à cette question. Lorsque la volonté de Dieu sera faite sur terre, nous serons comme au Paradis. Notre esprit, débarrassé du matérialisme, sera alors dominé par l’esprit de compassion, c’est-à-dire par une charité parfaite. Nous partagerons tout ce que nous possédons avec nos frères, sans arrière-pensées. Nous disons que les fourbes possèdent deux langues : une langue flatteuse en notre présence et une langue médisante en notre absence. L’homme charitable possède une seule langue à l’image de sa pureté : il ne désire rien en retour si ce n’est le bonheur de ses frères. Que votre volonté soit faite sur terre mon Dieu comme elle l’est déjà au ciel!
« Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien. »
Nous n’avons pas besoin de nous soucier de demain. Dieu nous demande de vivre au présent, ici et maintenant. Ainsi, nous recevons notre pain quotidien qui suffit à nous nourrir. Nous ne devons pas avoir l’ambition d’engranger des biens matériels ou de l’argent dans des greniers ou des coffre-forts. Nous devons vivre simplement sans nous soucier du lendemain. Ainsi, nous pouvons partager ce pain avec nos frères comme le fait Jésus-Christ avec ses apôtres. Vivre au présent est la principale qualité du mammifère. Celui-ci est pur parce qu’il n’établit pas en secret des plans pour tromper ses pairs. L’homme pécheur, lui, souhaite s’enrichir au détriment des plus faibles, et ce, si possible en utilisant toutes sortes de ruses mathématiques. Si la rhétorique est agréable à Dieu, l’illogisme des hommes avares lui est insupportable. Dieu, fais en sorte que je vive au quotidien sans me soucier du lendemain !
« Et pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. »
Dieu pardonne volontiers celui qui sait pardonner Jésus-Christ nous dit que nous devons pardonner 7×77 fois, c’est-à-dire infiniment, celui qui a péché contre nous. L’homme qui garde une éternelle rancune dans son cœur ne peut pas être pardonné parce que son for intérieur est sombre et plein de rancœur. Ainsi, tout comme cet homme nourrit sa colère, Dieu, par effet miroir, lui renvoie ses propres actions pour que l’homme rancunier apprenne de ses erreurs. Celui qui refuse de changer finit par chuter dans les abîmes à l’image du démon. La caractéristique du malin est de perpétuer les mêmes erreurs, car sa logique ne change jamais. Le démon ne peut pas voir la Lumière parce qu’il en est incapable. Il s’est lui-même emmuré dans les ténèbres et ne peut pas en sortir. Les bons anges sont également dominés par la persévérance, sauf qu’ils sont voués à l’amour de Dieu, souhaitent éternellement louer la Lumière divine et aimer les hommes. Les chrétiens sont, quant à eux, à l’image du Christ et de leur Père, ils pardonnent leurs frères pour être réellement dignes de Dieu. Soyons sanctifiés par la grâce !
« Et ne nous laissez pas succomber à la tentation. »
Dieu ne laisse pas l’homme charitable succomber à la tentation. Le pécheur qui obéit aux commandements de Dieu peut chuter un temps, mais il finit par se relever et louer Dieu. Dans notre société matérialiste et athée, les tentations sont innombrables. Chaque jour, nous devons lutter pour ne pas devenir athées comme les gens qui vivent sans comprendre la divine volonté. Notre époque est l’une des pires qui soit d’un point de vue spirituel puisque le matérialisme domine toutes les autres valeurs. De nos jours, il est plus facile d’« avoir » que d’« être ». Mon Dieu, préservez-nous de la chute dans les abysses. Mon Dieu, réservez-nous une place à vos côtés !
« Mais délivrez-nous du mal. »
Dieu peut nous délivrer de l’influence du malin et c’est là la volonté du Christ. A l’aide de Dieu, de Jésus-Christ, de Marie, de Joseph, de ses saints et de ses anges, nous pouvons être protégés contre les forces du mal qui souhaitent notre éternelle perdition, tout comme eux sont déchus. Le chrétien est destiné à vivre au Paradis, à côté du Christ dans la Lumière. Les forces du mal, quant à elles, persistent à vivre dans les affres des ténèbres. Ainsi, Dieu nous épargne de la chute. Dieu, tenez éloignés de nous le malin et ses sbires. Délivrez-nous des tentations. Faites de nous de bons enfants. Soyez notre Bon Berger et notre guide éternel !
« Ainsi soit-il. »
Que la volonté de Dieu vienne sur nous. Pour terminer cette prière, signons-nous d’une croix sur le front, la bouche et la poitrine pour que le Saint-Esprit agisse dans notre esprit, nos paroles et nos actions. Amen !
Je vous propose de méditer sur la prière « Je vous Salue Marie ». Nous ne prenons pas toujours le temps d’en comprendre le sens profond. Profitons de ce temps. Vous trouverez la prière en caractères italiques et les commentaires en police normale.
« Je vous salue Marie pleine de grâce. »
L’ange qui vient visiter Marie la définit comme « pleine de grâce » devant Dieu. Marie est à la fois Sainte et Vierge. Sa profonde humilité et son obéissance envers Dieu permettent de la définir comme pleinement gracieuse. La grâce qui repose sur Marie est de nature sanctifiante. Marie est, dès sa naissance, touchée par la grâce. Nous en avons pour preuve la visite de l’ange auprès des parents de Marie, Anne et Joachim, qui annonça un « enfant merveilleux ».
« Le Seigneur est avec vous »
Marie porte en elle le Messie. Dieu a choisi de s’incarner à travers une femme bénie. Le Seigneur est à ses côtés. Dieu est avec Marie que ce soit d’un point de vue matériel ou spirituel. Bien avant la naissance de Jésus, l’ange annonça a Marie que le Seigneur était avec elle. Cette candeur, cette innocence, résonne encore dans l’Éternité. Le Seigneur a transpercé le Sacré-Cœur de Marie. Cette flamme divine brûle éternellement en son sein.
« Vous êtes bénie entre toutes les femmes. »
Marie est porteuse de cette grâce plus que n’importe quelle autre femme. Ainsi, elle répare le péché commis par Eve. Elle comble à elle seule les manquements humains. Cette bénédiction a contribué à l’Hyperdulie qui consiste à vénérer Marie avant les saints et les anges. Marie est pleinement femme et mère. Elle est bénie dès la naissance, avant même la Crucifixion de son fils Jésus-Christ. Les larmes de douleurs versées par Marie sur son fils contribuent à cette grâce atemporelle. Ainsi, cette grâce a supplanté la douleur maternelle. Dès lors, Marie est devenue la mère des hommes, à l’image de l’Église.
« Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. »
Jésus est béni, justement parce qu’il est né d’une mère bénie entre toutes les femmes. Marie a donné naissance au divin enfant. Les rois mages sont venus vénérer l’Enfant-Roi en suivant une étoile dans le ciel. Cette étoile symbolise la divinité, l’espérance éternelle. Jésus est béni grâce à l’action sanctifiante de Dieu sur Sa sainte mère Marie. Ainsi, le christocentrisme est surnaturel.
« Sainte Marie, Mère de Dieu. »
Jésus-Christ a soufflé l’Esprit divin sur terre en donnant son nouveau commandement : « aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés ». Cet amour fraternel est révolutionnaire dans une époque profondément païenne. Jésus-Christ est la vie, la voie et la vérité. Ses apôtres ont répandu la Parole de Dieu sur la terre entière. Ainsi, les martyrs ont donné leur vie pour que l’amour soit une valeur universellement reconnue. Ô Jésus-Christ, notre lumière, notre flamme d’espérance, donne-nous la Paix. Ce Dieu fait homme est mort pour nous sur la Croix. Son Esprit nous apporte la rédemption gratuite. L’amour est le plus puissant rempart contre la barbarie. Les démons fuient devant Jésus-Christ parce qu’ils ne peuvent pas supporter cet Amour qui leur fait tant défaut, eux qui se sont enfermés dans les tourments éternels à cause de leur orgueil. Sainte Marie, vous êtes réellement la Mère de Dieu !
« Priez pour nous pauvres pécheurs. »
Marie veille sur nous parce que nous n’avons pas conscience, ni de la grâce, ni de la charité, ni du don de soi. Jésus-Christ a révolutionné le monde. Après Son passage, les calvaires se sont érigés, les cathédrales sont sorties de terre, la beauté s’est répandue dans le monde à la vitesse de la Lumière. En se comportant comme des frères et en faisant aux autres ce qu’ils voudraient qu’on leur fît, la civilisation chrétienne fut apaisée. Un Enfant-Roi, né dans une étable des entrailles d’une Femme Bénie, a donné à la terre cette bonne odeur de sel. Vraiment, priez pour nous, Marie, nous qui sommes de pauvres pécheurs par manque d’amour.
« Maintenant et à l’heure de notre mort. »
Marie prie pour nous dans le présent et dans le futur. Le terme « maintenant » évoque notre existence terrestre tandis que « l’heure de notre mort » résonne comme l’éternité. Marie prie pour que nous prenions conscience de cet Amour divin et pour nous épargner de grands maux. Ainsi, Marie, pleine de grâce et bénie entre toutes les femmes, a toute légitimité pour demander à Dieu de nous pardonner. Marie est vraiment la mère de l’humanité par sa grâce et son humilité parfaite. Son cœur immaculé contribue à notre rédemption devant Dieu.
Comme l’Eglise est né du sang des martyrs, l’Eglise renaîtra de la lassitude des peuples.
Cette lassitude est causée par ceux qui veulent utiliser à l’excès les mécanismes de la peur. Les générations nées sous la peur s’habitueront et finiront par se lasser de celle-ci. Les empereurs romains qui ont martyrisés les chrétiens ont vu la plèbe se lever contre eux. Les organismes qui rêvent de contrôler les esprits rencontreront de grandes résistances. Une civilisation qui méprise ouvertement Jésus-Christ finira par engendrer l’admiration populaire du Sauveur.
De la lassitude des peuples renaîtra la sainteté catholique.
Aujourd’hui, un petit enseignement sur la symbolique du signe de croix que l’on trace sur le front, la bouche et la poitrine.
Le Missel Romain nous enseigne que les fidèles se signent de la croix « sur le front, la bouche et la poitrine, pour reconnaître par là qu’ils doivent accepter la vérité divine dans leur intelligence, la professer de bouche et la conserver dans leur coeur ».
Le Sire de Joinville, sénéchal de Champagne et conseiller du roi Louis IX nous apprend à ce propos : « 435. Le dimanche suivant, nous revînmes tous devant le roi. Et quand le roi vit que nous étions tous venus, il fit le signe de croix sur sa bouche après avoir invoqué l’aide du Saint-Esprit, comme je le pense ; car ma dame ma mère me dit que, toutes les fois que je voudrais dire quelque chose, je devais invoquer l’aide du Saint-Esprit, et faire le signe de croix sur ma bouche ».
Un extrait de l’histoire du signe du Tav :
« Le signe de croix tracé sur le front est un des rites les plus antiques de l’Eglise Chrétienne. Saint Basile le mentionne à côté de la prière vers l’Orient, parmi les traditions non écrites qui remontent aux Apôtres.
La croix doit être tracée avec le pouce sur le front. Le mot sceau, sphragis, désigne le signe de croix inscrit sur le front. Le signe de croix jouait un rôle dans d’autres sacrements (la confirmation, l’extrême – onction et l’Eucharistie en particulier), mais aussi dans la vie de tous les jours pour son aspect de protection, en particulier contre les démons, prenant ainsi valeur d’exorcisme.
Dans l’Apocalypse, saint Jean indique que les élus seront marqués au front par le nom du Père.
Or, le tav, dernière lettre de l’alphabet hébreu, désigne Dieu, comme en grec l’oméga.
Sous la forme +, elle fut considérée comme une représentation du supplice de Jésus; sous la forme X elle fut prise pour la première lettre du nom grec du Christ.
L’épitaphe d’Abercius (160-190?) parle des chrétiens de Rome comme « du peuple qui a le sceau brillant ».
Les disciples du Christ savaient qu’elle était l’arme défensive, puissante et véritable de leur combat spirituel contre les tentations démoniaques.
L’idée fondamentale reste cependant la même : il s’agit d’une consécration du baptisé au Messie. »
Après ces enseignements, la symbolique du signe de croix sur le front, la bouche et la poitrine prend un sens encore plus profond.
Ainsi, le traçage du signe de croix pourrait signifier :
– sur le front : « Saint-Esprit, guide mes pensées selon Ta volonté » ;
– sur la bouche : « Saint-Esprit, guide ma parole selon Ta volonté » ;
– sur la poitrine : « Saint-Esprit, guide mes actes selon Ta volonté ».
Se conformer à la volonté du Saint-Esprit éloigne les puissances démoniaques. Ainsi, cette symbolique est profonde et l’est encore plus lorsqu’en en prend pleinement conscience.
Prière : « Seigneur Jésus-Christ, que le Saint-Esprit guide mes pensées (+ sur le front), ma parole (+ sur la bouche) et mes actes (+ sur la poitrine) afin que je sois pleinement ton fils et que j’obéisse à ton commandement de nous aimer les uns et les autres, car c’est à ceci que nous serons reconnus. »
Ce nouvel article est rédigé sous la forme d’un conte qui est beaucoup plus vivant et expressif qu’un texte analytique traditionnel. Avertissement : tous les éléments sont fictifs et ne peuvent être reprochés à son auteur. Les prénoms sont volontairement latinisés. Le terme « wokisme » est volontairement francisé et remplacé par le mot « éveillisme ».
Le texte est reproduit tel quel une première fois. Il apparaît ensuite une seconde fois annoté pour en expliquer le sens. Bonne lecture.
Texte original : la grande terreur du wokisme
« Nous sommes le 9 septembre 1999 au château d’Arginy dans le Beaujolais, haut-lieu des initiés du Temple de l’Ordre de Malthus. La cérémonie des nouveaux initiés venait d’être clôturée. Les maîtres du T.O.M allaient se réunir dans la salle à manger de l’immense château pour planifier les actions.
Roberto entra dans la grande pièce avec les autres initiés. Le balancier de la vieille horloge en bois battait le rythme. Le silence était de mise, on entendait seulement le crissement des chaises sur le parquet. L’homme grisonnant prit place à table, sa Rolex dépassait de sa manche de costume, comme pour prouver la richesse matérielle de son propriétaire. Luciano se leva et prit la parole pour prononcer le sempiternel discours qui ouvrait le repas. Les convives hochaient la tête silencieusement. À la fin du discours, les hommes s’emparèrent du verre de leur voisin de gauche pour le lever et le boire d’une traite. Un initié fit sonner une clochette. Soudainement, les initiés rompirent le silence, certains allumèrent des cigarettes, pendant que d’autres parlaient d’une voix forte. Pendant ce temps, des serveurs remplissaient les verres des initiés d’un vin rouge de très grande qualité.
Roberto s’adressa à Fabrizio :
« Les grouillots sont trop nombreux sur terre. On ne se sent plus respirer tranquillement. Il est temps de planifier les événements du 1er quart du 21e siècle. J’ai beaucoup réfléchi à ce sujet et j’ai eu une excellente idée grâce à un ami de la Loge des Funestes, dit Roberto d’une voix grave.
– Tu m’intéresses beaucoup Roberto. J’ai entendu dire que tu avais rédigé une théorie pour décrire la branche démographique de l’éveillisme, rétorqua Fabrizio d’un air malin.
– C’est exactement ça. Je vois que les nouvelles se répandent à la vitesse du cheval au galop, s’esclaffa Roberto en plaçant ses mains sur sa tête pour mimer un cheval fou.
– Trêve de plaisanterie. Donne-nous ta théorie Roberto, dit Fabrizio en secouant la clochette »
Les invités se turent et tournèrent la tête en direction de Roberto.
« Le Soufre a longtemps dominé Mercure dans la société patriarcale. L’inverse est également vrai dans la civilisation matriarcale. Nous devons innover et briser les schémas classiques pour accélérer la théorie de Malthus au sein de la civilisation que nous avons bâtie au fil des siècles. L’avortement et la contraception ne suffisent plus. C’est pourquoi j’ai inventé un concept qui va accélérer l’aliénation des couches populaires. Peu importe que ces grouillots produisent ou non, puisque la branche technologique va nous débarrasser des industries primaires et secondaires, comme l’a brillamment expliqué le frère Dino, expliqua Roberto d’un ton particulièrement calme.
– C’est une belle avancée Roberto, mais continue, nous sommes pendus à tes lèvres, lança Fabrizio.
– Nous devons désexualiser les grouillots à la manière des anges pour que le Soufre et le Mercure perdent définitivement leur substance vitale. Ce concept philosophal est seulement possible par l’aliénation. Nous devons inciter le Soufre et le Mercure à renoncer à leur genre. À terme, la psychologie du Soufre et du Mercure sera si altérée qu’ils penseront pouvoir s’émanciper de leur cercueil matériel et se persuaderont eux-mêmes qu’ils sont des animaux. Ainsi, nous parviendrons à briser la famille traditionnelle puisque le Soufre et le Mercure ne pourront plus réaliser l’alchimie primordiale, grâce à notre extraordinaire stratégie. Concrètement, le Soufre s’entichera du Soufre tandis que le Mercure s’amourachera du Mercure, dit Roberto en remuant ses mains à la manière d’un alchimiste diabolique.
– En cette année 1999, il est absolument impossible de réaliser une telle prouesse, lança Fabrizio sur un ton solennel, mais nous savons que le sablier nous donne toujours raison.
– Comme l’a expliqué Dino, l’année 2020 doit être le début d’une nouvelle ère du Verseau. L’ère du Poisson doit définitivement disparaître en même temps que son église inquisitoire. C’est par la grande frayeur que nous pourrons initier l’ère de la Saint-Guy parmi les grouillots. Après cette époque, les contradicteurs seront plus enclins à succomber à nos illustres théories grâce à la peur que nous aurons disséminée dans leur âme. Il faut briser le mur de briques pour que l’eau s’infiltre et réalise l’érosion dans les fondations, lança Roberto en terminant sa phrase par un sourire moqueur.
– Roberto, tu nous rapproches un peu de plus de l’apothéose avec ton discours, riposta Fabrizio en levant son verre. »
Les convives levèrent à l’unanimité leur verre avant de le porter à la bouche pour en boire le délicat contenu.
