La crise économique et la résurrection de la France

Chers amis,

Voici quelques prophéties très intéressantes et le lien vers un document PDF à lire sur les temps actuels.

La vénérable servante de Dieu, Magdeleine Porzat (1773-1843), une humble jeune fille de maison, devenue plus tard Clarisse à Lyon, qui passa la plus grande partie de sa vie dans le quartier des Terreaux de la même ville, ce qui l’a fait usuellement surnommer la Petite Marie des Terreaux, a déjà eu de 1811 à 1832 beaucoup de visions fugitives sur l’avenir, principalement sous forme de rêves. Entre autres elle annonça que sept crises doivent être sur le point d’arriver, qui présagent l’avènement du triomphe de la Mère de Dieu avec la guérison de l’humanité. Ces crises se manifesteront ainsi : mauvais temps et inondations, maladies des plantes et des animaux, choléra parmi le genre humain, guerres et révolutions, banqueroute universelle, une crise commerciale générale, (qui semble apparaître maintenant, comme le nombre terrifiant de chômeurs dans les différents pays avec la faillite des grandes entreprises et des industries d’exportation dues à un coût trop élevé des productions, d’impôts trop lourds, du coût onéreux des transports, des droits de douane, de la dévaluation de la monnaie qui se vérifie dans beaucoup d’états) (cf NTD21). C’est après ces événements que la crise prendra fin. De même un désarroi universel se propagera réellement parmi les peuples. Le monde entier se trouvera, – comme ce fut le cas de façon analogue en France en 1789 -, réduit en ruines. Cependant, après la tempête, viendra la tranquillité. La Vierge puissante transformera toute la société en une moisson pleine de fruits. Par un grand événement le monde sera renouvelé. Le bonheur et le bien-être renaîtront, et ceci à travers l’aide de la Vierge immaculée. Entre la crise économique et la crise finale, il n’y aura aucun intervalle de temps. (Les prophéties de Magdeleine Porzat ont été rédigées par Désiré Laverdant, publiées en 1872 par Davesne à Paris, 59 rue Bonaparte, publiées également en 1866 sous forme de livre dans la collection Mémorial catholique à Lyon. Voir aussi plus loin Curicque, Voix prophétiques, Paris 1872 volume 2, page 471 et sv. ainsi que Dompierre, Comment tout cela va finir, 1900, Rennes, page 10 et sv). Aussi de toutes ces prédictions on peut supposer que le grand bouleversement dans le monde et pareillement l’arrivée du Grand Monarque, ne se feront plus attendre très longtemps parce que la crise économique est presque effective (cf NTD22).

 

