L’immunocontraception chez le porc

Chers amis,

Saviez-vous qu’il existe un vaccin appelé Improvac de Pfizer qui permet de stériliser les porcs et qui a les mêmes effets sur l’homme ?

Précautions particulières à prendre par la personne qui administre le médicament vétérinaire aux animaux.

Une auto-injection accidentelle peut provoquer des effets similaires à ceux observés chez le porc, parmi lesquels une diminution temporaire des hormones sexuelles et des fonctions de reproduction chez les hommes et les femmes ainsi que des effets indésirables sur la grossesse. Le risque que ces effets se produisent est beaucoup plus important après une seconde (ou plus) injection accidentelle, qu’après une première injection.

4.9 Posologie et voie d’administration

Utilisation sous-cutanée.

Les porcs mâles entiers d’au moins 8 semaines d’âge doivent être vaccinés avec 2 doses de 2 ml à au moins 4 semaines d’intervalle. La seconde dose doit être normalement administrée 4 à 6 semaines avant l’abattage. Si l’abattage est prévu plus de 10 semaines après la deuxième dose, une troisième dose doit être administrée 4 à 6 semaines avant la date d’abattage prévue. En cas de suspicion d’erreur de dosage du médicament vétérinaire, l’animal doit être revacciné immédiatement.

Effets indésirables (fréquence et gravité)

Lorsque le médicament vétérinaire est administré à des porcs à l’âge minimal recommandé (8 semaines), des gonflements jusqu’à 4 x 8 cm au niveau du site d’injection sont fréquemment observés.

Une résolution graduelle des réactions locales a lieu, mais chez 20 – 30% des animaux celles-ci peuvent persister plus de 42 jours. Une augmentation transitoire de la température rectale (hyperthermie post vaccinale) de 0,5 ° C environ peut être observée durant les 24 heures suivant la vaccination.

Lorsque le médicament vétérinaire est administré à des porcs plus âgés (14 à 23 semaines d’âge), des gonflements au niveau du site d’injection de 2 cm à 5 cm de diamètre sont fréquemment observés et des réactions au site d’injection sont fréquemment observées au moment de l’abattage si la seconde vaccination a eu lieu seulement 4 semaines avant l’abattage.

Le principe d’immunocontraception a été initialement inventé par le Dr Richard Fayrer-Hosken (voir la photographie de l’article).

Pour que le produit soit sûr et efficace, on peut remarquer qu’il faut vacciner le porc à, au moins, 4 semaines d’intervalle.

Cet article est posté à titre informatif et n’a aucun caractère officiel. Chaque personne doit se faire sa propre opinion grâce à la liberté de conscience.

Pour rappel, onze principes fondamentaux reconnus par les lois de la République ont été identifiés par le Conseil constitutionnel :

  • la liberté d’association,
  • les droits de la défense
  • la liberté individuelle,
  • la liberté d’enseignement,
  • la liberté de conscience,
  • l’indépendance de la juridiction administrative,
  • l’indépendance des professeurs d’universités,
  • la compétence exclusive de la juridiction administrative pour l’annulation ou la réformation des décisions prises dans l’exercice des prérogatives de puissance publique,
  • l’autorité judiciaire gardienne de la propriété privée immobilière,
  • l’existence d’une justice pénale des mineurs,
  • le principe de pérennité du droit local d’Alsace-Moselle

Le Code de Nuremberg, composé de 10 articles, protège les êtres humains contre les expériences illicites.

Notice du produit : https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/improvac-epar-product-information_fr.pdf

Une réflexion sur “L’immunocontraception chez le porc

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