« Si tout va bien, aux alentours de 2022, de plus en plus de jeunes grouillots réaliseront notre projet au nom de leur propre liberté. Notre plus grande réussite est d’être parvenus à transformer un chevalier du 12e siècle en un pleutre du 21e siècle. La France de Saint-Louis deviendra la France de Saint-Guy pendant que nous pourrons assurer notre magnifique lignée de maîtres au sang pur. J’ai conçu le « sommeil par anticipation » grâce à l’adhésion des masses parce que c’est notre projet, dit Roberto en vociférant la fin de sa phrase à la manière d’un orateur fou.
– Ton génie n’égale que ton machiavélisme cher ami éclairé, répondit Fabrizio d’une voix enjouée
– Notre réussite sera pleine lorsque le Soufre et le Mercure s’émanciperont du genre. L’érosion de ces grouillots sera jouissive et marquera le signe de l’avancée de notre plan en faveur des masses informes. Nos chers enfants pourront s’envoler gracieusement dans leurs jets privés pendant que les petits pédaleront sur leurs vélos électriques pour sauver la planète. Nos chers enfants donneront la lumière aux esclaves dénués de repères, très certainement au milieu du 21e siècle. Notre grande lignée de maîtres est atemporelle et reconduite de siècles en siècles. Je lève mon verre à l’alchimie et au grand œuvre, termina Roberto »
Fabrizio se leva pour applaudir. L’ensemble des initiés se levèrent pour l’imiter. Roberto exaltait en regardant ses amis l’applaudir. Son exaltation était comparable à celle de Lucifer jouissant sur son trône à l’idée de détruire la création de Dieu. Il se sentait, tel un génial élu, assit à la table triomphale de l’Élysée.
Texte annoté : la grande terreur du wokisme
« Nous sommes le 9 septembre 1999 au château d’Arginy dans le Beaujolais, haut-lieu des initiés du Temple de l’Ordre de Malthus. La cérémonie des nouveaux initiés venait d’être clôturée. Les maîtres du T.O.M allaient se réunir dans la salle à manger de l’immense château pour planifier les actions.
Roberto entra dans la grande pièce avec les autres initiés. Le balancier de la vieille horloge en bois battait le rythme. Le silence était de mise, on entendait seulement le crissement des chaises sur le parquet. L’homme grisonnant prit place à table, sa Rolex dépassait de sa manche de costume, comme pour prouver la richesse matérielle de son propriétaire. Luciano se leva et prit la parole pour prononcer le sempiternel discours qui ouvrait le repas. Les convives hochaient la tête silencieusement. À la fin du discours, les hommes s’emparèrent du verre de leur voisin de gauche pour le lever et le boire d’une traite. Un initié fit sonner une clochette. Soudainement, les initiés rompirent le silence, certains allumèrent des cigarettes, pendant que d’autres parlaient d’une voix forte. Pendant ce temps, des serveurs remplissaient les verres des initiés d’un vin rouge de très grande qualité.
Roberto s’adressa à Fabrizio :
« Les grouillots1 sont trop nombreux sur terre. On ne se sent plus respirer tranquillement. Il est temps de planifier les événements du 1er quart du 21e siècle2. J’ai beaucoup réfléchi à ce sujet et j’ai eu une excellente idée grâce à un ami de la Loge des Funestes, dit Roberto d’une voix grave.
– Tu m’intéresses beaucoup Roberto. J’ai entendu dire que tu avais rédigé une théorie pour décrire la branche démographique de l’éveillisme, rétorqua Fabrizio d’un air malin.
– C’est exactement ça. Je vois que les nouvelles se répandent à la vitesse du cheval au galop, s’esclaffa Roberto en plaçant ses mains sur sa tête pour mimer un cheval fou.
– Trêve de plaisanterie. Donne-nous ta théorie Roberto, dit Fabrizio en secouant la clochette »
Les invités se turent et tournèrent la tête en direction de Roberto.
« Le Soufre3 a longtemps dominé Mercure4 dans la société patriarcale. L’inverse est également vrai dans la civilisation matriarcale. Nous devons innover et briser les schémas classiques pour accélérer la théorie de Malthus5 au sein de la civilisation que nous avons bâtie au fil des siècles. L’avortement et la contraception ne suffisent plus. C’est pourquoi j’ai inventé un concept qui va accélérer l’aliénation6 des couches populaires. Peu importe que ces grouillots produisent ou non, puisque la branche technologique va nous débarrasser des industries primaires et secondaires, comme l’a brillamment expliqué le frère Dino, expliqua Roberto d’un ton particulièrement calme.
– C’est une belle avancée Roberto, mais continue, nous sommes pendus à tes lèvres, lança Fabrizio.
– Nous devons désexualiser les grouillots à la manière des anges7 pour que le Soufre et le Mercure perdent définitivement leur substance vitale8. Ce concept philosophal9 est seulement possible par l’aliénation. Nous devons inciter le Soufre et le Mercure à renoncer à leur genre10. À terme, la psychologie du Soufre et du Mercure sera si altérée qu’ils penseront pouvoir s’émanciper de leur cercueil matériel11 et se persuaderont eux-mêmes qu’ils sont des animaux12. Ainsi, nous parviendrons à briser la famille traditionnelle13 puisque le Soufre et le Mercure ne pourront plus réaliser l’alchimie primordiale14, grâce à notre extraordinaire stratégie. Concrètement, le Soufre s’entichera15 du Soufre tandis que le Mercure s’amourachera du Mercure, dit Roberto en remuant ses mains à la manière d’un alchimiste diabolique.
– En cette année 1999, il est absolument impossible de réaliser une telle prouesse, lança Fabrizio sur un ton solennel, mais nous savons que le sablier16 nous donne toujours raison.
– Comme l’a expliqué Dino, l’année 2020 doit être le début d’une nouvelle ère du Verseau. L’ère du Poisson17 doit définitivement disparaître en même temps que son église inquisitoire18. C’est par la grande frayeur19 que nous pourrons initier l’ère de la Saint-Guy20 parmi les grouillots. Après cette époque, les contradicteurs21 seront plus enclins à succomber à nos illustres théories22 grâce à la peur que nous aurons disséminée dans leur âme. Il faut briser le mur de briques23 pour que l’eau24 s’infiltre et réalise l’érosion25 dans les fondations, lança Roberto en terminant sa phrase par un sourire moqueur.
– Roberto, tu nous rapproches un peu de plus de l’apothéose avec ton discours, riposta Fabrizio en levant son verre. »
Les convives levèrent à l’unanimité leur verre avant de le porter à la bouche pour en boire le délicat contenu.
« Si tout va bien, aux alentours de 2022, de plus en plus de jeunes26 grouillots réaliseront notre projet27 au nom de leur propre liberté28. Notre plus grande réussite est d’être parvenus à transformer un chevalier29 du 12e siècle en un pleutre30 du 21e siècle. La France de Saint-Louis deviendra la France de Saint-Guy31 pendant que nous pourrons assurer notre magnifique lignée de maîtres au sang pur32. J’ai conçu le « sommeil par anticipation33 » grâce à l’adhésion des masses parce que c’est notre projet34, dit Roberto en vociférant la fin de sa phrase à la manière d’un orateur fou.
– Ton génie n’égale que ton machiavélisme cher ami éclairé, répondit Fabrizio d’une voix enjouée
– Notre réussite sera pleine lorsque le Soufre et le Mercure s’émanciperont du genre. L’érosion35 de ces grouillots sera jouissive et marquera le signe de l’avancée de notre plan en faveur des masses informes36. Nos chers enfants37 pourront s’envoler gracieusement dans leurs jets privés pendant que les petits pédaleront38 sur leurs vélos électriques pour sauver39 la planète. Nos chers enfants donneront la lumière40 aux esclaves dénués de repères41, très certainement au milieu du 21e siècle42. Notre grande lignée de maîtres est atemporelle43 et reconduite de siècles en siècles. Je lève mon verre à l’alchimie et au grand œuvre44, termina Roberto »
Fabrizio se leva pour applaudir. L’ensemble des initiés se levèrent pour l’imiter. Roberto exaltait en regardant ses amis l’applaudir. Son exaltation45 était comparable à celle de Lucifer jouissant sur son trône à l’idée de détruire la création46 de Dieu. Il se sentait, tel un génial élu47, assit à la table triomphale48 de l’Élysée49.
1Les « grouillots » représentent l’ensemble des « non-initiés »
2Le 1er quart du 21e siècle correspond approximativement à « 2001-2026 »
4Le « Mercure » est la symbolique de la femme en alchimie
5La « théorie de Malthus » correspond au processus de dénatalité provoquée artificiellement
6Littéralement « l’aliénation » correspond à « la folie »
7Les « anges » sont à prendre au sens gnostique, c’est-à-dire des « démons »
8Le terme « perdre définitivement leur substance vitale » correspond approximativement à la « stérilité »
9Le terme « philosophal » correspond à l’inverse de la théorie de la pierre philosophale qui est censée transformée le plomb en or
10Le concept de la « théorie du genre » stipule que la construction sexuée est plus sociale que biologique
11Le terme « cercueil matériel » correspond au corps humain
12Certains adeptes de l’éveillisme sont persuadés d’être des chevaux ou des poneys au point de porter une crinière, de galoper et de hennir
13La « famille traditionnelle » est le pilier de la civilisation puisque la procréation naturelle assure la descendance, la survie de l’espèce humaine en privilégiant la conception d’enfants libres et aimés par leurs parents
14Le terme « alchimie primordiale » correspond à la procréation
15Le terme « s’enticher » signifie se prendre d’un goût irraisonné pour quelque chose. Ceci permet de marquer la stérilité de l’accouplement réalisé avec un individu de même sexe
16Le terme « sablier » correspond au temps terrestre
18Certains initiés nomment la « Sainte Église Apostolique et Romaine » « église inquisitoire » en pointant du doigt l’époque de l’inquisition qui aurait été soi-disant dominée par la torture physique contre les hérétiques. Cette théorie n’a jamais été officiellement prouvée par les historiens. La Sainte Église ayant pour vocation de sauver les âmes des griffes du démon et de pousser les croyants à se repentir de leurs mauvaises actions afin d’aimer leurs ennemis selon les commandements de Jésus-Christ.
19La « grande frayeur » illustre la crise du Covid
20Le terme « ère de la Saint-Guy » signifie « folie »
25L’« érosion » correspond à une lente destruction de l’âme par la dégradation des concepts et des idées
26Les « jeunes » représentent bien évidemment les enfants, adolescents et jeunes adultes
27« notre projet » correspond à la grande œuvre de la dénatalité et à la déconstruction de l’histoire de France
28Cette « liberté » est similaire à un « virus » qui s’insinue dans l’esprit des jeunes générations en vue de les rendre complices de l’exécution du plan machiavélique des initiés
29Le catholicisme a encouragé la création d’hommes forts, solides et vaillants : les « chevaliers »
30Un « pleutre » est un individu tiraillé par la peur (crise du Covid, guerre en Ukraine, pénuries, crises du climat, écologie, etc.)
31La « France de Saint-Guy » correspond à une nation peuplée d’individus faibles et peureux misant sur l’apparence au détriment de la pureté des mœurs contrairement à la « France de Saint-Louis », le grand roi Louis IX
32Le terme « magnifique lignée de maîtres au sang pur » signifie que les initiés préservent leur propre descendance du wokisme puisque c’est la reproduction sexuée qui assure l’avenir de l’humanité
33Le terme « sommeil par anticipation » signifie approximativement « génocide exécuté à l’aide de la complicité d’un peuple inconscient de la duperie »
34La vocifération de « parce que c’est notre projet » fait évidemment référence aux élections présidentielles de 2017
35Le terme « érosion » signifie « fin de lignée » puisque la désexualisation annonce la mort d’une grande partie de l’espèce humaine
36Les « masses informes » représentent le « bas peuple », et plus exactement les classes inférieures et moyennes
37Le terme « chers enfants » signifie que la descendance des initiés est assurée par leur mise à l’écart des hérésies
38Le terme « pédaler » est péjoratif dans le sens ou les gens s’épuisent inutilement
39Il n’est pas possible de « sauver » la planète à l’aide de véhicules électriques puisque leur production accroît la pollution planétaire
40Cette « lumière » n’est pas celle de Jésus-Christ mais celle de Lucifer ou de Satan, les esprits orgueilleux, menteurs et trompeurs
41Les gens seront « dénués de repères » puisqu’ils auront été trompés par des dirigeants voraces et cupides
42Cette hypothèse est bien évidemment sans fondement mais rajoute du sens au texte
43La lignée d’initiés est « atemporelle » puisqu’elle a débuté aux alentours du XIIe siècle mais a connu son essor au cours du siècle des Lumières
44Le « grand œuvre » correspond à la dénatalité qui permettrait à une élite de vivre confortablement au détriment d’une population assujettie, pauvre et sans instruction.
45L’« exaltation » dont il s’agit est de l’orgueil
46La création de Dieu fait référence à Adam et Eve
47Un « génial élu » fait référence à un individu tactiquement doué pour se faire élire en s’appuyant sur la division des partis politiques
48Le « triomphe » humain est toujours éphémère, il s’agit d’une vaine gloire qui termine généralement dans les oubliettes de l’histoire
49Le terme « Élysée » est satirique et fait référence à la phrase « parce que c’est notre projet » qui a été vociférée en 2017 par un hurluberlu assoiffé de gloire et admiratif de son propre génie
Les photographies des stations du Christ proviennent de Valfleury. Chaque photo a légèrement été retouchée à l’aide du logiciel libre Gimp. Les textes proviennent des méditations catholiques organisées par le Prado lors du Rassemblement de la famille de France à Lourdes, du 9 au 12 novembre 2016.
À propos
Partagez avec vos proches un moment de prière en imprimant en distribuant ce document autour de vous. Ce geste simple peut éveiller des vocations ou, néanmoins, faire découvrir la foi aux enfants. Nous sommes amenés à rappeler l’histoire du Christ pour le bien de l’humanité et pour susciter la paix dans le monde en son nom. « Qui n’est pas contre nous est avec nous ».
J’ai décidé de prendre le temps de bien faire les choses.
Ainsi, je publierai avant la fin de l’année les 14 stations du Christ. Chacune d’entre elles comportera une belle image d’un chemin de Croix basé dans la Loire (42) ainsi que le texte selon la tradition catholique.
Ce chemin de croix au format PDF pourra être distribué à votre famille, notamment à vos enfants et vos filleuls afin de pouvoir méditer sur la vie du Christ à tout moment. La compréhension du chemin de Croix apporte dans la vie chrétienne une grande richesse.
Et Polycarpe ? Non seulement, il a été instruit par les Apôtres et a vécu avec beaucoup de ceux qui ont vu Notre-Seigneur, mais c’est encore par les Apôtres que dans l’Église de Smyrne en Asie, il a été constitué évêque. Nous-même l’avons vu dans notre premier âge (car il a vécu longtemps et était tout à fait vieux lorsqu’il est sorti de cette vie par un très glorieux et illustre martyre). Or il a toujours enseigné ce qu’il avait appris des Apôtres, cette doctrine que l’Église aussi transmet et qui est la seule vraie. Toutes les Églises qui sont en Asie l’attestent, et tous ceux qui jusqu’à ce jour ont succédé à Polycarpe. Un tel homme est un témoin de la vérité autrement sûr et digne de foi que Valentin, Marcion, et tous les autres qui pensent de travers.
Irénée, Adv. haer. III, 34.
La lettre aux Philippiens ne nous a donné qu’une image assez floue de son auteur : celui-ci s’est parfaitement assimilé les écrits chrétiens de son temps, et il se contente de s’en faire l’écho. Cependant, à travers ce document, Polycarpe, l’évêque de Smyrne, nous apparaît déjà comme un homme calme et humble, d’une foi profonde [32].
Ces traits essentiels, les Actes du martyre les burineront et nous pourrons mieux alors évoquer l’admirable physionomie de l’évêque de Smyrne qui, « serviteur toujours fidèle de son Sauveur » est devenu un vieillard. Simple et grave, il nous apparaît vénérable et presque majestueux. Sa fierté chrétienne est virile et joyeuse. Cette âme d’une foi intrépide est une âme de prière et son intention constante et première se trahit dans sa supplication habituelle pour « l’Église catholique ».
Cette nuit, il m’est arrivé un phénomène à la fois étrange, effrayant et rassurant. Les propos suivants sont directement liés à mon expérience nocturne et je les rédige tels quels.
Après m’être endormi de bonne heure, je me suis réveillé vers minuit. Je dormais sans dormir. J’étais dans mon lit sans y être. À chaque fois que je souhaitais m’endormir, j’étais réveillé en sursaut par l’ennemi. J’ai vu de mes yeux spirituels une horde de démons hideux qui souhaitaient « mon âme ». Je percevais nettement leur chef qui possédait des yeux de chèvre. Ils avaient tous une tête hideuse et le plus laid d’entre eux, le chef, possédait des sabots fendus. Ils grouillaient comme des cafards dans les ténèbres et me parlaient de la gnose. Ils souhaitaient que j’apostasie pour les rejoindre. Cette nuit fut donc une nuit de lutte terrifiante. Au paroxysme de l’angoisse, j’appelai Jésus-Christ, la Vierge Marie et saint Michel Archange. Malgré les prières, les démons se manifestaient toujours et me narguaient « tu peux toujours prier ! ». Ils m’instruisaient de leur gnose luciférienne. Ils voulaient me faire croire, par leur esprit trompeur, que la chair est mauvaise, que le corps est le cercueil de l’âme. Ils voulaient me faire croire que le Christ est une chimère, une sorte d’homme sage et sans importance. Ils voulaient me faire croire que la descendance du Christ a donné naissance à la royauté. Ils voulaient me faire croire que l’initiation gnostique donne la lumière. Le mensonge est terrifiant, car l’esprit de la gnose est puissant. Je percevais un orgueil malsain qui couve une fausse lumière. Je ne parvenais toutefois pas à m’en défaire. L’esprit gnostique voulait me faire adhérer à une thèse de secrets toujours plus profonds à la manière de ce qu’ont vécu l’abbé Boudet et l’abbé Saunière. Pourtant, je percevais nettement que ces deux prêtres sont à la limite du purgatoire et de l’enfer. J’entendais leurs lamentations, leurs regrets sincères et leurs demandes de prière.