MAIS L’ÉPOQUE HEUREUSE DU GRAND MONARQUE NE DOIT APPORTER AUCUNE JOIE VÉRITABLE À CEUX QUI ONT DEVANT LES YEUX LE FAIT QU’ELLE DOIT AMENER LE TEMPS DE L’ANTÉCHRIST. Sainte Hildegarde l’avait déjà présagé quand elle disait : « De même que la paix a précédé la première arrivée du Christ, pareillement la paix précédera la deuxième arrivée du Christ… Cette paix ne sera pas complète, elle sera seulement assombrie par la peur de la proximité du jugement ». Plus loin elle dit dans son ouvrage De l’œuvre divine : « Dans ces jours de bénédiction, les princes interdiront l’utilisation des armes… Et de même que les nuages rendent la terre fertile, le Saint Esprit enrichira les peuples de la rosée de sa grâce… Il y aura un véritable été dans la renaissance d’une vie spirituelle. Les prêtres, les moines, les religieuses, et toutes les autres conditions mèneront une vie droite et pure… A 30 cette époque les saints anges auront des rapports familiers avec les hommes parce qu’ils seront charmés par leur conversion et la sainteté de leur vie… La foule des croyants prendra un essor significatif par le retour en masse des païens… Pourtant la joie ne sera pas complète, parce que les hommes réaliseront que le jour de la justice est proche » (Sainte Hildegarde : divinorum operum). La sœur française de l’Ordre des Franciscains du nom de Nativitas que nous avons déjà citée souvent, a eu la vision suivante dont il est à retenir qu’après le triomphe de l’Eglise viendra l’âge de l’Antéchrist. La Soeur Nativitas vit une sorte d’espace à l’intérieur d’une église, plein de prêtres bruyants, qui portaient de superbes aubes blanches, comme si on célébrait une grande fête et que l’on chantait des hymnes de jubilation. La joie et le contentement illuminaient leurs visages, comme s’ils avaient remporté une grande victoire. Alors soudain, le Sauveur se tint à côté de la Sœur Nativitas ; Il semblait avoir autour de 30 ans et avait une grande croix dans la main, qu’Il considérait d’un air douloureux, et Il dit : « Tu verras bientôt un grand changement. Car on n’est pas encore entré dans la fin, et ils ne sont pas encore arrivés au but comme ils se l’imaginent. L’aurore commence, pourtant l’époque suivante sera passionnément douloureuse et tourmentée ». Il doit en être encore du triomphe à venir de l’Eglise et alors du temps suivant de l’Antéchrist avec l’allusion aux persécutions sanglantes des croyants. Que l’Antéchrist vienne immédiatement après le Grand Monarque comme punition de l’indifférence et de l’immoralité des hommes, saint Méthode, évêque (d’Olympe) et martyr au 4è siècle l’avait déjà prédit en déclarant : « Les chrétiens (au temps de la période finale du monde) se seront montrés si peu reconnaissants pour les grandes grâces suscitées par le Grand Monarque, pour la durée du merveilleux temps de paix et pour la fertilité de la terre qu’ils s’adonneront de nouveau à une vie dissolue : luxe, frivolité, luxure, libertinage, auxquelles s’ajoutent la haine et la jalousie, l’intempérance dans la nourriture et la boisson, et d’autres vices, si bien que les blessures de leurs péchés devant Dieu empesteront plus fort que la pestilence. Alors beaucoup d’hommes commenceront à douter que la Foi catholique soit la seule réellement sanctifiante, et que le Christ soit réellement le Fils de Dieu et le Sauveur du monde ; car au fond, les Juifs ne penseraient-ils peut-être pas juste quand ils disent qu’ils attendent encore le Messie. C’est pourquoi apparaîtront des erreurs et que se lèveront des troubles. Le vrai Dieu en sera tellement indigné, qu’il donnera à Lucifer et à tous les démons le pouvoir de sortir de l’Enfer pour venir sur la terre et séduire en premier lieu les impies » (Dionys de Lützenburg, Leben des Antichrist – La vie de l’Antéchrist, 1682 chapitre 7). Il en résulte, après avoir analysé le déroulement de l’histoire de l’Eglise jusqu’à à nos jours – qu’il est facile de prévoir qu’à l’époque du plus grand triomphe de l’Eglise, il se formera de nouveau une réaction. Si bien que la Chrétienté restera sans grande influence sur la vie des peuples, comme c’est le cas dans les époques d’indifférence religieuse, il ne se produira aucune forte opposition ; les flammes de la haine du Christianisme pourraient bien se retrouver sous peu et en constituer le combustible, comme de pouvoir allumer le brasier d’une nouvelle persécution des chrétiens. D’abord quand l’Eglise atteint trop de puissance visible, la haine croît dans le monde. A l’époque du Christ il n’en était pas autrement. Lorsque le Christ ressuscita Lazare, alors qu’il était depuis 4 jours dans le tombeau, il avait atteint auprès de son peuple le plus haut point de notoriété, les grands prêtres et les pharisiens tinrent aussitôt un conseil et dirent :« Que devonsnous faire ? Cet homme accomplit beaucoup de prodiges. Si nous le laissons faire, tous croiront en Lui ». ( Jean XI, 47 et sv) puis là-dessus « ils conclurent de le faire mourir » (Jean XI, 53). Il en sera de même, quand l’Eglise célébrera son triomphe sous le Grand Monarque, les dessins de l’esprit du monde seront projetés, afin de détruire de nouveau l’influence de l’Eglise et de l’asservir. Avec l’Eglise, c’est la même chose qu’avec l’eau, quand elle n’est pas touchée par les vents. Elle tombe dans la corruption. Ainsi l’Eglise, quand elle n’est pas secouée par les persécutions, commence à s’endormir. L’histoire de l’Eglise le démontre. Alors dans les plans de la Providence, il s’ensuit que l’Eglise ne peut pas perdurer sans persécutions. La vie des justes est à peu près la même. L’histoire de l’Eglise comporte de plus une grande analogie avec celle de la vie du Christ. Avant que le Christ soit entré dans l’amertume de la souffrance et qu’il ait porté la croix, il entrait triomphalement dans Jérusalem le Dimanche des Rameaux, et la jubilation du peuple retentissait avec ces paroles : « Hosanna Fils de David » (Matth. XXI, 9). Pareillement, avant de commencer à vivre les souffrances amères à la fin des temps, au moment de l’Antéchrist, l’Eglise célébrera d’abord et encore son triomphe, comme cela est prédit, et ceci se produira sous le Grand Monarque.

Lien vers le fichier PDF : https://lafrancechretienne.wordpress.com/wp-content/uploads/2021/03/konzionator-spirago_le-grand-monarque.pdf

Source : http://www.a-c-r-f.com/documents/KONZIONATOR-SPIRAGO_le-grand-Monarque

2 réflexions sur “La crise économique et la résurrection de la France

  1. Cette illustration s’ajoute à ce chapelet d’illustrations, elle témoigne de cet amour filial comme un ex-voto pouvant délivrer un message à mes frères et sœurs dans l’humanité. Dans ce péril que pourrait subir le monde où les blocs s’affrontent délivrant la mort et la haine, les mensonges ne manquent pas et séparent d’autant plus les esprits que c’est une volonté démoniaque depuis l’origine.

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