Je priai davantage Jésus-Christ et soudainement j’entendis une voix douce, si douce, celle de Notre-Seigneur me dire : « j’ai bel et bien été crucifié sur la Croix, souviens-toi de mon martyr. Je vais te le montrer et te le faire vivre. »
J’acquiesçai de tout mon cœur : « oui, Seigneur, je suis à toi ». Soudainement, je me sentis transporté au début de notre ère sur le Golgotha. Je revis la Passion de Notre-Seigneur.
Des soldats romains me déchirent les chairs avec des outils métalliques. Certains ressemblent à des barbelés tandis que d’autres sont terminés par des crochets ou des boules. Ma peau est lacérée. La douleur physique est extrême mais par une opération divine, la douleur est comme affaiblie par rapport à celle causée par la solitude. Personne sur terre ne peut me comprendre. Mon message d’amour est nié. Mes frères hébreux me haïssent. Je suis douceur et compassion. Mon cœur est doux comme la colombe. Mon esprit humain est fort et royal. Ma royauté, qui n’est pas de ce monde, accepte pleinement mon sacrifice pour la rédemption de l’humanité. Je ressens une solitude extrême : « ma tête ne se repose nulle part ». J’obéis pleinement à l’esprit du Père qui est en moi. Je porte ma Croix, j’embrasse cette Croix qui représente le salut de l’humanité tout entière : « ne pleurez pas sur moi, pleurez sur vous ». Ils parodient ma royauté. Ils déposent une couronne d’épines sur mon crâne et l’enfonce fortement. Ils me déposent un tissu rouge sur les épaules. Ils me donnent un roseau et s’écrient « inclinez-vous devant votre majesté » pendant que l’un d’entre eux mime une révérence outrancière. Ils éclatent de rire. Les soldats romains mettent en place la croix au sol. Je m’allonge de mon plein gré. Ils plantent d’énormes clous à l’entrée de mes poignets. La douleur est indescriptible tandis qu’ils tapent sur la tête de ces gros clous métalliques. L’un d’entre eux s’empare de mes pieds pour qu’ils soient alignés. Il pose un clou à la racine de mon pied pour que celui-ci transperce mes pieds jusqu’au bois de la croix. Je l’entends marteler. Ils soulèvent ensuite la croix à l’aide de cordes et je sens que le bois tombe brutalement dans un trou pour finir par se bloquer. Mon corps est atrocement secoué et je suffoque. L’horreur humaine est à son apogée tandis que mon heure de gloire divine approche. Un soldat romain me donne du fiel et un autre me transperce le flanc. Je confie Jean à ma mère et ma mère à Jean. Je demande pourquoi le Seigneur m’a abandonné. Je rends mon dernier souffle dans un râle soudain. Je suis descendu de la croix. Des femmes pleurent sur mon corps martyrisé. Une femme nettoie soigneusement mon corps. On m’enroule dans un drap blanc et l’on me dépose dans mon tombeau. Le miracle a lieu quelque temps plus tard, un amour intense secoue mon corps, je reviens à la vie par la force du Père.
Après cette vision, je parviens à me rendormir. Les démons ont fui. Je suis de nouveau dans mon lit. Je suis en paix. Jésus-Christ m’a rappelé la réalité de sa crucifixion et de sa résurrection en attente du jour du jugement. Un amour intense a envahi mon âme. Je suis libéré de l’esprit gnostique pour retrouver l’esprit chrétien fait de douceur, de joie, de liberté et de paix. Je sens cette force aimante qui me rappelle que Dieu ne nous juge pas. Dieu est amour. Je crie intérieurement : « Vive Jésus ! ». Je me rendors sereinement après avoir renouvelé fidélité au Seigneur à travers le Baptême.
Ce matin, au réveil, je suis envahi d’une douceur et je ressens cette présence aimante. Jésus-Christ est amour. Cet amour est nourrissant à la manière d’un baume à la rose. Combien nous nous fourvoyons à cause de notre esprit qui favorise le dualisme. Nous ne pouvons pas opposer Dieu et le diable. Dieu est amour et le démon est trompeur. Dieu est Tout-Puissant. Des hordes sectaires adhèrent à la gnose par l’orgueil du démon. Cette hérésie touchera à sa fin par la force de l’Amour. Les membres de ces sectes millénaires finissent, et finiront, comme des esclaves, leur gourou étant Satan en personne. Si le démon est mensonge et tromperie, Jésus-Christ est douceur et vérité, Il est la Lumière du monde et nous sommes le sel de la terre.
Pendant la prière, ce mardi 19 avril 2022, je vis apparaître saint Michel Archange en vision. Je ne le vois pas avec mes yeux de chair mais avec ceux de l’esprit. Il possède une paire d’ailes blanches, d’une blancheur immaculée, il est grand, robuste et d’une grande beauté. Il possède un bouclier rond sur lequel se trouve une croix dessinée par ce que je pense être des pierres de diverses couleurs à la manière des anciennes couronnes royales. Il possède une épée forgée dans un métal à l’apparence parfaite. Le pommeau dessine une croix grâce à la garde. Je distingue des pierres et des dessins représentant plusieurs époques, car il me semble percevoir des écritures hébraïques et latines. Je distingue nettement le symbole de Yahvé rédigé en hébreu. Saint Michel est le gardien du ciel, sa puissance est phénoménale par rapport à celle d’un homme, mais est pourtant bien inférieure à celle des séraphins qui composent la dernière hiérarchie céleste.
Je distingue sept étages dans la hiérarchie céleste bien que l’on en trouve neuf dans les écrits de Pseudo-Denys. Il me semble que les anges et les archanges se situent au même endroit. Je peux décrire ce lieu qui n’a rien à voir avec le monde terrestre. La pesanteur semble ne pas exister mais rien ne flotte. Les « objets » semblent être là dans un ordre parfait. Je distingue dans la première hiérarchie ce que je peux décrire comme une immense horloge sans aiguilles. L’heure est représentée par des blocs qui tournent sur eux-mêmes à la manière d’une « horloge binaire ». Cette horloge permet de donner aux anges une indication du temps qui passe sur terre. Cette horloge leur est indispensable parce que le temps n’existe pas dans leur monde parfait. Tout est orchestré selon Dieu, autour de Dieu, pour Dieu.
Les anges qui habitent ce lieu sont innombrables. Il y en a des myriades. En montant les « étages » de la hiérarchie, je distingue partiellement les activités des anges. J’entends des prières, des voix d’une beauté indéfinissable. Plus je monte, plus les anges semblent concentrés sur Dieu. Je sens des intentions de prière, les louanges, la vision perpétuelle du Père. Plus je monte, moins le temps terrestre est présent. Les anges supérieurs s’intéressent exclusivement à la vénération de Dieu.
Une chose me frappe lorsque j’arrive en haut de la hiérarchie. Je distingue le Père qui est d’une beauté indéfinissable. Ce n’est pas un être. C’est une « force » aimante, une sorte de « sonorité ». Le Père ressemble à une force musicale, car j’entends des notes de musique qui sont indescriptibles mais sublimes. Surtout, je distingue en haut Jésus-Christ. Je le distingue sous la forme d’un cœur aimant sur lequel est écrit « cor ». De mes yeux, je le distingue à la manière d’un magnifique vitrail, d’une beauté indescriptible et pourtant il est vivant. En dessous, je distingue nettement la Vierge Marie qui est d’une beauté indéfinissable. Je la vois habillée de blanc et de bleu, un bleu irréel, son visage est d’une beauté sublime, elle ressemble à une jeune femme d’une vingtaine d’années. Une chose me frappe, une sorte de trône semble vide. La Vierge Marie occupe ce lieu sans être assise sur le trône. Il me semble que ce trône est celui de Lucifer avant sa chute sur la terre.
Dès lors je comprends une chose : la Vierge Marie veille à ce que ce siège ne soit jamais occupé. C’est pourquoi elle dérange tant les démons. Elle est le rempart contre le malin. Son cœur immaculé prie et loue éternellement Dieu, tout en étant en relation avec le monde terrestre. Elle est capable de descendre la hiérarchie céleste pour apparaître sur la terre et délivrer des messages.
Saint Michel Archange est à la porte du Ciel. Il veille à la fois sur le Ciel et sur la Terre. Les anges gardiens prient pour l’humanité et agissent sur la terre pour défendre les personnes incarnées qu’elles sont chargées de défendre contre le malin. Saint Michel Archange me fait comprendre que les démons sont à la fois sur la terre et en enfer. Ceux qui sont sur la terre infestent ou possèdent certains individus. Ils exhortent les hommes au mal : mafia, corruption, drogue, massacre, magie, pornographie, etc. Je distingue nettement le pouvoir du démon sur des hommes qui semblent habillés dans de beaux costumes. Leurs habits qui semblent parfaits sont à l’opposé de leurs âmes noires. Le démon aime se parer d’une beauté extérieure pour mieux tromper les hommes. On peut distinguer une odeur de soufre, une puanteur douceâtre qui couve sous un parfum délicat. Je vois nettement le paganisme, les magies, les rites et cultes voués au démon. Le diable se fait désirer et donne en retour le pouvoir terrestre, la richesse et la gloire contre le prix des âmes elles-mêmes. Il est menteur et cupide, souriant et cruel, tyrannique et esclavagiste. Il dénonce sans cesse la perfection du Père. Il a peur de Jésus-Christ et de la Vierge Marie qui sont ses deux plus grands ennemis. Saint Michel Archange me fait comprendre qu’il doit toujours être appelé en troisième. Dans l’ordre, il est nécessaire de prier le Christ, la Vierge et lui ensuite pour ne pas offenser Dieu. Saint Michel Archange est à la tête d’une myriade d’anges qui attendent le moment de se manifester sur terre. Leur amour pour Dieu anéantit le pouvoir du démon. Toutefois Dieu souhaite attendre le moment idéal. Je pense que l’horloge permet à saint Michel Archange et à son armée de connaître l’heure à laquelle il doit intervenir sur terre. Bien que le libre arbitre soit une réalité, saint Michel Archange et son armée céleste peut agir à une heure précise décidée par Dieu. Le libre arbitre est un concept qui nous dépasse : cette liberté est réelle mais le Ciel connaît une grande partie du dessein terrestre. Les anges possèdent une vision, une connaissance du temps que nous ne possédons pas.
Je distingue nettement trois autres endroits : le paradis, le purgatoire et l’enfer. Le paradis peut être décrit comme un endroit semblable à la terre. Je distingue un immense champ, le ciel et le soleil. Il fait beau et chaud. Une table est installée. Les nombreuses personnes qui y sont attablées font partie de la communauté des saints. Le pain est rompu par Jésus-Christ sur le côté de la table. Les invités se partagent le pain et boivent ce qui me semble être de l’eau. J’entends un bruit de discussion qui est doux comme le bourdonnement d’une ruche. Tout est ordonné, sublime et calme. On ressent une paix parfaite, irréelle, sublime, indéfinissable et surtout inconnue sur terre.
Le purgatoire est un « espace », une sorte de lieu, dans lequel les âmes se purgent de leur faute. Elles semblent souffrir d’un feu qui les dévore pour les purifier. J’entends des cris et des larmes, des prières, des regrets, j’entends des Ave Maria. Les prières des vivants permet aux âmes du purgatoire d’accélérer leur purification. Les messes dites à leur intention permet de les délivrer pour leur permettre d’accéder au paradis.
L’enfer est un lieu froid, sombre, terrifiant. Il est désertique. Les démons et les âmes qui y rôdent sont seules, dans les ténèbres. Cet endroit est comparable à une forêt composée d’arbres morts. On y entend des cris, des hurlements, on peut y voir d’immondes créatures d’une laideur indescriptible. Certaines d’entre elles semblent pouvoir se manifester sur la terre surtout la nuit entre minuit et six heures du matin. Ces créatures de l’ombre, prisonnières de leurs tourments, fuient le soleil. La magie noire semble les faire se manifester sur la terre à certains endroits, à certaines époques et pendant un certain temps. Les prières, les exorcismes et les messes les affaiblissent au point de faire disparaître leur manifestation. Les ténèbres ne résistent pas au soleil, à la Lumière du Monde : le Christ.
Jésus-Christ, à la fois homme et Dieu, a engendré la jalousie de Lucifer qui a décidé de renier Dieu à cause de son orgueil. Lucifer voulait être adoré à la place de Dieu, à la place du Christ. Sa chute sur la terre a entraîné l’histoire de l’humanité telle qu’on la connaît : les guerres, les maladies, les destructions, etc. L’action du Ciel est plus importante mais moins visible parce qu’elle maintient l’équilibre sur la terre tandis que l’action de l’enfer est plus visible mais moins influente parce qu’elle consiste à détruire l’œuvre de Dieu. Dieu pourrait faire disparaître la terre en un millième de seconde, mais, pourtant son amour est si intense, si parfait qu’il donne et perpétue la vie.
Dieu est créateur parfait : il est amour. Toute son essence est tournée vers la création. Dieu ne renie jamais ses créatures, même les plus perfides. L’homme, par son imperfection, ne comprend pas la perfection de Dieu et son amour pour nous. L’influence des démons réduit son champ de vision. Ainsi, l’homme est aveugle et fondu dans le monde matériel. Pour se libérer de la vision terrestre, il faut prier et demander afin que l’on reçoive.
Nous renonçons à la loi de 1905,
Nous rendons hommage au Christ-Roi,
Dieu des vivants, délivrez-nous du mal,
Au Pré Carré, donnez-nous la force de la Croix,
Délivrez la France de ses chaînes,
Que l’esprit des Lumières s’éteigne,
Au bon roi Louis XVI nous rendons hommage,
Sa réhabilitation endommage la république,
La terre des Lumières est brûlée,
À l’image de sa politique inique,
L’effigie de son bourreau – EM – est déchue,
La chute de la France dans les abysses,
Annonce la délivrance de son peuple bien-aimé,
À Paris brûlé, nous renonçons,
Le péché maçonnique, nous brisons,
Nous portons à nos lèvres la coupe du Christ-Roi,
Nous réhabilitons l’Église en son sein,
Les prêtres affluent pour délivrer le peuple,
La confession ravive la foi,
Les sermons prononcés dans ces églises autrefois vides,
Remplissent de joie les fidèles,
L’Eucharistie portée à la bouche et à genou,
Comble les fidèles de son Esprit-Saint,
La ferveur de la France est clamée dans le monde,
Les francs-maçons pleurent dans leurs ténèbres,
Le démon accable ses adeptes,
L’enfer est rempli de ceux qui acclament les pécheurs,
Le Christ-Roi a vaincu le monde,
Le Christ-Roi est la Lumière du monde,
La France a bu la coupe,
La France a ressuscité au troisième jour,
Le Te Deum résonne dans les églises,
Les cloches sonnent à l’unanimité,
Le retour de la papauté et de la royauté,
De la France de l’antéchrist est sortie la joie,
Puisque là où le péché a abondé,
La grâce surabonde,
Le bon saint Michel et son armée céleste,
Nous a donné la force de vaincre les mécréants,
Honneur et Gloire à la France des rois !
Honneur et Gloire à la France du Christ !
Honneur et Gloire à la Madone qui veille sur nous !
Le Seigneur soit avec vous puisque, en ce jour béni,
Il est avec votre esprit !
La France se relève bientôt !
Gloire au Dieu des vivants !
Chantons le Te Deum !
À toi Dieu, notre louange ! Nous t’acclamons, tu es Seigneur ! À toi Père éternel, L’hymne de l’univers.
Devant toi se prosternent les archanges, les anges et les esprits des cieux ; ils te rendent grâce ; ils adorent et ils chantent :
Saint, Saint, Saint, le Seigneur, Dieu de l’univers ; le ciel et la terre sont remplis de ta gloire.
C’est toi que les Apôtres glorifient, toi que proclament les prophètes, toi dont témoignent les martyrs ; c’est toi que par le monde entier l’Église annonce et reconnaît.
Dieu, nous t’adorons : Père infiniment saint, Fils éternel et bien-aimé, Esprit de puissance et de paix.
Christ, le Fils du Dieu vivant, le Seigneur de la gloire, tu n’as pas craint de prendre chair dans le corps d’une vierge pour libérer l’humanité captive.
Par ta victoire sur la mort, tu as ouvert à tout croyant les portes du Royaume ; tu règnes à la droite du Père ; tu viendras pour le jugement.
Montre-toi le défenseur et l’ami des hommes sauvés par ton sang : prends-les avec tous les saints dans ta joie et dans ta lumière.
Les temps étant résolument athées et matérialistes, un rappel de la foi grâce aux ouvrages du père Gabriele Amorth semble extrêmement utile. J’ai fait le choix de mettre à disposition ses livres au format PDF, toutefois, vous pouvez vous procurer ses écrits au format poche. Les PDF ne sont pas hébergés sur mon site pour des raisons « légales ».
TÉMOIGNAGE de l’acteur JIM CAVIEZEL dans le rôle de Jésus dans le film de Mel Gibson sur la Passion :
« J’avais 33 ans lors du tournage du film « la Passion du Christ », c’est-à-dire le même âge que Jésus quand il fut crucifié.
Je savais que si je voulais représenter Jésus, je devais être proche de lui. Chaque jour, je me confessais et j’adorais le Saint Sacrement.
Mel Gibson était aussi à la messe quand elle était célébrée en latin, ce qui me fut profitable, car j’ai ainsi appris le latin.
J’avais toujours des tentations contre lesquelles je devais me défendre et dans ce combat j’expérimentais une grande paix intérieure.
Par exemple, pour la scène où la Vierge Marie tombe sur son fils en train de porter la croix, je devais dire la phrase suivante : « Regarde, je fais tout ce que je fais ».
Nous avons répété cette scène quatre fois, mais je sentais que c’était toujours moi au premier plan.
Et, quelqu’un a heurté la croix et j’ai senti mon épaule gauche sortir de l’articulation. Cette horrible douleur a provoqué ma perte d’équilibre et je suis tombé lourdement sur le sol.
J’ai claqué mon visage sur la terre poussiéreuse et j’ai saigné du nez et de la bouche.
J’ai répété les mots à notre Mère : « Regarde, je fais tout ce que je fais ».
Les douleurs à l’épaule étaient indescriptibles alors que lentement j’ai pris la croix et que je sentais que la scène était très impressionnante.
J’avais cessé de jouer et c’était Jésus que l’on voyait.
La scène était apparue comme une réponse à ma prière : « ′Je veux que les spectateurs te voient, Jésus, pas moi ».
Pendant le tournage, je ne sais pas combien de chapelets j’ai récité et cela m’a fait vivre dans une atmosphère particulière.
Je me rendais compte que je ne pouvais ni blasphémer ni me laisser aller si je voulais communiquer quelque chose à l’équipe de mes collaborateurs.
Lorsque nous avons tourné la scène du dernier repas, j’avais, dans des poches spéciales à l’intérieur de mon habit, des reliques de Saints et même un petit morceau de la Croix du Christ.
Mon vœu était si grand que Jésus soit présent que j’ai prié un prêtre d’exposer le Saint Sacrement.
Sur les premières il a rejeté ma demande, mais je l’en ai prié instamment parce que j’étais convaincu que si je fixais Jésus, les spectateurs le reconnaîtraient en moi.
Le prêtre, avec l’Ostie consacrée dans les mains, se mit juste derrière le cameraman et avec lui, il s’approchait de moi.
Lorsque les spectateurs voient la lumière dans mes yeux, ils ne réalisent pas que c’est le reflet de l’Hostie dans mes pupilles et donc ils voient en réalité Jésus.
Même pendant la scène de la crucifixion, alors que je priais sans interruption, le prêtre était présent avec le Saint Sacrement entre les mains.
Le plus grand défi pour moi dans ce film n’a pas été, comme je le pensais au départ, d’apprendre par cœur les textes en latin, araméen et hébreu, mais plutôt les efforts physiques auxquels j’ai dû faire face.
Dans la dernière scène, par exemple, quand j’ai été cloué sur la croix, j’avais une épaule luxée qui sortait à chaque fois. Pendant la flagellation, j’ai été frappé deux fois par la déferlante et une blessure sur le dos de 14 cm de long, et j’ai aussi pris une inflammation des poumons qui se remplirent de liquide.
En plus, il faut calculer le manque chronique de sommeil : pendant des mois, je devais me réveiller à 4 heures du matin pour le maquillage qui prenait au moins huit heures.
Un autre défi fut aussi le froid qui, surtout lors de la crucifixion, m’a presque tué; je n’étais habillé qu’avec une fine robe de lin et la température extérieure était à peine un degré au-dessus de zéro.
Quand nous avons tourné la dernière prise de vue, il y avait un coup de nuages épais et la foudre a frappé la croix où j’étais attaché.
Soudainement, tout était silencieux autour de moi et j’ai senti mes cheveux se dresser sur la tête.
Environ 250 personnes autour de moi ont vu comme mon corps soudainement émanant de la lumière et ont vu un feu à droite et à gauche de ma tête. Beaucoup de gens ont été choqués à cette vue.
Je sais que « La Passion du Christ »′ est un film extraordinairement grand sur l’amour, peut-être un des plus grands.
La création est aujourd’hui menacée par tant de facteurs et pourtant la foi en Jésus est la source du bonheur.
Je pense que Dieu nous appelle particulièrement en ce moment et que nous devons donc donner une réponse dans notre cœur et dans notre vie. »
Nous avions cru que le poteau de boue, l’homme annoncé par Marie-Julie Jahenny, était l’ancien président F. Hollande. Cependant, il s’avère qu’il s’agit de E. Macron. Voici le texte original suivi de quelques explications.
« Ne rien attendre du poteau de boue.
Première crise Internationale
– L’heure de Dieu n’est pas loin, dit Saint-Michel, celle terreur profonde fera ressortir le triomphe de la nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gâtée.
– N’attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le même fauteuil, que les autres – fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spécial et plus grand.
– Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté. Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier N’attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste.
– Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi. Il n’y a pas de fermeté en lui : ils l’ont mené ; ils l’ont dirigé. Voilà le portrait de cet homme : c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n’y pensons guère.
– Je n’y pense point, bon Saint-Michel.
– Pour ramener le Roi choisi et destiné par Dieu, il faut que tous ceux qui sont à présent soient balayés. »
29 septembre 1878
Voici les explications :
« Première crise Internationale »
Marie-Julie Jahenny a pressenti en 1878 la crise internationale que nous connaissons actuellement. Bien qu’elle n’ait pas perçu l’essence du covid, elle en a compris la teneur à travers la perception catholique de son époque.
« L’heure de Dieu n’est pas loin, dit Saint-Michel, celle terreur profonde fera ressortir le triomphe de la nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gâtée. »
La France et le monde connaît effectivement une « terreur profonde » soigneusement entretenue par le gouvernement de la plupart des nations du monde. Toutefois, il faut s’attendre à de grands châtiments, puisque les termes « Justice » et « terre gâtée » sont employés.
« N’attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le même fauteuil, que les autres – fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spécial et plus grand. »
Le « roi » en question est le président de la république. Il préside de la même manière que ses prédécesseurs et rien ne le distingue des autres.
« Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté. Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier N’attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste. »
Il s’agit du point central de la vision de Marie-Julie. Ce président est en accord avec ceux qui l’entourent. Auparavant, les présidents étaient plutôt prestigieux pour rester dignes de leur fonction. Celui-ci est vulgaire et méprisant. Il est même comparable au plus mauvais de ses acolytes.
« Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi. Il n’y a pas de fermeté en lui : ils l’ont mené ; ils l’ont dirigé. Voilà le portrait de cet homme : c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n’y pensons guère. »
Effectivement, il est profondément anti-chrétien. Il est malléable et possède un caractère psychopathique qui est caractérisé par ses propres mots « en même temps ». Par exemple, il « aime » quelqu’un tout en le « haïssant » simultanément, ce qui est proprement impossible à une personne saine d’esprit. La raison veut qu’un seul sentiment puisse être porté à l’égard d’un individu. Par exemple, un quidam ne peut pas rire et pleurer simultanément, si ce n’est un fou qui est mené et dirigé. Ce président est « un poteau de boue », un homme qui se laisse porter par le vent des scandales. Ses propres erreurs ne le font pas culpabiliser, il n’a aucun honneur, aucun amour-propre.
« Je n’y pense point, bon Saint-Michel. »
Il ne mérite aucune considération et semble ne pas être puni ultérieurement par la justice humaine. Il pourrait même s’enfuir lorsqu’il aura mené le pays à sa perte.
« Pour ramener le Roi choisi et destiné par Dieu, il faut que tous ceux qui sont à présent soient balayés. »
Les hommes du péché doivent être balayés par la Justice Divine afin qu’un dirigeant semblable au bon berger puisse paraître. La France doit être emportée par une grande et terrible purification.
Pour terminer, voici quelques extraits des prophéties données par la Fraudais, Marie-Julie Jahenny :
« La miséricorde peut adoucir la peine, donner des sursis de la longueur, de la mesure qu’elle juge bonne. Mais la Justice ne laissera aucune faute impunie, aucune, sur cette terre et dans l’autre monde.
Les avertissements sont déjà des châtiments, d’une certaine façon. Il y aura des morts, de peur, et des victimes des calamités. II y aura, hélas ! des suicides et des troubles dus aux émotions violentes. »
« Au moment où la rage des impies s’arrêtera pour un court répit, il arrivera une grande maladie, presque subitement. Ce châtiment laissera les victimes comme étant sans vie ; ils respireront encore sans pouvoir parler, la chair à vif comme après une profonde brûlure. Ce mal sera très contagieux et on ne pourra l’arrêter. C’est une punition du Seigneur afin d’en ramener plusieurs. » 20 septembre 1880
« La terre tremblera depuis ce lieu jusqu’au lever du soleil, l’espace de six jours. Un jour de repos et le huitième jour, le tremblement recommencera. La France et l’Angleterre se répondront par leurs cris de désespoir. La terre tremblera si fort que le peuple en sera jeté à 300 pas. Le tonnerre retentira avec plus d’éclat que dans les mois qui précéderont la fin du monde, avec un bruit étrange. » 8 mars 1881
« II y aura de grands écroulements, surtout au Centre. Tous ces riches palais où sont produits les bénéfices de la nation, tout cela, le Seigneur va le détruire par un châtiment terrible, sous la forme d’un écroulement de terre. Tous ces hauts édifices, (Banques) qui sont une partie du pain de la France, s’écrouleront. Dieu va surprendre ceux qui travaillent sans penser à Lui, ni à Sa Puissance qui donne tout sur la terre. » 16 novembre 1882
« Mes enfants, il sortira de ce nuage une pluie bien extraordinaire, que le monde n’a jamais vue encore et qu’il ne verra jamais ensuite, jusqu’à la consommation des siècles.
Ce sera une pluie rouge qui restera coagulée sur la terre pendant 7 semaines. La terre elle-même sera coagulée par cette pluie qui donnera un souffle empoisonné, une odeur que personne ne pourra supporter.
Mon peuple restera enfermé pendant sept semaines. Il sera difficile de sortir, tant la terre fera peur. Voilà le premier orage qui s’annonce et se réalisera bientôt.
À la suite de cet orage, Je ferai sortir de terre une « brûlaison » horrible. Les chrétiens ne pourront supporter cette odeur et cette chaleur. Mes enfants, vous n’ouvrirez ni vos portes, ni vos fenêtres.
Il faut que le règne du péché finisse. Jamais la terre et le monde n’auront été en semblable état. Il faut en finir, ou bien toute âme se perdra ! » 9 mars 1878
« Il fera noir pendant ces frais jours de pluie, de deuil, d’agonie et de mort. Il y aura une tempête affreuse ; les arbres les plus profondément enracinés seront ébranlés.
Mes enfants, Je suis la Voie, la Vérité et la Vie.
Au sortir de ces trois jours, vous ne trouverez que cadavres.
C’est là une prophétie que Je vous fais Moi-même, Moi qui suis la Voie de la Vérité et de la Vie. Écoutez Mes paroles. »
« Le soleil sera obscurci auparavant, avant garde des vraies ténèbres qui arriveront 37 jours après les signes de l’obscurité du soleil et des signes de la terre et de la tempête annoncée. » 28 novembre 1881
« Le Seigneur repeuplera la terre de jeunes plantes qui grandiront et iront jusqu’à la dernière génération ; c’est-à-dire qu’elles sont réservées pour voir la fin des siècles. » 9 mars 1878
L’heure est grave. Comme vous le savez, les médias exploitent la peur pour entretenir deux groupes ennemis : ceux qui veulent se faire injecter perpétuellement et ceux qui refusent d’être les esclaves d’un monde tyrannique.
Les médias s’étaient tout d’abord unis sur un même son de cloche afin d’entretenir la peur. Comme ceux-ci ont constaté que 10 % de la population refusaient de se faire injecter un produit dont les effets secondaires semblent importants, ils sont en train de semer la discorde en entretenant volontairement l’esprit de collaboration, d’une part, et l’esprit de résistance, d’autre part.
Certains souhaitent enlever de force les enfants des parents résistants afin de les injecter. Ceci est digne des pires scénarios historiques. Tandis que d’autres souhaitent préserver leur descendance de cette folie semblable à une épidémie de danse de saint-Guy. Comme je le dis depuis 2015, l’humanité est en train de se radicaliser. Cela signifie que les individus entretiennent des idées extrémistes qui les rendent prisonniers d’un système pervers.
Nous vivons une période historique pré-révolutionnaire. On peut comparer notre époque, dans ses mécanismes, à celle de Luther. Comme nous le savons tous, Luther a rédigé des écrits qui ont divisé l’Europe en deux clans grâce à un mécanisme ingénieux de création du protestantisme. Ainsi, le groupe des protestants s’est opposé à celui des catholiques. On retrouve dans les livres d’histoire le témoignage de catholiques qui ont vu les protestants détruire les églises et massacrer femmes et enfants. Je ne fais pas le procès des protestants qui ont été victimes d’un esprit de division, satanique.
Nous vivons, en 2021, une époque similaire où la religion « sanitarienne » divise l’humanité en deux clans ennemis : les pro-morts, comparables aux protestants à l’époque de Luther, et les pro-vies, semblables aux catholiques. Pour être plus clair, les pro-morts sont favorables à l’injection perpétuelle de substance dans l’espoir de sauver leur vie d’un virus peu mortel et dans le but de retourner à une vie normale, tandis que les pro-vies souhaitent vivre normalement, comme si la crise n’avait jamais existé. Les pro-morts ne sont pas conscients qu’ils favorisent l’avènement d’une tyrannie imposant un passeport numérique dans l’ensemble de la civilisation occidentale, un crédit social à la chinoise. Les pro-vies ont généralement une vision plus réaliste de la progression de la caste tyrannique. Les pro-morts sont motivés par la peur qui est une pulsion aveuglante et esclavagiste. Les pro-vies, quant à eux, sont clairvoyants mais largement minoritaires.
On peut dire que 90 % de la population est conformiste et soumise à l’autorité, tandis que 10 % de celle-ci est plutôt attachée à d’autres idéaux : laïcité, lois républicaines, partis politiques, religions (christianisme, judaïsme, islam, bouddhisme, hindouisme, etc.). Les catholiques sont réellement minoritaires. Nous devons représenter environ 0,1 % de la population française, c’est-à-dire quelques dizaines de milliers de personnes.
Les résistants sont tentés par la violence pour défendre la vie de leurs proches ainsi que la leur. Quoi de plus normal d’un point de vue purement humain. Toutefois, d’un point de vue purement religieux, il s’avère que la charité est préférable à tout le reste. Il est très simple d’amener à la mort des individus en utilisant les techniques d’arts martiaux ou des armes quelconques. Dans ce cas, une dépopulation brutale serait inexorable et les gouvernements le savent parfaitement.
Ce mouvement horizontal consistant à diviser les individus permet aux dirigeants de survivre puisqu’ils se situent sur un axe vertical. Autrement dit, les milliardaires et autres personnes qui se prennent pour des demi-dieux sont des couards. Ils sont incapables de se rendre sur un champ de bataille puisqu’ils n’ont pas de courage. Ils se cachent derrière leurs forces armées et leurs milices. De tels individus pourraient être anéantis en quelques instants seulement s’ils se présentaient, seuls, devant une foule. Ils sont à l’exact opposé du courage des rois. Par exemple, le bon roi saint Louis était à la tête de son armée, ou encore, le vicomte de Turenne nommé maréchal général des camps et armées du roi en 1660 était un homme hors du commun qui guidait ses troupes. Par conséquent, un milliardaire ou un politicien contemporain est un faible qui mérite d’être soumis à la volonté populaire. Par exemple, Laurent A., millionnaire, créateur du site internet do…mo et transhumaniste convaincu, pourrait être le meilleur des laveurs de toilettes publiques, des éplucheurs de pommes de terre ou des assistants de personnes âgées. De tels individus devront payer par leur soumission à la population. Il faudra les montrer du doigt et les garder sous le joug de l’humilité perpétuelle par le port d’un signe distinctif : « autrefois, je me prenais pour un demi-dieu et aujourd’hui je suis à votre service ».
Toutefois, nous ne devons pas prôner la violence mais la charité. La guerre doit être le dernier recours. Si nous devons mener une guerre pour sauver la France, nous la mènerons. Mais, cette guerre doit être faite uniquement pour extirper la France des griffes de ces démons. Dès lors, il n’y aurait aucune pitié pour nos ennemis puisqu’ils auraient persisté dans leurs erreurs. C’est pourquoi la guerre de sauvetage de la France doit être considérée comme l’ultime solution. Notre armée, si petite soit-elle, serait vainqueur de ces imposteurs, car nous mènerions à la tête de la France le sceptre royal afin que le Christ-Roi puisse régner à la tête de notre nation séculaire. Nous devons souhaiter que les ennemis de Dieu reviennent à la raison pour éviter leur anéantissement.
D’autre part, nous ne mènerons jamais une guerre contre nos frères musulmans qui doivent revenir au califat en Palestine, en Arabie saoudite et en Syrie. Après de multiples considérations, il s’avère que l’Islam est une source de stabilité pour son territoire. Les musulmans prônent la paix au sein de la Oumma et la non-violence envers les chrétiens par le paiement de la djizîa. Dans tous les cas, nous ne sommes plus au temps des croisades et devons leur accorder notre aide en terre musulmane. Si la France doit être catholique, le Moyen-Orient doit être musulman. Nous devons conclure un traité de paix en France avec nos frères. Je ne parle pas des mouvements islamistes qui sont à l’Islam ce que les francs-maçons sont au Christianisme. Pour éviter la destruction de la France, nous devons savoir négocier et nous allier avec les véritables croyants. Ce qui sépare les musulmans des catholiques, c’est la croyance en la Vierge Marie (Hyperdulie) et la foi en Jésus-Christ comme le Fils de Dieu (Église romaine apostolique), crucifié pour nous, enseveli trois jours sous Ponce Pilate, revenu à la vie et monté au Ciel. Les musulmans croient en Mariam et en Issa, mais, leur croyance diffère de la nôtre sur plusieurs points. Ils considèrent Mariam comme une sainte et Issa comme un prophète crucifié qui serait encore au Ciel en attendant son retour auprès du Mahdi. Selon les prophéties musulmanes, Issa devrait revenir à Damas pour sauver de la terrible armée israélienne les croyants dirigés par le Mahdi. Pour que la paix revienne en France, nous devons préserver notre héritage historique provenant des rois Francs et montrer un grand respect pour l’Islam. Sans cela, notre nation serait définitivement détruite par la guerre civile à venir.
Le climat social de la France va s’assombrir au fil des mois de l’année 2022. Les élections présidentielles promettent d’être mouvementées. Cependant, selon les prophéties, le pire à venir doit être pour le mois de juin. Le mois du sacré-cœur de l’année 2022 pourrait annoncer une guerre civile d’une immense portée. Plusieurs dizaines de millions de civils devraient perdre la vie à cause du poteau de boue (Emmanuel M.). On constate que les médias parviennent à entretenir un climat anxiogène qui sème la peur et le chaos dans les esprits. L’extrémisme mène à la folie collective et celle-ci à la guerre civile. Soyez en certains.
Pour l’instant, nous ne pouvons rien faire puisque nous sommes considérés comme des parias. Patientons. Les injectés pourraient décéder brutalement des suites de multiples thromboses, d’AVC et de problèmes cardiaques. Ceci engendrerait parmi cette population une grande colère envers ceux qui ont fait le choix de vivre normalement. Nous serions leur bouc émissaire puisque leurs semblables seraient décimés et nous encore en vie. La folie des conformistes pourrait bientôt devenir une terrible réalité.
Enfin, si la France tombait dans la guerre civile, l’Europe de l’Ouest serait considérée comme perdue. En effet, de par sa position géographique, la France est un pays privilégié qui assure la stabilité politique de l’Europe. Nos ennemis américains pourraient espérer imposer leur technologie liberticide et déployer leur armée sur notre sol. La Russie, qui est l’ennemie de cette civilisation orgueilleuse, pourrait envahir la France afin d’éviter que les Etats-Unis ne s’emparent de notre nation. Dès lors, l’invasion Irano-Russe serait effectuée pour sauver l’Europe des griffes américaines. Si la guerre civile devait éclater au mois de juin 2022, la Russie pourrait envahir la France au mois de juillet.
Toutefois, ce scénario apocalyptique doit être remis entre les mains de la Vierge Marie. Au cours de l’histoire, notre bonne Maman du Ciel a sauvé la France à de maintes reprises. Nous devons prier le Rosaire, seule porte du Salut. Ainsi, la France pourrait être sauvée et voir le poison de la guerre civile s’éloigner. Cependant, pour cela, il faut beaucoup prier. Malheureusement, de nos jours, les chrétiens sont de moins en moins nombreux.
Avertissement : ce texte est avant tout philosophique. Toute ressemblance avec des événements ou des personnes existantes serait purement fortuite.
Nous grandissons tous dans le ventre de notre mère. Nous pouvons entendre les battements de cœur, le passage des liquides dans le placenta, si nous nous concentrons attentivement sur notre passé lointain. Prendre conscience de la fragilité intra-utérine, de la beauté de la vie nous met dans une condition d’enfant. Nous sommes dépendants de la Charité. Dieu nous donne gratuitement cet amour, mais, faut-il encore en prendre conscience. Dans le ventre de notre tendre maman, nous sommes tous égaux. Notre gestation est précieuse, il s’agit d’un trésor. La formation prénatale d’un mammifère ou d’un être humain est toute aussi importante.
Écoutons ensemble le bruit de cette vie qui grandit : « boum boum boum boum… [sursautement] boum boum boum boum boum boum boum… [tressaillement] boum boum boum boum boum boum [bruit du placenta] boum boum boum boum boum boum [le fœtus met son pouce à la bouche] boum boum boum boum boum boum boum boum boum boum [les cellules se multiplient pour construire ce petit être parfait] boum boum boum boum boum boum….»
Nous pouvons sentir ce sentiment de sécurité. Le petit être, lové dans le corps de sa maman, est protégé. Il grandit dans des conditions qui l’aident à se structurer physiquement et mentalement. L’agencement des cellules est parfait. Ce sentiment de sécurité est lié à la maternité et la maternité nous relie à Marie. La femme, dans sa perfection, nous porte de son amour et nous aide à nous construire. Au-dehors, le père, symbolisé par Joseph, nous attend patiemment dans la joie. Il sait déjà comment nous protéger et nous élever tendrement. Il nous éloigne des périls de l’Egypte et de la cruauté de ses pharaons.
L’amour contribue à la construction, au développement, à la paix, et, finalement à la perfection. Cet amour parental, cette divine charité, nous donne confiance. Nos pas seront assurés, plus tard, par la prévention de notre papa et la tendresse de notre maman.
La vie est un don de Dieu. L’être humain est incapable de produire la vie. Tout au plus, peut-il imiter et réutiliser des cellules souches pour en faire autre chose. L’être humain inconscient utilise les principes de la vie pour en faire un produit qui assurera son propre enrichissement matériel. L’homme méchant est avide et inconscient de la magnificence de la vie. Le méchant ressemble à un homme en costume cravate, délicatement parfumé, une montre au poignet, un sourire malicieux au coin de la bouche en attendant que sa secrétaire lui apporte le café. Le méchant brise des vies en lançant un mauvais regard, en prenant des décisions qui le favorise lui-même ainsi que ses associés.
Le méchant est tout simplement inconscient de la gratuité de la vie. Il ne se souvient plus qu’il était lui-même un fœtus lové au sein de sa mère. Le méchant est devenu un être hideux de l’intérieur, simplement parce qu’il souhaite briser la vie des autres. L’homme avide est comparable à un torrent de boue qui entraîne le chaos et la désolation sur son passage. Le méchant se situe dans les hautes sphères de la société : il possède le pouvoir matériel à l’aide des lois mathématiques qui régissent la finance. Le méchant ressemble à un démon qui découpe au scalpel des souris, dans un laboratoire aux froides couleurs. Le méchant s’enrichit chaque seconde de plusieurs milliards.
Le méchant souhaite déstabiliser les nations, réduire ses semblables en esclavage. Cependant, il sait qu’il ne doit pas aller trop vite. Il ne se précipite pas. Il utilise des moyens malicieux et abuse de toutes sortes de mensonges pour tromper les plus naïfs :
« Prenez ce produit, il vous soignera de cette grave maladie qui ne fait pas de morts. Je vous assure que c’est pour votre bien. Vous devez vous faire injecter ce produit pour pouvoir vivre normalement et retrouver vos semblables dans les commerces non essentiels. »
Le méchant sait que la prochaine étape consiste à attendre la maladie et la mort de ses semblables trop crédules, afin de pouvoir avancer ses pions. Dès que des millions de personnes seront trop affaiblies ou brisées, le méchant pourra envoyer ses armées pour anéantir les survivants. Le méchant souhaite profiter des ressources terrestres pour lui et pour sa famille, quitte à anéantir les inutiles. Le méchant ment effrontément :
« Il n’existe aucune volonté de faire le mal sur cette terre. Le complotisme est une grave injure. Je vous dis que tout ceci est dans votre pauvre petite tête malade. Vous êtes un ignare ou un fou. Vous mériteriez d’être enfermé ou détruit. »
Le méchant souhaite détourner la technologie pour son propre profit en faisant contrôler continuellement ses semblables. Le méchant souhaite connaître la vie des autres par peur de pouvoir être détrôné. Si un jour ses milliards ne valaient plus rien, il lui faudrait pouvoir utiliser la force pour réduire à néant ses opposants.
Au sein de l’humanité, il existe deux courants qui s’affrontent continuellement : le bon, symbolisé par les vertus, qui a plus ou moins conscience de la gratuité de la vie et le méchant, symbolisé par les péchés, qui veut contrôler et s’enrichir en utilisant tous les moyens à sa disposition.
Les temps actuels sont dangereux pour la stabilité du monde et la préservation de l’humanité. Dieu saura punir la cruauté des méchants par l’apparition de fléaux toujours plus grands et terribles. Les méchants qui ont peur de la mort doivent prendre conscience de leur propre mortalité. Envoyer un virus mortel comme la peste pourrait les faire périr. Par contre, diffuser un virus un peu plus dangereux que la grippe et utiliser des moyens politiques permet d’agir seulement sur la masse sans risquer d’atteindre les hautes couches du corps social.
La société est comparable à une pyramide divisée en plusieurs étages. Les étages inférieurs ne savent pas ce qui se passe dans les étages supérieurs. Ainsi, la majorité des hommes ignorent la méchanceté de ceux qui habitent à la pointe de la pyramide. Cette technique de manipulation est pourtant évidente pour ceux qui connaissent le mal.
Pour être capable de voir le bien dans sa perfection, il faut également observer le mal dans toute son horreur. La candeur est à l’huile sainte ce que la méchanceté est à l’eau. L’une se dissout dans l’autre sans pouvoir cohabiter. Ainsi, la candeur se désagrège dans la méchanceté tandis que la méchanceté disparaît dans la candeur.
De nos jours, la terre ressemble à une mer [l’eau] où la candeur est pratiquement inexistante [l’huile sainte]. Ainsi, l’eau se répand en emportant tout sur son passage. Lorsque le mal aura détruit une grande partie de la civilisation, les survivants se rappelleront que la candeur est indispensable. Dès lors, ils se souviendront des commandements de Jésus-Christ et de l’importance de la Sainte Église Apostolique qui, aujourd’hui, est éclipsée.
Le méchant est finalement comparable à un homme assit sur une branche qui scie aveuglément devant lui jusqu’à ce qu’il meure des suites de sa terrible chute. Le candide est, quant à lui, comparable à un agneau qui observe la décimation du troupeau sans avoir la capacité de défendre ses pairs. Lorsque la Sainte Église Apostolique régnait en maîtresse, les méchants étaient si peu nombreux que la moindre tâche était immédiatement visible sur le linceul immaculé. Au fil des siècles, les méchants ont neutralisé la Sainte Église Apostolique, notamment à l’aide de multiples sciences économiques, en s’enrichissant au détriment des peuples.
Chers amis, souvenez-vous de notre intégrité, de notre faiblesse. Remerciez le Ciel de notre venue au monde. La gratitude et la charité sont indispensables dans ces temps actuels. La méchanceté périra avec elle-même. La victoire appartient aux candides. Dieu vous bénisse.
Le sauveur est Dieu. Son Saint-Esprit nous donne la force de lutter contre les forces démoniaques qui essayent de nous détruire. Nous sommes au début du temps de Dieu.
Les milices se défoulent pour engendrer la destruction des valeurs de notre civilisation. Ces assemblées trop humaines, financées par des fonds privés, œuvrent pour déséquilibrer les nations. Ils souhaitent que l’homme et la femme deviennent des androgynes afin de hâter le retour à leur dieu manichéen. Les financeurs de ces associations estiment que le corps est un « cercueil » qui limite nos capacités mentales et physiques. Ils aimeraient que les « humains » du futur deviennent des demi-dieux aux capacités exacerbées et, finalement, destructrices.
Notre époque nous pousse à haïr la sainteté pour nous pousser à devenir les objets d’un idéal perverti. La dégénérescence de l’humanité est en marche par la négation des vertus cardinales (Prudence, Tempérance, Force d’âme, Justice) et théologales (Foi, Espérance et Charité). Pourtant, Dieu nous a créé par Sa bonté et nous naissons homme ou femme.
Nous devons proclamer que notre corps nous appartient parce qu’il est le Temple de Dieu. Le mariage de l’homme et de la femme est sacré. Le temps de Dieu nous apprend par la force des choses que le respect de notre corps et de notre âme est indispensable. Nous ne parlons plus d’amour de soi, d’égocentrisme mais d’acceptation de nos faiblesses. Jésus-Christ nous a exhorté à porter notre Croix. Dans notre temps, notre Croix consiste à renouer avec la sainteté de Dieu. Cela passe par la reconnexion à notre identité personnelle et à notre corps. Ce n’est pas sans douleur car nous sommes confrontés à nos propres pulsions qui font l’objet des fondations de la religion chrétienne. Devons-nous accepter nos propres désirs ou les réprimer sévèrement ? En tout état de cause, nous devons agir par un travail de retour à la conscience. Mais que ce travail reste de l’ordre privé, car la vertu consiste à rétablir l’ordre public par la préservation de l’héritage catholique.
Ainsi, nous souffrons dans cette époque trop matérielle qui nous encourage à renouer avec la sainteté. Les douleurs et les larmes sont bien présentes. Les lobbies utilisent une force de frappe financière finement organisée pour déstabiliser la civilisation. Parviendrons-nous à sauver les vertus qui sont fondatrices de notre civilisation ? Jésus-Christ nous y encourage. Ainsi, nous n’avons pas à lutter avec notre force physique mais avec la puissance du Saint-Esprit. Jésus-Christ nous donnera les mots en temps voulu. Pour l’instant, nous devons nous préparer personnellement en renouant avec la mise en pratique des vertus.
Dieu est le seul sauveur et nous devons placer toute notre confiance en Lui. Protégeons tout d’abord les enfants parce qu’ils constituent le trésor de l’humanité. Que personne ne les pervertisse, car celui qui oserait le faire devrait plutôt se nouer une pierre de moulin autour du cou et se jeter dans la mer afin de ne pas connaître la Justice divine. Malheur à celui par qui le scandale arrive !
Dans tous les cas, ne croyez pas aux faux prophètes. Jésus-Christ n’est ni dans le désert, ni dans la ville ni dans la forêt. Il est aux Cieux. Veillons et prions car les temps sont durs !
La propagande médiatique discrimine les personnes qui ne souhaitent pas se faire injecter un produit dont les effets indésirables ne sont ni connus, ni révélés au grand public. La République est censée garantir la liberté, l’égalité et la fraternité. Or, il s’avère que l’incitation à la haine envers ceux qui souhaitent conserver leur santé est à son apogée. La République parjure ses textes fondateurs. Par conséquent, on peut dire qu’elle n’existe plus sous sa forme originale. La République n’était finalement qu’une forme politique transitoire qui attendait la survenue d’une dictature s’appuyant sur le progrès technologique.
La Bête qui repose sur le « Progrès indéfini » souhaite transformer les hommes en objets de consommation. Est-il normal qu’un citoyen doive se voir attribuer un « QR Code » contenant des informations confidentielles ? L’évolution logique de cette situation indique que l’homme pourrait prochainement être porteur d’une puce informatique connectée en temps réel à l’internet des objets. L’homme du futur pourrait vivre dans des villes technologiques dites « Smart City » ou encore « ville du quart d’heure ». Ce type de ville s’appelle ainsi parce qu’il est possible d’accéder à toutes sortes de commerces et d’activités en quinze minutes, que ce soit à pied ou à vélo. La « ville du quart d’heure » est la prison dorée de l’hominidé pucé. Dans une telle civilisation, l’homme ne serait plus que l’ersatz du citoyen.
La Bête est en train de détruire le Temple, le corps de l’homme, pour le transformer en simple objet de consommation. Les rites funéraires ne seraient plus qu’un lointain souvenir, puisque l’homme terminerait sa chute infernale au compost. Selon les chantres de la Bête, les rites sacrés de la religion catholique devraient être abolis. Souvenons-nous que Jésus-Christ a transformé le corps de l’homme en un Temple sacré, un lieu de sainteté qui accueille Dieu en son sein. Les satanistes souhaitent anéantir l’œuvre divine car sa perfection leur est insupportable. Ils vouent une haine sans pitié au corps humain ainsi qu’à son âme. Enflés d’orgueil, ces hommes de l’ombre pourraient s’immoler eux-mêmes avec le feu de l’enfer à cause de leur folie qui leur procure une sensation d’invulnérabilité. Le démon est plus rusé que l’homme et finit par dévorer ses propres enfants. La haine est le vecteur de souffrances éternelles. Finalement, l’enfer ce sont ceux qui haïssent l’humanité et non pas « les autres » comme l’annonçait Sartre en son temps.
Le monde s’est métamorphosé en secte et l’hypocondrie s’y répand comme une traînée de poudre. L’occident est désormais submergé par une vague technologique répressive sous couvert de pandémie. La technologie n’est plus utilisée pour assurer l’intérêt général. Désormais, celle-ci est au service de l’avarice. L’avidité des sociétés pharmaceutiques est sans limite. C’est en culpabilisant et en terrorisant qu’ils font injecter aveuglément leur produit aux terribles effets secondaires. Le point faible de l’homme contemporain est son conformisme. Le citoyen lambda accepte placidement les ordres dès lors que ceux-ci proviennent d’une source d’autorité qu’il considère fiable. Il préfère abandonner son propre jugement pour faire confiance à autrui, au point de ne plus faire preuve d’esprit critique. Est-ce que l’on prend un remède pour se soigner ou pour se rendre dans un lieu de loisir ? Si l’on répond qu’un médicament fait partie du monde du divertissement, c’est que la médecine n’existe plus et que le serment d’Hippocrate est caduc. Si l’on prend une substance pour prendre soin des autres, au détriment de soi-même, c’est que l’on a perdu la conscience de son propre corps. Une injection qui est censée protéger autrui n’est pas un remède mais un outil de piratage, une technique de manipulation sectaire. Dans la médecine traditionnelle, on choisit d’injecter une substance fiable pour protéger le patient d’une maladie et lui éviter des effets dommageables.
Si un remède avait été produit pour vaincre une maladie dont la mortalité est quantifiable, la population aurait adhéré à l’injection de celui-ci. Les gouvernements n’auraient pas eu besoin d’utiliser la force de persuasion. Au contraire, ils auraient fait en sorte de vendre les médicaments à prix d’or. Certains citoyens auraient peut-être même acceptés d’emprunter pour se faire soigner. Dès lors que l’on manipule l’opinion publique, c’est qu’il y a un intérêt stratégique supérieur. Le produit génique qui circule dans les veines peut être un réactif, un indispensable maillon de la surveillance numérique de masse. S’il n’existait pas une intention maligne, ce produit n’aurait jamais été imposé à l’ensemble de la population occidentale. Les gouvernements menacent les citoyens qui ne se sont pas fait injecter ce produit parce que ceux-ci souhaitent rester maîtres de leur corps. L’expérience de Milgram ne peut pas être appliquée à l’ensemble d’une population car il existe toujours des personnes qui échappent au conditionnement. Les médias diabolisent les personnes libres afin de les rendre comparables aux terroristes. Toutefois la réalité n’est pas aussi simple, puisque les rebelles à l’injection peuvent refuser le produit pour différents motifs, telles que des raisons religieuses, philosophiques, morales ou médicales. Par conséquent, affirmer que ces personnes font partie d’un seul et même groupe est péremptoire. Dans un monde normal, les citoyens qui refuseraient de participer à une expérience folle seraient admirés. Au contraire, dans une civilisation malade, diaboliser un groupe de personnes engendre toujours la persécution et la haine. De nos jours, les antisémites objectifs sont ceux qui poussent leurs pairs à se faire injecter une substance inconnue. Les racistes sont et restent dans la sphère politique, à l’image de ce détestable Hitler.
L’illogisme atteint son comble puisque l’immoralité a succédé à la droiture morale. Les violents ont pris le pouvoir par la ruse en noyautant les États. Autrefois, les rois dirigeaient d’une main de fer leur royaume pour rendre hommage à Dieu, préserver l’ordre public et garantir l’intérêt général. De nos jours, les gouvernements souhaitent imposer la turpitude pour instaurer le chaos et rendre un culte à l’adversaire. Juda s’est pendu, ceux qui l’adorent finissent toujours mal. Satan essaye de pervertir l’humanité par tous les moyens.
Dieu nous éprouve : serons-nous capables de rester fidèles à Ses commandements ? Veillons et prions comme les vierges sages. Les vierges folles, quant à elles, s’endormiront et ne verront pas l’époux arriver. La porte de la salle des noces finira par se refermer et il sera trop tard.
L’heure est grave et je vous demande de lire patiemment ce texte jusqu’au bout, même si certaines idées vous heurtent. Je vous dévoilerai par la force des choses, à la fin de cet article, une partie de ma personnalité.
La civilisation catholique est basée sur les notions du bien et du mal grâce aux nombreux apports des civilisations romaine, grecque et hébraïque. Or, depuis le 12 juillet 2021, une Bête est en train de sortir de terre afin de tuer l’ancien monde. Cette Bête tyrannique souhaite imposer une nouvelle ère basée sur l’esclavage, le chantage, le mensonge, la propagande et l’injection forcée de substances empoisonnées afin de maintenir sa population dans ses griffes acérées.
Dans une civilisation traditionnelle, les personnes qui ne respectent pas les codes moraux, les us et coutumes sont punies, bannies ou emprisonnées. La Bête, quant à elle, possède un code basé sur les 7 péchés capitaux : l’avarice, l’envie, la paresse, la gourmandise, l’orgueil, la luxure et la colère. Elle impose un contrôle informatique basé sur l’utilisation de la biométrie et de produits numériques qui génèrent un identifiant unique. Ce système lui permet de détecter les résistants qui ne souhaitent pas se soumettre à ses codes immoraux en refusant notamment de se faire injecter, à juste titre, des substances vénéneuses.
Les personnes soumises, qui ont accepté de se faire injecter la potion mortifère, sont facilement identifiables puisqu’elles possèdent un numéro unique qui est stocké dans une base de données. Elles devront se soumettre à des injections perpétuelles selon un rythme qui sera dévoilé progressivement afin de ne pas les braquer immédiatement. Lorsqu’elles auront reçu un nombre suffisant de substances dangereuses, la Bête pourra leur vendre un contre-poison à prix d’or contre leur obéissance inconditionnelle. Ils comprendront, bien trop tard, qu’ils sont devenus ses esclaves infortunés après avoir mis le doigt dans un engrenage infernal.
La Bête souhaite interdire, aux résistants, l’accès aux lieux publics et privés grâce à l’utilisation de moyens de contrôle numérique. Elle espère ainsi soumettre par la force ceux qui refusent d’adhérer à ses codes démoniaques. Cela a également l’avantage de générer le chaos entre les populations vaccinées et non vaccinées. Les personnes non vaccinées deviennent d’emblée les juifs d’Hitler. Toutefois, la Bête prétend que ces individus sont de dangereux terroristes qui peuvent contaminer les autres. La Bête criminalise une population hétéroclite sans se soucier si celle-ci respecte les codes civil et pénal. La Bête se croit supérieure à la justice qui découle d’une civilisation millénaire. La Bête compare la république à l’Ancien Régime puisqu’elle la surclasse. Ceci prouve qu’elle n’était finalement qu’un moyen transitoire vers son avènement. On comprend mieux, dès lors, la symbolique de l’équerre et du compas qui recouvre la Bible. L’orgueil de la Bête est telle qu’elle souhaite terrasser l’œuvre de Dieu. La Bête est comparable à Lucifer qui a souhaité s’élever au-dessus de son Créateur. Il est temps de dire : « qui est comme Dieu ? » afin de se rappeler que personne ne peut l’égaler.
La Bête souhaite emprisonner les résistants après avoir progressivement libéré les condamnés de l’ancien système. La société se remplirait d’une population inique qui pourrait, si elle était vaccinée, se déplacer comme elle l’entend. Ainsi, un criminel portant un « pass sanitaire » pourrait très bien déposer des explosifs dans certains endroits sans être inquiété puisqu’il respecte les codes de la Bête. Le Nouvel Ordre Mondial encourage le crime et punit ceux qui respectent les commandements de Dieu donnés par Moïse et Jésus-Christ. Les musulmans doivent être inclus puisqu’ils croient en Dieu, et, le Coran respecte une grande partie de la Loi. Nous n’avons plus le temps de débattre sur ce qui sépare les Juifs (Torah), des Chrétiens (Bible catholique) et des Musulmans (Coran). Nous devrions plutôt tendre vers une union sacrée temporaire de ceux qui respectent les lois du monothéisme, tout en gardant en tête que Jésus-Christ est la Pierre Angulaire, le Fils de l’Homme et le détenteur de la Vérité. Ces paroles risquent de ne pas plaire à ceux qui souhaiteraient revenir immédiatement à la pureté absolue de la religion catholique. L’Église est effectivement la Barque qui sauve et nous devons, à ce titre, inciter les croyants à y entrer. La pleine conversion des Juifs et des Musulmans est désormais rendue possible grâce aux souffrances qu’engendrera inéluctablement la Bête. Au cours de l’histoire, de nombreux musulmans se sont convertis au Christianisme en passant par la Vierge Marie qui mène à Jésus-Christ. La Charité est la Loi d’Or qui sauve l’humanité et la Charité est la Pierre Angulaire de l’Église millénaire. Ce que je veux dire, c’est que si nous nous divisons sur des questions de religion, la Bête finira par nous piétiner. Ensuite, lorsque la Bête sera vaincue, il sera temps de remettre de l’ordre et de rétablir la millénaire religion catholique en adoptant notamment les Dix Commandements et les Lois du Christ, comme je l’ai déjà dit dans les articles précédents. Les croyants seront alors nombreux à considérer Jésus-Christ comme le Sauveur.
La Bête a préalablement semé de multiples hérésies en espérant triompher par la division. Elle a corrompu la multitude en faisant croire que la liberté consistait à adhérer à une idée plaisante, même si celle-ci était doctrinalement fausse. Ceci confirme que la Bête est séductrice, flatteuse et menteuse. La Bête se dévoile progressivement dans le temps afin de masquer ses crocs acérés. Personne n’adhérerait à son projet si elle dévoilait d’emblée ses mensonges. Nous savons désormais que nous nous trouvons au début du temps de l’Apocalypse puisque la Bête a commencé à se dévoiler ouvertement le 12 juillet 2021. Le rêve de la Bête est de détruire le règne du Sacré-cœur de Jésus. Or, son vœu le plus profond, qui est basé sur le mal absolu, mène obligatoirement vers le triomphe de Dieu puisque la haine est destructrice. Ceux qui prônent la victoire de la Bête seront anéantis par leur maître satanique, puisque le mal ne connaît pas le pardon.
La Bête est notamment en train d’anéantir les concepts du serment d’Hippocrate, de la non-assistance à personne en danger, du secret médical et de la vie privée puisqu’elle souhaite interdire l’accès aux hôpitaux aux personnes non vaccinées. De ce fait, elle va pousser au départ de nombreux aide-soignants, infirmiers et médecins afin de détruire le service public. L’ensemble de la population, qu’elle soit vaccinée ou non, ne pourra plus bénéficier de soins gratuits lorsque les services publics seront à terre. Seules les personnes matériellement fortunées pourront accéder aux soins et celles-ci ne se feront, pour la plupart, jamais vacciner puisqu’elles savent pertinemment qu’il s’agit d’un poison. J’ai demandé à un « célèbre » influenceur français du transhumanisme, dont les initiales sont L.A., créateur de Doctissimo, de me prouver qu’il était vacciné et sa réponse fut édifiante à bien des égards : « je t’emmerde ». Il est évident que cet odieux personnage se sent supérieur à la masse laborieuse. Son argent lui fait croire, à l’instar de ses pairs, qu’il parviendra à s’en sortir indemne. Lui qui veut « tuer la mort » − selon ses propos absurdes − devrait savoir que la faucheuse, redoutable et revancharde, l’emportera avec elle, et d’autant plus si la Bête déclenchait le chaos en France. La mort est aveugle puisqu’elle emporte sans distinction chacun d’entre nous. On peut dire que la Bête ressemble à un international-socialisme, une sorte de communisme et de nazisme fusionnés dans un système numérique dirigé par le sophisme, à l’image de la folie tyrannique du président actuel.
Selon les prophéties, l’année qui précéderait la guerre serait particulièrement pluvieuse et l’été serait marqué par un temps frais. Les récoltes du mois de septembre devraient être mauvaises. Au mois de novembre, les contestations sociales devraient s’amplifier au fil des mois, jusqu’en juin 2022 qui devrait être marqué, malheureusement, par une terrible guerre civile. L’année de la guerre devrait être marquée par un événement troublant sur la Capitale, au début du mois de janvier. On peut imaginer qu’un éclair d’une force inégalée pourrait s’abattre sur la Tour Eiffel à la suite d’un orage. Cela ne semble pas totalement fou si le mois de janvier était printanier puisque l’on dit que la république mourrait l’année des deux printemps. Le mois de juillet 2022 pourrait être le début d’une guerre mondiale qui commencerait par une invasion irano-russe en Europe de l’Ouest. Si la France tombait à cause d’une guerre civile, il semble évident que son armée serait ébranlée et facilement décimée par l’Iran et la Russie en seulement quelques jours. La France est une nation cruciale puisqu’elle fait le lien entre de nombreux pays en Europe de l’Ouest. La Russie aurait tout intérêt à envahir notre nation afin d’éviter que la guerre ne se répande aux autres états. Ainsi, on peut dire que Dieu aurait puni la France pour son infidélité envers le Christ-Roi et qu’elle retournerait alors à ses anciennes traditions royalistes et catholiques, c’est-à-dire au Trône et à l’Autel.
J’ai commencé à rédiger en juillet 2015 ce blog, suite à de nombreuses visions sur notre époque actuelle. J’ai souhaité avertir les gens de ce qui allait inévitablement arriver, mais je n’y suis apparemment pas parvenu. J’ai eu une enfance particulièrement éprouvante marquée par des événements d’une violence inouïe. J’ai notamment subi plusieurs traumatismes crâniens entre 3 et 6 ans. Par la suite, j’ai été sauvé miraculeusement d’accidents en montagne, de maladies graves et d’agressions, et ce, de manière providentielle. Après une enfance et une adolescence tourmentées, où j’étais totalement dissipé et inconstant, où je me suis intéressé au nazisme, au communisme, à l’ésotérisme, au socialisme, à l’extrême gauche, au heavy-metal et à d’autres hérésies, je me suis converti, au début de la quarantaine, au catholicisme séculaire après avoir lu « introduction à la vie dévote » de saint François de Sales. Ce livre que j’ai connu dans une petite église m’a permis de comprendre l’importance du catholicisme pour la France. J’ai ensuite acquis de nombreux livres anciens pour parfaire mes connaissances du Christianisme.
Je suis né dans une famille pauvre et fortement métissée du côté maternel, notamment avec un mélange de sang français, espagnol, anglais, allemand, gitan, berbère et juif. Je boite souvent de la jambe droite suite à une mauvaise chute dans mon enfance. Je possède deux doigts de pieds sur lesquels poussent deux ongles différents, ce qui apparemment serait une marque particulière. Il me manque un morceau de barbe sur la joue gauche à cause d’un grain de beauté. Et enfin, je suis informaticien dans le social. J’ai parfois des problèmes d’élocution à cause de ces nombreux traumatismes crâniens, et, des problèmes de santé causés par la première génération du vaccin de l’hépatite B. Si j’écris tout cela, ce n’est pas pour me mettre en avant mais pour révéler certains traits qui seront reconnus dans le futur. J’aurais aimé ne pas avoir à me justifier, mais il faut que je sorte de l’ombre pour des raisons que je suis seul à connaître pour l’instant. Certains diront que je suis orgueilleux et d’autres diront que je suis humble. En réalité, peu importe. Si j’écris ceci, c’est pour que vous sachiez que la France triomphera de Satan et connaîtra une Pentecôte pendant une vingtaine d’années. Même si aujourd’hui cela n’a aucun sens, le temps nous donnera raison.
Je ne me montrerai pas dans les médias, car ma place se situe dans une France post-apocalyptique. Je souhaite contribuer au relèvement de la France en éradiquant les hérésies de la Bête afin de revenir aux enseignements de la Loi, des Prophètes et de Jésus-Christ, notre Sauveur. Cela demandera un travail d’une ampleur incommensurable, un engagement sans faille, constant et totalement gratuit. Je suis prêt à donner de ma personne pour éradiquer les hérésies de la république française, afin d’arracher la France millénaire des griffes du malin. Je souhaite contribuer à la constitution d’un gouvernement royal, dont je n’ai jamais hérité par le sang mais plutôt par l’esprit, une gouvernance chargée de recruter les personnes de bonne volonté qui seraient capables de restaurer la nation française selon les traditions de saint Louis. J’en appelle à la résistance pacifique, car c’est par notre capacité spirituelle que nous vaincrons la Bête, tout comme saint Michel à vaincu le Dragon. Nous, les parias et les manants, devrons reconstruire une France fidèle au Christ-Roi afin que notre nation puisse perdurer.
Cette reconstruction laborieuse infligera une grande douleur spirituelle à tous ceux qui pensent régner à l’aide de l’argent et du monde des affaires. Nous devons dire à ceux-ci, dès à présent, que dans le monde de demain, ils seront les derniers. Ceux qui ont soif de confort matériel devront renoncer à leurs ambitions et participer au travail des champs, à l’artisanat, à l’assistance aux pauvres, à la protection des plus faibles et à la reconstruction spirituelle, sous peine de finir comme des vilains, c’est-à-dire comme des personnes détestables. Les riches d’aujourd’hui qui refuseront d’abandonner leur orgueil seront montrés et considérés comme les responsables des maux qui ont entraîné la perte de la France.
Je promets à chacun de l’effort et des larmes, car le confort des années folles est mort le 12 juillet 2021. Nous dirigerons la France à l’aide d’une verge de fer pour que ses habitants ne s’éloignent pas des commandements de Dieu qui ont contribués à sa fondation. Cela implique de renoncer à tout ce que nous avons connu depuis notre naissance pour retourner aux valeurs de nos ancêtres. Il s’agit de nous dépouiller de tout, de porter notre Croix et de suivre le Christ sur le chemin qui mène au Calvaire. C’est à ce prix que nous pourrons relever la France et anéantir définitivement les milliardaires qui se sont autoproclamés comme les maîtres du monde. La guerre spirituelle contre ces gens-là doit être totale et il n’y aura aucune compromission, ni pitié pour eux à moins qu’ils abdiquent. Ils seront forcés de renoncer à leur personne puisque leur richesse matérielle ne sera pas reconnue dans le monde de demain. Les pauvres, les affligés, les enfants, les vieillards, les orphelins, les travailleurs, les simples, les joyeux, les malades, quant à eux, n’ont rien à craindre puisqu’ils sont déjà les héritiers du Royaume.
Dieu puisse vous garder en vie en ces temps de fléaux.
Fait en ce 15 juillet 2021, jour de l’entrée en résistance pour le relèvement de la France
Nous savons que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Il a donné la Lumière en son siècle. Toutefois, ce n’est pas tout. Je pense sincèrement qu’Il a également donné Ses enseignements pour notre époque. Ses paroles ont été rédigées soigneusement par les scribes afin de ne pas altérer la vérité. Jésus-Christ connaissait la fin des temps et nous a donné, à travers ses enseignements, les moyens de lutter contre les mondialistes.
Jésus-Christ a volontairement repris des commandements qui existaient déjà. Ceux-ci sont particulièrement utiles en tant de persécution, mais ils le sont d’autant plus en ces temps où la technologie a atteint un tel niveau qu’elle pourrait servir à l’esprit de Nimrod pour imposer un totalitarisme numérique. Par exemple, la Règle d’or, bien connue des Hébreux, « tu aimeras ton prochain comme toi-même » était déjà appliquée depuis de nombreux siècles.
Il a donné des commandements qui ont permis, certes de convertir les païens et de donner naissance à l’Église, mais, aussi de nous offrir la voie du Salut pour notre siècle. Jésus-Christ n’est pas venu abolir la Loi mais pour accomplir la Parole de Dieu qui a été transmise par les Prophètes de l’Ancien Testament. Voici pourquoi Ses Paroles résonnent étonnamment dans le temps.
Par exemple, Jésus-Christ semble parler de la folie de notre époque lorsqu’Il dit que la voie de la perdition est large et que le chemin du salut est étroit. La voie de la perdition est aussi large que la propagande médiatique des mondialistes. Par exemple, les médias nous présentent la soupe expérimentale comme un produit « sûr et efficace ». La moitié des adultes, qui ont accepté de se faire injecter cette mixture dont les ingrédients sont inconnus du grand public, ont avancé sur l’autoroute de la perdition. Les résistants, eux, doivent emprunter le chemin étroit qui mène à la vie et à la vérité. Ce chemin est très dur à atteindre puisqu’il faut refuser l’esprit du monde, qui essaye de nous hypnotiser par la répétition de ses paroles diaboliques, pour accepter de se laisser porter par l’esprit de vérité. Le Royaume de Dieu est déjà parmi nous comme le dit Jésus-Christ, mais il est très difficile de le percevoir.
La plupart de nos contemporains sont en train de perdre la raison suite à la propagande mondialiste. Ce n’est que le début puisque les mondialistes vont aller au-delà en essayant d’imposer un nouvel ordre mondial basé sur la tyrannie, comme je le dénonce dans mon ouvrage, offert en ligne, « de la gnose au transhumanisme ».
Lorsque les mondialistes auront lancé leurs différentes attaques contre les institutions actuelles afin de réinitialiser la civilisation pour imposer leurs folies démoniaques, la seule voie du Salut consistera à suivre à la lettre les commandements de Jésus-Christ dont certains proviennent du Lévitique. On peut citer, par exemple, le chapitre XIX « respecter ses parents, garder le sabbat, lois contre l’avarice, le jurement, la calomnie, l’injustice et la vengeance ». À ce propos, je vous invite à acquérir la Vulgate qui a été traduite en latin par saint Jérôme. Celle-ci a été traduite en français à la fin du 19e siècle par l’abbé J. B. Glaire.
Jésus-Christ nous promet le repos de l’esprit :
« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau,
Et moi je vous donnerai le repos.
Prenez sur vous mon joug
Et mettez-vous à mon école,
Car je suis doux et humble de cœur,
Et vous trouverez le repos de vos âmes.
Oui, mon joug est facile à porter et mon fardeau léger. (Mt 11,28-30) »
La pratique du disciple est synthétisée dans la formule « porter le joug ». À l’époque de Jésus, il y avait deux termes pour désigner le travail d’un disciple à l’école d’un rabbin : « le joug et la charge ». La mission d’un maître se résumait essentiellement l’enseignement de la Loi comme chemin de sagesse. Mais la Loi était considérée comme un « joug », et les divers commandements et les interdits, qui la composaient, étaient une « charge » sacrée que devait porter le disciple pour trouver le vrai bonheur et le plein repos dans le Seigneur. Jésus ne supprime pas la charge mais la simplifie : il faut apprendre un seul commandement, l’amour, et celui qui cherche à le vivre trouve le véritable repos en Dieu.
Jésus dit « je suis doux et humble de cœur ». L’homme « doux » est celui, qui, de grand cœur, sait accueillir Dieu et les autres. Ceci implique une disponibilité mais aussi une grande capacité à aimer. L’homme « humble » est l’image type du pauvre de Dieu chez les prophètes. C’est lui qui remet toute sa vie dans les mains de Dieu et qui espère tout de lui. La promesse que Jésus offre est le vrai « repos », le bonheur plénier et la joie parfaite.
Jésus-Christ nous donne la voie du salut qui est strictement opposée à celle des mondialistes qui conduit à la ruine et à la mort. On peut dire, plus largement, que les mondialistes représentent la colère de Dieu qui punit et anéantit ceux qui n’obéissent pas à ses commandements. Ceux qui se laissent séduire par les voies de la sirène finiront par périr dans d’affreux tourments. Il est donc nécessaire de fermer son cœur, ses yeux, ses oreilles et sa bouche aux chants mondialistes pour ne pas se laisser tenter. Les prophètes de malheur sont comparables aux bergers qui conduisent le troupeau vers la falaise. Dans un autre esprit, comme Jésus-Christ le dit, « au royaume des aveugles, les borgnes sont rois ». Ceux qui ont la capacité de percevoir un minimum de sagesse, dans un monde composé d’aveugles, sont potentiellement déjà sauvés puisqu’ils peuvent détecter les loups déguisés en brebis.
Pour revenir au thème de cet article, lorsque les mondialistes auront progressé davantage dans leur tyrannie planétaire, nous devrons suivre Jésus-Christ en laissant de côté le matérialisme pour nous consacrer entièrement à Dieu.
« Celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi. Qui a trouvé sa vie la perdra ; qui a perdu sa vie à cause de moi la gardera » (Mt 10, 38)
« Perdre sa vie » signifie dans notre siècle, non pas mourir physiquement, mais, refuser de vivre selon l’esprit matérialiste. « Perdre sa vie » signifie concrètement refuser le nouveau monde avec toutes ses conséquences : quitter la technologie, perdre son emploi et retourner aux fondamentaux. Jésus-Christ nous apprend que l’on reconnaît ses disciples à leur amitié authentique.
« Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé » (Jn 15; 12)
Les mondialistes souhaitent imposer le télétravail et la distanciation sociale, justement pour que les hommes ne sachent plus s’apprécier. La peur de la maladie entraîne le refus de l’autre puisqu’on le considère déjà comme un dangereux vecteur de virus.
L’hypocondrie est la base de la division de la société en deux clans : ceux qui acceptent la tyrannie mondiale et les autres. Or, la fragmentation en deux clans engendrent toujours des guerres. Citons les guerres de religion entre les protestants et les catholiques qui font suite au funeste morcellement causé par les redoutables Calvin et Luther.
Ceux qui sauront vivre selon le commandement de charité de Jésus-Christ survivront aux fléaux. L’amour implique de vivre sans masque, sans distanciation sociale, sans passeport médical, sans identifiant numérique. Vivre consiste à accepter l’autre sans condition, à le considérer comme une partie de soi-même et à ne pas lui infliger ce que l’on ne souhaiterait pas que l’on nous fasse. Jésus-Christ nous a donné, par Ses commandements, les moyens de nous sauver des griffes mondialistes.
Si l’appropriation de ces commandements semble simple pour un chrétien, la plupart de nos contemporains ne savent pas considérer cette vérité qui s’avérera cruciale d’ici quelque temps. Le futur de l’humanité est irrémédiablement attaché à la charité, c’est-à-dire à l’amitié plénière. La noirceur des mondialistes masque la Lumière divine. Ils nous annoncent, par leur folie, l’existence de Dieu.
La France est en train de devenir un pays totalitaire par la volonté de puissants milliardaires qui s’opposent, de fait, à la législation nationale. Ils considèrent que leur argent les rend supérieurs aux lois et souhaitent imposer leur idéologie par la destruction sournoise de notre nation.
Plutôt que de débattre inutilement sur ce totalitarisme masqué, je vous propose de découvrir les Lois qui devront diriger la France malgré les ennemis de Dieu. Leur richesse matérielle ne les sauvera pas. Au contraire, elle signera même leur perdition puisque l’argent est un maître démoniaque qui s’oppose à Dieu.
Voici les dix premières Lois qui devront être restaurées en France :
« Tu adoreras Dieu seul et tu l’aimeras plus que tout.
Tu prononceras le nom de Dieu avec respect.
Tu sanctifieras le jour du Seigneur.
Tu honoreras ton père et ta mère.
Tu ne tueras pas.
Tu ne feras pas d’impureté.
Tu ne voleras pas.
Tu ne mentiras pas.
Tu n’auras pas de désir impur volontaire.
Tu ne désireras pas injustement le bien des autres. »
Une autre Loi, tout aussi importante que les précédentes, La Loi d’Or enseignée par Notre-Seigneur Jésus-Christ : « Tu adoreras Dieu de toute ton âme, de tout ton cœur et tu aimeras ton prochain comme toi-même ».
Viendront ensuite d’autres lois pour la sauvegarde de la nation :
Abolition de la loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Églises et de l’État
Consécration au Christ-Roi et à la Sainte Famille pour la France
Retour au gallicanisme pour sauvegarder l’Église catholique de France tant que le pape obéira aux doctrines mondialistes
Interdiction du blasphème
Évangélisation dans les villes et dons alimentaires aux pauvres pour encourager la foi
Incitation à la vie monacale traditionnelle et à la création de congrégations
Sauvegarde du patrimoine religieux
Démantèlement des sectes et des loges
Interdiction de la perversion, de la dépravation des mœurs et des mariages non mixtes
Incitation à la chasteté en dehors du mariage
Promotion des livres, films et documentaires catholiques
Instruction catholique dès l’école primaire
Préservation de l’innocence des enfants
Promotion du paternalisme et du respect de la femme
Fin de la mixité des établissements scolaires
Promotion de la charité
Rédaction d’un code juridique catholique applicable en France
Sauvegarde de la faune et de la flore
Incitation à l’artisanat et à l’agriculture
Apprentissage de l’équitation dès l’école primaire
Retour des corporations de métiers pour la préservation du droit des ouvriers
Versements de salaires en monnaie papier
Création de banques catholiques
Instruction militaire de type cape et épée
Construction de fiacres
Interdiction de l’enrichissement personnel au-delà de la décence
Mise à disposition des grandes richesses privées en faveur du bien commun
Travaux d’intérêts général obligatoires pour les politiciens corrompus
Sanctions publiques pour ceux qui sont reconnus coupables de corruptions
Durcissement des conditions de détention pénitentiaire
Lois pour accélérer la fin de la décadence :
Interdiction des recherches médicales et des produits basés sur la génétique
Interdiction de l’expérimentation animale
Destruction des produits pharmaceutiques en lien avec la recherche génétique
Fin des lois dites sanitaires et de toute forme de répression basée sur l’idéologie
Interdiction des armes à feu et des armes de guerre
Interdiction des drogues et de leur trafic
Interdiction des milices armées
Interdiction des monnaies virtuelles et retour à la monnaie nationale et locale métallique et papier
Interdiction des véhicules électriques
Fin du progrès technologique et numérique
Interdiction et démantèlement des multinationales sur le sol français
Imposition de 33 % sur les grandes fortunes
Ces lois semblent actuellement impossibles à appliquer. Toutefois, il faut laisser le temps au temps. L’apparition de maladies inconnues causées par la soupe vaccinale et la propagande totalitaire des médias pourraient entraîner des mouvements de violence durant l’été 2022.
Nous devons veiller et prier puisque les ennemis de Dieu vont se déchaîner contre les croyants. Nous devons rester forts et être insensibles à la peur programmée par le régime totalitaire. Les lois humaines ne sont rien, nous les méprisons et les écrasons puisque nous ne craignons que Dieu.
Dieu vous bénisse et vous garde en ces temps de persécution.
Je souhaite vous parler rapidement d’André de B. qui annonce publiquement qu’il est le grand monarque élu par Jésus-Christ, la Vierge Marie et saint Philibert.
Tout d’abord, André est né le 22 février 1968. Il est actuellement gérant d’une pizzeria dans la Nièvre. Il annonce prouver la réalité de sa mission, grâce à :
ses rencontres avec des personnes célèbres comme le pape Jean-Paul II, Nelson Mandela, un rabbin de New-York ou le comte de Paris (rencontres hasardeuses et bien trop humaines)
l’apparition de son visage sur un mur, suite à l’apparition de la Vierge (il faut retourner l’image pour apercevoir un visage représentant, finalement, n’importe quel enfant)
son élection annoncée dans la médaille miraculeuse de 1830 lorsqu’on la retourne, puisqu’on y verrait la lettre « A » signifiant à la fois « André » et « Alba », l’aube (cette médaille ne cache aucun secret puisqu’elle rend hommage à l’authenticité de la foi catholique).
L’histoire larmoyante d’André ne trompe que ceux qui veulent bien y croire. À l’écouter, certains miracles n’auraient été créés que pour le désigner, lui, comme roi de France. De qui se moque-t-on ? Les apparitions de la Vierge Marie et la médaille de 1830 existent pour nous prouver la royauté de Jésus-Christ. Aucune apparition ne rend hommage à un homme, si ce n’est à Jésus-Christ, lui-même, qui est LE seul roi de France !
Cet André est bien gentil, mais, sa voix monotone, la lecture de ses textes trop alambiqués, prouvent qu’il s’agit d’un acteur ou plutôt d’un pantin qui pourrait être mis en place prochainement par certaines loges. Surtout, cet André est matérialiste. Il ne parle pas réellement de Dieu, son discours est bien trop axé sur le respect humain pour être réellement catholique.
Il n’existe aucun lien entre cet André et l’éventuel grand monarque, lieutenant du Christ. Selon les prophéties, le véritable grand monarque serait un guerrier éclairé qui vaincrait sur le terrain, à l’image de saint Michel, et vouerait une véritable foi en Dieu et en Ses commandements. Il vaincrait en arrachant le mal du sol de France pour rétablir les lois dictées par le Christ. Ces Lois sont les Dix Commandements suivis des deux commandements de Jésus-Christ qui stipulent qu’il faut aimer Dieu de tout son cœur, de toute son âme et son prochain comme soi-même. Mais ce n’est pas tout, il soutiendrait et rétablirait l’Église après avoir trouvé un bon Pape. L’esprit des Évangiles serait, par conséquent, diffusé à travers le monde entier grâce à la France.
Cet André, quant à lui, est ancré dans un mauvais jeu d’acteur qui essaye de masquer une fausse modestie. N’importe quel individu pourrait hurler à la télévision qu’il est le roi du monde, sans toutefois le devenir. André s’apitoie sur son propre sort à travers une nonchalance relativement insupportable qui semble très éloignée du caractère des rois. Par exemple, le très saint roi Louis IX chevauchait à la tête de son armée pour vaincre les ennemis du Christ. Il était également un grand constructeur de cathédrales pour rendre un éternel hommage à Dieu. Il est mort en saint et en héros.
Le véritable grand monarque, s’il existe, ne se montrerait pas sur les médias, puisqu’il croit en Dieu, et en Dieu seul, sans rien attendre de la technologie des hommes. D’ailleurs, le grand monarque, même et surtout s’il devrait avoir un certain ressenti de la lourdeur de croix qui l’attend en devant rétablir la paix dans un pays dévasté par de multiples fléaux, n’aurait certainement pas l’intention de devenir roi de France. Il devrait plutôt aspirer à une vie normale, loin des médias, être amoureux de la création de Dieu et prôner une humilité sans faille.
On est en droit de se demander si l’apparition de cet André ne serait pas en lien avec un chaos programmé pour la France. Si c’était le cas, on pourrait craindre des élections mouvementées en 2022, non pas parce que Dieu l’aurait voulu, mais parce que des organisations malveillantes, ayant une grande capacité de financement, l’aurait peut-être souhaité. Est-ce que la France, à l’instar de la Grèce au moment de sa dette publique, serait sous la coupe du FMI à partir de 2022 ?
Dieu puisse donner à la France un fidèle lieutenant du Christ !
Les produits à injecter qui sont apparus en fin d’année 2020 réduisent drastiquement l’espérance de vie. Pour être plus précis, voici ce que dit le professeur Dolores Cahill, docteur en biologie moléculaire et immunologie à propos de ces produits maléfiques. Pour éviter la censure, j’ai remplacé les mots tabous par le terme « produits »
« Ces [produits] causent d’énormes dommages et nous savons également que les dommages causés par ces [produits] seront en plus importants dans les années à venir. Donc vous savez ce que je dis depuis le début, c’est que toute personne de plus de 70 ans qui reçoit l’un de ces [produits] mourra probablement dans les 2 ou 3 ans et je dirai que toute personne qui reçoit l’injection de ce [produit], quel que soit son âge, verra son espérance de vie réduite et décéder, si vous êtes dans la trentaine, dans les 5 à 10 ans, en ayant probablement des allergies, des problèmes neurocognitifs et des inflammations et bien sûr l’infertilité, le principal problème. »
Son discours vient renforcer la thèse selon laquelle ces produits à injecter pourraient causer, à l’instar de l’improvac, une induction d’anticorps anti-GnRF afin d’induire temporairement la suppression immunologique de la fonction testiculaire. Autrement dit, ces produits pourraient, bel et bien, causer l’immunocontraception chez l’être humain, c’est-à-dire la stérilité.
Nous savons que les sectaires sataniques aiment beaucoup s’amuser avec les symboles. Or, un vétérinaire qui pique un être humain, comme s’il piquait un porc, est une image chargée d’ironie et de perversité.
Selon la théorie très contemporaine malthusienne, nous serions trop nombreux sur la terre. Cette thèse est absolument atroce puisqu’elle annonce « l’euthanasie » ou le « suicide guidé » de certains groupes de personnes, afin que quelques-uns puissent profiter des dernières ressources naturelles et vivre au détriment de tous.
Ces produits à injecter seraient alors le moyen sûr et efficace d’effectuer ce travail malthusien dans la décennie à venir.
Voici un petit schéma qui résume le mécanisme de l’esclavage contemporain :
Apparition progressive de films sur les contagions et les zombis ;
Abêtissement progressif de la foule par de multiples techniques ;
Réduction des lits d’hôpitaux au fil des décennies ;
Fabrication d’une peur intense et brutale en lien avec la contagion ;
Entretien perpétuel de cette peur irrationnelle ;
Imposition de la distanciation sociale et des masques pour entretenir l’hypocondrie collective ;
Annonce d’un remède unique qui s’injecte ;
Les aveugles se précipitent dans les centres pour se faire injecter le sérum de mort à retardement.
Il faut s’attendre à la mort de millions de personnes et à une dépopulation massive d’ici quelques années. Les maladies et la stérilité engendrée par ces produits à injecter permettront aux grandes firmes de produire des utérus artificiels qui mèneront à la procréation en laboratoire. Par conséquent, la distanciation sociale, les masques et l’hypocondrie collective ne s’arrêtera jamais. Au contraire, elle pourrait s’amplifier au cours des prochains mois.
Toutefois, les psychopathes qui se croient au-dessus de la masse seront anéantis par leurs propres méfaits, puisque le massacre qu’ils auront engendré retournera la colère populaire contre eux. La police et l’armée ne pourront pas massacrer l’ensemble des survivants, sauf s’ils étaient remplacés par des robots tueurs.
Les milliardaires pourront se cacher sur Mars ou sous terre, mais, ils seront anéantis par la Divine Justice. Les fléaux terrestres, les tempêtes, les volcans, les séismes et les révoltes vont se décupler pour signaler le temps de cette Justice. N’oublions pas que les instigateurs de la Terreur, au temps de la révolution française, sont morts guillotinés. Les milliardaires psychopathes sont les Danton et les Robespierre de notre époque.
Beaucoup de ces psychopathes mourront à la manière de Robespierre : un lâche hypocrite incapable de se conduire avec dignité lors de son exécution, « bête aux abois qui bloque son pied contre un montant de la machine et s’agrippe à la planche pour tenter avec l’énergie du désespoir de s’accrocher à la vie », note l’historien Michel Biard.
« Le Seigneur, Le Seigneur, Dieu tendre et miséricordieux, lent à la colère, plein d’amour et de vérité, qui garde sa fidélité jusqu’à la millième génération, supporte faute, transgression et péché, mais ne laisse rien passer, car il punit la faute des pères sur les fils et les petits-fils, jusqu’à la troisième et la quatrième génération. » Le livre de l’exode (34:6-7)
Prions pour que le Christ-Roi nous protège contre ces temps d’anarchie et donne un temps de sagesse à notre belle nation, par la proclamation des Évangiles. Que Dieu nous protège des tentations contemporaines et nous guide vers la Vérité.
Saviez-vous qu’il existe un vaccin appelé Improvac de Pfizer qui permet de stériliser les porcs et qui a les mêmes effets sur l’homme ?
Précautions particulières à prendre par la personne qui administre le médicament vétérinaire aux animaux.
Une auto-injection accidentelle peut provoquer des effets similaires à ceux observés chez le porc, parmi lesquels une diminution temporaire des hormones sexuelles et des fonctions de reproduction chez les hommes et les femmes ainsi que des effets indésirables sur la grossesse. Le risque que ces effets se produisent est beaucoup plus important après une seconde (ou plus) injection accidentelle, qu’après une première injection.
4.9 Posologie et voie d’administration
Utilisation sous-cutanée.
Les porcs mâles entiers d’au moins 8 semaines d’âge doivent être vaccinés avec 2 doses de 2 ml à au moins 4 semaines d’intervalle. La seconde dose doit être normalement administrée 4 à 6 semaines avant l’abattage. Si l’abattage est prévu plus de 10 semaines après la deuxième dose, une troisième dose doit être administrée 4 à 6 semaines avant la date d’abattage prévue. En cas de suspicion d’erreur de dosage du médicament vétérinaire, l’animal doit être revacciné immédiatement.
Effets indésirables (fréquence et gravité)
Lorsque le médicament vétérinaire est administré à des porcs à l’âge minimal recommandé (8 semaines), des gonflements jusqu’à 4 x 8 cm au niveau du site d’injection sont fréquemment observés.
Une résolution graduelle des réactions locales a lieu, mais chez 20 – 30% des animaux celles-ci peuvent persister plus de 42 jours. Une augmentation transitoire de la température rectale (hyperthermie post vaccinale) de 0,5 ° C environ peut être observée durant les 24 heures suivant la vaccination.
Lorsque le médicament vétérinaire est administré à des porcs plus âgés (14 à 23 semaines d’âge), des gonflements au niveau du site d’injection de 2 cm à 5 cm de diamètre sont fréquemment observés et des réactions au site d’injection sont fréquemment observées au moment de l’abattage si la seconde vaccination a eu lieu seulement 4 semaines avant l’abattage.
Le principe d’immunocontraception a été initialement inventé par le Dr Richard Fayrer-Hosken (voir la photographie de l’article).
Pour que le produit soit sûr et efficace, on peut remarquer qu’il faut vacciner le porc à, au moins, 4 semaines d’intervalle.
Cet article est posté à titre informatif et n’a aucun caractère officiel. Chaque personne doit se faire sa propre opinion grâce à la liberté de conscience.
Pour rappel, onze principes fondamentaux reconnus par les lois de la République ont été identifiés par le Conseil constitutionnel :
la liberté d’association,
les droits de la défense
la liberté individuelle,
la liberté d’enseignement,
la liberté de conscience,
l’indépendance de la juridiction administrative,
l’indépendance des professeurs d’universités,
la compétence exclusive de la juridiction administrative pour l’annulation ou la réformation des décisions prises dans l’exercice des prérogatives de puissance publique,
l’autorité judiciaire gardienne de la propriété privée immobilière,
l’existence d’une justice pénale des mineurs,
le principe de pérennité du droit local d’Alsace-Moselle
Le Code de Nuremberg, composé de 10 articles, protège les êtres humains contre les expériences illicites.
Posons-nous une question importante. Et si des lobbies poussaient les gouvernements à la destruction grâce à des propagandes qui vont à l’encontre de leurs intérêts. Nous voyons, dans la crise actuelle, la population divisée en deux clans : les pro-injections et les anti-injections, comme si le monde était devenu binaire.
La propagande sanitaire permet de distiller la peur. Les informations discordantes et absurdes ont pour effet de laisser les populations hébétées. Ce mécanisme sectaire permet de repousser les individus dans leur retranchement et de briser toute unité. L’individualisme est exacerbé contrairement aux deux précédentes guerres mondiales.
On peut sentir le mécanisme de la guerre civile se mettre sournoisement en œuvre. La défiance populaire contre les gouvernements pourrait alors être la véritable volonté des milliardaires, s’ils souhaitent imposer le pouvoir grâce à une armée de mercenaires équipés de technologies avancées sous l’égide d’une gouvernance mondialisée.
En effet, si les gouvernements tombaient, les milliardaires pourraient imposer une sorte de loi martiale qui serait dirigée par les véritables hommes de pouvoirs. La destruction des gouvernements serait donc instrumentalisée grâce à la tyrannie sanitaire. Cela pourrait amener également à l’anarchie. Lorsqu’une civilisation est dirigée par des individus en désaccords, la république n’a plus lieu d’être, puisqu’il faut une unité populaire et souveraine.
La mort de la république pourrait mener à l’anarchie transitoire vers une tyrannie mondialiste. Toutefois, elle pourrait également mener à un retour à la royauté. Un monarque pourrait mener ses brebis à l’aide d’un sceptre de fer. C’est ce que nous allons rapidement aborder dans ce petit essai.
Le sceptre de fer est composé de deux choses essentielles :
– Les Dix Commandements de Moïse perfectionnés par les Lois de Jésus-Christ, c’est-à-dire l’amour de Dieu et des hommes ;
– La sainte colère contre le péché.
Le royaume de ce monarque serait dirigé par l’obéissance aux Lois de Dieu et le châtiment de ceux qui souhaiteraient s’en émanciper. Cela s’explique puisqu’en dehors de ces Lois, l’individualisme aurait détruit le socle républicain. Les crises successives auraient été engendrées, dans un passé récent, par celui-ci. Le monarque qui pourrait émerger dans un futur proche serait obligé de garder son troupeau sous les Lois de Dieu afin d’éviter que l’anarchie se propage comme une traînée de poudre pour entraîner la destruction de l’humanité.
Certains pourraient voir en ce monarque un tyran qui, en réalité, agirait selon les règles de saint Benoît qui stipulent qu’il faut rappeler à l’ordre, par deux fois, les désobéissants avant de leur donner une correction par le fouet afin de les ramener dans le droit chemin. La punition des effrontés n’est pas une punition gratuite, puisqu’elle permet de conserver l’intégrité du corps social par la morale et l’ordre. Dans ce royaume du dernier recours, chacun devrait obéir selon les Lois de Dieu afin que la civilisation puisse se reconstruire.
Le Grand Monarque, s’il existe, pourrait donc être un roi fort, à la fois charitable avec les doux et colérique avec les durs. C’est ce que l’on pourrait nommer le roi aux deux visages semblable à Janus. Janus est une divinité romaine symbolisant le passage du temps. Au-delà de cette divinité païenne, Janus est également le symbole du miroir qui reflète l’âme de celui qui le regarde. Ainsi, l’enfant perçoit la beauté dans ce miroir tandis que l’adulte y perçoit son propre reflet, splendide pour ceux-ci, affable pour ceux-là, triste pour certains et effrayant pour les autres.
Les plus radicaux pourront dire qu’on y perçoit à la fois Dieu et Satan, le Bien et le Mal. En réalité, on peut y trouver la Miséricorde et la Justice de Dieu. Sa Miséricorde est apaisante, réconfortante, splendide tandis que Sa Justice conduit à des épreuves rudes afin de nous faire évoluer vers la perfection. Si l’on souhaite extrapoler, la Miséricorde de Dieu représente les Dix Commandements de Moïse sublimés par ceux du Christ tandis que Sa Justice est source de sainte colère.
Nous sommes arrivés à la fin d’une civilisation qui est en cours de grands changements. Les plus fortunés espèrent pouvoir mettre en place une gouvernance mondialisée pour asseoir leur autorité scélérate et usurpatrice. Est-ce là, en réalité, la volonté de Dieu ?
Dieu en tant que Père de l’humanité ne souhaite certainement pas nous conduire dans les griffes de ces démons qui nous mèneraient à l’esclavage pour les siècles et les siècles. Nous savons tous que l’Antéchrist, qui arrivera à la fin des temps, régnera pendant un temps avant d’être anéanti par la Justice de Dieu.
Avant cette période effroyable doit se trouver un temps de paix gouvernée par l’esprit des Évangiles. Si les anges se sont fait la guerre à cause de l’orgueil de Satan et l’humilité de saint Michel, il est évident que les hommes auront du mal à se ranger sous une seule et même bannière. La soif de liberté conduit souvent au chaos puisque l’unité est brisée par les passions personnelles. Ces passions entraînent la création de groupes qui s’opposent les uns aux autres. Ceci est confirmé par Jésus-Christ.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 12:25-37
Connaissant leurs pensées, Jésus leur dit : « Tout royaume divisé contre lui-même devient un désert ; toute ville ou maison divisée contre elle-même sera incapable de tenir.
Si Satan expulse Satan, c’est donc qu’il est divisé contre lui-même ; comment son royaume tiendra-t-il ?
Et si c’est par Béelzéboul que moi, j’expulse les démons, vos disciples, par qui les expulsent-ils ? C’est pourquoi ils seront eux-mêmes vos juges.
Mais, si c’est par l’Esprit de Dieu que moi, j’expulse les démons, c’est donc que le règne de Dieu est venu jusqu’à vous.
Ou encore, comment quelqu’un peut-il entrer dans la maison de l’homme fort et piller ses biens, sans avoir d’abord ligoté cet homme fort ? Alors seulement il pillera sa maison.
Celui qui n’est pas avec moi est contre moi ; celui qui ne rassemble pas avec moi disperse.
C’est pourquoi, je vous le dis : Tout péché, tout blasphème, sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera pas pardonné.
Et si quelqu’un dit une parole contre le Fils de l’homme, cela lui sera pardonné ; mais si quelqu’un parle contre l’Esprit Saint, cela ne lui sera pas pardonné, ni en ce monde-ci, ni dans le monde à venir.
Prenez un bel arbre, son fruit sera beau ; prenez un arbre qui pourrit, son fruit sera pourri, car c’est à son fruit qu’on reconnaît l’arbre.
Engeance de vipères ! comment pouvez-vous dire des paroles bonnes, vous qui êtes mauvais ? Car ce que dit la bouche, c’est ce qui déborde du cœur.
L’homme bon, de son trésor qui est bon, tire de bonnes choses ; l’homme mauvais, de son trésor qui est mauvais, tire de mauvaises choses.
Je vous le dis : toute parole creuse que prononceront les hommes, ils devront en rendre compte au jour du Jugement.
D’après tes paroles, en effet, tu seras reconnu juste ; d’après tes paroles tu seras condamné. »
À propos de l’image de cet article : derrière le titre « la destruction des gouvernements » se cache le sceptre de fer qui assoie l’autorité de Dieu.
Prions avec le Psaume 90
Qui habitat in adiutorio Altissimi * in protectione Dei caeli commorabitur.
Dicet Domino susceptor meus es tu et refugium meum * Deus meus sperabo in eum.
Quoniam ipse liberabit me de laqueo venantium * et a verbo aspero.
Scapulis suis obumbrabit tibi * et sub pinnis eius sperabis.
Scuto circumdabit te veritas eius * non timebis a timore nocturno.
A sagitta volante in die * a negotio perambulante in tenebris * ab incursu et daemonio meridiano.
Cadent a latere tuo mille * et decem milia a dextris tuis * ad te autem non adpropinquabit.
Verumtamen oculis tuis considerabis * et retributionem peccatorum videbis.
Quoniam tu es Domine spes mea * Altissimum posuisti refugium tuum.
Non acce dent ad te mala * et flagellum non adpropinquabit tabernaculo tuo.
Quoniam angelis suis mandabit de te * ut custodiant te in omnibus viis tuis.
In manibus portabunt te * ne forte offendas ad lapidem pedem tuum.
Super aspidem et basiliscum ambulabis * et conculcabis leonem et draconem.
Quoniam in me speravit et liberabo eum * protegam eum quia cognovit nomen meum.
Clamabit ad me et exaudiam eum * cum ipso sum in tribulatione * eripiam eum et clarificabo eum.
Longitudine dierum replebo eum * et ostendam illi salutare meum.
Gloria Patri et Filio * et Spiritui Sancto * Sicut erat in principio, et nunc, et semper, * et in saecula saeculorum. Amen.
Traduction du Psaume 90 en français
Quand je me tiens sous l’abri du Très-Haut et repose à l’ombre du Puissant,
je dis au Seigneur : « Mon refuge, mon rempart, mon Dieu, dont je suis sûr ! »
C’est lui qui te sauve des filets du chasseur et de la peste maléfique ;
il te couvre et te protège. Tu trouves sous son aile un refuge : sa fidélité est une armure, un bouclier.
Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flèche qui vole au grand jour,
ni la peste qui rôde dans le noir, ni le fléau qui frappe à midi.
Qu’il en tombe mille à tes côtés, + qu’il en tombe dix mille à ta droite, toi, tu restes hors d’atteinte.
Il suffit que tu ouvres les yeux, tu verras le salaire du méchant.
Oui, le Seigneur est ton refuge ; tu as fait du Très-Haut ta forteresse.
Le malheur ne pourra te toucher, ni le danger, approcher de ta demeure :
il donne mission à ses anges de te garder sur tous tes chemins.
Ils te porteront sur leurs mains pour que ton pied ne heurte les pierres ;
tu marcheras sur la vipère et le scorpion, tu écraseras le lion et le Dragon.
« Puisqu’il s’attache à moi, je le délivre ; je le défends, car il connaît mon nom.
Il m’appelle, et moi, je lui réponds ; je suis avec lui dans son épreuve. « Je veux le libérer, le glorifier ; +
de longs jours, je veux le rassasier, et je ferai qu’il voie mon salut. »
Cette prière est divisée en trois parties. La première est un constat prophétique de l’état de la France, la seconde est une prière pour la Sauvegarde de la France et la troisième une litanie.
Première partie
J’entends mon Dieu, les anges dire : « il pleuvra cet été [2021] et vos récoltes seront mauvaises » ;
J’entends, mon Dieu, les méchants chuchoter : « nous briserons définitivement la France catholique » ;
J’entends, mon Dieu, les Français hurler de rage au printemps [2022] ;
J’entends, mon Dieu, les anges s’écrier lors d’un grand fracas : « elle est tombée la France » ;
J’entends, mon Dieu, ensuite, un grand silence ;
J’entends, mon Dieu, encore plus tard, les enfants qui courent, les femmes qui allaitent et les hommes qui travaillent aux champs ;
Je ressens, mon Dieu, un havre de Paix et la victoire de Votre Église pendant quelques petites générations ;
Je vois, mon Dieu, ensuite, d’affreux nuages noirs s’amonceler sur Israël et le monde, l’Antéchrist est là, les yeux noirs, la bouche pleine de fiel et le cœur chargé de haine.
Seconde partie
Seigneur Jésus-Christ, entendez-nous, nous qui Vous supplions à genou ;
Des hommes sans cœur qui possèdent des fortunes matérielles colossales souhaitent anéantir notre humanité en nous injectant des produits contre-nature. Ils usent du chantage au confinement, de l’hypocondrie, de la peur des autres pour nous isoler. L’individualisme engendre d’immenses dégâts qui leur donne de plus en plus de puissance. Ils souhaitent créer une milice pour semer les troubles publics et peut-être même entraîner des exactions. La haine prend désormais le visage d’hommes bien habillés, parfumés et coiffés. Eux qui sont nos égaux en humanité, se prennent pour des dieux païens par leurs possessions matérielles. N’est-ce pas là de la folie ? Quelle est leur légitimité, mon Dieu ? Ne nous avez-vous pas créé libres et égaux ?
Seigneur Jésus-Christ, Vous qui êtes venu sur terre pour prêcher la Parole du Père et nous sauver par Votre Passion, entendez-nous, nous Vous en supplions. Votre Sacré-Cœur ne peut pas accepter l’avortement d’enfants innocents, l’abandon des vieillards, le suicide des jeunes, la souffrance collective des peuples, la division engendrée par Vos ennemis et leur mépris envers Vous et Vos Commandements ;
Seigneur Jésus-Christ, les laisserez-Vous agir en toute impunité, au point qu’ils puissent nous injecter de force des produits qui œuvrent contre la création du Père ? Les conséquences sur l’humanité seraient catastrophiques, et ce, pour les siècles à venir. Vous, Père, Source de Toute Miséricorde et de Toute Justice, aidez-nous comme Vous avez déjà aidé dans le passé ceux qui croient en Vous. Vous, qui êtes omnipotent, aidez-nous, nous Vous en supplions à genou ;
Seigneur Jésus-Christ, faites que Votre Sacré-Cœur dirige la France en Vous emparant de l’Autel et du Trône. Dirigez les pas de ceux qui croient en Vous, inspirez-les de Votre Charité et de Votre Force spirituelle contre les entités maléfiques ;
Seigneur Jésus-Christ, le royaume de France Vous appartient. Nous vous supplions de nous sauver malgré les épreuves qui vont bientôt s’abattre sur notre nation. Ne nous laissez pas tomber, nous Vous en supplions à genou. Gardez précieusement vos enfants sous votre aile comme vous l’aviez promis aux habitants de Jérusalem. Que Votre Passion soit notre force ;
Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé, car Vous avez aboli la loi du Talion. Cependant, donnez-nous la Force de vaincre ceux qui veulent anéantir Vos commandements, la Loi et les prophètes. Donnez-nous la Force de les vaincre par le courage et la témérité. Faites que nous puissions brandir Votre étendard du Sacré-Cœur pour fouler le sol de France et renvoyer Vos ennemis en enfer ;
Seigneur Jésus-Christ, permettez de célébrer Votre Victoire en faisant sonner les cloches des églises de France et en donnant un nouveau cœur aux prêtres afin qu’ils chantent le « Te Deum ». Seigneur Jésus-Christ, donnez-nous Votre Paix, nous Vous en supplions.
Père, que Votre Nom soit sanctifié pour les siècles et les siècles, que Votre Règne vienne ici-bas, que Votre Volonté soit faite sur la Terre comme elle l’est déjà au Ciel. Amen.
Troisième partie
Mon Dieu, Vous qui avez créé notre terre par Amour,
Protégez-nous,
Seigneur Jésus-Christ, Vous qui nous avez tant aimé,
Protégez-nous,
Sainte Vierge Marie, nous qui sommes petits et sans pouvoir,
Protégez-nous,
Saint Michel, parce que les milliardaires souhaitent réduire les peuples en esclavage,
Protégez-nous,
Saint Pierre et saint Paul, parce qu’ils veulent anéantir notre foi catholique,
Protégez-nous,
Saint Augustin, par votre douceur et votre intelligence du cœur,
Protégez-nous,
Saint Pérégrin Laziosi, parce qu’ils veulent injecter des produits à l’ensemble de l’humanité,
Protégez-nous,
Saint Briac, parce qu’ils veulent nous faire trembler de peur ou de colère,
Protégez-nous,
Saint Jean Bosco, parce qu’ils veulent avorter les enfants jusqu’à 9 mois de grossesse,
Protégez-nous,
Saint Vincent de Paul, nous qui allons bientôt souffrir de la famine,
Protégez-nous,
Saint Vorles de Marcenay, dans ces temps de peste intellectuelle et matérielle,
Protégez-nous,
Saint Jean-Marie Vianney, contre ceux qui souhaitent anéantir les églises et leurs prêtres,
Protégez-nous,
Saint Antoine de Padoue, vous qui avez été un grand prédicateur,
Protégez-nous,
Saint Michel, contre les hérésies contemporaines,
Protégez-nous,
Sainte Vierge Marie, Vous qui faites tant auprès de Votre Fils,
Protégez-nous,
Seigneur Jésus-Christ, nous qui Vous supplions,
Protégez-nous,
Mon Dieu, Vous qui avez Tout Pouvoir pour rendre la Justice contre les méchants,
La France Chrétienne et son histoire 